la verité sur hervé ghesquiere et stephane taponier

a pyrenne

il n'y a pas qu'aux mont blanc, ils ont ete oblige de mettre des personnes au depard de l'arete a l'aiguille ( du midi) pour eviter aux touriste de passer avec des talons

Les deux "touristes" farfelus irresponsables sont partis faire du militantisme politique à titre personnel dans les montagnes Afghanes, de leur propre initiative, une fois leur reportage avec l'armée terminé ! "ajoute Gérard Liebenguth, Président de l'Amicale Nationale du 22°BCA et des Troupes de Montagne.

Quand je lis de tels inepties je ne puis rétorquer en comptant les morts et les blessés français ,qu'ils crèvent ,ils ont choisi, ai je bon ? Cela pour répondre au général planqué comme il se doit, et au sus nommé ci dessus...

Je ne vais quand même pas chialer pour des types qui sont rémunérés par nos impôts ,je parle des soldats et officiers d'opérette quand il s'agit de l'armée française...

Sauf que les militaires n'avaient rien à redire sur l'itinéraire choisi.

Les deux "touristes" farfelus irresponsables sont partis faire du militantisme politique à titre personnel dans les montagnes Afghanes, de leur propre initiative, une fois leur reportage avec l'armée terminé ! "ajoute Gérard Liebenguth, Président de l'Amicale Nationale du 22°BCA et des Troupes de Montagne.

Quand je lis de tels inepties je ne puis rétorquer en comptant les morts et les blessés français ,qu'ils crèvent ,ils ont choisi, ai je bon ? Cela pour répondre au général planqué comme il se doit, et au sus nommé ci dessus...

Je ne vais quand même pas chialer pour des types qui sont rémunérés par nos impôts ,je parle des soldats et officiers d'opérette quand il s'agit de l'armée française...

il ferait mieux de se taire, le président de l'amicale, et de s'occuper de sa prochaine réunion-petits fours!

cela dit, en tant que mère d'un militaire qui a passé pas mal de temps en Afghanistan et ailleurs, je te le dis de sa part:

les militaires d'opérette t'emmerdent!

il ferait mieux de se taire, le président de l'amicale, et de s'occuper de sa prochaine réunion-petits fours!

Le pauvre n'y est pour rien, ila démenti, comme le général Roudeillac, cette rumeur diffamatoire. Et ce, depuis le mois de mars !

Mais les fachos étant dotés de cerveaux extrèmement lents, on trouve encore cette pseudo-information sur de nombreux sites d'extrème-droite.

Il faut également souligner que la presse de gauche n'a jamais témoigné la moindre sympathie pour les talibans, sauf, encore une fois, pour les cerveaux limités de l'extrème droite française où les deux sont rangés dans la case "ennemi". Cette association est en fait la version moderne du "judéo-maçonnisme" d'antan : quelque chose qui n'existe que pour ces pauvres bas-du-front.

ben y a bien les sherpas népalais qui font l'Himalaya en chaussures pas terribles

ouais, je sais, si je vais là-bas tu voudras rien filer pour que je soies sauvée, avare!

Et la non-assistance à personne en danger alors?

Ben, si faut pas assister ceux qui font des boulots dangereux parce qu'il y a risque et que bien-fait pour leur gueule, zavaient qu'à pas faire ça, ils savaient bien et ça nous coûte, alors faut laisser crever les pompiers quand ils vont éteindre un feu et qu'ils s'y brûlent grave?

Bne j'espère que t'auras le feu chez toi, puis tu verras. Appelles pas les pompiers, ça nous coûte puis ça peut leur faire bobo :p

si tu continues comme ça, c'est certain, je donnerai pas un sou pour te rapatrier du népal, toi

faut pas tout mélanger!

il y a des métiers à risque, oui

mais il y a des risques que certains prennent pour sauver des vies

et des risques que certains prennent pour faire de la tune

ou pour faire leur cake

nuance!

je ne suis pas d'accord avec votre raisonnement : vous supputez qu'ils sont là-bas pour l'argent, mais pourquoi n'y seraient-ils pas pour la volonté de l'information? Ils savaient ce qu'ils risquaient certes, vous appelez cela de l'inconscience voire de l'opportunisme si je vous lis bien, d'autres appelleraient cela de la volonté d'informer ou encore du courage...

On lit en filigrane qu'ils auraient presque dû y rester et claquer une balle dans la tête...c'est je pense une mauvaise interprétation car à vous lire vous semblez plus proche de l'humanisme avec votre volonté de défendre la cause taurine que de ceux qui préfèrent mille fois la mort d'un humain à celle d'un animal...Mais je dois me méprendre certainement

Le pauvre n'y est pour rien, ila démenti, comme le général Roudeillac, cette rumeur diffamatoire. Et ce, depuis le mois de mars !

Mais les fachos étant dotés de cerveaux extrèmement lents, on trouve encore cette pseudo-information sur de nombreux sites d'extrème-droite.

ok, alors, je n'ai rien dit

Le pauvre n'y est pour rien, ila démenti, comme le général Roudeillac, cette rumeur diffamatoire. Et ce, depuis le mois de mars !

Mais les fachos étant dotés de cerveaux extrèmement lents, on trouve encore cette pseudo-information sur de nombreux sites d'extrème-droite.

ok, alors, je n'ai rien dit

c'était dis dès le deuxième ou troisième poste Pyrenne

Pour cela que je m'évertue à les défendre

je ne suis pas d'accord avec votre raisonnement : vous supputez qu'ils sont là-bas pour l'argent, mais pourquoi n'y seraient-ils pas pour la volonté de l'information? Ils savaient ce qu'ils risquaient certes, vous appelez cela de l'inconscience voire de l'opportunisme si je vous lis bien, d'autres appelleraient cela de la volonté d'informer ou encore du courage...

On lit en filigrane qu'ils auraient presque dû y rester et claquer une balle dans la tête...c'est je pense une mauvaise interprétation car à vous lire vous semblez plus proche de l'humanisme avec votre volonté de défendre la cause taurine que de ceux qui préfèrent mille fois la mort d'un humain à celle d'un animal...Mais je dois me méprendre certainement

tu essaies de me faire avaler quoi, au juste?

que les journalistes bossent pour la beauté de la profession?

qu'ils passent outre les informations qu'on leur donne sur les dangers potentiels pour nous révéler d'improbables vérités sur quelques barbus?

non, je n'ai nulle envie que des journalistes se fassent trucider par des enturbannés

mais n'essaie pas de me convaincre qu'ils jouent à chat perché avec les talibans par conscience professionnelle: c'est leur métier, ils le font d'ailleurs souvent bien, mais le risque inconsidéré n'est pas du courage, c'est tabler sur la chance et ça, c'est pas professionnel du tout

et c'est aussi compter qu'on sera là pour les tirer du pétrin, et ça, c'est pas mieux

c'est aussi prendre le risque de nous obliger à fournir du blé, donc des armes à des terroristes, et c'est encore pire

Le pauvre n'y est pour rien, ila démenti, comme le général Roudeillac, cette rumeur diffamatoire. Et ce, depuis le mois de mars !

Mais les fachos étant dotés de cerveaux extrèmement lents, on trouve encore cette pseudo-information sur de nombreux sites d'extrème-droite.

ok, alors, je n'ai rien dit

c'était dis dès le deuxième ou troisième poste Pyrenne

Pour cela que je m'évertue à les défendre

excuse-moi, je n'avais pas vu, désolée :)

A propos de la situation dans cette région

http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/acheter.cgi?offre=ARCHIVES&type_item=ART_ARCH_30J&objet_id=1157246

Al-Qaida consolidée en Afghanistan

Article publié le 17 Mai 2011

Par Georges Lefeuvre

Source : LE MONDE

Taille de l'article : 1315 mots

Extrait : Malgré la mort de Ben Laden, un risque de chaos régional n'est pas à écarter à la frontière afghano-pakistanaise, où les talibans regagnent du terrain. D'où la nécessité de résoudre d'urgence l'épineuse question pachtoune. Une trop grande fréquentation de nos ordinateurs risque d'enfermer la pensée politique dans le mode binaire de leur fonctionnement. C'est un des enseignements de ce printemps arabe que personne, dit-on, n'avait vu venir. Entre l'islam radical et un dictateur censé l'endiguer, perception binaire s'il en est, il y avait une société civile dont peu d'experts avaient tenu compte, mais qui s'est soudain exprimée. L'anthropologie politique est rarement invitée à la table des décideurs.

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"Seconde stratégie : Régler la question pachtoune"

Pour toutes ces raisons, certains experts tentent de dessiner des solutions alternatives. C’est le cas, par exemple, de Georges Lefeuvre, un anthropologue français, l’un des meilleurs experts des Pachtounes, cette ethnie dont sont issus les talibans et qui se répartit des deux côtés de la frontière entre l’Afghanistan et le Pakistan. Or, selon lui, il est temps de réparer ce qu’il considère comme la grande erreur de départ des Occidentaux : la mise à l’écart des Pachtounes. « Horrifiée par l’obscurantisme des talibans, presque tous pachtounes, la communauté internationale a ostracisé l’ensemble de l’ethnie majoritaire.

Le régime mis en place après la chute des talibans ne comptait que sept Pachtounes, à des postes relativement subalternes, à l’exception du Président Hamid Karzaï, perçu comme l’homme de Washington. En réaction et pendant les huit années qui suivirent, les tribus ont pétri leur résistance comme une pâte feuilletée à trois couches qui seraient : le “pachtounisme” ordinaire, à forte connotation identitaire ; le “talibanisme”, comme bras armé d’une reconquête ; et al-Qaida, qui s’est développée sur ce terreau fertile.

Or, après sa déroute, le mouvement taliban se serait dissous si les chefs de tribus pachtounes avaient eu voix au chapitre. » D’où cette idée de prendre langue avec ceux-ci – qu’ils soient talibans ou pas, d’ailleurs – des deux côtés de la frontière. Objectif : détourner cette « société civile » des talibans et d’al-Qaida. Comment ? en mettant sur le tapis la question de la ligne Durand, qui sépare le Pakistan de l’Afghanistan et coupe la zone pachtoune en deux. Cette frontière, dessinée en 1893 est, selon George Lefeuvre, le « non-dit qui empoisonne les relations entre Afghanistan et Pakistan. »

Pour Islamabad, celle-ci n’est pas à discuter. Pour Kaboul, la ligne Durand n’existe tout simplement pas. « Aucun régime afghan n’a jamais reconnu la ligne Durand comme frontière internationale : ainsi, en juin 2002, le président Karzaï avait invité trois chefs de tribu du Waziristan pakistanais à la Loya Jirga, cette grande assemblée populaire d’exception, alors chargée de définir l’administration intérimaire de l’Afghanistan. Ils y ont siégé de plein droit et ont pu voter ! », reprend Georges Lefeuvre. Pire, la frontière est vécue comme une blessure.

« Les Pachtounes, afghans ou pakistanais, ne comprennent pas pourquoi ils doivent montrer un passeport lorsqu’ils vont voir leur famille de l’autre côté de la frontière. Il faudrait créer une sorte d’espace Schengen de libre circulation. Cela apaiserait la situation. Mais les contentieux historiques et les non-dits sont énormes. C’est aujourd’hui le devoir de la communauté internationale d’aider ces deux États voisins à régler enfin cette vieille question pachtoune, en accord avec la société civile. »

Une diplomatie de la tasse de thé, du dialogue, qui prendrait du temps. Or, cela ne semble pas être le chemin pris par les Occidentaux, pressés sans doute de quitter le plus rapidement possible le bourbier afghan"

source: http://www.lavie.fr/actualite/monde/talibans-ou-pachtounes-le-dilemme-afghan-21-04-2010-5672_5.php