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Pervers narcissiques et leurs victimes


Invité caminde

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Le pervers narcissique

Le discours paradoxal

DIRE TOUT ET LE CONTRAIRE DE TOUT

L'usage diffamatoire de la dévalorisation, de l'humiliation,

du dénigrement par l'entretien de la polémique systématique,

se posant en martyr pour sortir indemne et victorieux

25 connectés les_pervers_narcissiques.jpg

Préambule

Le

discours paradoxal . «Une forme de message paradoxal consiste à semer le doute sur des faits plus ou moins anodins de la vie quotidienne. Le partenaire finit par être ébranlé et ne sait plus qui a tort et qui a raison. Il suffit de dire par exemple qu'on est d'accord sur une proposition de l'autre tout en montrant, par des mimiques, que ce n'est qu'un accord de façade.».

Le pervers narcissique dira par exemple qu'il a signé pour la forme en contestant sa signature sur le fond.

La loi pourtant est représentée par des êtres humains, plus ou moins conscients, plus ou moins consciencieux, plus ou moins dupes...

Les juges aussi ont peur de se faire avoir. Vous savez quoi ? Lorsqu’une procédure oppose une personne honnête à un pervers devant un juge, si ce dernier sent qu’il y a de la manipulation dans l ’air, c’est de la personne honnête dont il va douter ! Si ça dure, il se pourrait que le juge comprenne…

Ce n’est pas parce que le manipulateur est plus malin, mais parce que, pour lui, il n’y a aucune différence entre le bien et le mal. Il pense toujours avoir raison, c’est tout !

Pervers narcissiques et leurs victimes

(videos visibles sur le site)

  • Paul-Claude RACAMIER (Psychologue)

  • Marie-France HirIgoyen, (Psychanalyste, écrivain)

  • Martiale O'BRIEN (Diplômée de l'enseignement supérieur audiovisuel de la faculté de Toulouse, réalisatrice d'émissions pour la télévision locale et rédactrice, l'écriture du roman : "le pervers narcissique")

  • Hubert HOUDOY (Économiste, enseignant, chercheur, consultant, écrivain)

  • Alberto EIGUER - (Psychiatre et psychanalyste. Président de la Société des Thérapies Familiales et Psychanalytiques d'Île-de-France)

    aipcf.net

Paul-Claude RACAMIER - Mouvement pervers narcissique :

Façon organisée de se défendre de toute douleur et contradiction interne en les expulsant sur quelqu’un en se survalorisant, tout cela aux dépens d’autrui et non seulement sans peine mais avec jouissance ; ou façon particulière de se mettre à l’abri des conflits internes en se faisant valoir aux dépens de l’entourage. (Racamier, 1992). Source : Psychothérapie Vigilance - Association Loi 1901 Marie-France HIRIGOYEN - (Psychanalyste, auteur de "Le harcèlement moral. La violence perverse au quotidien". Collection Pocket. Édition Syrus)

Site officiel :mariefrance-hirigoyen.com

Marie-France Hirigoyen tente de faire le point sur le détournement du harcèlement moral ; l'agresseur qui tente de se faire passer pour une victime, les situations de "harceleur harcelé", les fausses allégations dont celles qui sont le fait de personnalités paranoïaques...

Martiale O'BRIEN

LE PERVERS NARCISSIQUE : Les signes caractéristiques du pervers narcissique apparaissent au fur et à mesure du processus de démolition entamé sur sa victime. Multiples et variés, ils sont le reflet d'un miroir qu'une dévalorisation de lui-même a fait éclater et qu'il compense par un narcissisme censé l'apaiser et le protéger. La perversion alterne avec la perversité.

Les traits dominants et récurrents chez le pervers narcissique sont : un esprit vindicatif, une tendance à la mythomanie, à la paranoïa, un pouvoir de conviction pouvant entraîner de nombreux dommages collatéraux, des personnes qui se compromettent pour lui, un acharnement comparable à celui d'un jusqu'au-boutiste qui voudrait, en outre, donner l'image de lui d'un martyr, persécuté par la personne qu'il est déterminé à éliminer définitivement des scènes sociale, privée et professionnelle ! Quitte à déployer une énergie démesurée à transgresser les terres de sa victime, à spolier ses jardins secrets, à semer les graines de la discorde, de la suspicion dans son entourage, à pratiquer la politique de la terre brûlée, pour sortir indemne et victorieux.

Hubert HOUDOY

Économiste, enseignant, chercheur en simulation, informaticien, consultant, écrivain.

L'auteur a exercé plusieurs métiers dans les secteurs de la formation continue, du négoce international de pétrole et de l'industrie électromécanique.

La perversion est un des aménagements sur le tronc commun des états limites. Elle se distingue, de l'état "normal" ou "névrotique" courant, par la part que prend la pulsion de mort.

Citation : "Nombreux sont les psychanalystes qui revendiquent une part de perversité normale chez chaque individu : «Nous sommes tous des pervers polymorphes ! » Ils font référence à la part perverse qui existe chez tout névrosé et qui lui permet de se défendre. Un pervers narcissique ne se construit qu'en assouvissant ses pulsions destructrices. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 125)".

Le pervers narcissique (terme du psychanalyste Paul-Claude Racamier) est la personnalité qu'Otto Kernberg décrit sous le terme de narcissisme pathologique.

  • Les pervers narcissiques sont considérés comme des psychotiques sans symptômes, qui trouvent leur équilibre en déchargeant sur un autre la douleur qu'ils ne ressentent pas et les contradictions internes qu'ils refusent de percevoir. Ils «ne font pas exprès» de faire mal, ils font mal parce qu'ils ne savent pas faire autrement pour exister. Ils ont eux-mêmes été blessés dans leur enfance et essaient de se maintenir ainsi en vie. Ce transfert de douleur leur permet de se valoriser aux dépens d'autrui. ("Le Harcèlement Moral", page 126).
  • La perversion narcissique consiste en la mise en place sur une personnalité narcissique d'un fonctionnement pervers. ("Le Harcèlement Moral", page 127).

Le pervers narcissique pratique la confusion des limites entre soi et l'autre. Il incorpore les qualités de l'autre, les attribue à son soi grandiose, pour pallier à sa faiblesse du Moi. Ces qualités appropriées, il les dénie à leur véritable possesseur. La séduction est un aspect crucial de cette stratégie.

  • La séduction perverse se fait en utilisant les instincts protecteurs de l'autre. Cette séduction est narcissique : il s'agit de chercher dans l'autre l'unique objet de sa fascination, à savoir l'image aimable de soi. Par une séduction à sens unique, le pervers narcissique cherche à fasciner sans se laisser prendre. Pour J. Baudrillard, la séduction conjure la réalité et manipule les apparences. Elle n'est pas énergie, elle est de l'ordre des signes et des rituels et de leur usage maléfique. La séduction narcissique rend confus, efface les limites de ce qui est soi et de ce qui est autre. On n'est pas là dans le registre de l'aliénation - comme dans l'idéalisation amoureuse où, pour maintenir la passion, on se refuse à voir les défauts ou les défaillances de l'autre -, mais dans le registre de l'incorporation dans le but de détruire. La présence de l'autre est vécue comme une menace, pas comme une complémentarité. (Marie-France Hirogoyen, Le Harcèlement Moral, page 94).

La communication perverse est au service de cette stratégie. Elle est d'abord faite de fausses vérités. Par la suite, dans le conflit ouvert, elle fait un recours manifeste, sans honte, au mensonge le plus grossier.

  • Quoi que l'on dise, les pervers trouvent toujours un moyen d'avoir raison, d'autant que la victime est déjà déstabilisée et n'éprouve, au contraire de son agresseur, aucun plaisir à la polémique. Le trouble induit chez la victime est la conséquence de la confusion permanente entre la vérité et le mensonge. Le mensonge chez les pervers narcissiques ne devient direct que lors de la phase de destruction, comme nous pourrons le voir dans le chapitre suivant. C'est alors un mensonge au mépris de toute évidence. C'est surtout et avant tout un mensonge convaincu qui convainc l'autre. Quelle que soit l'énormité du mensonge, le pervers s'y accroche et finit par convaincre l'autre. Vérité ou mensonge, cela importe peu pour les pervers : ce qui est vrai est ce qu'ils disent dans l'instant. Ces falsifications de la vérité sont parfois très proches d'une construction délirante. Tout message qui n'est pas formulé explicitement, même s'il transparaît, ne doit pas être pris en compte par l'interlocuteur. Puisqu'il n'y a pas de trace objective, cela n'existe pas. Le mensonge correspond simplement à un besoin d'ignorer ce qui va à l'encontre de son intérêt narcissique. C'est ainsi que l'on voit les pervers entourer leur histoire d'un grand mystère qui induit une croyance chez l'autre sans que rien n'ait été dit : cacher pour montrer sans dire. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 94).
  • Emploi du paradoxe : En bloquant la communication par des messages paradoxaux, le pervers narcissique place le sujet dans l'impossibilité de fournir des réponses appropriées, puisqu'il ne comprend pas la situation. Il s'épuise à trouver des solutions, lesquelles sont de toute façon inadaptées et, quelle que soit sa résistance, ne peut éviter l'émergence de l'angoisse ou de la dépression. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", "La communication perverse", page 111).

Le pervers narcissique se distingue du pervers sexuel par le lieu du déni.

  • Dans le cas des pervers sexuels, il y a un déni du sexe de la femme. Les pervers narcissiques, eux, dénient la femme tout entière en tant qu'individu. Ils prennent plaisir à toutes les plaisanteries qui tournent la femme en dérision. Cela peut être encouragé par la complaisance des témoins : Lors d'un talk-show sur la chaîne américaine NBC, un jeune couple devait débattre en public du problème suivant : «Il ne me supporte pas parce que je ne suis pas un top model.» Le jeune homme expliquait que sa petite amie - la mère de son enfant - n'était pas comme il l'aurait souhaitée : mince, sexy, que ses dents et ses seins étaient imparfaits, et que donc elle n'était pas désirable. Son modèle de référence était Cindy Crawford. Il se montra tellement méprisant que sa femme fondit en larmes. Il n'eut pas alors la moindre émotion, pas un mouvement vers elle. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 106).

Principe de réalité. Le pervers narcissique ne s'intéresse pas à la réalité, mais au pur jeu des signes linguistiques. La loi est celle de son désir, dans l'instant.

  • Le pervers narcissique, nous l'avons dit, aime la controverse. Il est capable de soutenir un point de vue un jour et de défendre les idées inverses le lendemain, juste pour faire rebondir la discussion ou, délibérément, pour choquer. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 108).

La linguistique moderne qui expulse le référent semble lui donner tous les droits. Cela permet tous les dénis, les refus de voir (dans les textes historiques ou mythiques) les victimes, les massacres, les génocides et les boucs émissaires.

  • On va partout répétant que le premier devoir du critique est de respecter la signification des textes. Peut-on soutenir ce principe jusqu'au bout devant la «littérature» d'un Guillaume de Machaut ? Une autre lubie contemporaine fait piètre figure à la lumière de Guillaume de Machaut, ou plutôt de la lecture que nous en donnons tous, sans hésiter, et c'est la façon désinvolte dont nos critiques littéraires congédient désormais ce qu'ils appellent le «référent». Dans le jargon linguistique de notre époque, le réfèrent c'est la chose même dont un texte entend parler, à savoir ici le massacre des juifs perçus comme responsables de l'empoisonnement des chrétiens. Depuis une vingtaine d'années on nous répète que le réfèrent est à peu près inaccessible. Peu importe d'ailleurs que nous soyons ou ne soyons pas capables d'y accéder ; le souci naïf du réfèrent ne peut qu'entraver, paraît-il, l'étude modernissime de la textualité. Seuls comptent désormais les rapports toujours équivoques et glissants du langage avec lui-même. (René Girard, "Le bouc émissaire", page 18).

Cette disparition contemporaine du réel profite au pervers et favorise la "banalisation du mal".

  • Il y a une introjection de la culpabilité chez la victime : «Tout est de ma faute !», et, pour le pervers narcissique, une projection hors de soi-même en rejetant la culpabilité sur l'autre : «C'est de sa faute !». (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 112).
  • L'autre n'a d'existence que dans la mesure où il se maintient dans la position de double qui lui est assignée. Il s'agit d'annihiler, de nier toute différence. L'agresseur établit cette relation d'influence pour son propre bénéfice et au détriment des intérêts de l'autre. La relation à l'autre se place dans le registre de la dépendance, dépendance qui est attribuée à la victime, mais que projette le pervers. A chaque fois que le pervers narcissique exprime consciemment des besoins de dépendance, il s'arrange pour qu'on ne puisse pas le satisfaire : soit la demande dépasse les capacités de l'autre et le pervers en profite pour pointer son impuissance, soit la demande est faite à un moment où l'on ne peut y répondre. Il sollicite le rejet car cela le rassure de voir que la vie est pour lui exactement comme il avait toujours su qu'elle était. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 115).
  • Lors de la phase d'emprise, l'action du pervers narcissique sur sa victime était essentiellement d'inhiber sa pensée. Dans la phase suivante, il provoque en elle des sentiments, des actes, des réactions, par des mécanismes d'injonction. Si l'autre a suffisamment de défenses perverses pour jouer le jeu de la surenchère, il se met en place une lutte perverse qui ne se terminera que par la reddition du moins pervers des deux. Le pervers essaie de pousser sa victime à agir contre lui pour ensuite la dénoncer comme «mauvaise». Ce qui importe, c'est que la victime paraisse responsable de ce qui lui arrive. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 122).

L'originalité et le malheur du narcissisme pathologique viennent de ce que ce narcissisme exacerbé est construit sur un vide. Il en vient à haïr et à détruire ce qu'il aime et recherche intensément.

  • Le problème du pervers narcissique est de remédier à son vide. Pour ne pas avoir à affronter ce vide (ce qui serait sa guérison), le Narcisse se projette dans son contraire. Il devient pervers au sens premier du terme : il se détourne de son vide (alors que le non-pervers affronte ce vide). D'où son amour et sa haine pour une personnalité maternelle, la figure la plus explicite de la vie interne. Le Narcisse a besoin de la chair et de la substance de l'autre pour se remplir. Mais il est incapable de se nourrir de cette substance charnelle, car il ne dispose même pas d'un début de substance qui lui permettrait d'accueillir, d'accrocher et de faire sienne la substance de l'autre. Cette substance devient son dangereux ennemi, parce qu'elle le révèle vide à lui-même. Les pervers narcissiques ressentent une envie très intense à l'égard de ceux qui semblent posséder les choses qu'ils n'ont pas ou qui simplement tirent plaisir de leur vie. L'appropriation peut être sociale, par exemple séduire un partenaire qui vous introduit dans un milieu social que l'on envie : haute bourgeoisie, milieu intellectuel ou artistique... Le bénéfice de cette opération est de posséder un partenaire qui permet d'accéder au pouvoir. Ils s'attaquent ensuite à l'estime de soi, à la confiance en soi chez l'autre, pour augmenter leur propre valeur. Ils s'approprient le narcissisme de l'autre. (Marie-France Hirogoyen, "Le Harcèlement Moral", page 132).

Voir Perversion de caractère. Perversion. Guérir le harceleur. Lire "Harcèlement Moral".

CFDT LANDES

Alerte harcèlement.

Quelques repères concernant la personnalité à profil pervers narcissique.

(Source : http://perso.wanadoo.fr/cfdt.landes/outil2.htmlCFDT Landes)

Faire d'autrui sa victime pour rehausser l'image déficiente qu'il a de lui-même : tel est, au masculin, comme au féminin, le projet de ce sujet dont les apparences sont trompeuses.

Ce sujet, par ailleurs maître en l'art de la séduction et du mystère, organise, par un travail de sape psychologique, la démolition mentale de l'autre, incapable qu'il est de respect de la personne humaine… Ses moyens sont ceux de la dévalorisation, de l'humiliation, du dénigrement, mais aussi de la brimade, du discours contradictoire et paradoxal, de la polémique systématique. Le recours à l'allusion, au non-dit et au sous-entendu est fréquent.

Il est difficile pour le harcelé de prendre conscience qu'il est manipulé, dans la mesure où le " bourreau " s'arrange pour ne jamais être pris en flagrant délit et fait passer l'autre pour coupable. Harceler, c'est savoir renverser les situations, accuser l'autre de tous les torts et de tous les maux, c'est s'arranger pour jouer toujours le beau rôle.

Il faut savoir que toute discussion frontale serait peine perdue, dans la mesure où le pervers narcissique fait feu de tout argument… Aussi, toute critique émise doit elle être très précise et se borner à l'indispensable.

Pour se protéger… - éviter de mettre en avant ses réussites… savoir prodiguer quelques compliments opportuns quand nécessaire (ce qui est une forme de manipulation mais " permise " car pour se protéger, voire se défendre)…

  • maîtriser ses émotions et rester vigilant, car le harceleur sait parfaitement les exploiter et simuler la générosité envers sa cible
  • éviter de réagir aux provocations
  • continuer de se protéger dans l'avenir
  • préparer des preuves.

Portrait du bourreau : (le pervers narcissique)

Il peut parfois même être charmant au premier abord. Puis son ton se fait monocorde, son discours condescendant, son air supérieur. Ses armes favorites : isoler, disqualifier, refuser la communication, brimer. Inutile de le(a) raisonner.

Il n'éprouve pas de culpabilité (devant la loi il peut faire semblant). Son talent : taper là où ça fait mal et se faire passer lui-même pour victime de la prétendue incompétence ou malveillance de son bouc émissaire.

Lorsque la cible décide de se soustraire à ses assauts, il peut faire preuve de gentillesse (pour la ramener dans ses filets), sinon il se cherche une autre proie.

Portrait de la " victime "

Douée, consciencieuse, avenante, donne le meilleur d'elle-même. Des qualités que le pervers convoite. Vive et extravertie, qui exprime ses réussites et ses bonheurs. Généreuse, elle ne peut se résoudre à la perversité et il n'est pas rare qu'elle cherche des excuses à son bourreau.

Ce qui accroît sa vulnérabilité, c'est son sens des responsabilités et sa propension à se culpabiliser… elle admet trop facilement la critique et se tue à donner satisfaction. http://callways.com/...rcissique.shtml

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Membre, 33ans Posté(e)
Arcanes87 Membre 75 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Bonsoir,

C'est marrant que t'en parles : cette année a été dure à ce niveau là pour moi et mon entourage.

Il faut dire que je "connais" quelques personnes de ce profil, et c'est pas facile, surtout quand c'est des personnes proches au niveau familial...

Quelle est la raison de ton post soit demandé en passant ? Tu as été une victime ?

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
Posté(e)

excellent topic!:bo:

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Invité Grenadine33
Invités, Posté(e)
Invité Grenadine33
Invité Grenadine33 Invités 0 message
Posté(e)

Ces personnes sont de véritables plaies dont il est difficile de se défaire. Une fois identifiées, on arrive à mettre enfin un mot sur ce que l'on ressent. J'ai eu une voisine comme cela, une horreur. J'ai fini par la laisser devant porte close tellement elle était envahissante et toxique.

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Invité caminde
Invités, Posté(e)
Invité caminde
Invité caminde Invités 0 message
Posté(e)

Quelle est la raison de ton post soit demandé en passant ? Tu as été une victime ?

Bonjour,

Oui, j'ai été une victime de la part d'un homme dont j'étais amoureuse, relation de 6 années, mais pas de vie commune, sauf la dernière qui fut une catastrophe mentale pour moi (le nombre de fois où cette 6è année de vie commune j'allais pleurer dans un coin, cachée, avec la boule d'angoisse dans ma gorge qui grossissait, (eh oui, monsieur détestait les pleurs, ça je l'avais compris)) et avec lequel j'aurais souhaité refaire ma vie affective,

et de la part de ma seule soeur aînée, après la rupture, venue du monsieur en question, sans aucun ménagement

Alors moi, ce fut la descente aux enfers.............................

Mais moi, j'ai réussi à bien remonter

Merci à la psychothérapie et aux livres permettant de prendre le recul et de comprendre ce qui peut se passer à l'intérieur de soi

Ca permet de se détacher de telles personnes.

Et je suis suffisament fière et contente de ma vie, passée, et ensuite et actuelle

Je me suis battue contre moi-même, pour me débarasser de ces chaînes mentales, et ce qui domine dans ma t^te, ce sont les années et toutes les périodes de bonheur du passé.

Le mauvais du passé, c'est le passé, je garde de préférence le bon, et zou, en avant ! sourire en tête et sur le visage le plus possible.

Mais je ne laisse plus personne essayer de me démolir ou me faire culpabiliser, sauf sur des erreurs de travail ou d'interprétations , ce qui arrive souvent

Ca, je sais le faire, reconnaître les erreurs venant de moi.

Ce n'est pas dramatique de le faire.

C'est plus juste pour l'autre et les autres, je crois

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Membre, 33ans Posté(e)
Arcanes87 Membre 75 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

:plus:

Oui, ce qui est super vicieux avec le PN, c'est que d'un côté il est perçu socialement surper bien, et donc personne ne croit la victime... Il engendre de la souffrance psychologique tout autour de lui, autant sur la victime que sur ses bras armés, et le pire c'est qu'il arrive à faire culpabiliser sa victime...

En tout cas, c'est très bien que tu aies pu réussir à te sortir de ça et à t'en sortir, car je sais bien que c'est pas évident et facile à ce défaire de ce genre de personnages...

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
Posté(e)

:plus:

c'est l'isolement total pour la victime

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Invité caminde
Invités, Posté(e)
Invité caminde
Invité caminde Invités 0 message
Posté(e)

c'est l'isolement total pour la victime

Oui

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
Posté(e)

Discourt stigmatisant et orienté envers ces personnes. On reproche au PN de vouloir faire culpabilisé et isolé ses '' victimes'', bizzarement sur ce topic on peut voir que toute la culpabilité revient au PN et qu'il est stymatisé par exemple :

Ces personnes sont de véritables plaies

Bonjour,

Oui, j'ai été une victime de la part d'un homme dont j'étais amoureuse, relation de 6 années, mais pas de vie commune, sauf la dernière qui fut une catastrophe mentale pour moi (le nombre de fois où cette 6è année de vie commune j'allais pleurer dans un coin, cachée, avec la boule d'angoisse dans ma gorge qui grossissait, (eh oui, monsieur détestait les pleurs, ça je l'avais compris)) et avec lequel j'aurais souhaité refaire ma vie affective,

et de la part de ma seule soeur aînée, après la rupture, venue du monsieur en question, sans aucun ménagement

Alors moi, ce fut la descente aux enfers.............................

Mais moi, j'ai réussi à bien remonter

Merci à la psychothérapie et aux livres permettant de prendre le recul et de comprendre ce qui peut se passer à l'intérieur de soi

Ca permet de se détacher de telles personnes.

Et je suis suffisament fière et contente de ma vie, passée, et ensuite et actuelle

Je me suis battue contre moi-même, pour me débarasser de ces chaînes mentales, et ce qui domine dans ma t^te, ce sont les années et toutes les périodes de bonheur du passé.

Le mauvais du passé, c'est le passé, je garde de préférence le bon, et zou, en avant ! sourire en tête et sur le visage le plus possible.

Mais je ne laisse plus personne essayer de me démolir ou me faire culpabiliser, sauf sur des erreurs de travail ou d'interprétations , ce qui arrive souvent

Ca, je sais le faire, reconnaître les erreurs venant de moi.

Ce n'est pas dramatique de le faire.

C'est plus juste pour l'autre et les autres, je crois

Peut être est-ce vous la PN finalement, vous vous faites passer pour la victime et mettez toute la culpabilité sur votre ancien conjoint .

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
Posté(e)

Discourt stigmatisant et orienté envers ces personnes. On reproche au PN de vouloir faire culpabilisé et isolé ses '' victimes'', bizzarement sur ce topic on peut voir que toute la culpabilité revient au PN et qu'il est stymatisé par exemple :

Ces personnes sont de véritables plaies

Bonjour,

Oui, j'ai été une victime de la part d'un homme dont j'étais amoureuse, relation de 6 années, mais pas de vie commune, sauf la dernière qui fut une catastrophe mentale pour moi (le nombre de fois où cette 6è année de vie commune j'allais pleurer dans un coin, cachée, avec la boule d'angoisse dans ma gorge qui grossissait, (eh oui, monsieur détestait les pleurs, ça je l'avais compris)) et avec lequel j'aurais souhaité refaire ma vie affective,

et de la part de ma seule soeur aînée, après la rupture, venue du monsieur en question, sans aucun ménagement

Alors moi, ce fut la descente aux enfers.............................

Mais moi, j'ai réussi à bien remonter

Merci à la psychothérapie et aux livres permettant de prendre le recul et de comprendre ce qui peut se passer à l'intérieur de soi

Ca permet de se détacher de telles personnes.

Et je suis suffisament fière et contente de ma vie, passée, et ensuite et actuelle

Je me suis battue contre moi-même, pour me débarasser de ces chaînes mentales, et ce qui domine dans ma t^te, ce sont les années et toutes les périodes de bonheur du passé.

Le mauvais du passé, c'est le passé, je garde de préférence le bon, et zou, en avant ! sourire en tête et sur le visage le plus possible.

Mais je ne laisse plus personne essayer de me démolir ou me faire culpabiliser, sauf sur des erreurs de travail ou d'interprétations , ce qui arrive souvent

Ca, je sais le faire, reconnaître les erreurs venant de moi.

Ce n'est pas dramatique de le faire.

C'est plus juste pour l'autre et les autres, je crois

Peut être est-ce vous la PN finalement, vous vous faites passer pour la victime et mettez toute la culpabilité sur votre ancien conjoint .

:mef:

un peu de respect...

c'est ce genre de remarques qui englue encore plus les victimes quand elles sont en plein dans la situation

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Invité Grenadine33
Invités, Posté(e)
Invité Grenadine33
Invité Grenadine33 Invités 0 message
Posté(e)

Oui, très constructif comme commentaire.

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Membre, 110ans Posté(e)
Encéphale Membre 4 476 messages
Baby Forumeur‚ 110ans‚
Posté(e)

Portrait du bourreau : (le pervers narcissique)

Ses armes favorites : isoler, disqualifier, refuser la communication, brimer.

On a deja eu l'isolement et la disqualification( vous pronez l'éloignement de ces personnes), les brimades et maintenant on passe au refus de la communication (toujours sur un air de victimisation) :

:mef:

un peu de respect...

c'est ce genre de remarques qui englue encore plus les victimes quand elles sont en plein dans la situation

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Membre, 33ans Posté(e)
Arcanes87 Membre 75 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Portrait du bourreau : (le pervers narcissique)

Ses armes favorites : isoler, disqualifier, refuser la communication, brimer.

On a deja eu l'isolement et la disqualification( vous pronez l'éloignement de ces personnes), les brimades et maintenant on passe au refus de la communication (toujours sur un air de victimisation) :

:mef:

un peu de respect...

c'est ce genre de remarques qui englue encore plus les victimes quand elles sont en plein dans la situation

Je crois que tu généralises un peu trop sur ton point de vue.

Le PN isole sa victime des autres et d'une aide éventuelle, la solution pour s'en défaire et de ne plus avoir de contact quel qu'il soit avec une personne avec un profil de PN. Car si on maintiens ne serait-ce qu'un infime lien, le PN pourra encore se nourrir de se lien pour combler son vide intérieur avec la substance vitale de sa victime, et le processus continue.

Je ne vois pas où tu trouves que la communication est arrêtée par rapport à ce que l'on dit...

Tout ce que cela m'inspire c'est que tu n'as jamais été confronté à ce genre de personne et ce genre de situation.

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Invité caminde
Invités, Posté(e)
Invité caminde
Invité caminde Invités 0 message
Posté(e)

Portrait du bourreau : (le pervers narcissique)

Ses armes favorites : isoler, disqualifier, refuser la communication, brimer.

On a deja eu l'isolement et la disqualification( vous pronez l'éloignement de ces personnes), les brimades et maintenant on passe au refus de la communication (toujours sur un air de victimisation) :

En ce qui concerne les armes du bourreau, le PN, que vous relevez:

-ce fut exactement ça pendant l'année de vie commune (9 mois) avec moi

-de plus, il a pris une décision pour son avenir sans m'en faire part, sans en discuter avec moi , m'évinçant d'emblée en disant que les couples étaient peu admis dans ce vers quoi il allait (poste d'inspecteur pédagogique au Cameroun, là où nous nous étions connus la 1ère année)

-l'année suivante, vers mai juin je lui avais écrit une lettre envoyée chez sa soeur , lui demandant de nous revoir, je lui laissais le choix de l'endroit, j'avais pendant cette année réfléchi à ses demandes envers moi, je pensais avoir davantage compris ce qu'il voulait.

Moi, naïvement encore, je pensais qu'en 1 an, il était possible de réfléchir à ce qui s'était passé, dit et non-dit.

Et je l'aimais encore, je le lui ai dit dans la lettre (c'est donc que je ne lui voyais pas que des défauts, bien au contraire)

J'ai passé tout l'été à attendre une réponse de sa part.

Au mois de septembre, toujours aucune réponse,je voulais le voir, savoir, parler, un peu, quand même.Sur la 4 voies, un jour, je croise son vieux camipng car. Demi-tour, je vais chez sa soeur.

Il y était seul avec sa nièce, dans le garage à préparer la cantine pour son retour au Cameroun

Il commence d'emblée à me dire "qu'il croyait que je comprendrais toute seule"

Puis me propose d'en parler chez sa soeur.

Moi: ' "non, pas devant la petite"

Lui: "oui, c'est vrai"

Nous nous donnons Rv dans un café

Là, il m'a accordé gracieusement 1/4 d'heure, pas plus

En me parlant sur un ton très dur,

et en me reprochant d'avoir décidé de vivre mon année sabbatique en Inde l'année avant notre 9 mois de vie commune à cause de lui.

Ce qui était faux et archifaux.Moi, j'avais décidé de vivre cette année sabbatique:

1/ parce que j'aimais les voyages, c'est ma passion depuis très jeune

2/ toute la dernière année de mon travail en Inde,il m'arrivait souvent de mettre des cartes devant moi, le soir, et j'imaginais la route et le parcours que je pourrais faire.

3/je m'étais dit en projetant cette anée sabbatique que , si ça ne marchait pas avec lui, eh bien je serais partie à vivre quelque chose dans quoi je savais que j' 'y serai heureuse

4/ Et c'est bien ce qui s'est passé pendant cette anée sabbatique, voyage seule, mais décidée par moi (avec son accord puisque nous nous sommes retrouvée 1 mois au Népal), et moi toute seule, indépendamment de lui et de tous.

Et je me félicite de l'avoir fait, j'en garde un superbe souvenir.

De plénitude, de liberté, de joie, d'émerveillement.

Fin du RV: et au bout de ce 1/4 d'heure, paf, nous sortons, à sa demande, il dépose à peine une bise sur ma joue, la droite, et me dit "Adieu!"

Et moi, en larmes et effondrée, mais doite dans la rue près de la tour Solidor St Malo, face à la mer,

:smile2: bref, la rupture amoureuse dans toute sa splendeur, le romantisme absolu, badaboum, par terre, finito le bel amour, et la bonne femme qui commence son grand désespoir et en devient folle de douleur intérieure. A se taper la tête contre les murs. Paumée de chez paumée à souhait !:smile2:

Et voilà le travail!:smile2:

Conclusion: bon, alors Encéphale? C'est toujours moi qui était le PN? La personne qui culpabilisait? Qui éloignait alors?Qui refusait de communiquer?

PS: je passe sur toutes ses réactions sarcastiques dans nos quelques , pas nombreux, ni très développés, dialogues, au cours des 9 mois de vie commune. Et sur d'autres paroles et faits, venant de lui.

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Invité Grenadine33
Invités, Posté(e)
Invité Grenadine33
Invité Grenadine33 Invités 0 message
Posté(e)

Je vois pas pourquoi tu te justifies en donnant autant de détails sur ton histoire personnelle. Tu sais très bien qui a été victime, point barre.

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Membre, 33ans Posté(e)
Arcanes87 Membre 75 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

:plus: Nul besoin de te justifier à mon sens ;)

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 48ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
48ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

Ce n’est pas parce que le manipulateur est plus malin, mais parce que, pour lui, il n’y a aucune différence entre le bien et le mal. Il pense toujours avoir raison, c’est tout !

Incidemment, vous supposez que la notion de bien et de mal est objective.

J'observe souvent cette différence : dans les sujets de philosophie, le bien et mal sont présentés comme subjectifs, dépendant de chacun. Dans les sujets sur les aliénés, le bien et le mal sont présenté comme des normes universelles et objective.

D'où ma question : faut-il être fou pour être philosophe ? Tous les philosophes sont-ils des pervers narcissiques ?

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Membre, forumeur alchimiste/Honey, Posté(e)
Nightwish Membre 10 322 messages
forumeur alchimiste/Honey,
Posté(e)

par respect pour l'auteure, le sujet, etc, pour débattre de cette question le mieux serait d'ouvrir un sujet (s'il n'existe déjà) non?

Ce n’est pas parce que le manipulateur est plus malin, mais parce que, pour lui, il n’y a aucune différence entre le bien et le mal. Il pense toujours avoir raison, c’est tout !

Incidemment, vous supposez que la notion de bien et de mal est objective.

J'observe souvent cette différence : dans les sujets de philosophie, le bien et mal sont présentés comme subjectifs, dépendant de chacun. Dans les sujets sur les aliénés, le bien et le mal sont présenté comme des normes universelles et objective.

D'où ma question : faut-il être fou pour être philosophe ? Tous les philosophes sont-ils des pervers narcissiques ?

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 48ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
48ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

Discourt stigmatisant et orienté envers ces personnes. On reproche au PN de vouloir faire culpabilisé et isolé ses '' victimes'', bizzarement sur ce topic on peut voir que toute la culpabilité revient au PN et qu'il est stymatisé par exemple :

:plus:

Les malades mentaux sont stigmatisés dans notre société. Si un Homme est un pervers narcissique, ce serait de sa faute, et tute l'opprobe tomebrait sur lui. :sleep:

Mais le pervers narcissique n'est pas l'homme le plus victime des racistes anti-aliénés. Les sociopathes sont, plus que tous les autres, accusés de tous les maux.

Accuser un autre homme d'être un fou à enfermer est une méthode utilisée par Staline.

Staline_papa2.jpg

Le PN isole sa victime des autres et d'une aide éventuelle, la solution pour s'en défaire et de ne plus avoir de contact quel qu'il soit avec une personne avec un profil de PN. Car si on maintiens ne serait-ce qu'un infime lien, le PN pourra encore se nourrir de se lien pour combler son vide intérieur avec la substance vitale de sa victime, et le processus continue.

Le PN (Pervers Narcissique) serait donc une sorte de vampire se nourrissant de l'énergie vitale de ses victimes ?

Ce n'est même plus un homme à vos yeux, c'est un monstre, c'est une bête !

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Membre, Surhomme Nietzschéen, 48ans Posté(e)
Zarathoustra2 Membre 8 656 messages
48ans‚ Surhomme Nietzschéen,
Posté(e)

par respect pour l'auteure, le sujet, etc, pour débattre de cette question le mieux serait d'ouvrir un sujet (s'il n'existe déjà) non?

Vous avez parfaitement raison, j'ai créé un fork du présent topic : Faut-il être fou pour être philosophe ?

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