je ne sais pas...

le blanc et le noir,

unis dans un même désespoir,

qui se ressemble ne s'assemble,

que pour certain il me semble,

pour d'autre, l'ivresse de l'incompris,

ou se mêle aussi le mépris,

ne font que se rapprocher,

ces deux âmes damnées,

une histoire est prévisible,

sa fin en est illisible,

effacée par les pleurs,

encouragés par la peur,

peur de l'inconnu,

de l'inconnu sans l'avoir vu,

et puis tout s'arrêtera,

effondrée dans ses bras,

mais avant, leur communion,

si fragile mais attendons,

la graine est chauffée,

elle n'attend que d'exploser,

envahit de passion,

l'amour n'est pas raison,

un temps seulement,

dure le bonheur lorsqu'on se ment,

puis la vérité,

dur réalité,

émerge des profondeurs,

et rattrape la laideur,

celle de l'illusion,

et enfin nous comprenons,

mais il est déjà trop tard,

nous nous enfermons alors pour la plupart,

dans un océan de désespoir,

que nous ne pouvons percevoir,

mais qui nous convient,

ceci est bien humain,

que d’apitoiement nous avons besoin,

pour retrouver un équilibre,

et ne plus se laisser vivre,

un simple champs nous suffira,

nos illusions on reconstruira,

sans plus ce remettre en question,

sûrement persuadé d'avoir raison,

n'ayant pas appris des erreurs du passé,

il ne nous reste qu'à recommencer,

en passant de la peine à la joie,

dans cet ordre je ne sais pas,

puis cette personne reviendra,

alors impuissant on sera,

face à un destin qui s'amuse,

ne cherchez donc pas d'excuses,

la réponse est de l'ordre humain,

aussi simple que les cinq doigts de la main,

inutile de dire que nous ne sommes rien,

juste des gens incertains,

se croire intelligent,

c'est n'être point intransigeant,

envers nos propres faiblesses,

il y a surtout la paresse,

qui nous retient de chercher,

de trouver la vérité,

la vérité des âmes damnés,

voilà, cette vérité

vous ne pouvez rien contrôler.

,

salut

coucou!

le blanc et le noir ça donne du gris il me semble ; hors là j'ai un peu de mal, même imaginer "gris gris" ; enfin bref il eût fallu p' t' être un peu plus de consistance, de matière, la forme du texte évoque vaguement le pion d'un jeu d'échecs ?

j'ai écrit ce texte comme ça m'as pris, d'un coup, je suis d'accord avec le manque de consistance.

Pour les pions d'échecs, le jeu rendu imprévisible selon les joueurs qui les dirigent.

Petite métaphore donc

j'adore

merci