conscience de soi

Bonjour, j'ai une dissertation : le repli sur soi permet il de penser sur soi même ?

J'ai penser à un plan en deux axes qui serait dans un premier temps, solitude = liberté, d'avoir son propre avis sans être influencé, permettre de cacher ses défauts ( ses hontes ) et les garder pour soi.

Dans un deuxième temps j'ai penser à autrui: avis différents sur certaine choses, point de vue extérieur, enrichissant, sortir des ses idées ( être ouvert), et apprendre , reçevoir de précieux conseils auxquels nous n'avons pas forcément penser.

Mais je bloque sur la dernière partie.

Puis je avoir votre avis ? Merci

C'est déjà un bon début !

Je pense que tu devrais t'inspirer du système thèse / antithèse. Tu es en quelle classe ?

Le plan thèse/antithèse et synthèse est a oublié.

A première vue, c'est une dissertation de philosophie.

Et que donne ton introduction et qu'elle est la problématique que tu développe car le corps de ton sujet doit répondre à la problématique que tu as formulé en introduction.

J'ai penser à un plan en deux axes qui serait dans un premier temps, solitude = liberté, d'avoir son propre avis sans être influencé, permettre de cacher ses défauts ( ses hontes ) et les garder pour soi.

Dans un deuxième temps j'ai penser à autrui: avis différents sur certaine choses, point de vue extérieur, enrichissant, sortir des ses idées ( être ouvert), et apprendre , reçevoir de précieux conseils auxquels nous n'avons pas forcément penser.

Je verrai plutôt un plan dans ce sens

- solitude => points positifs pour la conscience de soi

- autrui => points positifs pour la conscience de soi

- synthèse/3ème partie => résumé + points négatifs

Du coup,

solitude = liberté, d'avoir son propre avis sans être influencé, permettre de cacher ses défauts ( ses hontes ) et les garder pour soi.

cacher ses défauts/ses hontes n'est pas un point positif pour la conscience de soi

Pour le rapport à l'extérieur, souvent les gens projettent sur nous des défauts qu'ils ont, eux même. Ils les transposent. Ils sont subjectifs, dans ce cas, le regard extérieur n'est pas une aide pour la conscience de soi, au contraire.

Ces deux points (le fait que la solitude n'est pas forcément synonyme d’honnêteté envers soi même, et que les regards extérieurs sont subjectifs) pourraient se rajouter à d'autres idées pour la 3ème partie.