Dark , horror ambiance

Bonjour à vous deux

Très très bon choix Sing ..... une merveille.

Je connaissais mais pas assez pour m'y poser .... superbe

---

Le niveau de violence expressive des peintres exécutées dans l'immédiat après guerre est soudain bouleversé dans Peinture 1946, par une inspiration angoissante extrême faisant apparaître, dans le tableau, des éléments âpres et percutants, inconnus jusqu'alors. Le plus puissant et peut-être ce mode sarcastique féroce qui sera un moyen expressif récurrent dans l'oeuvre de Bacon : un sens de l'humour violent, souvent hors de propos, grotesque, cynique et outrageux. La bouche grimaçante du monstre, principal acteur de Peinture 1946 produit un effet indéfinissable, à mi-chemin entre le rire sardonique et l'effort presque asthmatique d'un personnage tout juste libéré du joug d'une oppression obscure et plurielle. Entre une perception d’ensemble proche de la répulsion macabre et l'horreur face à la violence perverse, aveugle qui semble animer le personnage, ce tableau lui non plus ne fournit pas d’éléments qui pourraient l'expliciter ou lui donner un sens littéral. Avec son étalage grandiloquent de juxtapositions bizarres, Peintre 1946 admet la condition d'absurdité comme une valeur expressive cohérente. Ce procédé, qui apparaît ici comme une évidence obscène et déjà épouvantable, en soi, restera l'un des fondements de la poétique de Bacon.

Peinture 1946 de 1946 par Luigi Ficacci BACON .....

John Jude Palencar...

Merci pour cette découverte .

Je ne vais pas manquer d'aller feuilleter ses oeuvres .

Superbe travail !!!!

Bonjour à vous deux

Très très bon choix Sing ..... une merveille.

Je connaissais mais pas assez pour m'y poser .... superbe

---

Tu es terrifiante à souhait ma grande soeur

---

Caniglia .... Evolution de l'enfer en 1995

Pour ce qui est de terreur, hé bien là, on va être servi ....

Bryce Edsall

"La Ruine Maudite", par Maurice Rollinat

De tous côtés, la ronce, effroyable broussaille, Grimpe férocement au long de la muraille. Sur un long banc de pierre, affreux comme un tombeau, Mélancoliquement médite un vieux corbeau. Un grand saule, courbé comme un homme qui souffre, Baigne ses cheveux verts dans un horrible gouffre Qui dort plein de mystère et de lents grouillements. L’eau clapote, et l’on voit de moments en moments Une forme d’aspic, qui vaguement s’efface,

Parfois entre les joncs bouger à la surface. Des champignons hideux, suppurant le poison, Poussent lugubrement aux coins de la maison, Et le reptile meurt à côté de leur tige. Un puits, dont l’aspect seul donnerait le vertige, Ouvre sa large gueule au milieu de la cour. Un énorme lézard sur la margelle court Et cherche sous la brume, affolé, presque roide, Un rayon de soleil pour chauffer sa peau froide.

Je pense que Trevor Brown à sa place sur ce topic,

Attention quand même, j 'ai choisi pour le topic des images pas trop sexuellement chargées, mais, si vous vous intéressez à son oeuvre, ayez le coeur bien accroché...

Moi, je sais toujours pas quoi penser de sa démarche....

Blarney Castel est situé dans la petite ville de Blarney dans le Comté de Cork en Irlande. Le château date du XIème siècle. Détruit en 1446, il a été reconstruit par Cormac McCarthy, Roi du Munster. Agé de presque 600 ans, la batisse est perdue dans une nature sauvage très dense. Le château s’apparente en vérité à une gigantesque tour carrée en ruine, cernée par la végétation et entourée de fabuleux jardins arborés.

Ces jardins et forêts seraient d’ailleurs à la base de nombreuses légendes liées à la présence de sorcières et de druides… Les environs (connus sous le nom de "Rock Close") possèdent d’innombrables cascades, ainsi que quelques dolmens, sans oublier "The Witch’s stairs" (les Escaliers de la Sorcière), qui, si on les monte à l’envers, les yeux fermés permet d’exaucer nos vœux.

Au sommet du château, juste au-dessous des créneaux du donjon se trouve la "Pierre de l'éloquence", celle-ci située à hauteur de la tour crénelée permettrait, selon la légende vieille de 200 ans, de procurer de nombreux talents verbaux à quiconque l’embrasserait. (On peut ainsi lire sur le panneau de présentation : "There is a Stone there, That Whoever kisses, Oh! He never misses to grow eloquent."). Mais attention ! Cette pierre demande à être embrassée d’une façon bien particulière qui demande de se basculer en arrière.

Dans les bois près du château, pas loin d'une petite grotte, se dresse cette pierre au profil de sorcière. La légende nous raconte qu'une sorcière a été piégée dans la roche depuis des centaines d'années.

Dès la tombée de la nuit, celle-ci est autorisée à se libérer de la roche, par contre, elle ne peut que se rendre dans la petite grotte ci-dessous. Vous pouvez apercevoir la petite cheminée qui lui servirait à se réchauffer.

Je pense que Trevor Brown à sa place sur ce topic,

Attention quand même, j 'ai choisi pour le topic des images pas trop sexuellement chargées, mais, si vous vous intéressez à son oeuvre, ayez le coeur bien accroché...

Moi, je sais toujours pas quoi penser de sa démarche....

Bonsoir ,

Je vois qu'il est parfois associé à Mark Ryden , je reste dubitative tout de même , Ryden n'exploitant pas les mêmes "terrains" si je puis dire .

Ceci dit , j'aime beaucoup les oeuvres que tu as choisies , un peu moins l'ensemble de son travail , peut )être parce que moi aussi je me perd quelque peu dans ce qu'il exprime , aussi subtile soit-il .

A suivre ...

Merci .

Trevor Brown ne s'est pas exilé au Japon pour rien....(Pas de censure la bas)

Le truc c'est qu'à une époque comme la notre, ou y a moins de tabou, comment faire de l 'art véritablement subversif????

Il touche, au tabous, il fait l 'art subversif qui correspond à notre époque...C'est véritablement dérangeant.

La question, c'est est-ce qu'il participe à l 'horreur du monde? est ce que son art fait du bien à l'humanité ou pas?

Et la, je crois que j' ai envie de répondre, "non, pas vraiment"

Plein de choses a dire sur ce sujet, quand on sait que les "tops models" hypersexualisés dans les magazines de mode, sont, en réalité, pas vraiment plus agées que les filles représentées dans ces peintures....

C'est un artiste qui fait réfléchir....Ca au moins on peut pas lui enlever. On l 'adore, ou on a envie de le tuer, moi, c'est les deux en même temps.

L'Assassin espoir des femmes en 1909 par Oskar Kokoschka

---

A l'aube de sa carrière, Oskar Kokoschka fut soutenu par Klimt. Il suivit les cours de l'Ecole des arts décoratifs et collabora aux Ateliers viennois. Ses oeuvres de jeunesse, essentiellement graphique, se démarquent des créations contemporaines par une grande force d'expression. Voyant en lui un des artistes capables d'opérer un changement radical dans l'art viennois, quelque peu engoncé dans le raffinement, Klimt l'invita à participer aux Kunst-schau. En 1908, le jeune homme y présenta les Garçons rêveurs qu'il dédia à son aîné, puis en 1909 son drame morbide L'Assassin espoir des femmes dans le théâtre-jardin.

L'artiste se distingue d'emblée de son maître par la violence de ses oeuvres, la grossièreté du trait et les tonalités dissonantes.

Bonjour,

Magnifique création ..... comme d'habitude

---

Une oeuvre de Gilbert Houbre .... "D'entrée, les thèmes sont là, saisissants, obsédants : comme une sorte de dernier homme ou de témoin survivant errant parmi les ruines de la civilisation au lendemain du désastre de la guerre ou d'une catastrophe technologique, Gilbert Houbre, peint, dans une lumière d'apocalypse, la fin de l'histoire, l'agonie de l'homme et l'épuisement de la terre, la dévastation de la nature transformée en un champ d'épandage universel." .... Suite

Celle-ci fait partie des plus flippantes, pour moi.

Shining tout un ...poème , faut bien l'dire .

Sous leur air innocent , clair qu'elles font flipper les jumelles .

Et pour la ptite histoire Les jumelles de Shining

Tiens je ne me souviens pas de cette scène.. je pensais que ça venait du fameux cercle japonais :