Notre belle planète.

La planète a mal,

Elle se retrouve bancal.

Tout ça par des parasites,

de par leurs rites,

Abject et viles.

Dont les dieux jubilent.

Terriens, l'heure est grave!

Nous devons sauver ce monde charîtable.

Dont le destin se fait déja sentir,

La fin va bientôt nous engloutir.

Main dans la main,

Nous pourrions apporter notre soutien.

Et lier notre destin,

A ce monde divin qu'est la TERRE.

Merci de m'avoir lu, j'ai écrit comme ça en ayant une espèces d'inspiration

rythmé (je compte les syllabes pour ma part depuis quelques mois même si personne l'a remarqué), accentué et sorti du terre à terre dés le deuxième ver(s) avec l'emploi du masculin.. on dirait les catilinaires de cicéron (en mieux..)

Je te remercie, je dois m'ameliorer mais comment dire ca m'est venu comme ça et je me suis obligé de l'ecrire.

En effet, le poème est sympathique

bien mené ! mais il parait très accessible pour un poème surtout ! c'est beau !