Diverses méthodes pour ceux qui vivent une période difficile

Waow Grenadine, tu es une des rares personnes a avoir eu le culot d'en parler aussi posément et objectivement, chapeau bas, que ton témoignage puisse aider le lecteur perdu :)

Merci, j'espère que cela ne me portera pas tord...

Manquerait plus ça !!!!!! Sûrment pas !

c'est sure il y a toujours un risque d'étaler sa vie privé

Waow Grenadine, tu es une des rares personnes a avoir eu le culot d'en parler aussi posément et objectivement, chapeau bas, que ton témoignage puisse aider le lecteur perdu :)

Merci, j'espère que cela ne me portera pas tord...

Que ce soit dans la vie de tous les jours ou sur un forum, dans la mesure ou l’on accepte ce que l’on est et qu’on l’assume, parler de soi, ne peut en aucun cas porter tord à la personne. Mais comme dans tout, il y aura toujours des personnes qui trouveront à critiquer la vie des autres, mais doit-on pour autant se cacher et refuser d’être soi-même à cause de personnes malveillantes.

Perso, ce que je peux y percevoir dans ton post, une personne qui a souffert à cause d’une mère destructrice, tu n’es déjà pas responsable de cela, donc en faire des critiques seraient vraiment déplacés. Malgré ta souffrance, tu t’es battu pendant des années pour pouvoir te reconstruire, bien que tu dis être fragile, tu as eu une certaine force pour combattre afin de t’en sortir, on ne peut que constater un grand courage et au contraire éprouver de l’admiration, pas tous ont cette capacité.

Tu as aussi une maladie depuis plusieurs années d’après ce que j’ai compris, mais même si tu n’en as pas vraiment consciente, tu as une certaine force de vivre, beaucoup à ta place auraient baissé les bras mais toi, tu continues ton combat.

Et non pour demander de l’aide mais dans le but d’aider l’autre malgré que tu sois consciente que cela implique de donner de toi, ce qui bien sûr n’est pas facile, tu en acceptes les conséquences et pour cela, on ne peut qu’avoir du respect et apprécier ta générosité.

D’après ton post, on ne peut y voir que des qualités, donc je ne vois pas en quoi, ton témoignage pourrait te porter des tords.

Chacun rencontre des difficultés au cours de sa vie, tout dépend du vécu que l’on a, de notre environnement, des évènements imprévisibles…On ne peut se permettre de porter un jugement sur un problème d’autant plus que cela peut arriver à n’importe qui. Ce qui compte c’est de toujours chercher à se battre et de se faire aider pour s’en sortir du mieux qu’on peut.

Et encore merci pour ton témoignage, Grenadine :)

Non, justement Delabre , nous ne sommes pas nées avec la science infuse , de 1 ça se saurait et crois moi que je n'hésiterais pas à en remettre certains à place de 2 on prendrait pas le temps de se faire soigner quand on sent que cela ne va pas, ce témoignage a été fait en toute humilité, ce n'est pas facile de parler de ces choses là de peur d'être pris pour un fou/folle ! Donc, je ne vois pas ce que "science infuse " vient faire ici !

Waow Grenadine, tu es une des rares personnes a avoir eu le culot d'en parler aussi posément et objectivement, chapeau bas, que ton témoignage puisse aider le lecteur perdu :)

Merci, j'espère que cela ne me portera pas tord...

Que ce soit dans la vie de tous les jours ou sur un forum, dans la mesure ou l’on accepte ce que l’on est et qu’on l’assume, parler de soi, ne peut en aucun cas porter tord à la personne. Mais comme dans tout, il y aura toujours des personnes qui trouveront à critiquer la vie des autres, mais doit-on pour autant se cacher et refuser d’être soi-même à cause de personnes malveillantes.

Perso, ce que je peux y percevoir dans ton post, une personne qui a souffert à cause d’une mère destructrice, tu n’es déjà pas responsable de cela, donc en faire des critiques seraient vraiment déplacés. Malgré ta souffrance, tu t’es battu pendant des années pour pouvoir te reconstruire, bien que tu dis être fragile, tu as eu une certaine force pour combattre afin de t’en sortir, on ne peut que constater un grand courage et au contraire éprouver de l’admiration, pas tous ont cette capacité.

Tu as aussi une maladie depuis plusieurs années d’après ce que j’ai compris, mais même si tu n’en as pas vraiment consciente, tu as une certaine force de vivre, beaucoup à ta place auraient baissé les bras mais toi, tu continues ton combat.

Et non pour demander de l’aide mais dans le but d’aider l’autre malgré que tu sois consciente que cela implique de donner de toi, ce qui bien sûr n’est pas facile, tu en acceptes les conséquences et pour cela, on ne peut qu’avoir du respect et apprécier ta générosité.

D’après ton post, on ne peut y voir que des qualités, donc je ne vois pas en quoi, ton témoignage pourrait te porter des tords.

Chacun rencontre des difficultés au cours de sa vie, tout dépend du vécu que l’on a, de notre environnement, des évènements imprévisibles…On ne peut se permettre de porter un jugement sur un problème d’autant plus que cela peut arriver à n’importe qui. Ce qui compte c’est de toujours chercher à se battre et de se faire aider pour s’en sortir du mieux qu’on peut.

Et encore merci pour ton témoignage, Grenadine :)

Je disais cela car je crains que certaines personnes s'en servent pour me faire des remarques blessantes d'ordre personnel plus tard. Selon mon état du moment, cela peut me laisser indifférente, ou me faire du mal. Mais bon, je prends le risque, on verra bien. C'est le soucis avec le fait d'être présent dans un forum, on fini par connaitre pas mal de chose de soi, et donc, les représailles peuvent être difficiles à gérer. Mais on ne peut pas parler de souffrance en général, il faut bien en passer par sa propre expérience pour tenter de faire comprendre certaines choses aux autres. Si seulement mon témoignage pouvait donner la force à ne serait-ce qu'une personne de commencer un travail sur elle pour s'en sortir, cela aura été utile.

Non, justement Delabre , nous ne sommes pas nées avec la science infuse , de 1 ça se saurait et crois moi que je n'hésiterais pas à en remettre certains à place de 2 on prendrait pas le temps de se faire soigner quand on sent que cela ne va pas, ce témoignage a été fait en toute humilité, ce n'est pas facile de parler de ces choses là de peur d'être pris pour un fou/folle ! Donc, je ne vois pas ce que "science infuse " vient faire ici !

tu a entièrement raison évasive

Waow Grenadine, tu es une des rares personnes a avoir eu le culot d'en parler aussi posément et objectivement, chapeau bas, que ton témoignage puisse aider le lecteur perdu :)

Merci, j'espère que cela ne me portera pas tord...

Que ce soit dans la vie de tous les jours ou sur un forum, dans la mesure ou l’on accepte ce que l’on est et qu’on l’assume, parler de soi, ne peut en aucun cas porter tord à la personne. Mais comme dans tout, il y aura toujours des personnes qui trouveront à critiquer la vie des autres, mais doit-on pour autant se cacher et refuser d’être soi-même à cause de personnes malveillantes.

Perso, ce que je peux y percevoir dans ton post, une personne qui a souffert à cause d’une mère destructrice, tu n’es déjà pas responsable de cela, donc en faire des critiques seraient vraiment déplacés. Malgré ta souffrance, tu t’es battu pendant des années pour pouvoir te reconstruire, bien que tu dis être fragile, tu as eu une certaine force pour combattre afin de t’en sortir, on ne peut que constater un grand courage et au contraire éprouver de l’admiration, pas tous ont cette capacité.

Tu as aussi une maladie depuis plusieurs années d’après ce que j’ai compris, mais même si tu n’en as pas vraiment consciente, tu as une certaine force de vivre, beaucoup à ta place auraient baissé les bras mais toi, tu continues ton combat.

Et non pour demander de l’aide mais dans le but d’aider l’autre malgré que tu sois consciente que cela implique de donner de toi, ce qui bien sûr n’est pas facile, tu en acceptes les conséquences et pour cela, on ne peut qu’avoir du respect et apprécier ta générosité.

D’après ton post, on ne peut y voir que des qualités, donc je ne vois pas en quoi, ton témoignage pourrait te porter des tords.

Chacun rencontre des difficultés au cours de sa vie, tout dépend du vécu que l’on a, de notre environnement, des évènements imprévisibles…On ne peut se permettre de porter un jugement sur un problème d’autant plus que cela peut arriver à n’importe qui. Ce qui compte c’est de toujours chercher à se battre et de se faire aider pour s’en sortir du mieux qu’on peut.

Et encore merci pour ton témoignage, Grenadine :)

Je disais cela car je crains que certaines personnes s'en servent pour me faire des remarques blessantes d'ordre personnel plus tard. Selon mon état du moment, cela peut me laisser indifférente, ou me faire du mal. Mais bon, je prends le risque, on verra bien. C'est le soucis avec le fait d'être présent dans un forum, on fini par connaitre pas mal de chose de soi, et donc, les représailles peuvent être difficiles à gérer. Mais on ne peut pas parler de souffrance en général, il faut bien en passer par sa propre expérience pour tenter de faire comprendre certaines choses aux autres. Si seulement mon témoignage pouvait donner la force à ne serait-ce qu'une personne de commencer un travail sur elle pour s'en sortir, cela aura été utile.

Oui, je sais bien Grenadine, comme j’ai pu le constater de la part de forumeurs à l’égard d’autres et dans la vie de tous les jours, c’est aussi pareil, il y aura toujours des gens malveillants. A ce propos, cela m’est arrivé de voir des topics ou certains parlaient de leurs problèmes et certains ont très mal répondu, se sont permis de porter un jugement, d’ailleurs concernant une ou deux personnes en particulier qui parlaient d’une grande souffrance, j’ai été choquée de voir la réponse de certains.

Mais quand des personnes n’osent pas en parler avec leurs proches, ne savent pas quelle solution trouver, ont du mal à s’exprimer et que des fois, cela leur est plus facile par écrit et envers des inconnus, s’ils se sentent juger, ils auront plus envie de laisser tomber et c’est bien dommage. Et comme tu le dis, on ne peut parler de souffrance pour faire comprendre sans parler de sa propre expérience. Et les gens qui veulent juste des conseils, savoir où s’adresser, ce qui peut les aider, ne peuvent le faire qu’en parlant de leurs difficultés, ce qui n’est pas évident car le comportement, le jugement de l’autre met des barrières pour aider ces personnes.

LES ADDICTIONS :

LE TABAC :

Le tabagisme est une addiction, la nicotine est un facteur de dépendance physique au tabac. Il existe aussi une dépendance psychologique (situations stressantes, réunions, soirées…)

Pour arrêter cette dépendance à la cigarette, il existe des substituts nicotiniques, des médicaments, une prise en charge par le médecin traitant ou par un tabacologue. Des prises en charge psychothérapie en particulier cognitivo-comportementalistes, la mésothérapie, l’hypnose, l’acupuncture, l’auriculopuncture. Des groupes de paroles sont parfois proposés.

Santé AZ les solutions

ADDICT A INTERNET : la France compte aujourd’hui près de 30 millions d’internautes qui surfent en moyenne une heure par jour, de part sa facilité d’accès et sa richesse en informations en tout genre, Internet à tout pour plaire. Mais il peut aussi se transformer en piège et certains vont y consacrer de plus en plus de temps et s’enfermer dans un monde virtuel. Surfer n’est plus un plaisir mais devient une dépendance.

On parle d’addiction à Internet quand on retrouve ses trois signes de dépendance :

La perte de contrôle : l’internaute ne résiste pas à la tentation de se connecter en permanence et n’arrive plus à se maîtriser, par exemple, impossible pour lui d’éteindre son ordinateur au bout d’un quart d’heure. Il a un comportement compulsif vis-à-vis d’internet.

Le temps passé sur Internet : Il est très important, plusieurs heures par jour et empêchent de faire d’autres activités. Famille, étude, travail, loisirs…sont relégués au second plan et le temps consacré sur Internet prennent le pas sur la « vraie » vie.

La sensation de manque : Les cyberdépendants ne supportent pas de ne plus avoir accès au Net ou de laisser leur ordinateur éteint. Ils ressentent un vide et cette privation jouent sur leur humeur.

Si vous avez l’impression de passer trop de temps à surfer ou si votre entourage vous le fait remarquer, efforcez-vous de diminuer votre temps de connexion, notamment en ne surfant plus la nuit et prenez le temps de faire des activités qui ne sont pas virtuelles, voir des amis, faire du sport…

Si la dépendance est trop forte, il est nécessaire de vous faire aider par votre médecin traitant qui vous orientera vers un spécialiste, psychiatre ou psychologue… Suivre une thérapie comportementale ou cognitive vous permettra d’identifier les causes de cette dépendance, de soigner le mal être qui vous pousse à vous replier dans un monde virtuel (état dépressif, difficultés de communication, addiction aux jeux…) Vous comprendrez qu’Internet est un faux anti-dépresseur.

Faites aussi des petits exercices, notez le nombre de fois que vous vous connectez, les émotions qui déclenchent cette envie, les activités que cela vous empêchent de faire…Ce qui vous aidera à vous libérer progressivement de l’emprise de votre ordinateur.

Santé AZ une dépendance

L’ALCOOL :

La maladie alcoolique touche davantage les hommes que les femmes. On compte une femme malade sur trois hommes mais en revanche le seuil de consommation à risque (celui au-delà duquel les risques sont à craindre) est plus bas chez la femme, deux verres chez la femme alors qu’il est de trois chez l’homme.

La consommation d’alcool est ancrée dans nos habitudes et nos comportements sociaux, l’alcool agit sur le cerveau ce qui peut entraîner une dépendance, quand on boit trop, il y a une phase d’excitation puis un peu plus tard une phase d’endormissement sans parler du mal de tête du lendemain. Autre cause de la maladie alcoolique, une sensibilité individuelle au produit probablement déterminée génétiquement.

Outre les causes culturelles et génétiques, chez la femme, le profil type est souvent l’arrivée à un âge difficile, un sentiment d’abandon et d’inutilité (le départ des enfants et un mari souvent absent) Augmentation de l’alcoolisme chez les jeunes notamment avec le « binge driking » (la défonce) Dans les milieux favorisés, on a inventé l’alcoolisme mondain qui fait ou a fait tout autant de ravages que l’alcoolisme des travailleurs de force qui boivent eux, soi-disant pour prendre des forces. On en revient à l’alcoolique qui finit par boire pour oublier qu’il boit.

Les femmes se prennent plus volontiers en main pour vaincre la maladie. Le sevrage se fait en trois phases :

La phase de préparation et de motivation qui se déroule en groupe, parfois en famille ou avec une aide médicale. C’est la période la plus importante, l’alcoolique a une image complètement dégradée de lui-même et n’a plus confiance en lui, le groupe ou l’entourage médical vont l’aider à retrouver cette estime de soi perdue et cette confiance envolée. Aller en cure de sevrage trop vite sans préparation, c’est s’exposer à une rechute.

La phase du sevrage est la phase effective du changement, la période ou le dépendant se sépare de son produit. Si des médicaments permettent de limiter le risque d’apparition d’un syndrome de sevrage (tremblements, anxiété, convulsions…) Ce sevrage peut être mené sans hospitalisation et à domicile. Attention aussi à la dépression qui retarde la prise de décision et raccourcit la période de sevrage, la dépression devra être traitée.

La phase d’abstinence c’est à cet instant que commence le vrai changement et le vrai traitement. L’objectif étant de rendre l’abstinence le moins pénible et le plus bénéfique. Cette phase est difficile. Pour tenir bon et éviter toutes rechutes, il est recommandé un travail psychothérapeutique et un suivi médical assidu et régulier.

Les Alcooliques Anonymes peut être un groupe d’entraide très utile pour réussir à dominer le sentiment de honte et en parler, le fait de rencontrer des gens qui ont vécu la même chose permet de ne pas être juger et aide à reprendre confiance en soi et mieux se motiver.

Santé AZ conseil d'un médecin

Santé AZ Témoignage

Santé AZ témoignage suite

Santé AZ addictions téléphones adresses utiles

ADDICTION AU JEU :

Le jeu peut devenir une forme de drogue, une addiction. Aspiré dans une spirale infernale, celle du jeu, quelles solutions? Mettre en lumière toutes ses failles peut permettre au joueur de trouver la sortie de secours.

Le joueur responsable

Lorsque tout individu commence à approcher l’univers du jeu, il se doit d’être prudent. Les dérives, les dépendances sont si vites arrivées. Pour éviter d’être happé, quelques règles à se fixer :

*se fixer la perte maximale sur une durée déterminée

*ne jamais jouer coûte que coûte pour gagner

Itinéraire typique du joueur addict

Entrer dans une salle de jeux, au casino, n’est pas anodin pour tout le monde. Selon la personnalité de chacun, le jeu a une emprise particulière. La folie du jeu dans les casinos, les jeux de grattage, les jeux en ligne sont autant de pièges dans lesquels chacun peut sombrer.

C’est en trois phases que se décompose la tragique histoire du joueur qui se perd :

La phase gagnante : la première fois pour le joueur novice est toujours accompagnée d’un coup de chance qui lui fait croire qu’une bonne étoile l’accompagne.

La phase perdante : mais la réalité se révèle tout autre. Le joueur perd et pense qu’il peut regagner la somme perdue en misant davantage. Le doigt dans l’engrenage, il est entré dans la spirale. Il perd toute notion de tout et est capable d’emprunter sans logique, s’endetter, contracter de multiples crédits.

La phase désespoir : le jeu est devenu une obsession. Les adjectifs habituellement réservés aux utilisateurs de stupéfiants s’adaptent au joueur, qui est en manque, qui vit un enfer le poussant à tricher, à mentir, à se détruire.

Se sortir de l’enfer du jeu

De son propre chef ou à l’initiative de sa famille ou d’amis, le joueur peut se "désintoxiquer", se guérir. Des structures existent pour essayer de sortir l’individu de ce tragique engrenage. D’abord, ne pas s’isoler: même si la honte le ronge, le joueur doit se sentir écouté pour essayer de contrôler ses pulsions. L’individu est déjà fragilisé et la collaboration avec les structures spécifiques est un grand pas.

Les aides apportées au joueur

Elles se font à la fois sur le plan psychologique (soutien moral, conseils) et social (traiter des problèmes financiers survenus, une éventuelle rupture avec la famille) L’aide juridique est également présente pour essayer de trouver des solutions concernant le surendettement, les conséquences pénales (délits commis) et tenter de redonner au joueur sa place dans la société.

Se faire interdire de casino

Plus radicale, la solution de se faire interdire l’entrée de l’établissement présuppose une démarche de la part du joueur; Il doit adresser une demande d’interdiction manuscrite au ministère de l’Intérieur, service des libertés publiques et de la réglementation. Le joueur est alors convoqué par service local de la police de jeux (R.G.) qui contrôle si la demande est motivée par le joueur. Après ces vérifications, le joueur est fiché (mise à jour du fichier tous les 2 mois) Pendant 6 mois, il peut se rétracter, puis la décision devient irrévocable pendant 5 ans.

Virginie-van-vooren-bourre

SOS Joueurs qui sommes-nous

SOS joueurs comment nous vous aidons

Petit tour d'horizon sur les addictions très sympa.

Merci Samira d'avoir prit le temps de faire ça. :)

Samira je te félicite pour ton sujet j'ai tout lu avec un très grand intérêt.

Grenadine33 est bien plus courageuse que moi pour nous avoir fait part de son expérience. A ce sujet si des personnes se servent de ça pour te blaisser sur un autre topic je trouve ça vraiment pittoyable. On a le droit de ne pas être d'accord sur un sujet sans pour autant manquer de respect aux personnes qui ne pensent pas comme nous.

oui Jig-Saw tu entierement raison

Samira je te félicite pour ton sujet j'ai tout lu avec un très grand intérêt.

Grenadine33 est bien plus courageuse que moi pour nous avoir fait part de son expérience. A ce sujet si des personnes se servent de ça pour te blaisser sur un autre topic je trouve ça vraiment pittoyable. On a le droit de ne pas être d'accord sur un sujet sans pour autant manquer de respect aux personnes qui ne pensent pas comme nous.

T'ira leur casser la gueule de ma part :D Je suis contente que mon témoignage serve à quelque chose.

A moins d'une curiosité malsaine je pense que tous autant qu'on est n'avons pas cliqué sur le sujet par hasard.

Je ne suis pas au top de ma forme ces temps-ci mais grâce à ce topic je saurai à qui m'adresser en cas de gros coup de blues sans me sentir jugée.

Il est important de savoir que même au fond du trou, on peut s'en sortir et aller un jour bien. Cela prends beaucoup de temps, il faut être têtu, mais ça paye.

bravo Grenadine! je pense aussi qu'il faut une bonne dose de volonté

Disons qu'il y a un moment soit tu prends la décision de te soigner, ou te te foutre en l'air tellement c'est ingérable et douloureux.