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poésie saccadée


fille du peuple

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fille du peuple Membre 73 messages
Baby Forumeur‚
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27aout 2010

Poésie saccadée, en escalier. Musique persiflée, en espalier. Cimetière des souvenirs sont des éclairs fusillés la nuit. Ciel sans reproche qui se révolte dans la puanteur des éclats de vies. Vomir ses peurs. Ravage dans une mémoire qui se veut éphémère. Galvauder des instants précieux où ton sourire s’accroche sur tes lèvres. Éphémère.

Habiller ses rêves pour survivre malgré une douleur encore trop vive. Un dard dans un cauchemar, un glaive dans un songe, une épine dans la vie. Évanescence. Abysse de douceur. Puits sans fond qui crèvent la soif. J'ai si soif.... Gravats de pierre qui ensevelies des cris sans appel sans scalpel. Bris de colère, le soleil colmate des fissures. Marteler mes nuits. Mâtiner mon regard lorsque tu te réveilles. Maquiller mes pensées pour t'offrir un demain. Épingler des nuages dans mon monde où mon ami pierrot se casse toujours la gueule de la lune. Nuage blancs, nuage gris. Marquise de la chaussée lunaire reste la putain de ma littérature. Tandis que je conchie toujours autant les gens gantés de blanc parce que petits ils ont grandi sur des bitumes trop propres. Tuméfier des bras pour parfaire un monde meilleur suivant ton regard. Rire acide. Agrémenter une journée pour me complaire dans je ne sais quoi. Broder des mots sur des verbes pour passer le temps. Solitude de solitude je te merde de plus en plus haut. Fulgurante la douleur. Je suis moi. Pas d’artifice pour combler le rien.

Le 29 août

Pauvre fille. Tu n auras jamais de balançoire. Ni même de tortue. L’ombre de tes rêves. Chimère. Pas grave. L’habitude. Juste un jardin de fleurs et de poésie. Le reste n’a guère d’importance. L’hivers avec son éternel s va s’installer. Propre, sans surprise. Sans bavure. Juste des rayures. Sont creuses ses rayures. Des silences plus épais que la neige, plus froid que l’hivers. Des yeux en transhumance qui cherchent juste une éclaircie. Sombre la vie. J’entends le chant flûté des crapauds, le glas prés du lavoir. Les ombres chinoises s’installent dans ma tour de glace. C’est joli et reposant. Sourire. Pâle sourire qui n’égaye pas mon regard. Le chemin est long parsemé de cailloux. Petits cailloux qui font que chaque pas devient cuisant. Lumière. Les peupliers continuent de secouer leurs frêles branches sur la rive de mes pensées. Vouloir vivre.

31 août 2010

Pourquoi je n’arrive pas à être heureuse ? J’ai tout. Mais dans ma tête je me sens seule. Les idées restent, se chevauchent. Tout est barbouillé, sans dessus-dessous. Un bordel pas possible. J’avance, mais sans entrain. Juste peur dans mon ventre. Les cauchemars la nuit sont toujours là. Cela me glace, me pétrifie. Et j’ai tout pour être heureuse. Une jolie maison, un gentil garçon que j’aime bien beaucoup. Mais je ne me donne pas. Une retenue. Je ne l’aime pas cette retenue. Pas de soleil. Tout est soufflé, sans bruit. Grincement de porte à clapet dans ma tête. J’entends ton souffle la nuit. Saccadé, pause. Je n'ai pas confiance en la vie.

Le 2 septembre

J’ai froid. Très froid. Dans mon ventre ça grince. Peur. Très peur. Peur d’entendre crier. Peur de sa colère. J’ai rebu. Parce que dans mon ventre, dans ma tête trop de foutoir. Je veux juste m'isoler. Dormir pour ne pas bramer.

6 septembre 2010

Tout est rose et amour. Tout ce bouscule.

Les images de violence que j ai connu et la liberté.

La maison belle et l appartement. Liberté ou soumission.

J’avais fini avec les enfants. Et me voilà de nouveau dans un rôle exigu. Je suis la méchante. La tendresse ? Avec de la chance de 4h du matin à 8 h. et oui j’ai bu.

Voilà plus de 6 mois que je n’avais pas bu de colère. Mes émotions sont dans le bordel. Pourquoi je suis en colère ? Parce que je ne gère rien. Tous mes sens vont à contre sens. Oui je l’aime. Non rien n’est simple. Oui il y a cette date, putain de date que je m’étais fixé. Va falloir partager, écouter l’autre, donner. Tout ce qui me fou la trouille. Je ne crois pas en l’amour éternel. J’ai peur et je redeviens violente envers moi. Me faire détestable pour ne pas souffrir. Je sais être une garce mieux qu’une femme épanouie. Il ne fallait pas m’apprendre ! Je vous déteste vous les adultes. Je me déteste. Et je ne veux pas que l’on m’aime car je ne crois pas aux promesses, vos promesses sucrées. Que va-t-on me prendre ? Quand le premier coup va-t-il tomber ? Que va-t-on cette fois si m’infliger ? Ça me fait rire noir de trouille dans mon ventre ! Je suis seule dans ma tête. Toujours seule. Solitude puante. Que vais-je encore entendre pour me rabaisser ? Je n’ai pas demandé à plaire ou même à être aimer. J’ai rien demandé. Quoique je fasse, quoique je dise j’ai tord. Alors pourquoi continuer à vivre ? Ce n’est pas facile de voir demain. Comment garder sa liberté sans prendre celle de l’autre? Comment être le plus juste? Je sais que je suis insupportable. Mais c’est plus fort que moi. Je voudrais qu’il me déteste autant que je l’aime. Je voudrais qu’il trouve une jeune femme et pas moi qui décline plutôt vers un âge avancé. Je ne crois pas que l’on puisse aimer une vieille peau plutôt que peau douce et fraîche. Dans 10 ans l’écart sera flagrant. Pourquoi c est pas simple les relations humaines?

Chaque jour, parfois le matin. Parfois le soir. Jour de soleil, jour de pluie. Chaque jour cette date bien précise frappe, cogne dans ma tête sans prévenir. Elle me revient en pleine gueule, lancinante. Chaque jour, chaque seconde me conduit vers cette date du non lendemain. Je voudrais l’oublier, la chasser, de ma tête. Rien ni fait, elle m’attire comme une mouche sur de la fiente. Plus fort que moi. Je décide de tout même de cette date. Même de mon heure.

J’ai vu des éléphants, vu la baie du Mont Saint Michel. J’ai vu des hommes et des femmes tuméfier leurs rêves dans des veines pour éponger leurs illusions. J’ai vu des enfants tremblants d’effrois devants des parents plein de colère et de rage. J’ai vu des bleuets arrachés à pleines mains. J’ai senti les vagues de l’océan sur mon corps un jour d’orage. J’ai senti des mains coléreuses me déchirer le bras parce que j’avais dit non. J’ai cru pendant longtemps que demain serait meilleur. J’ai cru entendre le silence dans mes cauchemars. J’ai gravit le parc des écrins, j’ai enjambés bien des obstacles pour arriver à me connaître. J’ai ôté toute peur face au danger. Je l’ai provoqué. Je l’ai supplié. J’ai vu des champs en friche parsemés de cosmos. Que pourrais-je voir d’autre ? J’ai cru voir un espoir un jour de cette année. Une brèche dans mes projets. Rien. Le néant. Juste des mots plus durs les uns aux autres. Le vide. Juste que je m’isole de plus en plus dans mes pensée. Plus envie. Je m’éteins.

Plus de rêve. Colmater mes pensées pour tenir encore un peu. Sourire à la lune. Cela me fait mal. Pas grave. Je me fou de tout. Blindée. Et pourtant je voudrais continuer. Je voudrais dépasser cette date, maudite date. Putain de date que j’ai flanquée à mes trousses. Chaque jour elle s’approche. Compte à rebours. Badiner avec cette date. Dernier virage d’une vie martelée. Le trop plein d’un rien, le trop vide d’un tout.

Je ne suis pas triste.

9 septembre 2010

On ne peut pas rendre quelqu’un heureux contre sa volonté. Je ne suis pas comme ses ex. je le découvre en cheminant prés de lui. Je suis différente. Je n’ai pas dit mieux, j’ai dit différente. Que pourrais-je lui apporter ? Rien ou le contraire de lui. Mais là je crois que nous courons vers la catastrophe. Son bonheur à lui c’est la fumette et l’alcool. Mon bonheur à moi la fantaisie, la rêverie sans substance pour me faire croire que tout est beau tout est rose. Je ne peux lui donner que ce que j’ai. Et je n’ai pas ce qu’il recherche. J’aime comme il me fait l’amour. C’est doux et bon. Mais la vie ce n’est pas que cela. Il ne sera jamais heureux avec moi, en parade si. Juste en parade. J’ai longtemps cherché quelqu’un à qui je pourrais dire que je n’ai plus peur dans mon ventre, quelqu’un avec qui je finirais ma vie tranquillement. Sans doute ne l’ai-je pas mérité. Ma vie est une bousculade de sentiments cachés, enfouis depuis trop longtemps. Je ne sais pas ce que je vais faire de ma date. Mais marcher encore pendant des années à courir après l’illusion d’un bonheur, je ne veux plus. Je n’y crois plus depuis trop longtemps. Vous n’avez fait mal vous les adultes qui gouverné tout et rien. Prison de pensées. Sourires mensongers.

bleuhaine

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le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

27aout 2010

Poésie saccadée, en escalier. Musique persiflée, en espalier. Cimetière des souvenirs sont des éclairs fusillés la nuit. Ciel sans reproche qui se révolte dans la puanteur des éclats de vies. Vomir ses peurs. Ravage dans une mémoire qui se veut éphémère. Galvauder des instants précieux où ton sourire s’accroche sur tes lèvres. Éphémère.

Habiller ses rêves pour survivre malgré une douleur encore trop vive. Un dard dans un cauchemar, un glaive dans un songe, une épine dans la vie. Évanescence. Abysse de douceur. Puits sans fond qui crèvent la soif. J'ai si soif.... Gravats de pierre qui ensevelies des cris sans appel sans scalpel. Bris de colère, le soleil colmate des fissures. Marteler mes nuits. Mâtiner mon regard lorsque tu te réveilles. Maquiller mes pensées pour t'offrir un demain. Épingler des nuages dans mon monde où mon ami pierrot se casse toujours la gueule de la lune. Nuage blancs, nuage gris. Marquise de la chaussée lunaire reste la putain de ma littérature. Tandis que je conchie toujours autant les gens gantés de blanc parce que petits ils ont grandi sur des bitumes trop propres. Tuméfier des bras pour parfaire un monde meilleur suivant ton regard. Rire acide. Agrémenter une journée pour me complaire dans je ne sais quoi. Broder des mots sur des verbes pour passer le temps. Solitude de solitude je te merde de plus en plus haut. Fulgurante la douleur. Je suis moi. Pas d’artifice pour combler le rien.

Le 29 août

Pauvre fille. Tu n auras jamais de balançoire. Ni même de tortue. L’ombre de tes rêves. Chimère. Pas grave. L’habitude. Juste un jardin de fleurs et de poésie. Le reste n’a guère d’importance. L’hivers avec son éternel s va s’installer. Propre, sans surprise. Sans bavure. Juste des rayures. Sont creuses ses rayures. Des silences plus épais que la neige, plus froid que l’hivers. Des yeux en transhumance qui cherchent juste une éclaircie. Sombre la vie. J’entends le chant flûté des crapauds, le glas prés du lavoir. Les ombres chinoises s’installent dans ma tour de glace. C’est joli et reposant. Sourire. Pâle sourire qui n’égaye pas mon regard. Le chemin est long parsemé de cailloux. Petits cailloux qui font que chaque pas devient cuisant. Lumière. Les peupliers continuent de secouer leurs frêles branches sur la rive de mes pensées. Vouloir vivre.

31 août 2010

Pourquoi je n’arrive pas à être heureuse ? J’ai tout. Mais dans ma tête je me sens seule. Les idées restent, se chevauchent. Tout est barbouillé, sans dessus-dessous. Un bordel pas possible. J’avance, mais sans entrain. Juste peur dans mon ventre. Les cauchemars la nuit sont toujours là. Cela me glace, me pétrifie. Et j’ai tout pour être heureuse. Une jolie maison, un gentil garçon que j’aime bien beaucoup. Mais je ne me donne pas. Une retenue. Je ne l’aime pas cette retenue. Pas de soleil. Tout est soufflé, sans bruit. Grincement de porte à clapet dans ma tête. J’entends ton souffle la nuit. Saccadé, pause. Je n'ai pas confiance en la vie.

Le 2 septembre

J’ai froid. Très froid. Dans mon ventre ça grince. Peur. Très peur. Peur d’entendre crier. Peur de sa colère. J’ai rebu. Parce que dans mon ventre, dans ma tête trop de foutoir. Je veux juste m'isoler. Dormir pour ne pas bramer.

6 septembre 2010

Tout est rose et amour. Tout ce bouscule.

Les images de violence que j ai connu et la liberté.

La maison belle et l appartement. Liberté ou soumission.

J’avais fini avec les enfants. Et me voilà de nouveau dans un rôle exigu. Je suis la méchante. La tendresse ? Avec de la chance de 4h du matin à 8 h. et oui j’ai bu.

Voilà plus de 6 mois que je n’avais pas bu de colère. Mes émotions sont dans le bordel. Pourquoi je suis en colère ? Parce que je ne gère rien. Tous mes sens vont à contre sens. Oui je l’aime. Non rien n’est simple. Oui il y a cette date, putain de date que je m’étais fixé. Va falloir partager, écouter l’autre, donner. Tout ce qui me fou la trouille. Je ne crois pas en l’amour éternel. J’ai peur et je redeviens violente envers moi. Me faire détestable pour ne pas souffrir. Je sais être une garce mieux qu’une femme épanouie. Il ne fallait pas m’apprendre ! Je vous déteste vous les adultes. Je me déteste. Et je ne veux pas que l’on m’aime car je ne crois pas aux promesses, vos promesses sucrées. Que va-t-on me prendre ? Quand le premier coup va-t-il tomber ? Que va-t-on cette fois si m’infliger ? Ça me fait rire noir de trouille dans mon ventre ! Je suis seule dans ma tête. Toujours seule. Solitude puante. Que vais-je encore entendre pour me rabaisser ? Je n’ai pas demandé à plaire ou même à être aimer. J’ai rien demandé. Quoique je fasse, quoique je dise j’ai tord. Alors pourquoi continuer à vivre ? Ce n’est pas facile de voir demain. Comment garder sa liberté sans prendre celle de l’autre? Comment être le plus juste? Je sais que je suis insupportable. Mais c’est plus fort que moi. Je voudrais qu’il me déteste autant que je l’aime. Je voudrais qu’il trouve une jeune femme et pas moi qui décline plutôt vers un âge avancé. Je ne crois pas que l’on puisse aimer une vieille peau plutôt que peau douce et fraîche. Dans 10 ans l’écart sera flagrant. Pourquoi c est pas simple les relations humaines?

Chaque jour, parfois le matin. Parfois le soir. Jour de soleil, jour de pluie. Chaque jour cette date bien précise frappe, cogne dans ma tête sans prévenir. Elle me revient en pleine gueule, lancinante. Chaque jour, chaque seconde me conduit vers cette date du non lendemain. Je voudrais l’oublier, la chasser, de ma tête. Rien ni fait, elle m’attire comme une mouche sur de la fiente. Plus fort que moi. Je décide de tout même de cette date. Même de mon heure.

J’ai vu des éléphants, vu la baie du Mont Saint Michel. J’ai vu des hommes et des femmes tuméfier leurs rêves dans des veines pour éponger leurs illusions. J’ai vu des enfants tremblants d’effrois devants des parents plein de colère et de rage. J’ai vu des bleuets arrachés à pleines mains. J’ai senti les vagues de l’océan sur mon corps un jour d’orage. J’ai senti des mains coléreuses me déchirer le bras parce que j’avais dit non. J’ai cru pendant longtemps que demain serait meilleur. J’ai cru entendre le silence dans mes cauchemars. J’ai gravit le parc des écrins, j’ai enjambés bien des obstacles pour arriver à me connaître. J’ai ôté toute peur face au danger. Je l’ai provoqué. Je l’ai supplié. J’ai vu des champs en friche parsemés de cosmos. Que pourrais-je voir d’autre ? J’ai cru voir un espoir un jour de cette année. Une brèche dans mes projets. Rien. Le néant. Juste des mots plus durs les uns aux autres. Le vide. Juste que je m’isole de plus en plus dans mes pensée. Plus envie. Je m’éteins.

Plus de rêve. Colmater mes pensées pour tenir encore un peu. Sourire à la lune. Cela me fait mal. Pas grave. Je me fou de tout. Blindée. Et pourtant je voudrais continuer. Je voudrais dépasser cette date, maudite date. Putain de date que j’ai flanquée à mes trousses. Chaque jour elle s’approche. Compte à rebours. Badiner avec cette date. Dernier virage d’une vie martelée. Le trop plein d’un rien, le trop vide d’un tout.

Je ne suis pas triste.

9 septembre 2010

On ne peut pas rendre quelqu’un heureux contre sa volonté. Je ne suis pas comme ses ex. je le découvre en cheminant prés de lui. Je suis différente. Je n’ai pas dit mieux, j’ai dit différente. Que pourrais-je lui apporter ? Rien ou le contraire de lui. Mais là je crois que nous courons vers la catastrophe. Son bonheur à lui c’est la fumette et l’alcool. Mon bonheur à moi la fantaisie, la rêverie sans substance pour me faire croire que tout est beau tout est rose. Je ne peux lui donner que ce que j’ai. Et je n’ai pas ce qu’il recherche. J’aime comme il me fait l’amour. C’est doux et bon. Mais la vie ce n’est pas que cela. Il ne sera jamais heureux avec moi, en parade si. Juste en parade. J’ai longtemps cherché quelqu’un à qui je pourrais dire que je n’ai plus peur dans mon ventre, quelqu’un avec qui je finirais ma vie tranquillement. Sans doute ne l’ai-je pas mérité. Ma vie est une bousculade de sentiments cachés, enfouis depuis trop longtemps. Je ne sais pas ce que je vais faire de ma date. Mais marcher encore pendant des années à courir après l’illusion d’un bonheur, je ne veux plus. Je n’y crois plus depuis trop longtemps. Vous n’avez fait mal vous les adultes qui gouverné tout et rien. Prison de pensées. Sourires mensongers.

bleuhaine

bonjour

pas mal du tout , maie je suis nul en poésie pour aprécier .

j ' ' ai l'impression que tu parle de toi ?

bonne soirée

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Membre, Posté(e)
fille du peuple Membre 73 messages
Baby Forumeur‚
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Bonsoir,

C'est juste une partie d'un gros doc que j'ai achevé il y a deux mois. Un mélange sans doute de moi. En même temps je voulais arriver a ce que le lecteur imagine une fin, sans que je dise comment cela va se terminer. Je crois que je suis arrivé a cela. Je ne vous ai donné qu'un extrait.

amitié

bleuhaine

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Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

bonjour

bravos pour l ' extrait , le doc doit ètre intéressant à lire .

bonne journée .

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