Roswell

BONJOUR

la jeep cherokee fonçe sur la piste 14l/32R de la base 51 dans le comté de lincoln située dans le névada .

le colonel walter ,militaire de carrière ,ancien vétéran du vietnam , bardé de médailles ,est retaité de l'armée depuis de nombreuses années déja .

il se demande pourquoi le général bradow lui à téléphoné çe jour , de bon matin ,pour une affaire urgente et top secrète .

il est 5 heure du matin , le jour se lève péniblement dans cette aube frisquette de çe mois de juillet 1948 .

walter est un homme à qui l'on peut faire confiance ,il à toujours gardé la nostalgie de l'armée , pour la camaraderie mais aussi pour la discipline et le respect des tradition .

la jeep cherokee freine et stop dans un nuage de poussière devant le quartier général ou deux garde MP de la poliçe militaire monte la garde .

walter descend de la jeep et brosse ses vètement puis , réajuste sa cravate .

il tient à faire bonne figure devant son amis de toujours , le général bradow .

il gravit deux trois marches et présente son laissé-passé aux MP trés scrupuleux .

l'un deux examine le document et vérifie le badg de walter et , dans un salut impécable les deux militaires laisse entrer le colonel .

walter parcourt quelques couloirs bordés de bureaux ou quelques secrétaires sont déja au travail .

walter s'arrète devant la porte d'un bureau ou une plaque obstantatoire porte l'inscription : général of the army bradow .

il frappe deux coups .

- entrez

walter tourne la poignée et pousse la porte .

là , assis devant un bureau imposant ,le général bradow consulte des dossiers top secret .

il lève la tète sourie et se lève pour acceuillire sont vieux camarade de régiment

- walter , mon trés cher ami , merçi d'étre venu si vite à mon appèle .

walter se met au garde à vous pour salué mais le général le prend dans ses bras et le serre avec émotions .

- allez , pas de protocol militaire entre nous , nous somme de trés vieux amis .

-je suis venue aussi vite que j'ai pu répond walter ,je sait que vous ne me feriez pas venir en urgence pour des futilitées

le général sort une bouteille de brandy, ainsi que deux verres .

- alors , comment se passe votre retaite mon amis ?

- trés bien mon général , je vais pécher de temps en temps au canada , je joue aussi au golf et autres pas temps de retraité mais ... j'ai la nostalgie de l'armèe

et de mes camarades .

- oui , comme je vous comprend ,cela représente une carrière , toute une vie au serviçes de notre pays mon cher walter .

les deux hommes poussent un soupir à l'unisson .

- asseyez-vous walter ,

le général lui tend un verre de brandy .et s'assoie derrière son bureau .

puis ,prenant un air sérieux .

- venons-en au sujet de votre venue .

- nous avons un problème ... un trés gros problème , vous rappelez-vous de l'affaire de roswell ?

- walter avale une gorgée de brandy et repose son verre sur le bureau .

- certainement mon général ,elle à fait grand bruit à l'époque , aprés qu'un porte parole du gouvernement à annonçé que nous tenion un ovni .

le général hoche la tète et reprend .

- oui ,mais , la cia et le FBI ont réussi à étouffer l'affaire tant bien que mal .

mais , rappelez vous , il y avait quatres cadavres dans l'engin chraché et il faut bien reconnaitre qu'ils venaient d'ailleurs .

walter se racle la gorges .

- oui ,disont que c'était ... des extra-terrestres mème si le nom est devenu tabou .

- mais c'est une vieille histoire et , je croit qu'il ni à pas eu d'autres fuites et que çe dossier est classé maintenant ?

le général tourne , suivant l'expression , trois fois la langue dans sa bouche et ...

- oui , mais , je vient de le rouvrire car , il y à du nouveau et , c'est trés grave .

- vous m'inquiétez mon général , que se passe-t-il ?

- hé bien , reprend l'offiçier superieur ,nous avons reçue un message via l'un de nos satellites et ...

- hé quoi mon général ?

- hé bien ,çe message que nous avont eu du mal à décripter et à comprendre est stupéfiant .

- le général hésite et ...il provient d'un énorme engin qui croise à trois millions de kilomètres de notre planète , entre mars et la lune et ...

- ces ètres étrange nous demandent un contact pour récupérer les corps de l'équipage de l'ovni que nous avons récupéré à roswell .

le colonel walter est estomaqué , il croit rèver , çe n'est pas possible , il se sent en pleine science fiction .

oubliant les bons usages , il se sert lui mème , un grand verre de brandy .

le général continus sur sa lançée et avoue au colonel .

vous este désigné pour entreprendre se contact au point de coordonnées que ces inconnus nous ont comuniqués .

walter est abasourdis ,un coup de matraque ne l'aurai pas mieux abasourdit .

- mais mon général ...

- je sait ,vous tombez de haut ,et j'avoue que s'est moi qui vous est recommandé en haut lieu car , c'est vous qui connaissez , mieux que personne l'affaire roswell et vous qui avez fait autopsier les cadavres de ces ètres étranges venus du cosmos pour mourire sur notre planète à des millions de kilomètres de leur berçeau perdut dans la galaxie dans un des bras de la voie lactée .

çe texte est une fiction .

bonne soirée

Virgule, point, points de suspension : pas d'espace avant, un espace après (autres signes ici).

C'est quand même dingue qu'avec tout le temps que vous passez sur le forum (et probablement Internet en général),

vous ne vous rendiez pas compte que vous ne placez pas vos signes de ponctuation correctement...

Virgule, point, points de suspension : pas d'espace avant, un espace après (autres signes ici).

C'est quand même dingue qu'avec tout le temps que vous passez sur le forum (et probablement Internet en général),

vous ne vous rendiez pas compte que vous ne placez pas vos signes de ponctuation correctement...

bonjour

quand j'écrit un texte , je l'écrit d'une seule portée à grande vitesse car je ne réflèchit pas .

mon imagination est mon seul guide et elle ne s'embarasse pas de la syntaxe et de l'hortographe malheureusement .

mes textes ne sont pas préparés d'avance ,je découvre l'histoire au fure à mesure que je l'écrit et ,je ne la relie que le lendemain .

et là , je découvre l'étendue des dégats .

tu n'est pas le seul à me faire ces remarques .

et je m'en excuse mais je ni peut rien , c'est comme cela .le seul remède , serait que j'arrète d'écrire sur çe forum , car , je n'est pas la correction éditorial pour les traiter et les présenter correctement .

bonne soirée

la jeep cherokee fonçe sur la piste 14l/32R de la base 51 dans le comté de lincoln située dans le névada.

le colonel walter, militaire de carrière, ancien vétéran du vietnam, bardé de médailles, est retaité de l'armée depuis de nombreuses années déja.

il se demande pourquoi le général bradow lui à téléphoné çe jour, de bon matin, pour une affaire urgente et top secrète.

il est 5 heure du matin, le jour se lève péniblement dans cette aube frisquette de çe mois de juillet 1948.

walter est un homme à qui l'on peut faire confiance, il à toujours gardé la nostalgie de l'armée, pour la camaraderie mais aussi pour la discipline et le respect des tradition.

la jeep cherokee freine et stop dans un nuage de poussière devant le quartier général ou deux garde MP de la poliçe militaire monte la garde.

walter descend de la jeep et brosse ses vètement puis, réajuste sa cravate.

il tient à faire bonne figure devant son amis de toujours, le général bradow.

il gravit deux trois marches et présente son laissé-passé aux MP trés scrupuleux.

l'un deux examine le document et vérifie le badg de walter et, dans un salut impécable les deux militaires laisse entrer le colonel.

walter parcourt quelques couloirs bordés de bureaux ou quelques secrétaires sont déja au travail.

walter s'arrète devant la porte d'un bureau ou une plaque obstantatoire porte l'inscription : général of the army bradow.

il frappe deux coups.

- entrez

walter tourne la poignée et pousse la porte.

là, assis devant un bureau imposant, le général bradow consulte des dossiers top secret.

il lève la tète sourie et se lève pour acceuillire sont vieux camarade de régiment

- walter, mon trés cher ami, merçi d'étre venu si vite à mon appèle.

walter se met au garde à vous pour salué mais le général le prend dans ses bras et le serre avec émotions.

- allez, pas de protocol militaire entre nous, nous somme de trés vieux amis.

-je suis venue aussi vite que j'ai pu répond walter, je sait que vous ne me feriez pas venir en urgence pour des futilitées

le général sort une bouteille de brandy, ainsi que deux verres.

- alors, comment se passe votre retaite mon amis ?

- trés bien mon général, je vais pécher de temps en temps au canada, je joue aussi au golf et autres pas temps de retraité mais... j'ai la nostalgie de l'armèe

et de mes camarades.

- oui, comme je vous comprend, cela représente une carrière, toute une vie au serviçes de notre pays mon cher walter.

les deux hommes poussent un soupir à l'unisson.

- asseyez-vous walter,

le général lui tend un verre de brandy. et s'assoie derrière son bureau.

puis, prenant un air sérieux.

- venons-en au sujet de votre venue.

- nous avons un problème... un trés gros problème, vous rappelez-vous de l'affaire de roswell ?

- walter avale une gorgée de brandy et repose son verre sur le bureau.

- certainement mon général, elle à fait grand bruit à l'époque, aprés qu'un porte parole du gouvernement à annonçé que nous tenion un ovni.

le général hoche la tète et reprend.

- oui, mais, la cia et le FBI ont réussi à étouffer l'affaire tant bien que mal.

mais, rappelez vous, il y avait quatres cadavres dans l'engin chraché et il faut bien reconnaitre qu'ils venaient d'ailleurs.

walter se racle la gorges.

- oui, disont que c'était... des extra-terrestres mème si le nom est devenu tabou.

- mais c'est une vieille histoire et, je croit qu'il ni à pas eu d'autres fuites et que çe dossier est classé maintenant ?

le général tourne, suivant l'expression, trois fois la langue dans sa bouche et...

- oui, mais, je vient de le rouvrire car, il y à du nouveau et, c'est trés grave.

- vous m'inquiétez mon général, que se passe-t-il ?

- hé bien, reprend l'offiçier superieur, nous avons reçue un message via l'un de nos satellites et...

- hé quoi mon général ?

- hé bien, çe message que nous avont eu du mal à décripter et à comprendre est stupéfiant.

- le général hésite et...il provient d'un énorme engin qui croise à trois millions de kilomètres de notre planète, entre mars et la lune et...

- ces ètres étrange nous demandent un contact pour récupérer les corps de l'équipage de l'ovni que nous avons récupéré à roswell.

le colonel walter est estomaqué, il croit rèver, çe n'est pas possible, il se sent en pleine science fiction.

oubliant les bons usages, il se sert lui mème, un grand verre de brandy.

le général continus sur sa lançée et avoue au colonel.

vous este désigné pour entreprendre se contact au point de coordonnées que ces inconnus nous ont comuniqués.

walter est abasourdis, un coup de matraque ne l'aurai pas mieux abasourdit.

- mais mon général...- je sait, vous tombez de haut, et j'avoue que s'est moi qui vous est recommandé en haut lieu car, c'est vous qui connaissez, mieux que personne l'affaire roswell et vous qui avez fait autopsier les cadavres de ces ètres étranges venus du cosmos pour mourire sur notre planète à des millions de kilomètres de leur berçeau perdut dans la galaxie dans un des bras de la voie lactée.

Moins de 30 secondes à faire.

La ponctuation c'est pas juste pour faire chier celui qui écrit.

Personnellement un texte comme celui-ci, je m'arrête au bout de deux lignes car c'est trop chiant à lire à cause de la ponctuation.

Donc si tu aimes écrire et poster des textes et qu'ils soient lus tu devrais t'en soucier un peu plus...

Et je n'ai pas parlé de l'orthographe ni de la grammaire mais c'est pas beaucoup mieux...

Moins de 30 secondes à faire.

La ponctuation c'est pas juste pour faire chier celui qui écrit.

Personnellement un texte comme celui-ci, je m'arrête au bout de deux lignes car c'est trop chiant à lire à cause de la ponctuation.

Donc si tu aimes écrire et poster des textes et qu'ils soient lus tu devrais t'en soucier un peu plus...

Et je n'ai pas parlé de l'orthographe ni de la grammaire mais c'est pas beaucoup mieux...

bonjour

et pourtant , ils sont lu .

que veut tu que je te dise ? ne les lit plus , c'est çe que tu à le mieux à faire

bonne soirée

Bah moi je dis ça c'est pour toi personnellement je m'en bats.

J'ai pris la peine de te répondre pour te dire ce qui ne va pas dans ton texte (je suis d'ailleurs le seul à répondre ce qui prouve bien que ça n'excite pas grand monde),

maintenant si tu te fous des conseils bah va chier.

Ciao.

bonjour

à bon , excuse moi alors . tu me dit que tu ne peut lire plus de deux lignes dans çe genre de texte , alors j'en déduit que tu ne l'à pas lu .

je ne rejette pas les critiques mais ,j'attendai que tu me donne t'on avis sur l'histoire elle mème , mais , comme tu ne la pas lu alors .

bonne journée

Roswell ? Pour ma part, bien trop de mystères autour de cette affaire pour qu'il n'y ait qu'une simple histoire de ballon-sonde

J'attends la suite avec impatience.

Roswell ? Pour ma part, bien trop de mystères autour de cette affaire pour qu'il n'y ait qu'une simple histoire de ballon-sonde

bonjour

ç'est aussi mon avis surtout que cette histoire est la plus connus car , il y en à d'autres avec çe que l'on appèle , des rencontres du troisième type .

bonne journée

J'attends la suite avec impatience.

bonjour

merçi d'avoir aimé mais , en principe , çe ne sont que des textes nés de mon imagination du moment .

mais , peut-ètre que j'en ferai une avec beaucoup de suspence lol .

bonne journée

Comme Gaetch, j'ai été très mais vraiment TRÈS gênée par la ponctuation et la grammaire. Je m'étonne aussi qu'avec le temps vous n'ayez pas mis au point ces questions qui deviennent, quand on s'en préoccupe un peu, des réflexes auxquels on ne pense plus par la suite.

Ce qui me dérange encore davantage, c'est le mépris de la forme littéraire, c'est-à-dire l'absence de travail stylistique. L'histoire peut être chouette, le talent littéraire, c'est aussi une manière de raconter. Ici, comme dans un Marc Lévy ou dans toute autre littérature de gare, la parole est donnée au degré zéro.

Je vous laisse méditer cette phrase de Mallarmé, à propos de la poésie :

« Ce n'est pas avec des idées que l'on fait des vers, c'est avec des mots. »

bonjour

je n'ai jamais prétendu ètre un marc lévy et encore moins un émile zola .pour cela ,lisez la littérature classique et ne lisez plus mes textes si cela vous offençe .

bonne soirée

C'est quand même gênant pour quelqu'un qui écrit de ne pas être capable de comprendre un message de moins de dix lignes. Loin de moi l'idée de poser Marc Lévy comme un modèle en effet, sa prose n'ayant pour vertu que ses propriétés laxatives.

Enfin, Mallarmé n'est pas Zola et vice versa.

Vos textes ne m'offensent pas, ils m'affligent. De même que votre mépris pour la langue en général. Et n'ayez crainte, même quand j'y mets de la bonne volonté, je ne parviens pas à parcourir lesdits « textes ».

bonjour

je n'est de mépris ni pour la langue ni pour la littérature .votre jugement n'est que le votre . marc lévy vend pourtant des millions de livres et est reçut en bonne compagnie .

d'aprés votre jugement , les millions de gens qui lisent ses livres seraient des imbéciles incultes .

puisque mes textes ne trouve aucune graçe à vos yeux ,veuillez garder votre bonne volonté pour des lectures à la hauteur de votre ambition et de votre niveau littéraire .

si votre affliction pour mes textes vous indispose autant ,pourquoi vous en imposez-vous la lecture ? mème partielle .

ceçi dit ,il n'est si bonne compagnie qui ne se quitte .

bonne soirée