campagne d'autre fois

bonjour

la moisson des blés mure vient de commencer ,les paysans du village sont à l'œuvre depuis l'aube .les grandes charettes attelées de puissant et vigoureux chevaux ,des percherons la plus par du temps , mais aussi des boulonnais ,des chevaux pesant dans les 800 kgs , n'arrêtent pas de passer devant la maison . vide , elles repassent chargée de bottes de blés qui vont ètre entassés dans la grange de la ferme avant de passer à la batteuse pour séparer le grain de la paille .

je regarde ce spectacle sans m'en lasser , et rève de devenir un chartier comme l'on rève de devenir pompier ou aviateur ou même gendarme ou je ne sait quoi . à dix ans ,tout nous semble facile et possible .il fait si beau ce jour là et je ne tient plus en place .je suis impatient d'aller courir dans la campagne sur les petits chemins et sentiers qui sentent si bon la noisette et les fleurs sauvages des prairies ou les vaches passent leurs journée à paitre puis , allongée dans l'herbe grasse ,ruminée en regardant ce paysage si beau et naturel qui un jour ,ne sera plus le même .

quelques enfants du village m'on rejoins ,il y à trois filles et deux garçons , tous de mon àge . il habite le village alors que moi , je suis de passage car ,; je suis en vacances chez mes grands parents pour le temps des vacances scolaire .

nous filon vers le petit bois ou nous avons construit une cabane .pour nous , les garçons ,nous n'en somme pas très satisfait ,l'un trouve qu'elle est trop petite , un autre trop grande et moi ,je ne suis pas du tout content de mes talents d'architecte .

les filles découvre notre ( œuvre ) et font la grimace . avec notre permission ,elle décide d'y apporter une touche féminine et ... elles glane quelque fleurs dans la prairie toute proche et en décore notre cabane après avoir remis en place qu'elle que branches .

notre ( œuvre ) , sous leurs mains habilles , se transforme en une jolie cabane pleine de charme et nos croyances macho en prennent un sérieux coup .

bien sur ,les amourettes fleurissait entre garçon et fille et , chacun avait sa chacune comme il se doit .

moi , je n'avais d'yeux que pour nicole qui était charmante et toujours tout sourire et , du haut de nos dix ans , nous nous voyons bientôt marier à l'église du village .

nous ne voyons le temps passé quand , au loin ,6 heure du soir sonnait au clocher du village .aussitôt ,nous nous précipitions vers nos pénates respective , en n'oubliant pas de nous donner rendez vous pour le lendemain matin pour une séance de glanage qui consiste à aller dans un champs de blé moissonné et ramasser les épis de blés qui ont été oublié par les moissonneurs .

tout cela était pour les poules de mes grands parents car , juste après la guerre de 40-45 , l'on faisait feu de tout bois . après avoir mangé une grosse tartine de pain beurré recouverte de confiture de rubarbe que ma grand mère faisait avec art ,j'allai à la ferme la plus proche pour chercher , avec mon bidon en métal ,les deux litres de lait quotidien pour le petit déjeuner du matin .

les vaches avaient regagnées leur étable vert 19 heure et la traite commençait . le soir , quand la nuit tombait , nous dinions de bonne humeur à la lumière d'une grosse lampe à pétrole qui projetait nos ombre sur les murs de la salle à manger et nous donnait l'allure de fantômes en guinguette .

dans ma chambre ,un lit douillet avec matelas rembourré de laine de mouton et un oreiller emplis de plume et duvet d'oies .des draps qui sentait bon la lavande et des couvertures de laine chaudes et épaisse mais aussi , un gros édredon pour les nuits fraiche .

le temps passe et emporte tout , mais les souvenirs restent et reviennent de temps en temps au bord de la mémoire d'un temps aimé mais passé et disparus à jamais .

bonne soirée

Des bottes de blé ? Des gerbes, plutôt. Et l'on faisait le gerbier sur le champ même, en attendant le dépiquage. Non, la pluie ne pénétrait pas dans cette construction énorme. Le toit était de chaume. Quoi les souris ? Eh bé, elles trouvaient là un abri et le repas.

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bonjour

oui ,c'était des gerbes de blé mais , d'une région à une autre , il y à des variante et des particularités .

il m'est impossible de retranscrire par des mots ce que fut cette époque et encore moins , les sentiments d'un enfant de dix ans .les gerbe de blé était appuyées , debout , l'une contre l'autre avec une dernière couchée sur le haut et sur les autres .on appelait cela : un cabottin .

plusieurs de ces cabottins entassés l'un sur l'autre faisait une meule de blé .

bonne journée

Avec 2 t ce cabotin, sinon, c'est un défaut d'acteur.