Aller au contenu

Le Complot de la FED


herisson

Messages recommandés

Membre, Posté(e)
herisson Membre 46 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)



Vos réactions sont les bienvenus.
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Posté(e)
herisson Membre 46 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Existe t - il une histoire secrète des Etats-unis que les médias choisissent d'ignorer ? Pourrait - il y avoir une société clandestine de riches financiers qui auraient provoqué toutes les guerres et les dépressions ? Y a t -il une élite de l'ombre qui tire doucement les ficelles de ce monde pour la réalisation de son programme politique ? Les réponses à ses questions pourraient vous surprendre .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

http://www.conspiracywatch.info/tags/etats-unis/

mais x'est qui c'est quoi la droite libre ??

extrait :

""

A ses débuts, l’association n’était qu’un aiguillon de l’UMP. Fondée par Rachid Kaci et Arnaud Dassier, un professionnel du web, elle s’était illustrée en mai 2003 en lançant une campagne de spams contre plusieurs syndicats : « Ils bloquent la France, nous bloquons leurs boîte mail. »

Les co-fondateurs de la Droite libre se sont assagis. Arnaud Dassier a contribué à la campagne de Nicolas Sarkozy sur le web en 2007. Déçu de ne pas avoir été investi aux prochaines législatives, il a rompu avec l’UMP. Contacté par e-mail, il ne nous a pas répondu.""

http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/02/16/apres-luni-la-droite-libre-gueant-de-moins-en-moins-complexe-229338

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Chevalier de la Table Ronde , 72ans Posté(e)
Le-Roi-Arthur Membre 1 865 messages
72ans‚ Chevalier de la Table Ronde ,
Posté(e)

:rtfm:

Doucement , lentement , mais avec une certitude absolue , entre dans les cerveaux , le concept que tout n'est peut-être pas comme on voudrait nous le faire croire .

Derrière tous les désastres humains , il n'y a qu'un seul dénominateur : L'enrichissement d'une poignée d'individus sans scrupules , capables d'assassinats , de meurtres , pour gagner encore plus d'argent .

Et pour pouvoir le faire sans risquer de représailles de la part des peuples meurtris , trahis , humiliés , il faut disposer du POUVOIR DE L'ARGENT .

Hors le pouvoir de l'argent n'est assuré que par le pouvoir politique .

Mais , de doux rêveurs continuent , avec cette naïveté touchante , à croire aux vertues de la droite ou aux vertues de la gauche .

Vous verrez avec quelle rage ces naïfs entreront dans la bataille des élections présidentielles de 2017 . Défendant avec d'âpres propos inconséquents , un camps au détriment de l'autre .

Et c'est cette profonde bêtise qui permet aux riches familles , qui dirigent le monde depuis si longtemps , de continuer à régner . Régner par le crime , par l'argent , par la politique et , PAR LA RELIGION ...

Mais , il faudra encore de pénibles et longues luttes pour faire entrer ce concept dans les têtes !

:rtfm:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
herisson Membre 46 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

empty.gifSujet: Les protocoles des sages de Sion. empty.gifSam 2 Fév - 14:49.

PREMIER PROTOCOLE

Laissant de côté toute phraséologie. Nous parlerons bien franchement

et discuterons le sens de chaque réflexion, faisant ressortir, par des comparaisons

et des déductions, des explications complètes. Nous exposerons, par ce moyen,

la conception de notre politique, ainsi que celle des Goïm.

Il faut remarquer que le nombre des hommes aux instincts corrompus est plus grand

que celui des gens aux instincts nobles. C’est pourquoi les meilleurs résultats s’obtiennent,

dans le gouvernement du monde, en employant la violence

et l’intimidation plutôt que les discussions académiques.

Tout homme a soif du pouvoir: chacun aimerait à être un dictateur si seulement

il le pouvait, et bien rares sont ceux qui ne consentiraient pas à sacrifier

le bien-être d’autrui pour atteindre leurs buts personnels.

Le droit réside dans la force

Qu’est-ce qui a contenu les sauvages bêtes de proie, que nous appelons hommes ?

Par quoi ont-ils été gouvernés jusqu’à ce jour ?

Aux premières époques de la vie sociale, ils étaient soumis à la force brutale

et aveugle, puis ils se soumirent à la loi, qui n’est, en réalité, que la même force masquée.

Cette constatation me mène à déduire que, de par la loi naturelle,

le droit réside dans la force.

Ce qui tue la vraie liberté.

La liberté politique n’est pas un fait, mais une idée.

Cette idée, il faut savoir comment l’appliquer quand il est nécessaire,

afin de la faire servir d’appât pour attirer les forces de la foule à son parti,

si ce parti a décidé d’usurper celles d’un rival.

Le problème est simplifié si ledit rival s’infecte d’idées de liberté, de prétendu

libéralisme et si, pour l’amour de telles idées, il cède une partie de son pouvoir.

Notre idée va triompher de façon évidente en ceci :

les rênes du Gouvernement étant abandonnées, il s’ensuivra, de la loi de la vie,

qu’elles seront immédiatement saisies par une nouvelle main, parce que la force

aveugle de la foule ne peut exister un seul jour sans chef.

Le nouveau Gouvernement ne fait que remplir la place de l’ancien que son libéralisme

a affaibli.

L’or a détruit la religion.

L’anarchie nous livre les peuples.

De nos jours, la puissance de l’or a supprimé celle des autorités libérales.

Il fut un temps où la religion gouvernait. L’idée de liberté est irréalisable,

parce que personne ne sait en user avec discrétion.

Il suffit de donner un instant à la foule le pouvoir de se gouverner elle-même

pour qu’elle devienne, aussitôt, une cohue désorganisée.

Dès ce moment naissent des dissensions qui ne tardent pas à devenir des conflits sociaux ;

les États sont mis en flammes et toute leur importance disparaît.

Q’un État soit épuisé par ses propres convulsions intérieures, ou qu’il soit livré,

par les guerres civiles, à un ennemi étranger, il peut, dans l’un et l’autre cas,

être considéré comme définitivement détruit, - il est en notre pouvoir.

L’or est entre nos mains.

Le despotisme du capital, qui est entièrement entre nos mains, tendra à cet État

un brin de paille auquel il sera inévitablement forcé de s’accrocher sous peine

de tomber dans l’abîme.

Pas de moralité dans la lutte.

Si, pour des motifs de libéralisme, quelqu’un était tenté de me faire remarquer

que de semblables discussions sont immorales, je poserais cette question :

- Pourquoi n’est-il pas immoral qu’un État qui a deux ennemis, l’un au dehors,

l’autre au dedans, emploie, pour les combattre, des moyens différents :

- plans secrets de défense, attaques nocturnes ou avec des forces supérieures ?

Pourquoi, en effet, serait-il immoral que l’État employât de tels moyens contre

celui qui ruine ses fondements et sa prospérité ?

Il faut semer l’anarchie dans les masses.

Un esprit logique et sensé peut-il espérer réussir à gouverner les foules

par des arguments et des raisonnements, alors qu’il est possible que ces arguments

et ces raisonnements soient contredits par d’autres arguments ?

Si ridicules qu’ils puissent être, ils sont faits pour séduire cette partie du peuple

qui ne peut pas penser très profondément, étant entièrement guidée par des raisons mesquines,

des habitudes, des conventions et des théories sentimentales.

La population ignorante et non initiée, ainsi que tous ceux qui se sont élevés

de son sein, s’embarrasse dans les dissensions de partis qui entravent toute

possibilité d’entente, même sur une base d’arguments solides.

Toute décision des masses dépend d’une majorité de hasard, préparée d’avance,

qui, dans son ignorance des secrets de la politique, prend des décisions absurdes,

semant ainsi dans le Gouvernement les germes de l’anarchie.

Pas de morale en politique.

La politique n’a rien de commun avec la morale.

Un souverain gouverné par la morale n’est pas un habile politique ;

il n’est donc pas d’aplomb sur un trône.

Celui qui veut gouverner doit recourir à la ruse et à l’hypocrisie.

En politique, les grandes qualités humaines d’honnêteté et de sincérité deviennent

des vices et détrônent un souverain plus immanquablement que son plus cruel ennemi.

Ces qualités doivent être les attributs des pays non juifs, mais nous ne sommes aucunement

obligés d’en faire nos guides.

Le droit et la force.

Notre droit réside dans la force. Le mot « droit » est une idée abstraite qui ne repose

sur rien. Il ne signifie pas autre chose que ceci :

« Donnez-moi ce dont j’ai besoin pour prouver que je suis plus fort que vous ».

Où commence le « droit » ? Où finit-il ?

Dans un État où le pouvoir est mal organisé, où les lois et la personne du souverain

sont annihilées dans un continuel empiétement du libéralisme, j’adopte un nouveau système

d’attaque, me servant du droit de la force pour détruire les ordonnances

et réglements existants, me saisir des lois, réorganiser les institutions et devenir

ainsi le dictateur de ceux qui, de leur propre volonté, ont libéralement renoncé

à leur puissance et nous l’ont conférée.

L’invincibilité de la judéo-maçonnerie.

Notre force, étant donné la situation branlante des pouvoirs, sera plus grande

qu’aucune autre, parce qu’elle sera invisible jusqu’au jour où elle sera telle

qu’aucune ruse ne la saurait miner.

Libéralisme destructeur.

Du mal temporaire, auquel nous sommes actuellement obligés d’avoir recours,

sortira le bienfait d’un gouvernement inébranlable qui rétablira le cours du mécanisme

de l’existence normale détruit par le libéralisme. La fin justifie les moyens.

Il faut, en dressant nos plans, que nous fassions plus attention à ce qui est

nécessaire et profitable qu’à ce qui est bon et moral.

Nous avons devant nous un plan sur lequel est tirée une ligne stratégique

dont nous ne pouvons nous écarter sans détruire l’œuvre de siècles entiers.

La foule est aveugle.

Pour élaborer un plan d’action convenable, il faut se mettre en l’esprit la veulerie,

l’instabilité et le manque de pondération de la foule incapable de comprendre

et de respecter les conditions de sa propre existence et de son bien-être.

Il faut se rendre compte que la force de la foule est aveugle, dépourvue

de raison dans le discernement et qu’elle prête l’oreille tantôt à la droite,

tantôt à la gauche. Si un aveugle conduit un autre aveugle, ils tombent

tous deux dans le fossé.

En conséquence, les parvenus, sortis des rangs du peuple, fussent-ils des génies,

ne peuvent pas se poser en chefs des masses sans ruiner la nation.

L’impuissance des partis.

Seul un personnage élevé pour exercer la souveraineté autocratique peut lire

les mots formés par les lettres de l’alphabet politique.

Le peuple livré à lui-même, c’est-à-dire à des chefs sortis des rangs, est ruiné

par les querelles de partis qui naissent de la soif du pouvoir et des honneurs

et qui créent les troubles et le désordre.

Est-il possible à la masse de juger avec calme et d’administrer sans jalousie

les affaires de l’État qu’il ne lui faudra pas confondre avec ses propres intérêts ?

Peut-elle servir de défense contre un ennemi étranger ?

C’est impossible, car un plan, divisé en autant de parties qu’il y a de cerveaux

dans la masse, perd sa valeur et devient inintelligible et inexécutable.

Seul gouvernement possible : l’autocratie.

Seul un autocrate peut concevoir de vastes projets et assigner à toute chose

son rôle particulier dans le mécanisme de la machine gouvernementale.

C’est pourquoi nous concluons qu’il est utile au bien-être du pays que

son gouvernement soit entre les mains d’une seule personne responsable.

Sans le despotisme absolu, pas de civilisation possible, car la civilisation

ne peut avancer que sous la protection d’un chef, quel qu’il soit,

pourvu qu’il ne soit pas entre les mains de la masse.

La foule est barbare et le prouve en toute occasion.

Dès que le peuple s’est assuré la liberté, il se hâte de la transformer en anarchie qui,

par elle-même, est le comble de la barbarie.

Alcoolisme et corruption.

Considérez ces brutes alcoolisées stupéfiées par la boisson, dont la liberté tolère

un usage illimité !

Allons-nous nous permettre et permettre à nos semblables de les imiter ?

Chez les chrétiens, le peuple est abruti par l’alcool, la jeunesse est détraquée

par les classiques et la débauche prématurée à laquelle l’ont incitée nos agents :

- précepteurs,

- domestiques,

- institutrices dans les maisons riches,

- employés, etc.,

- nos femmes dans les lieux de plaisir ; j’ajoute à ces dernières les soi-disant

« femmes du monde »,leurs imitatrices volontaires en matière de luxe et de corruption.

La force et l’hypocrisie.

Notre devise doit être : « Tous les moyens de la force et de l’hypocrisie ».

Seule la force pure est victorieuse et politique, surtout quand elle se cache

dans le talent indispensable aux hommes d’État.

La violence doit être le principe, la ruse et l’hypocrisie la règle de ces gouvernements

qui ne veulent pas déposer leur couronne aux pieds des agents d’un nouveau

pouvoir quelconque. Ce mal est le seul moyen d’arriver au bien.

Ne nous laissons donc pas arrêter par l’achat des consciences, l’imposture

et la trahison, si par eux nous servons notre cause.

En politique, n’hésitons pas à confisquer la propriété, si nous pouvons ainsi

acquérir soumission et pouvoir.

La terreur.

Notre État, suivant la voie des conquêtes pacifiques, a le droit de substituer

aux horreurs de la guerre des exécutions moins apparentes et plus expéditives

qui sont nécessaires pour maintenir la terreur et produire une soumission aveugle.

Une sévérité juste et implacable est le principal facteur de la puissance d’un État.

Ce n’est pas simplement pour l’avantage qu’on peut en tirer, mais encore par l’amour

du devoir et de la victoire que nous devons nous en tenir au programme de violence

et d’hypocrisie. Nos principes sont aussi puissants que les moyens que nous

employons pour les mettre à exécution.

C’est pourquoi nous triompherons certainement, non seulement par ces moyens

mêmes, mais par la sévérité de nos doctrines,et nous rendrons tous les Gouvernements esclaves

de notre Super-Gouvernement. Il suffira que l’on sache que nous sommes implacables

quand il s’agit de briser la résistance.

« Liberté-Égalité-Fraternité »

Nous fûmes les premiers, jadis, à crier au peuple : « Liberté, Égalité, Fraternité »,

ces mots si souvent répétés, depuis lors, par d’ignorants perroquets, venus en foule

de tous les points du globe autour de cette enseigne.

A force de les répéter, ils ont privé le monde de sa prospérité et les individus

de leur vraie liberté personnelle si bien protégée naguère contre la populace

qui voulait l’étouffer.

Les Gentils, soi-disant sages et intelligents, ne discernèrent pas combien

étaient abstraits ces mots qu’ils prononçaient et ne remarquèrent point combien

ils s’accordaient peu les uns avec les autres et même se contredisaient.

Ils ne virent pas qu’il n’est aucune égalité dans la Nature qui créa elle-même

des types divers et inégaux d’intelligence, de caractère et de capacité.

De même en est-il pour la soumission aux lois de la Nature.

Ces prétendus sages n’ont pas deviné que la foule est une puissance aveugle

et que les parvenus sortis de son sein pour gouverner sont également aveugles

en politique ; ils n’ont pas compris davantage qu’un homme destiné à régner,

fût-il un imbécile, peut gouverner, tandis qu’un autre qui n’a pas reçu

l’éducation voulue, fût-il un génie, n’entendra rien à la politique.

Tout ceci a échappé aux Gentils.

Contre les régimes dynastiques.

Ce fut sur cette base, cependant, que fut fondé le régime dynastique.

Le père enseignait au fils le sens et le cours des évolutions politiques

de telle manière que, sauf les seuls membres de la dynastie, personne

n’en eût connaissance et n’en pût dévoiler les secrets au peuple gouverné.

Avec le temps, le sens des vrais enseignements, tels qu’ils avaient été transmis

dans les dynasties, de génération en génération, se perdit, et cette perte

contribua au succès de notre cause.

L’abolition des privilèges.

Notre appel « Liberté, Égalité, Fraternité » amena dans nos rangs, des quatre coins

du monde, grâce à nos agents inconscients, des légions entières qui portèrent

nos bannières avec extase.

Pendant ce temps, ces mots, tels autant de vers rongeurs, dévoraient la prospérité

des chrétiens, détruisaient leur paix, leur fermeté et leur union, ruinant ainsi

les fondements des États. Comme nous le verrons plus loin, ce fut cette action

qui amena notre triomphe. Elle nous donna, entre autres choses, la possibilité

de jouer notre as d’atout :

- l’abolition des privilèges, en d’autres termes, l’existence de l’aristocratie des Gentils,

seule protection qu’avaient contre nous les nations et les pays.

L’aristocratie ploutocratique.

Sur les ruines de l’aristocratie naturelle et héréditaire, nous élevâmes, en lui donnant

des bases ploutocratiques, une aristocratie à nous.

Nous l’établîmes sur la richesse tenue sous notre contrôle et sur la science

promue par nos savants.

Flatter les faiblesses et les passions

Notre triomphe fut facilité par le fait que, grâce à nos relations avec des gens

qui nous étaient indispensables, nous avons toujours appuyé sur les cordes

les plus sensibles de l’esprit humain, exploitant le faible de nos victimes

pour les bénéfices, leurs convoitises, leur insatiabilité, les besoins matériels

de l’homme. Chacune de ces faiblesses, prise à part, est capable de détruire

toute initiative ; en les flattant, nous mettons la force de volonté du peuple

à la merci de ceux qui voulaient le priver de cette initiative.

La liberté nous livre le pouvoir.

Le caractère abstrait du mot « Liberté » a permis de convaincre la populace

que le Gouvernement n’est qu’un gérant représentant le propriétaire,

c’est-à-dire la nation, et qu’on peut s’en débarrasser comme d’une paire

de gants usés.

Le seul fait que les représentants de la nation peuvent être déposés les livra

à notre pouvoir et mit pratiquement leur choix entre nos mains.

.../...

_________________

L'autre Histoire :

"qui n'entend qu'un son,n'entend qu'une cloche."

http://www.phdnm.org/uploads/3/0/0/1/3001973/seize_pages-1.htm

http://www.phdnm.org/videacuteos.htmlempty.gif empty.gificon_profile_fr.gif<span class="name" style="font-size: 11px;">

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Chevalier de la Table Ronde , 72ans Posté(e)
Le-Roi-Arthur Membre 1 865 messages
72ans‚ Chevalier de la Table Ronde ,
Posté(e)

:rtfm:

C'est beau .

C'est agréable à lire .

:rtfm:

C'est appliqué à la lettre depuis des millénaires .

C'est d'ailleurs le seul programme qui fonctionne .

:rtfm:

500 millions d'individus suffisent amplement à faire fonctionner ce système .

Le restant doit être dépossédé , banni et éliminé ...

:rtfm:

________________________________________________________________________________________________

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
trull Membre 73 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Parait que les Protocoles est faux, n'empêche que ce qui est dedans se réalise.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
grandfred Membre 15 741 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

prends le temps de lire les liens que j'ai mis dans mon com précédent

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×