Marseille : il blessait gratuitement les dames âgées au tibia

Pour ce genre de délits c'est un an max et encore il ressort de zonzon casseur confirmé avec tous les bon prof qu'il va côtoyer quant à doubler les places y a pas la pèpète c'est mort... faudrait créer un genre de goulag, travaux forcés à durée déterminée voir le renvoyer dans son pays d'origine si possible, casser des cailloux à défaut de jambes de mamies ,bon il y a aussi l'asile ..

M'enfin arrêtez de projeter vos fantasmes.

Il y a forum pour ça.

il blessait gratuitement les dames âgées aux tibia ?Et bien il va payer j'espère ?

Tsss....Vous êtes pas vite, ce qu'il fallait surtout retenir dans l'histoire, c'est le prénom "Lotsi El Aounim" .

Pour ma part , peu importe le nom qu'il porte , un con reste un con Lucy .

Ou alors j'ai loupé un truc .:mef2:

Tsss....Vous êtes pas vite, ce qu'il fallait surtout retenir dans l'histoire, c'est le prénom "Lotsi El Aounim" .

eh oui

Ou comment ne retenir et propager QUE certains faits divers.

Quant à la pitié pour les vieilles dames: "et mon oeil".

On préfère s'attaquer aux plus faibles ado , personnes âgées... personnes vulnérables ... ça me fait de la peine de lire ça

:smile2: :smile2: :smile2:

no comment

Pour ma part , peu importe le nom qu'il porte , un con reste un con Lucy .

Ou alors j'ai loupé un truc .:mef2:

oui

Pour ma part , peu importe le nom qu'il porte , un con reste un con Lucy .

"Ou alors j'ai loupé un truc" .:mef2:

oui

Salut.

Un SDF à qui il lui manque (entre autre) quelques cases et ce qui le conduit à faire des choses insensées, un scoop !

On aurait préféré un SDF à la voix d'or, un SDF sauveur de petite dame.

Est-ce que la folie mène à la rue ou bien est-ce que la rue mène à la folie ?

++

bonne question !!!!

mes collègues et moi avons remarquer l'augmentation de gens ""pas bien dans la tête"" dans la rue ou sollicitant le 115 !!

une partie de la réponse :

En vingt ans, 50 000 lits d'hospitalisation ont été fermés, sans que les structures alternatives de prises en charge (appartements et centres d'accueil thérapeutiques) aient été ouvertes en compensation. Comme les hôpitaux généraux, les hôpitaux psychiatriques doivent répondre aux impératifs de gestion médico-économique, qui imposent de rentabiliser au maximum les lits disponibles : "Résultat, on pratique de plus en plus une psychiatrie de turnover, de portes tournantes", s'insurge Nadia Missaoui, syndicaliste CGT à Maison-Blanche.

""http://www.wmaker.net/psyresoformations/La-psychiatrie-francaise-va-de-plus-en-plus-mal-Medecins-et-soignants-temoignent-de-la-crise-profonde-de-leur-discipline_a478.html

l'alternative à l'asile psy n'a pas été développée !

Tendance. Première tendance alarmante, les prisons comptent 7 % de schizophrènes, soit sept fois plus que dans la population générale. Et 7 % des prisonniers souffrent de paranoïa et de psychose hallucinatoire chronique (PHC), là encore sept fois plus que dehors. « La schizophrénie est une maladie très grave, chronique, dont on peut amender les symptômes, mais que l’on ne guérit pas », explique un des auteurs de l’étude, le Dr Bruno Falissard. « Or ces personnes ne sont pas devenues schizophrènes en prison, poursuit-il, elles l’étaient avant. » C’est même leur maladie qui a entraîné l’acte délinquant. « Quand ils sont délirants, ils font des bêtises et comme ils n’ont pas les pieds sur terre, ils se font prendre », analyse encore le médecin. Quant aux paranoïaques et aux malades atteints de PHC, « ce sont des maladies graves, moins spectaculaires que la schizophrénie. Mais il faut penser à ce que peut donner la vie en prison pour des gens qui se pensent persécutés », ajoute Bruno Falissard.

Ce n’est pas tout. Car 40 % des détenus sont dépressifs, 33 % souffrent d’anxiété généralisée et 17 % d’agoraphobie. Là, ce serait plutôt le contraire, la prison entraînant les troubles, selon le psychiatre : « Il ne s’agit pas nécessairement de pathologies, ces troubles traduisent la souffrance de la prison. On y fait en effet le deuil de ses amours, de son travail, de ses amis et, entre le deuil et la dépression, il n’y a qu’une feuille de papier à cigarette. Et puis le contexte carcéral est évidemment anxiogène. »

source :

http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article409

et depuis cela se serait aggravé !

à titre d'exemple car l'étude est localisée à l'ile de france :

L'étude montre qu'un tiers des personnes sans logement souffre de «troubles psychiatriques sévères», et 40% chez les 18-25 ans. Ces troubles sont-ils la cause ou la conséquence de leur situation ?

Il faut bien distinguer les troubles psychiatriques des troubles psychotiques. Les troubles psychiatriques (32% des SDF, quatre fois plus que dans la population générale), comme l'anxiété ou la dépression, peuvent être liés à la difficulté de la vie sans logement. Les femmes y sont particulièrement sujettes. Chez les populations migrantes, qui viennent souvent de zones de conflits, peut s'ajouter un stress post-traumatique, qui fait partie des troubles anxieux.

Mais les troubles psychotiques (13,2% des SDF), qui sont des troubles graves de la personnalité (du type schizophrénie par exemple) sont structurels, c'est-à-dire que les individus en souffrent indépendamment de leur vie dans la rue.

Justement, il y a dix fois plus de troubles psychotiques chez les personnes sans logement que dans la population générale. Est-ce à dire qu'ils mènent à la rue ?

en entier sur :

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2009/12/15/9948-tiers-sdf-presente-graves-troubles-psychiatriques

Pour ce qui est de l'étude en Ile de France,

"*L'étude a été menée auprès de 859 personnes tirées au sort dans les services d'aide (centres d'hébergement, accueil de jour...) d'Ile-de-France, par l'observatoire du Samusocial de Paris et l'Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale)."

Tu peux donc considérer que ces chiffres sont minimisés, compte tenu du fait que les sdf les plus atteints refusent souvent d'intégrer les ESI et les centres d'hébergement, ou en ont été exclus suite à leur comportement dangereux pour les autres sdf ou les personnels. On les retrouve errants dans les rues, à savater les personnes âgées, par exemple...

un peu de lecture

http://blogs.rue89.com/francis-a-paris/2011/03/03/sdf-la-rue-rend-elle-fou-paroles-dexperts-et-de-sans-abri-193238

du point de vue professionnel, je ne saurais dire à 100 % que la rue rend ""fou"" ! tout ce que je vois c'est que le nombre de gens ""pas bien dans la tête"" est en constante augmentation parmi ceux que je cotoye chaque jour ou presque !!!

Au moins est-on sûr que la rue ne rend pas sain d'esprit...