train

"la caractéristique fondamentale du chemin de fer est le roulement acier (roue) sur acier (rail) à faible coefficient d'adhérence limitant la resistance à l'avancement"

comment alors peut-il y avoir suffisamment de grip pour faire avancer le train avec la propulsion à partir des roues lisse en acier sur de la surface lisse en acier ?

Bonjour shyiro,

MÉCANIQUE

Le coefficient de frottement acier sur acier n’est pas nul.

Si cela était, il serait absolument impossible de lancer un train sur les rails, or cette hypothèse est démentie tous les jours, partout dans le monde.

Je crois me rappeler qu’en cas de freinage d’urgence existe des boites à sable,justement pour augmenter ce coefficient de frottement entre rail et roue

ÉCONOMIQUE

Par contre, l'accélération progressive d'une masse, comme celle d'un convoi ferroviaire,permet d'économiser de l'énergie une fois le convoi lancé, d'autant mieux et plus, que le nombre d'arrêts est limité entre les gares. La notion de faire participer financièrement les régions aux arrêts dans les gares est un effet de cette contrainte-là.

Même s’il est vrai aussi que l’énergie du freinage réexpédie dans le réseau électrique de la SNCF une grosse partie des kilowatts dépensés au lancement du convoi

Je ne suis ni de prêt,ni de loin un spécialiste du transport ferroviaire, mais ce sont des paramètres que j’ai glanés ici et là pour essayer de comprendre un peu mieux des questions que je me posais, comme vous.

Bonjour shyiro,

MÉCANIQUE

Le coefficient de frottement acier sur acier n’est pas nul.

Si cela était, il serait absolument impossible de lancer un train sur les rails, or cette hypothèse est démentie tous les jours, partout dans le monde.

Je crois me rappeler qu’en cas de freinage d’urgence existe des boites à sable,justement pour augmenter ce coefficient de frottement entre rail et roue

ÉCONOMIQUE

Par contre, l'accélération progressive d'une masse, comme celle d'un convoi ferroviaire,permet d'économiser de l'énergie une fois le convoi lancé, d'autant mieux et plus, que le nombre d'arrêts est limité entre les gares. La notion de faire participer financièrement les régions aux arrêts dans les gares est un effet de cette contrainte-là.

Même s’il est vrai aussi que l’énergie du freinage réexpédie dans le réseau électrique de la SNCF une grosse partie des kilowatts dépensés au lancement du convoi

Je ne suis ni de prêt,ni de loin un spécialiste du transport ferroviaire, mais ce sont des paramètres que j’ai glanés ici et là pour essayer de comprendre un peu mieux des questions que je me posais, comme vous.

bonjour

je suis d'accord avec çe que tu vient de dire .

le poids de la locomotive suffit à l'appuie des roues sur les rails et assurer un "arrachage" du convois .

les boites à sable servent aussi, en cas de gel ou de neige , dans les montées , je crois .

bonne journée