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L'économie solidaire, "un autre regard sur la richesse"


CmoiC

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Membre+, Pitbull le matin, ourse le soir, 48ans Posté(e)
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L'économie solidaire, "un autre regard sur la richesse"


Lundi 20 Juin - 07:57

Fabriquer un téléphone adapté aux malentendants, proposer de la garde d'enfants à 10 centimes de l'heure ou faire travailler d'ex-taulards: l'économie sociale et solidaire s'est présentée comme "un autre regard sur la richesse", lors des premiers Etats généraux ce week-end à Paris.



    [/TAB]"Ce sont des initiatives très nombreuses, très diverses qui ont en commun d'avoir un autre regard sur la richesse", car "elles ont une finalité sociale et sont gérées à l'abri du pouvoir de l'argent", a expliqué Claude Alphandéry, président du Labo de l'économie sociale et solidaire (ESS).
    
    Le fondateur de France Active, association aidant à la création d'entreprises, est à l'origine de l'événement qui a eu lieu au palais Brongniart, l'ancienne bourse de Paris.
    
    "C'est un fort symbole. C'est la bourse ou la vie. Nous, on choisit la vie", a lancé Edgar Morin, philosophe et ancien résistant, lors de l'ouverture aux côtés de deux autres résistants Stéphane Hessel et Claude Alphandéry.
[TAB]

    Pendant trois jours, des rencontres et des débats ont abordé les multiples facettes d'un secteur de quelque 200.000 structures (associations, mutuelles, fondations) qui fait travailler plus de deux millions de salariés et représente 7 à 8% du PIB, selon le ministère des Solidarités.


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forum Source: 20minutes.fr
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Invité Quasi-Modo
Invités, Posté(e)
Invité Quasi-Modo
Invité Quasi-Modo Invités 0 message
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Je pense que c'est une bonne initiative qui rentre dans le cadre d'une économie enfin gérée par le bien commun. Mieux que le développement incessant de gadgets inutiles. C'est marrant parce que l'idée m'avait traversé l'esprit. J'aurai souhaité toutefois que cela s'intègre dans le système en général, c'est à dire faire de l'économie globale véritablement au service du peuple. Le risque est que cela reste marginal un peu comme le bio. Que chaque commercialisation de produit ait à se justifier devant le bien commun serait la moindre des choses.

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