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Tordre le coup aux idées reçus..!


Mézenc

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Membre, 38ans Posté(e)
getalife Membre 1 417 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)

Croire qu'une "bonne chose pour l'économie" va de pair avec "améliorer le niveau de vie des gens" pourrait aussi être une idée reçue, non ?

Non. Les gens produisent et échangent pour consommer. La consommation sert à satisfaire des besoins et des désirs. La satisfaction (ou utilité) est la vraie mesure de l'efficacité économique. La guerre détruit des biens disponibles dans l'économie (routes, immeubles, ponts, humains, animaux, etc.) dont au moins une partie de la population ne pourra plus bénéficier. Par conséquent, l'utilité d'une partie de la population diminue tandis que l'utilité des autres n'augmente pas. La guerre est donc néfaste économiquement. Les ressources employées pour reconstruire ce qui a été détruit auraient pu être employées pour produire d'autres choses qui se seraient ajoutées à l'existant.

Là aussi, on est dans le débat idéologique plus que dans l'idée reçue.

Croire que la possibilité de délocaliser une production à l'étranger n'aurait pas de répercussion sur le pays d'origine, par exemple, ça me paraîtrait bien hasardeux comme affirmation ...

Je réponds à la question d'un point de vu macro-économique. Il n'y a pas de corrélation entre taux d'ouverture internationale et chômage ou pauvreté. Cela signifie que les emplois détruits par la concurrence étrangère sont recréés ailleurs dans l'économie (exactement comme pour les emplois détruits par le progrès technique). Ils sont recréés d'autant plus rapidement que le marché du travail est flexible.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

Non. Les gens produisent et échangent pour consommer. La consommation sert à satisfaire des besoins et des désirs. La satisfaction (ou utilité) est la vraie mesure de l'efficacité économique. La guerre détruit des biens disponibles dans l'économie (routes, immeubles, ponts, humains, animaux, etc.) dont au moins une partie de la population ne pourra plus bénéficier. Par conséquent, l'utilité d'une partie de la population diminue tandis que l'utilité des autres n'augmente pas. La guerre est donc néfaste économiquement. Les ressources employées pour reconstruire ce qui a été détruit auraient pu être employées pour produire d'autres choses qui se seraient ajoutées à l'existant.

Il me semblait que les critères à l'ordre du jour pour juger une économie étaient davantage le PIB, l'endettement, etc ... que la satisfaction réelle de la population : j'en serais le premier ravi si tel était réellement le cas.

Ensuite, on a partiellement résolu ce problème : il suffit d'aller faire la guerre et d'aller reconstruire ... ailleurs.

Comme cela la population du pays conserve la jouissance de ses infrastructures, l'industrie militaire peut tourner à plein régime, et les contrats de reconstructions sont bien là pour doper l'activité. Ca permet même de conquérir de nouveaux marchés en accédant à des territoires jusque là inaccessibles.

Je reviens juste encore une seconde sur :

Par conséquent, l'utilité d'une partie de la population diminue tandis que l'utilité des autres n'augmente pas.

Pourquoi elle n'augmente pas ? Je pense que les patrons d'entreprises de reconstruction ou d'armement ne partagent pas le même avis ...

... et je reviens aussi sur :

Les ressources employées pour reconstruire ce qui a été détruit auraient pu être employées pour produire d'autres choses qui se seraient ajoutées à l'existant.

Et créer de nouvelles entreprises lorsqu'il est plus simple de faire tourner celles qui maîtrisent déjà leur coût sur des travaux moins novateurs ?

Par exemple, les énergies renouvelables : est-ce là que nous investissons le plus, vers d'autres "choses qui seraient ajoutées" à l'existant ? Non, on investit dans des bureaux qui ne trouveront jamais preneurs, mais on laisse la facture à d'autres en faisant son bénéfice au passage. Il me semble que c'est plutôt cela l'efficacité moderne pour l'économie : la capacité à tirer du jus de fruits, rageusement pressés, dont on abandonne les pelures derrières nous: c'est là tout le principe du jeu.

Je réponds à la question d'un point de vu macro-économique. Il n'y a pas de corrélation entre taux d'ouverture internationale et chômage ou pauvreté. Cela signifie que les emplois détruits par la concurrence étrangère sont recréés ailleurs dans l'économie (exactement comme pour les emplois détruits par le progrès technique). Ils sont recréés d'autant plus rapidement que le marché du travail est flexible.

Nous voilà rassurés alors ! Tous ces plans sociaux à venir sont donc l'annonce d'une chute prochaine du chômage !! wink1.gif

C'est une jolie utopie, mais sous "flexibilité" se cache en fait l'idée selon laquelle on pourrait mettre n'importe quel individu dans n'importe quelle case (un tourneur-fraiseur pourrait être ainsi demain vendeur en assurance car c'est là que seraient créés les emplois ?), simplement en basculant des chiffres d'une colonne à l'autre.

De plus, tu disais que l'efficacité économique se mesurait à la satisfaction ou à l'utilité, mais en rangeant et en ne considérant les acteurs de l'économie que sous le simple rôle de consommateurs devant satisfaire des "besoins". Mais ces consommateurs sont aussi les travailleurs et producteurs des richesse, l'efficacité de l'économie doit donc aussi prendre en ligne de compte la satisfaction sur ce point, et l'utilité du système : chacun peut-il aspirer réellement à un travail ? Chacun peut-il exercer décemment ce travail sans souffrance, stress, et avec une rémunération à la hauteur, etc ... la flexibilité que tu décris n'entraîne t'elle pas automatiquement une précarité (impossibilité de se loger, impossibilité de faire des projets), preuve manifeste de l'inefficacité de cette économie à satisfaire la population ?

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Membre, 68ans Posté(e)
Mézenc Membre 1 253 messages
Baby Forumeur‚ 68ans‚
Posté(e)

Il me semblait que les critères à l'ordre du jour pour juger une économie étaient davantage le PIB, l'endettement, etc ... que la satisfaction réelle de la population : j'en serais le premier ravi si tel était réellement le cas.

Ensuite, on a partiellement résolu ce problème : il suffit d'aller faire la guerre et d'aller reconstruire ... ailleurs.

Comme cela la population du pays conserve la jouissance de ses infrastructures, l'industrie militaire peut tourner à plein régime, et les contrats de reconstructions sont bien là pour doper l'activité. Ca permet même de conquérir de nouveaux marchés en accédant à des territoires jusque là inaccessibles.

Je reviens juste encore une seconde sur :

Par conséquent, l'utilité d'une partie de la population diminue tandis que l'utilité des autres n'augmente pas.

Pourquoi elle n'augmente pas ? Je pense que les patrons d'entreprises de reconstruction ou d'armement ne partagent pas le même avis ...

... et je reviens aussi sur :

Les ressources employées pour reconstruire ce qui a été détruit auraient pu être employées pour produire d'autres choses qui se seraient ajoutées à l'existant.

Et créer de nouvelles entreprises lorsqu'il est plus simple de faire tourner celles qui maîtrisent déjà leur coût sur des travaux moins novateurs ?

Par exemple, les énergies renouvelables : est-ce là que nous investissons le plus, vers d'autres "choses qui seraient ajoutées" à l'existant ? Non, on investit dans des bureaux qui ne trouveront jamais preneurs, mais on laisse la facture à d'autres en faisant son bénéfice au passage. Il me semble que c'est plutôt cela l'efficacité moderne pour l'économie : la capacité à tirer du jus de fruits, rageusement pressés, dont on abandonne les pelures derrières nous: c'est là tout le principe du jeu.

Nous voilà rassurés alors ! Tous ces plans sociaux à venir sont donc l'annonce d'une chute prochaine du chômage !! wink1.gif

C'est une jolie utopie, mais sous "flexibilité" se cache en fait l'idée selon laquelle on pourrait mettre n'importe quel individu dans n'importe quelle case (un tourneur-fraiseur pourrait être ainsi demain vendeur en assurance car c'est là que seraient créés les emplois ?), simplement en basculant des chiffres d'une colonne à l'autre.

De plus, tu disais que l'efficacité économique se mesurait à la satisfaction ou à l'utilité, mais en rangeant et en ne considérant les acteurs de l'économie que sous le simple rôle de consommateurs devant satisfaire des "besoins". Mais ces consommateurs sont aussi les travailleurs et producteurs des richesse, l'efficacité de l'économie doit donc aussi prendre en ligne de compte la satisfaction sur ce point, et l'utilité du système : chacun peut-il aspirer réellement à un travail ? Chacun peut-il exercer décemment ce travail sans souffrance, stress, et avec une rémunération à la hauteur, etc ... la flexibilité que tu décris n'entraîne t'elle pas automatiquement une précarité (impossibilité de se loger, impossibilité de faire des projets), preuve manifeste de l'inefficacité de cette économie à satisfaire la population ?

Attention les gars, on s'éloigne beaucoup du sujet..!! Là vous n'êtes plus dans la thématique des idées reçus, mais carrément dans la polémique politique..!! Quand je disais que la polémique était un des support de l'idée reçu, je voyais juste..!

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Membre, 45ans Posté(e)
Titsta Membre 6 722 messages
Forumeur Débutant‚ 45ans‚
Posté(e)

oué, il y a une différence entre les choses indémontrable comme les "règles" économiques, et les idées reçus dont on peut montrer qu'elles sont fausse.

(ne pas pouvoir montrer qu'une chose est vrai ne signifie pas qu'elle est fausse...)

Je ferais donc une grosse différence entre les croyances "légitime", dans les cas où on ne peut pas savoir.

Et les croyances "illégitimes" qui sont réellement fausses.

( Je dis ça vis à vis du libre échange et de la démonstration par l'absurde qui est fausse car elle ne tiens pas compte de la dépendance introduite par la gratuité d'un bien et la destruction progressive de ses capacités de production de ce bien. Qui peut faire que quelqu'un s'appauvrie sans qu'il s'en rende compte, pensant lui s'enrichir et oubliant que l'introduction de la gratuité lui aura fait perdre d'un coup la valeur totale de son usine. )

Je crois qu'elles se répandent selon la règle de la vraisemblance et non de la vérité.

La vérité étant parfois invraisemblable.

Je pense aussi qu'à l'instar de certain rêves qui peuvent sembler incohérent, elles sont révélatrice de la forme de l'inconscient collectif dans laquelle elles se propages. Et donc associé à une multitude de liens plus ou moins symboliques et plus ou moins conscience qui vont favoriser certaines de ces idées reçues et défavoriser d'autres.

Je pense que la similitude de la rosée et de ses reflet, avec les lentilles des loupes doit beaucoup jouer sur l'association.

Le hasard doit jouer beaucoup aussi. Passé un certain cap, l'effet de notoriété suffit à entretenir l'idée reçu, puisqu'on la re-croise par plusieurs personne différentes. Elle acquière ainsi une forme de "confirmation" par la différence des sources. (comme les rumeurs)

Une idée reçue qui m'énerve particulièrement :

Quand on oubli ce qu'on voulait dire : "c'est que c'était un mensonge"....

Complètement idiot, un mensonge on le prépare, et on y pense vachement, c'est certainement pas le truc qu'on va oublier.

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Membre, 68ans Posté(e)
Mézenc Membre 1 253 messages
Baby Forumeur‚ 68ans‚
Posté(e)

Les idées reçu, on les rencontre un peu partout dans notre quotidien. Elles sont parfaitement installé dans notre société, et chacun y trouve une certaine convenance, qui ma foi, arrange pas mal de situation. Quand une mère de famille dit à son gosse ; " Mange ton pain, sinon tu va saigner du nez "..! Ou encore ; " ne regarde pas la télé de trop près, sinon tu va devenir aveugle "..! "Tiens toi droit ou tu sera bossu "..! Là, la mère de famille sait très bien qu'il n'en n'est absolument rien, mais ça aide un peu à éduquer en créant une sorte de dissuasion dont l'enfant tiendra peut-être compte..

Mais des idées reçus on en trouve aussi dans le social, en particulier dans le droit du travail. Je vous donne un exemple hélas très répandu, et qui lui aussi a peut-être un rôle éducatif ou dissuasif ; Les lettres d'avertissement..

La plupart des salariés disent ; Merde, j'ai déjà eu 2 avertissements, et au 3 ème le patron aura le droit de me foutre à la porte..!!

Eh bien je vais peut-être vous surprendre, mais ceci est complètement faux..!! En effet, un licenciement pour faute doit-être justifié, une seule est d’ailleurs suffisante, et une faute grave n'est pas forcément une répétition de rappel à l'ordre pour des faits ne justifiant aucun licenciement..!!

J'ai fait un peu de droit en tant que conseiller prud'homme ( salarié ), et j'ai vu des rendus de jugement, ou des patrons étaient quand même condamné à indemniser leurs salarié pour des licenciement abusifs malgré cette fameuse règle des 3 avertissements pourtant admise par tout le monde..

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Membre, 38ans Posté(e)
getalife Membre 1 417 messages
Baby Forumeur‚ 38ans‚
Posté(e)

Il me semblait que les critères à l'ordre du jour pour juger une économie étaient davantage le PIB, l'endettement, etc ... que la satisfaction réelle de la population : j'en serais le premier ravi si tel était réellement le cas.

On ne peut pas mesurer la satisfaction des individus de manière macro-économique donc on se sert d'indicateurs imparfaits comme le PIB/hab, le taux de chômage, l'IDH, etc. Mais on évalue toujours l'efficacité économique en fonction de l'utilité des individus dans les modèles micro-économiques.

Ensuite, on a partiellement résolu ce problème : il suffit d'aller faire la guerre et d'aller reconstruire ... ailleurs.

Comme cela la population du pays conserve la jouissance de ses infrastructures, l'industrie militaire peut tourner à plein régime, et les contrats de reconstructions sont bien là pour doper l'activité. Ca permet même de conquérir de nouveaux marchés en accédant à des territoires jusque là inaccessibles.

Et les ressources consacrés à faire la guerre ? Même si on fait la guerre à l'étranger, il faut bien utiliser des ressources pour produire les armes, pour se battre, etc. Sans la guerre, ces ressources seraient utilisées pour produire d'autres biens et services bien plus utiles.

Je reviens juste encore une seconde sur :

Par conséquent, l'utilité d'une partie de la population diminue tandis que l'utilité des autres n'augmente pas.

Pourquoi elle n'augmente pas ? Je pense que les patrons d'entreprises de reconstruction ou d'armement ne partagent pas le même avis ...

Je parlais de la destruction. Si on détruit ta maison, toi et ta famille subissent une diminution d'utilité tandis que ça n'augmente pas celle des autres.

Par la suite, si cette destruction entraîne une reconstruction, alors tu vas dépenser tes revenus auprès de certaines entreprises (secteur du bâtiment) à la place d'autres entreprises (les entreprises de loisir par exemple.). Il y a donc simplement un transfert de richesse de certaines activités vers d'autres activités

... et je reviens aussi sur :

Les ressources employées pour reconstruire ce qui a été détruit auraient pu être employées pour produire d'autres choses qui se seraient ajoutées à l'existant.

Et créer de nouvelles entreprises lorsqu'il est plus simple de faire tourner celles qui maîtrisent déjà leur coût sur des travaux moins novateurs ?

Par exemple, les énergies renouvelables : est-ce là que nous investissons le plus, vers d'autres "choses qui seraient ajoutées" à l'existant ? Non, on investit dans des bureaux qui ne trouveront jamais preneurs, mais on laisse la facture à d'autres en faisant son bénéfice au passage. Il me semble que c'est plutôt cela l'efficacité moderne pour l'économie : la capacité à tirer du jus de fruits, rageusement pressés, dont on abandonne les pelures derrières nous: c'est là tout le principe du jeu.

J'ai pas compris

Nous voilà rassurés alors ! Tous ces plans sociaux à venir sont donc l'annonce d'une chute prochaine du chômage !! wink1.gif

C'est une jolie utopie, mais sous "flexibilité" se cache en fait l'idée selon laquelle on pourrait mettre n'importe quel individu dans n'importe quelle case (un tourneur-fraiseur pourrait être ainsi demain vendeur en assurance car c'est là que seraient créés les emplois ?), simplement en basculant des chiffres d'une colonne à l'autre.

De plus, tu disais que l'efficacité économique se mesurait à la satisfaction ou à l'utilité, mais en rangeant et en ne considérant les acteurs de l'économie que sous le simple rôle de consommateurs devant satisfaire des "besoins". Mais ces consommateurs sont aussi les travailleurs et producteurs des richesse, l'efficacité de l'économie doit donc aussi prendre en ligne de compte la satisfaction sur ce point, et l'utilité du système : chacun peut-il aspirer réellement à un travail ? Chacun peut-il exercer décemment ce travail sans souffrance, stress, et avec une rémunération à la hauteur, etc ... la flexibilité que tu décris n'entraîne t'elle pas automatiquement une précarité (impossibilité de se loger, impossibilité de faire des projets), preuve manifeste de l'inefficacité de cette économie à satisfaire la population ?

Flexibilité, ça veut dire davantage de liberté contractuelle pour les employeurs et les employés et davantage de possibilités de se former pour pouvoir se reconvertir plus facilement.

Les individus prennent en compte tout seul le critère de satisfaction au travail. Ils n'ont pas besoin d'un Etat pour leur dire comment être satisfait au boulot. Les gens choisissent leurs emplois en fonction du salaire mais aussi des conditions de travail. Si une entreprise veut garder ses bonnes recrues, elle n'a pas intérêt à les maltraiter.

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Membre, Explorateur de Nuages, 47ans Posté(e)
Pheldwyn Membre 25 241 messages
47ans‚ Explorateur de Nuages,
Posté(e)

Les individus prennent en compte tout seul le critère de satisfaction au travail. Ils n'ont pas besoin d'un Etat pour leur dire comment être satisfait au boulot. Les gens choisissent leurs emplois en fonction du salaire mais aussi des conditions de travail. Si une entreprise veut garder ses bonnes recrues, elle n'a pas intérêt à les maltraiter.

Je me demande bien dans quel monde tu vis ... c'est une vision sacrément idyllique, la réalité ce n'est pas franchement cela.

Et sinon "Les gens produisent et échangent pour consommer": je dirais plutôt que les gens produisent pour que d'autres échangent avec d'autres et leur donnent juste un peu de quoi consommer, et encore, uniquement ce qu'ils jugent bon de proposer (création de besoins de plus en plus virtuels, alimentation de plus en plus malsaine, etc ...). Là, on est déjà davantage dans la réalité, et la notion de "satisfaction" prend du coup un tout autre sens.

Bon, on est un peu à côté du sujet, quoique j'ai l'impression que ce genre de raisonnement s'appuie sur une succession d'idées reçues, ou plutôt de schématisation et approximations inadéquates.

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