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Non, chérie, je ne suis pas alcoolique !


Caez

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Administrateur, Clyde Barrow, 42ans Posté(e)
Caez Administrateur 23 401 messages
42ans‚ Clyde Barrow,
Posté(e)

Un alsacien habitant a Monswiller, dans le Bas-Rhin a voulu prouver à sa femme qu'il n'était pas alcoolique et buvait modérément.

Pour se faire il s'est rendu à la gendarmerie et a demandé de souffler dans un éthylotest.

Une très mauvaise décision pour cet homme âgé d'une soixante d'années.

L'appareil a affiché un résultat de 2,16 g/l

Au final, l'homme est reparti à pieds, dans l'attente de son jugement, sa voiture et son permis lui ayant été retirés.

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Membre, 37ans Posté(e)
cmoilulu Membre 859 messages
Baby Forumeur‚ 37ans‚
Posté(e)

En tout cas si il est pas alcoolique il est bien bourré ...

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
Posté(e)
qu'il n'était pas alcoolique et buvait modérément.

Un alcoolique n'a pas la même notion du "modérément " que celui qui ne l'est pas .

Il devait être vachement convaincu de ne pas avoir trop bu pour aller jusqu'à faire ce test .

L'est capable de dire que le test est foireux ...

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Membre, X-Banni-X, 44ans Posté(e)
nonobonobo Membre 9 387 messages
44ans‚ X-Banni-X,
Posté(e)

Bonjour,

on a presque le même ici... :D

"Jeudi 13 septembre, un Annemassien de 49 ans est interpellé au volant de sa voiture alors qu'il conduit en état d'ébriété et sans permis de conduire. Il est convoqué le lendemain au commissariat pour s'expliquer. Mais l'audition par les policiers ne pourra pas aller à son terme : en effet l'automobiliste ne se souvient pas avoir conduit la veille. Face à ce trou de mémoire et à d'autres signes, les fonctionnaires soumettent l'individu à l'éthylomètre qui présentait un taux d'alcoolémie de 1,12 mg/l d'air expiré. Remis à un tiers, l'homme a été reconvoqué le 18 septembre par les policiers qui espèrent cette fois le voir sobre."

source

(pas mécontente d'avoir arrêté la picole quand on voit les ravages) :sleep:

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Membre, Posté(e)
Dionyz Membre 334 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

ça c'est de la cuite !!! :sleep:

Mardi 14 Août 2012

Béziers. Un homme de 19 ans, hospitalisé en urgence dans la nuit de lundi à mardi pour un traumatisme crânien après une chute dans une bodega à la Feria de Béziers (Hérault), affichait un taux record d'alcoolémie de 7 grammes d'alcool par litre de sang, a-t-on appris mardi auprès des pompiers et des policiers.

Sa chute serait liée à un coma éthylique, selon l'officier des pompiers de l'Hérault qui commandait le poste médical avancé. "Il présentait un taux d'alcoolémie record de 7 grammes d'alcool par litre de sang, c'est la première fois dans ma carrière que je vois un tel taux, on peut décéder avec 5 grammes d'alcool par litre de sang" a-t-il indiqué.

L'état-major de la Sécurité publique de l'Hérault a confirmé à l'AFP que "la victime, ivre morte avait ingurgité 700 millilitres de pastis dans la bodega où il a chuté et où il s'est grièvement blessé à la tête, en se basant sur le témoignage du groupe d'amis qui l'accompagnait et les serveurs de la bodega". Selon cette source, le jeune homme se trouvait toujours mardi en soins intensifs et n'avait pas repris connaissance.

Les bodegas de la Feria de Béziers sont le théâtre cet été du phénomène du "binge drinking" ou biture express, ou encore "alcool défonce à gogo", qui consiste à ingurgiter la plus grande quantité d'alcool en un court laps de temps, avec de nombreuses intoxications alcooliques aiguës. Le phénomène touche également les consommateurs de stupéfiants qui se livrent à des "drogue défonce à gogo".

Ainsi, dans la nuit de lundi à mardi, 22 consommateurs de cannabis, cocaïne et ecstasy, pris de malaise après avoir participé à une telle soirée ont été amenées au poste médical avancé de la Feria de Béziers, puis hospitalisés, selon les pompiers. Depuis le début de la Feria, vendredi 10 août, 33 rixes ont été enregistrées, dont une mortelle.

Source: AFP via La Montagne

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Invité Imanouèl
Invités, Posté(e)
Invité Imanouèl
Invité Imanouèl Invités 0 message
Posté(e)

700 millilitres = 70 cl = 1 quille de jaune

7 grammes ?

Pour le premier cas, le type n'avait peut-être bu que 3 ou 4 verres... mais pour les habitués ça peut monter très vite, au ballon.

Pourquoi ?

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Invité Savanna
Invités, Posté(e)
Invité Savanna
Invité Savanna Invités 0 message
Posté(e)

Un site bourré (sans jeu de mots) d'informations , certes un peu long à la lecture mais qui , si on s'en donne la peine peut considérablement donner des clés , ouvrir des portes , que ce soit à ceux qui ont une relation difficile avec l'alcool et aux proches de ces personnes qui se sentent souvent désœuvrées . A toute fin utile ..ou inutile voici le lien : http://www.appel-arl...et/exposes.html

Ainsi, on entend souvent dire :

deni.jpg

  • Je bois comme tout le monde → Banalisation
  • Jamais le matin ou, seulement, le week-end → Banalisation
  • Je m'arrête quand je veux → Banalisation
  • Je ne bois pas d'alcool fort, seulement de la bière → Banalisation
  • Personne ne me comprend → Isolement
  • C’est à cause de ma femme, de mon boulot,… → Projection
  • Ma femme exagère beaucoup → Banalisation
  • J’ai perdu mon permis pour excès de vitesse, pas pour l’alcool → Projection

Lettre d’un alcoolique à ses proches ( de la même source)

Je suis alcoolique, j’ai besoin de votre aide.

Ne me sermonnez pas, ne me blâmez pas, ne me réprimandez pas. Vous ne seriez pas fâchés contre moi si je souffrais de tuberculose ou de diabète. L’alcoolisme est aussi une maladie.

Ne jetez pas mes bouteilles ; ce n’est que gaspillage, parce que je trouverai toujours moyen de m’en procurer d’autres.

Ne me laissez pas provoquer votre colère. Si vous m’attaquez verbalement ou physiquement, vous ne ferez que confirmer la mauvaise opinion que j’ai de moi-même. Je me déteste déjà suffisamment.

Ne permettez pas que votre amour pour moi et votre inquiétude à mon sujet vous portent à faire à ma place ce que je devrais faire moi-même. Si vous assumez mes responsabilités, vous m’empêchez irrémédiablement de les assumer. Mon sentiment de culpabilité augmentera, et vous m’en voudrez.

N’acceptez pas mes promesses. Je promettrais n’importe quoi pour me tirer d’affaire. Mais la nature de ma maladie m’empêche de les tenir, même si je suis sincère au moment où je les fais.

Ne faites pas de vaines menaces. Quand vous aurez pris une décision, soyez inébranlable.

Ne croyez pas tout ce que je vous dis, c’est peut-être un mensonge ; nier la réalité est un symptôme de ma maladie. Du reste, je suis porté à ne pas respecter ceux que je peux duper trop facilement.

Ne me laissez pas vous exploiter ou abuser de votre bonne volonté en aucune façon. L’amour ne peut survivre longtemps dans un climat d’injustice.

N’essayez pas de dissimuler la vérité à mon sujet, ou de me soustraire aux conséquences de mon intempérance. Ne mentez pas, ne payez pas mes dettes, n’allez pas travailler pour faire face à mes obligations familiales. Ces interventions peuvent retarder ou atténuer la crise qui, précisément, me pousserait à rechercher de l’aide. Je ne peux continuer de nier que j’ai un problème d’alcool aussi longtemps que vous me permettez d’échapper automatiquement aux conséquences de mon intempérance.

Surtout, renseignez-vous autant que possible sur l’alcoolisme et sur la façon dont vous devez agir avec moi…

Je vous aime, Votre alcoolique.

Extrait :

Quand on commence on ne peut plus s’arrêter :

L’alcool est normalement superflu.

Lorsque le corps a besoin d’aliments solides, l’esprit reçoit un message qui s’appelle la faim.

Lorsque le corps a besoin d’aliments liquides, l’esprit reçoit un message qui s’appelle la soif.

Lorsque le signal de faim se manifeste, on pense de plus en plus à manger. On finit même par ne penser plus qu’à ça si le repas se fait attendre.

Mais ces signaux de faim et soif ont leurs contraires : les "signaux de satiété".

Ils coupent la faim au bon moment. Au-delà, manger ou boire devient pénible.

Ces contraires sont très importants pour notre santé : ils ajustent la prise d’aliments à la quantité voulue pour les besoins du corps.

Ils évitent de graves maladies par surcharge. Ces signaux sont d’une extraordinaire précision. En une année nous mangeons près d’une tonne d’aliments et pourtant notre poids demeure identique, quelles que soient les fantaisies ou variations passagères. Un petit dérèglement dans l’apparition des signaux entraînera maigreur ou obésité.

Ces choses se passent pour tous les aliments et boissons sauf pour certains :

- le chocolat : pour presque tout le monde, le chocolat ne fait pas apparaître les signaux de satiété mais au contraire augmente l’envie au fur et à mesure que l’on en mange.

- l’alcool entraîne la même réaction, mais seulement pour 8 à 11% des personnes : les alcoolo-dépendants.

Chez le malade alcoolique, l’alcool empêche non seulement l’apparition du signal de satiété mais rend le besoin plus vif.

Cette réaction constitue tout le danger de la maladie puisqu’elle va en sens contraire des lois biologiques, donc de la vie. Pour lui, dès qu’il y a de l’alcool dans le corps, boire encore n’arrête plus l’envie de boire mais l’augmente.

Personne, alcoolique ou pas, ne peut arrêter la consommation d’un produit qui, chez lui, augmente lui-même l’appétit de le consommer.

Normalement, quand on a bien mangé, on n’a plus d’effort de volonté à faire pour arrêter. C’est ainsi que les personnes sobres s’arrêtent de boire.

C’est même pour cela qu’elles sont sobres.

Ceci est peut-être pour vous difficile à imaginer. Vous êtes tous allés au restaurant ou à la terrasse d’un café. Il ne vous a pas échappé que des voisins quittaient parfois la table laissant une bouteille de vin ou de bière non achevée. Cela a pu vous paraître impensable.

Pourtant, dans le même moment vous avez vous-même laissé du pain dans la corbeille sans même y penser. C’est de la même manière que ce voisin de table a abandonné ce reste de boisson. Il ne l’a pas fait parce qu’il aurait eu plus de volonté ou plus de force de caractère.

Simplement, pour lui l’envie de vin avait disparu, comme pour vous-même l’envie du pain que vous avez laissé.

Il y a donc une différence entre vous et les autres ; votre envie persiste et augmente à mesure que vous buvez de l’alcool.

En conclusion :

La volonté n’a donc pas grand-chose à voir avec la maladie alcoolique. Par contre elle joue un grand rôle dans le traitement. La difficulté est bien sûr de trouver de la volonté lorsque celle-ci est anéantie : là, en particulier les groupes d’entraide jouent un rôle fondamental.

http://www.atoute.or...n-probleme.html

Testez votre dépendance à l'alcool ( du même site ) : http://www.medical78...test_alcool.htm

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