ennemis inconnus

bonjour

il pleut à torrent dans cette jungle tropical d'amazonie .le détachement de 25 hommes de la légion étrangère s'est mis à l'abris sous une bache en plastique tendue entre deux arbres . une chaleur moite et étouffante accable les soldats mais ,c'est un mauvais moment à passer .

puis , soudain , la pluie cesse comme par enchantement .de l'eau dégouline encore de chaque feuille ,elle vient de la canopée ,la cime des arbres de 30 à plus de 50 mètres de haut dont les feuillages épais autorise un peut de lumière à venir jusqu'au sol détrempé ou les soldats patauges en maugréant .

- bon ,on marche en file indienne maintenant ,surtout , ne vous perdez pas de vue , si l'un de vous à un problème il le signal aussitôt et faite attention ou vous mettez les pieds , la morsure de certains serpents ne pardonne pas , il y à des espèces inconnues et nous n'avons pas l'antidote pour leurs venin .

le sergent patroski vient de donner ses ordres à la section qu'il commande depuis déjà un an . ces homme sont de vieux briscars rompus aux mauvaise surprises de la jungle amazonienne .

il y à quatre jours ,ils ont remontés en canots un bras du puissant fleuve amazone ,et se retrouvent , maintenant, à plus de 550 kms de tout lieu civilisé digne de ce nom .

leurs mission est simple ,en apparence ,retrouver une borne en pierre qui démarque la zone française d'un autre pays riverain .

la colonne de soldats avance péniblement depuis plus de trois heures et , toujours pas de borne en vue .

patroski ordonne une halte car , malgré leurs entrainement , les légionnaires sont épuisés .

aussitôt ,les soldats se couchent la tète reposant sur leurs sacs à dos .

- karl , au rapport .

le caporal karl se précipite vers le sergent .

- oui sergent .

- approche toi un peut plus prés de moi , je ne veut pas que les hommes entendent .

patroski se racle la gorge et ,

- je crois que nous somme perdu ,je n'y comprend plus rien ,m'à boussole à perdu le nord et les coordonnées de ma carte ne correspondent plus à rien .

le caporal fronce les sourcilles .

- je voulait justement vous en parler sergent ,nous somme , à mon avis , dans une région inconnue . je crois me rappeler dans mes lectures , qu'un groupe de conquistadores de l'ancien temps à la recherche de l'eldorado , à disparus dans cette région inexploré .

le sergent se gratte la tète comme pour y trouver une idée qui les sortiraient de ce cauchemar .

- bon ,nous faisons demi-tour et vite .

- mais les hommes sont épuisés sergent , il faut qu'il se reposent une paire d'heures au moins .de toute façon ,il va faire nuit , il vaut mieux monté le camps pour la nuit ici .

- t'à raison ,ont passent la nuit ici et on lève le camps au petit jour et ...

au même instant , un léger sifflement dans l'air et le visage du caporal devient grimaçant puis , il s'effondre raide mort .

une petite flèche empoisonnée au curare est figée dans son cou .

aussitôt ,le sergent hurle un ordre et les légionnaires réagissent aussitôt ,ils se jettent sur leurs armes et arrosent autour d'eux , à l'aveuglette déchiquetant les branches et les feuilles qui les entourent .

un silence angoissant fait suite à l'enfer des armes automatique .

puis , un soldat s'écroule sans un cri , puis un second et un troisieme percè par de très fine flèches empoisonnées .

la section de légionnaire ne reviendra plus , la jungle sombre et cruel s'est refermée sur elle à jamais .

ceci est une fiction .

bonne soirée

D'où vous viens tout à coup cette once de noirceur?!

bonjour jedino

non , ce n'est qu'une petite histoire sans prétention . comme je ne sais ce que je vais écrire d'avance ,ce truc la mes venue à l'idée , c'est tout lol .

bonne soirée ( tu peut me tutoyer , pas de problème lol ) :)

Ah, je comprends ça!

Et, pas de soucis