L'histoire de Giuseppe Macchiato

Ce topic est le mien. :p

Je proposes aux filles et aussi aux garçons de racconter l'histoire deGiuseppe Macchiato, un garçon macho. Giuseppe Macchiato est un jeune-homme d'une trentaine d'années, tombeur de filles (dans sa tête).

1. Voici les règles de la rédaction, les garçons doivent essayer de relever l'honneur de Giuseppe, et de défendre sa cause : comment Giuseppe cèderait du terrain à une fille ?!
2. Nous autres devrons essayer de le rendre plus réaliste... Et de contextualiser. Nous les filles disposons également d'un jocker dont les garçons ne disposent pas. Parfois en effet, Giuseppe Macchiato rêve et s'éveille en sueurs s'en voulant d'avoir été par trop animal...
3. (Les commentaires sont autorisés mais entre parenthèses, pour la fluidité de la lecture.)

Il était une fois un jeune homme macho, comme aucune femme n'en a mise d'autre au monde. Pour Giuseppe Macchiato, les filles sont de simples objets de convoitation passagère, et il ne faut pas leur céder la mèche, de crainte de se faire tout prendre... Mais l'attirance de Giuseppe pour les filles est justement son plus grand talon d'Achile,et cela le torture de resentir des choses pour ces êtres faibles. Comment pourait-il être dur envers les charmes des femmes ? Un jour, tandis que Gisueppe prenait le metro pour aller visionner la finale de la coupe du Monde, il heurte une jeune fille à l'épaule et elle fait tomber ses livres qu'elle venait de prendre dans la bibliothèque toute proche. La fille, hyper sexy attend tendrement que Macchiato s'abaisse pour ramasser les livres, et regarde fiévreusement notre macho dans le noir des yeux. Impulsivement,Giuseppe s'abaisse pour ramasser les livres les uns après les autres, les ampile délicatement et les présente à la belle inconnue... Tandis qu'aussitôt il s'en veut de n'avoir pas laissé s'abaisser plutôt la fée blonde en mini moulant le temps de la matter, celle-ci lui demande de bien vouloir les porter pour elle, car il lui a fait mal au bras gauche, et elle habite juste à l'arrêt suivant. Giuseppe accepte en exhibant un sourire idiot, qui fait sourire également la blonde qui se dit qu'elle est encore tombée sur un cas spécial.

...

C'est qui ?

Qui c'est celui là ? Le gros con de " Qui veut épouser mon fils ? "

Je regarde pas ce genre d'émissions.

Je regarde pas ce genre d'émissions.

Telles étaient les réactions des autres personnes à l'entrée du metro. En effet, quel était ce mec avec la chemise à fleurs déboutonée jusqu'au niveau du diaphragme qui souriait dun air martial. Avec en guise de cravate, une grosse chaine portant un sphynx doré si félin... Sagirait-il d'un tournage d'un film tragi-comique, ou d'une caméra cachée ?

Mais Macchiatino ne voyait plus que la jolie inconnue et était comme plume au vents devant sa beauté immaculée...

Le chemin vers la maison de la fille, semblait proprement raccourcir le temps, aux yeux de Giuseppe. Il eut souhaité que cela dure pour l'éternité.

La fille semblait ailleurs, avec le bleu profond de ses yeux, qu'un simple regard perdu confondrait avec autant de soleils qui innondent l'espace de stupeur. Giuseppe était bouche bée, devant la jolie qui lui avait volé le coeur du premier regard. C'est comme si elle avait toujours attendu là, que Giuseppe vienne la cueillir de ses mains.

La porte en bois massif semblait être un monument monstrueux aux yeux de notre macho, qui aurait volontier arrachée la fille de ses grosses griffes, au péril de sa vie même. Tel les princes des contes qui détruisaient les dragons pour conquérir leurs belles... Que ne fût l'étonnement empreint d'extase de Giuseppe, lorsque la fille lui dit d'un sourir à faire crever un pamplemousse : "Je m'appelles Susanne, et toi mon beau ?" Giuseppe serait tombé sur le coup, mais comment aurait-il assumé une telle faiblesse?! Il se releva donc, devant un sourire narquois à peine dissimulé de notre sirène. Qui lui glissa un petit mot qu'elle écrivit sur un morceau de papier qu'elle sortit du fond de son bas, en glissant délicatement sa main par dessous son mini... Giuseppe sentait que le battement de coeur lui chantait une mélodie digne d'un Chopin. Trépassait-il ?!