Un patron sur vingt-cinq serait un psychopathe

Un patron sur vingt-cinq serait un psychopathe

D'après une étude américaine publiée par The Guardian, plus de 4% des patrons seraient des psychopathes qui se cachent derrière leur statut social.

Manipulateurs, ils usent de leur charme pour s'assurer une place de choix dans leur entreprise. Un patron sur vingt-cinq aurait ainsi des tendances psychopathes d'après une étude menée par le psychologue américain Paul Barbiak.

Ces chefs d'entreprise présenteraient ainsi les traits classiques de ce trouble de la personnalité qui se caractérise notamment par l'impulsivité et l'instabilité. Dissimulant leur état derrière leur statut social, les plus intelligents intellectualisent ce que ressent leur entourage sans toutefois parvenir à se mettre émoitionnellement à la place d'autrui.

Ces "psychopathes qui ont réussi" d'après les termes employés par le médecin, parviennent ainsi à grimper les échelons de leur entreprise grâce à leur "charisme", malgré des capacités managériales plutôt faibles.

1% des Américains psychopathes

L'étude, réalisée en collaboration avec le professeur Bob Hare, expert en psychiatrie renommé, précise par ailleurs qu'il est presque impossible de distinguer un chef talentueux d'un patron à tendance psychopathe.

Le même test pratiqué sur le reste de la population conclut que seul 1% des Américains présentent les mêmes troubles, soit quatre fois moins que dans l'échantillon de patrons étudié.

source : l'express

J'adore, faut reconnaitre que certains sons clairement pas en adéquation avec leur mission et sur-joueront leur autorité qui n'a rien de naturelle pour compenser leur manque de compétence.

NB. erreur dans le titre, ce n'est pas en Angleterre mais aux USA

Suffit de voir l'ex patron du FMI,pour en avoir la confirmation !

Les psychopathes sont mieux adaptés à l'entreprises que les autres. C'est une forme de sélection naturelle : les plus aptes réussissent mieux.

... à hauteur de 4%

les 96% restant devant alors n'être que des erreurs de parcours alors

C'est plus que la moyenne, c'est donc que ce critère est sélectionné. Après, c'est évident que l'évolution ne se fait pas en un jour. Les entreprises, actuellement, sélectionnent les psychopathes, il faudra plusieurs générations pour que le nombre de sociopathes augmente dans la population totale.

Ces "psychopathes qui ont réussi" d'après les termes employés par le médecin, parviennent ainsi à grimper les échelons de leur entreprise grâce à leur "charisme", malgré des capacités managériales plutôt faibles.

C'est vrai que certains ont un pète au casque et la personnalité managériale des cadres laisse parfois à désirer. À mon avis, l'objectif majeur d'un dirigeant est la motivation positive de son employé et de l'expression de son talent. Le reste vient tout seul ...

Il faut que je montre cette étude à mon boss.

Et une employée sur deux serait une nympho

Non, là je rêve :D

Californication, tu serais pas un patron psychopathe par hasard ? :D

Californication, tu serais pas un patron psychopathe par hasard ? :D

Disons que je suis le fils du patron :smile2:

... à hauteur de 4%

les 96% restant devant alors n'être que des erreurs de parcours alors

Salut.

Pas forcément. Pour accéder au sommet de l'entreprise, il faut des compétences, ce qui n'est pas donné à n'importe quelle personne atteinte de troubles psychopathique. Ces troubles sont certes un avantage mais ça ne fait pas tout. Si 100% étaient atteints, on aurait pu dire que ce caractère était un avantage absolu.

Autre hypothèse, c'est la position de patron qui donne des troubles psychopathiques. A force de virer des femmes seules avec enfants et des femmes enceintes, ça doit surement avoir quelque effet sur la conscience...

++

Je pense qu'il faut aussi se mettre à la place du patron qui a une boîte à faire tourner ... Dans la vie, il y a des gens fait pour " commander " et des gens qui exécutent les ordres ... Le patron risque souvent plus gros que les salariés ...

Les personnes atteintes du syndrome de l'imposteur expriment une forme de doute maladif qui consiste essentiellement à nier la propriété de tout accomplissement personnel. Ces personnes rejettent donc plus ou moins systématiquement le mérite lié à leur travail. Elles se perçoivent souvent comme des dupeurs-nés qui abusent leurs collègues, leurs amis, leurs supérieurs.

Il s'agirait en l'occurrence d'un fantasme masochiste sapant les mécanismes narcissiques et polluant l'existence du sujet affecté. 60 à 70% des personnes douteraient, à un moment ou à un autre de leur carrière, de la réalité ou de la légitimité de leurs succès¹. Ces pensées négatives sont généralement dépassées par une certaine clairvoyance, mais elles peuvent finir par devenir invalidantes. Ce syndrome est notamment sensible parmi la types d'enfants et d'adultes percus comme "à haut potentiel", ou plus couramment nommés "surdoués".

Je pense qu'il doit y avoir aussi de ça.

Une sorte de lutte interne entre le sentiment d'avoir trop de responsabilités, de ne pas être à la hauteur ; et le plaisir de se sentir tout diriger. Si c'est mal géré, effectivement ça peut tourner très mal, et hop, ils se mettent un salaire 20x supérieurs à celui de leurs employés pour se persuader qu'ils ont davantage de mérite dans leurs travaux...

Mais... 4% seulement? Ca me paraît peu.