L'art d'ignorer les pauvres...

J'aime bien la pauvreté.

Ouais, bon, d'accord, c'est un gros bourge qui dit ça. Mais bon, un bourge bien bien pauvre.

Et je crois que c'est par la pauvreté que beaucoup de chose vont changer.

Et que personne ne compare notre pauvreté avec celle des siècles passé. La pauvreté actuelle c'est la pauvreté actuelle.

Va voir un peu dans les cités, dans les appartements pourris...

Y a aussi des acteurs qui accentuent la dégradation... ça n'a vraiment rien d'indicatif ton histoire d'appartements pourris

Parce que quand on est pauvre, tout est cher. Et quand quelque chose est cher, il devient précieux. Et si c'est précieux, on en prend soin.

Voilà. Prendre soin, c'est cela que nous devons faire.

Et entre parenthèse, cela sous entend aussi jeter moins, gaspiller moins, polluer moins, etc...

Et si on commence à vraiment prendre soin des choses (même de nos aliments), nous serons encouragés à produire des choses de meilleure qualité. Ce regain de qualité nous encouragera à prendre encore d'avantage soin.

Etc...etc...

Quelle démagogie. Franchement, qui es tu pour parle au nom des pauvres ? Ce sont pas avec des mots qu'on y arrivera..

euh...tu sais, je suis pas bien pauvre, mais en France, plus pauvre que moi, y'en a pas des masses.

Tu as un ordinateur et internet

bon j'ai pas tout lu....

mais pour moi les pauvres c'est les sans domicile fixe.... ainsi que les travailleurs abrutis par le travail (ils sont souvent rémunérés au salaire minimum)..... entre les deux extrêmes, on est plutôt tranquille je trouve.... à condition d'être bouddhiste...... c'est un travail sur soi à effectuer, une évolution spirituelle, un chemin vers l'Arbre de Vie à effectuer.....

Tu as un ordinateur et internet

Oui. Une voiture aussi, l'eau courante et, même, je me chauffe l'hiver.

Bon, peu importe. Je suis un gros richard, je l'admet.

Mais je crois profondément ce que j'ai dit sur la pauvreté.

En fait je ne supporte pas ces élans commerciaux pour la vie "moins chère". Qui dit moins cher dit moins précieux. Et c'est comme ça qu'on se retrouve avec plein de merdouilles dans nos vies et, qui plus est, qui coûtent de plus en plus une fortune en comparaison à ce que c'est.

Voilà. Tu comprend pourquoi je défend la pauvreté comme une solution plausible pour l'humanité.

Même si moi aussi j'aimerai pouvoir avoir une piscine, tout le luxe imaginable dans un palais flambant neuf et dans un décor de rêve, et partir en voyage à l'autre bout de la terre quand cela me chante.

Et bon, bof, je suis sans doute hyper hors sujet, mais j'ai qu'ça à dire en fait...

Parce que quand on est pauvre, tout est cher. Et quand quelque chose est cher, il devient précieux. Et si c'est précieux, on en prend soin.

Voilà. Prendre soin, c'est cela que nous devons faire.

Et entre parenthèse, cela sous entend aussi jeter moins, gaspiller moins, polluer moins, etc...

Et si on commence à vraiment prendre soin des choses (même de nos aliments), nous serons encouragés à produire des choses de meilleure qualité. Ce regain de qualité nous encouragera à prendre encore d'avantage soin.

Etc...etc...

En fait tu es pour la "decroissance" plutot que la pauvreté, non? ^^

Voilà. Tu comprend pourquoi je défend la pauvreté comme une solution plausible pour l'humanité.

oui je comprend se que tu veut dire , c'est vrais que dans l'aide humanitaire , ceux qui aide c'est pas les plus riche qu'on voie mais les modestes et ceux qui n'ont rien car il sont prix en charge .

donc tu croie que de ne pas trop en avoir mène a la raison , et d'en avoir trop mène a la déraison .

après je pense pas qu'il faut en faire une généralité , y a bien quelque riche qui n'ont pas perdu la raison ... enfin j’espère .

En fait tu es pour la "decroissance" plutot que la pauvreté, non? ^^

J'sais pas. Sans doute, si tu le dis; mais j'y comprend pas grand chose.

Ce que je comprend surtout, c'est qu'il faut apprendre à se serrer la ceinture. Et je te promet que je suis le premier que ça emmerde.

y a bien quelque riche qui n'ont pas perdu la raison ... enfin j’espère .

Punaise. J'espère aussi...

(Encore un petit hors sujet et je ma casse, c'est promis)

ON SE FAIT ESCROQUER PAR LES RICHES. C'EST SUR. MAIS BON, POUR CE QU'ILS FONT DE LEUR FRIC...

Cri pas ! on est pas sourd !!

"Pour remédier à cela, un seul moyen. Se grouper dans la rue et démontrer à ces immondices de la Chambre des députés que le peuple ne consent plus à se laisser subjuguer sans résistance. Manifester. C'est tellement facile. Le peuple est le plus fort. Les forces armées et la police ne pourraient rien contre lui [?]. Être dominés par des hommes serait une chose insupportable. Pouvons-nous persister à nous laisser dominer par des impuretés, des matières excrémentielles !"

(Georges Brassens)

nous ne sommes pas dominés par les hommes, nous sommes dominés par l'économie...

nous ne sommes pas dominés par les hommes, nous sommes dominés par l'économie...

et les investisseur , ceux qui font des placement , ceux qui achète pour revendre plus chère etc ... moi je croyais que c'était des hommes , mais bon peu être qu'il vienne d'une autre planète vas savoir

Bonjour adriennedu56,

Tout ce qui est dit sur le sujet, notamment de l’urgence médiatique qui décervelle la pensée collective est exact, c’est une plaie de notre époque.

Mais le mot pauvreté, comme le mot richesse, sont tellement vaste de sens qu’il n’est jamais inutile d’en redéfinir les contours, lorsque nous éclairons un sujet.

Par ailleurs, un revenu minimum par habitant pour définir un seuil de pauvreté ou de non pauvreté sont excessivement relatif, faire une généralité sur le sujet est une absurdité complète.

En effet, le chiffre butoir de 954euros en France, n’a pas la même signification pour une personne, jeune et en pleine santé, ou vielle et malade, vivant en France dans le centre d’une grande ville ou en province.

La vraie pauvreté c’est effectivement une réalité dans le domaine des revenus, mais c’est aussi la pauvreté d’esprit souvent, ou pauvreté de situation de celui ou celle qui, en plein force de l’âge par exemple, attend toujours tout de la société, ouvre le bec en grognant que la collectivité vienne lui livrer sa nourriture à domicile.

Je connais des personnes vivant avec beaucoup moins que les revenus minimum à la campagne, mais elles ont le don de proposer leurs services qui font qu’elles se débrouillent très bien, et réussissent même à épargner, ce qui est en soi un comble, en contradiction complète avec la logique alarmiste des statistiques.

Par ailleurs, l’imbécillité absolue dans le domaine de la pauvreté est de croire que la richesse des uns, engendre systématiquement la pauvreté des autres.

Or, la véritable pauvreté pour un individu de notre époque, c’est de n’avoir aucune compétence, aucune envie de se remuer, d’entreprendre, aucun diplôme, aucun courage, aucune expérience, et de penser que le monde du travail lui doit systématiquement assistance.

Mêmes si mes remarques contrastent avec les propos alarmistes des patentés médiatiques de la bien « pensance », ils n’en restent pas moins pertinent pour autant.

le sujet porte sur la justice sociale...

Pour éclairer le débat : extrait des 356 pages du rapport de Christine Boutin au président de la république "De la mondialisation à l’universalisation : une ambition sociale" rapport remis en décembre 2010 et bien enterré au plus profond d'un tiroir...

.../..."la globalisation de l’économie de marché après 1945 maintient, certes, une paix de soixante-cinq ans entre les grandes puissances de ce monde, ou du moins les puissances occidentales, mais aboutit dans le même temps à la marchandisation des sociétés humaines conjuguée à l’explosion des inégalités, l’homme lui-même devenant une marchandise. Ce double constat ne peut que faire écho à la grille de lecture proposée en son temps par l’anthropologue Karl Polanyi 1.Selon lui, « la grande transformation » du siècle de la première révolution industrielle est le passage des sociétés de communautés à une

« société de marché », qui soumet le lien social à l’étalon du gain. Le marché est étendu comme modèle de régulation à toutes les relations humaines.Concrètement, la terre, la monnaie et le travail deviennent des marchandises comme les autres. Ce qui relevait auparavant d’un encadrement parles communautés et les solidarités villageoises, est mis sous le contrôle du

marché. Désormais, le lien social entre les hommes est « encastré », déterminé par « l’économie » et le « système économique » alors qu’auparavant,« l’économie » était encadrée, « encastrée » dans le lien social .../...

document édifiant... qu'on peut télécharger facilement

et les investisseur , ceux qui font des placement , ceux qui achète pour revendre plus chère etc ... moi je croyais que c'était des hommes , mais bon peu être qu'il vienne d'une autre planète vas savoir

ce que je veux dire c'est que dans cette affaire, l'économie domine les hommes : ils n'ont plus leur libre arbitre...