L'autorité

Question difficile, hein, puisque je suis moi-même ma propre autorité...

Plus sérieusement, je crois que notre rapport à l'autorité vient de nos expériences, bonnes comme mauvaises, qui nous font placer notre confiance soit plus dans nous-même, soit plus du côté de l'autorité.

tu peu avoir toute l'autorité que tu veut , mais si par exemple tu essaye de l’appliquer contre des personne a la conscience libre , tu n'y arrivera pas .

on ne peu pas enlever la liberté sans contrainte ou représailles a des gens qu'il on connue ou connaisse la liberté , par contre l'inverse est possible libérer des otages en leur rendant leur liberté d'agir est plus facile .

a la limite un coréen en pleine dictature peu trouver sa tout a fait normal , mais si tu met des personne libre dans une dictature , la a ce moment tout ce met a flamber , on en a la preuves .. :D

Le cas d'une dictature, ça donne pas envie de suivre l'autorité, c'est clair.

Ceci dit, faire agir l'autre (c'est là que je place la définition de l'autorité), ça peut avoir du bon quand l'autre est demandeur. Et puis il y a différentes sortes d'autorités, n'est-ce pas ?

oui , y a plusieurs forme d'autorité , sa vas de soit , elle peu être bonne comme mauvaise .

c'est juste moi , quand on me dit autorité je pence souvent que c'est négatif , parce que j'ai souvent eu a faire a des connards , mais bon , tout le monde n'est pas mauvais .

L'autorité par essence suggère la légitimité reconnue par celui qui la suit .... mais ce n'est pas toujours le cas, et d'ailleurs dans nos société on associe automatiquement autorité avec commandement autoritaire, voire autoritarisme.

C'est donc en effet très relatif : on peut respecter l'autorité (car on lui reconnait un caractère utile ou nécessaire, ou qu'elle a un caractère reconnu par le groupe ou la communauté à laquelle on appartient), ou la suivre par obligation (parce qu'elle nous est imposée en quelque sorte de fait).

Et dans les deux cas, on peut être pourtant d'un avis opposé à cette autorité, sans vouloir pour autant la remettre en cause, ou au contraire sans pouvoir la remettre en cause.