Les traitements du cancer de la prostate sont inéfficaces

« Prostate, le grand sacrifice »

Je ne suis pas le premier à déconseiller ce dépistage. La Haute autorité de santé l'a fait avant moi. Ce que je veux, à l'occasion de la Journée européenne du cancer de la prostate, qui a lieu aujourd'hui, c'est comprendre pourquoi on continue à dépister. Cela fait des années qu'on sait que ces traitements ne sont pas efficaces. Cinq millions de tests sont effectués chaque année, 20 000 hommes se font opérer et 80 % d'entre eux deviennent impuissants ou incontinents. Et la mortalité ne baisse pas.

Quels sont les freins aux changements ?

D'abord, la formation des médecins. Ils sont formatés pour dépister, quel que soit le résultat. La peur du cancer prime sur l'efficacité et le bien-être des patients. Pendant trois ans, j'ai fait ma petite enquête. J'ai interrogé des malades, suivi trois formations dédiées au dépistage, dialogué avec de nombreux médecins. J'ai même participé au Téléphone sonne, sur France Inter. Ce que je constate, c'est que ce sont toujours les mêmes qui communiquent : les membres de l'Association française des urologues. De grands professeurs qui refusent de se remettre en question.

La raison est-elle économique ?

L'achat de robots américains dans les hôpitaux de Brest et Rennes, idéaux pour opérer la prostate, n'incite pas à un retour en arrière. Ce qui est redoutable, c'est que le patient fait souvent confiance à son médecin. Si on lui conseille de se faire dépister, il y va sans réfléchir aux conséquences. C'est tout sauf un choix éclairé. J'appelle plutôt ça un marché de dupes !

Enantone, Décapeptyl pour le cancer de la prostate et l’endométriose (traitement hormonal de synthèse)

Blog de l’association de victimes de tous les analogues agonistes GnRH.

Le traitement hormonal du cancer localisé de la prostate n’améliore pas la survie : Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH).

L’étude ne montre aucun bénéfice de la chirurgie pour le cancer de la prostate

Une fois encore, la médecine fondée sur des preuves se révèle être une imposture. Dans ce cas, le traitement standard du cancer de la prostate, la chirurgie radicale, bien qu'elle mutile systématiquement, n'apporte aucun bienfait.

Source?

Pas de source=mensonge

Source partisane=mensonge

Après la charge contre la mamographie, maintenant le cancer de la prostate...

Nous attendons de savoir quel mouvement de "pensée" se cache derrière cette démarche.

Vous voulez nous vendre quoi ? Ou plutôt quelle idéologie ou dogme ?

Non, je n'ai rien a vendre....

Pour le courant de pensé, c'est principallement l'avis du syndicat de médecins français formindep qui s'attaque a ce problème depuis plusieurs années..

Dépister le cancer de la prostate ?

http://www.formindep.org/-Depister-le-cancer-de-la-prostate-.html

Source?

Pas de source=mensonge

Source partisane=mensonge

Radical ?

Source?

Pas de source=mensonge

Source partisane=mensonge

C'est pour une fois un syndicat de médecin français qui s'attaque a ce problème :

Le depistage du cancer de la prostate n'est pas recommande

Tient on passe subitement du TRAITEMENT au DEPISTAGE.

Vous êtes toujours aussi incohérent !!!

Pour le traitement :

Source?

Pas de source=mensonge

Source partisane=mensonge

Nous attendons toujours ...

Radical ?

Affiche formindep

On va peut-être se calmer là.

Entre les études sur la dangerosité de certaines pilules contraceptives, et maintenant, les charges contre certains cancer.

A croire qu'il y a un puissant lobby derrière tout ça.

Nous attendons toujours ...

Tu passe ton temps a attendre des documents que tu ne regardes jamais :D

Tu as pourtant tous les documents et les études qui sont fournis sur le site des victimes de l'énantone.

Le type qui a crée ce site est un champion sur la question !!

C'est vrai que je passe des traitements inéfficaces aux recommandations sur le dépistage.

Mais il y a forcément un lien très étroit....

Je constate surtout que vous mélangez tout pour n'avoir à argumenter sur rien.

A croire qu'il y a un puissant lobby derrière tout ça.

Non.

Il y a surtout, je pense, de plus en plus de gens qui commencent a s'informer autre part que dans les cabinets médicaux ou l'on nous raconte, hélas, le plus souvent n'importe quoi.

C'est vrai que je passe des traitements inéfficaces aux recommandations sur le dépistage.

Mais il y a forcément un lien très étroit....

Lequel ?

Je constate surtout que vous mélangez tout pour n'avoir à argumenter sur rien.

Pour le traitement, tu as tous les documents possibles sur le site :

http://enantone-effets-secondaires.hautetfort.com/about.html

Je l'ai déjà dit.

Lequel ?

Penses tu que j'aurai du ouvrir une autre discution sur le dépistage ?

Pour le traitement, tu as tous les documents possibles sur le site :

http://enantone-effe....com/about.html

Je l'ai déjà dit.

On appréciera le glissement entre les déclarations de plaignants au sujet d'UNE classe de médicament et le raccourcis "LES traitements du cancer de la prostate sont inéfficaces".

J'alerte officiellement la modération sur votre titre mensonger et votre propagande contraire à la charte.

Si ce n'est pas indiscret , j'aimerais bien connaitre le profil de garotoubib .... dans quel milieu il évolue ... etc etc ...

Merci pour le lien, cependant je rappelle que le taux de PSA semble totallement bidon :

C’est l’inventeur du PSA lui-même, le Dr Richard J. Ablin, qui avait énergiquement désavoué son propre test

Mais ce sont finalement les conclusions américaines de l’USPSTF (Preventive Services Task Force) qui ont porté l’estocade contre le PSA en octobre. Après reprise des plus récentes et sérieuses études existantes à ce jour, elle a en effet conclu à l’inefficacité du test. C’est l’inventeur du PSA lui-même, le Dr Richard J. Ablin, qui avait énergiquement désavoué son propre test peu de temps auparavant dans les colonnes du New York Times. Dans un article intitulé The great prostate mistake (Prostate : la grande erreur), il qualifiait son invention de «désastre de santé publique» en raison de ses imperfections et de son coût démesuré, 3 milliards de dollars rien qu’aux Etats-Unis. Car ce que l’on reproche aussi au dépistage par ce fameux test PSA, c’est sa prescription trop facile avec, en France, environ 5 millions de tests réalisés en 2010. Le fruit, souvent, d’une ordonnance rédigée à la va-vite, sans explications ni information appropriée.

Au point qu'il semblerait que :

PSA et dépistage du cancer de la prostate, les USA jettent l’éponge

Les USA sont sur le point d’abandonner le dépistage du cancer de la prostate par le dosage sanguin des PSA et la pratique régulière du toucher rectal.

Parce que tu crois que les médecins s'arretent au taux de PSA pour diagnostiquer un cancer ?

Le taux ne donne qu'une indication d'un dérèglement c'est juste qu'une alerte. Le diagnostic est établit seulement après examen physique et biopsie de la glande.