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la notion énergie........


Invité Nejah Baazouzi

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Invité Nejah Baazouzi
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Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
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pour moi elle est en gros un simple rapport de mouvements au sein de la matière... et vous, chère communauté, qu'en pensez vous? smile.gifsmile.gifsmile.gifsmile.gif

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Je suis tout à fait d'accord avec toi: l'énergie, ce n'est que du mouvement contenu (donc potentiel)ou de l'énergie libéré donc du mouvement.

Commençons par l'énergie libéré:

Macroscopique:

mécanique: l'énergie cinétique

E=1/2 mv² que tout le monde connait.

Qui est tout simplement l'énergie nécessaire à arrêter un mouvement (quantité de mouvement) c'est donc la primitive de cette quantité de mouvement

En relativité Ec= Mo/racine (1-v²/c²) c² -M0 C²

Mais à mon avis, l'energie cinétique relativiste est un mélange entre énergie libérée et potentielle

Microscopique: l'énergie cinétique des molécules est l'expression de l'énergie calorifique E= C T (capacité calorifique x température)

Cette énergie est proportionnelle à la vitesse quadratique des molécules (moyenne) au carré.

En relativité même remarque, se mélange une notion d'énergie potentiel ( augmentation de la masse avec la température)

Au niveau quantique: l'énergie est contenu dans la vibration de la particule E=h mu (constante de Planck à 2 pi près et mu la fréquence)

Le problème c'est que des particules sans masse ont aussi des quantité de mouvement et de l'énergie, les physiciens ont résolu ça avec la trame espace temps qui vibrent ou avec des cordes infiniment fines (dans ce cas là elles n'ont pas d'inertie et on tombe dans l'absurde)

Je continue à penser que l'énergie libéré est toujours contenu dans le mouvement de quelque chose qui a de l'inertie.

Bien sur, je n'ai pas parlé de l'énergie en tant que travail d'une force (force électrique= qE (champs électrique) que multiplie une distance, force gravitationnelle =mg E= mg (delta h) et j'en passe...

Energie acoustique, énergie gyroscopique, énergie cinétique rotatoire.

Mais on a toujours le mouvement de quelque chose....

:gurp: :gurp:

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Membre, forumeur éclairé, 56ans Posté(e)
Lugy Lug Membre 10 224 messages
56ans‚ forumeur éclairé,
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j'ai tout comprit, quand ton patron dit que tu est quelqu'un d'énergique c'est qu'en fait, tu fou plus rien.laugh.gif

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

en quelque sorte...

Il ne faut pas avoir de patron...

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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
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mais un patron peut, en quelque sorte, nous servir, non? :)

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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
Posté(e)

Salut.

L'énergie peut revêtir plusieurs costumes et déguisements. .

++

salut, ce lien fournit des informations classiques, ~~ et y on a des paradoxes... logiquement parler de l'énergie c'est parler de qque chose d'abstrait (pour ma part) et la lumière on peut même la voir :hu:

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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
Posté(e)

Je suis tout à fait d'accord avec toi: l'énergie, ce n'est que du mouvement contenu (donc potentiel)ou de l'énergie libéré donc du mouvement.

Commençons par l'énergie libéré:

Macroscopique:

mécanique: l'énergie cinétique

E=1/2 mv² que tout le monde connait.

Qui est tout simplement l'énergie nécessaire à arrêter un mouvement (quantité de mouvement) c'est donc la primitive de cette quantité de mouvement

En relativité Ec= Mo/racine (1-v²/c²) c² -M0 C²

Mais à mon avis, l'energie cinétique relativiste est un mélange entre énergie libérée et potentielle

Microscopique: l'énergie cinétique des molécules est l'expression de l'énergie calorifique E= C T (capacité calorifique x température)

Cette énergie est proportionnelle à la vitesse quadratique des molécules (moyenne) au carré.

En relativité même remarque, se mélange une notion d'énergie potentiel ( augmentation de la masse avec la température)

Au niveau quantique: l'énergie est contenu dans la vibration de la particule E=h mu (constante de Planck à 2 pi près et mu la fréquence)

Le problème c'est que des particules sans masse ont aussi des quantité de mouvement et de l'énergie, les physiciens ont résolu ça avec la trame espace temps qui vibrent ou avec des cordes infiniment fines (dans ce cas là elles n'ont pas d'inertie et on tombe dans l'absurde)

Je continue à penser que l'énergie libéré est toujours contenu dans le mouvement de quelque chose qui a de l'inertie.

Bien sur, je n'ai pas parlé de l'énergie en tant que travail d'une force (force électrique= qE (champs électrique) que multiplie une distance, force gravitationnelle =mg E= mg (delta h) et j'en passe...

Energie acoustique, énergie gyroscopique, énergie cinétique rotatoire.

Mais on a toujours le mouvement de quelque chose....

:gurp: :gurp:

oui oui oui!, alexandreW t'as bien raison , la base c'est du mouvement et ce n'est qu'à nos yeux que des objets paraissent reposés mellow9wl.gif

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Membre, Posté(e)
Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je suis tout à fait d'accord avec toi: l'énergie, ce n'est que du mouvement contenu (donc potentiel)ou de l'énergie libéré donc du mouvement.

Commençons par l'énergie libéré:

Manque la partie sur le "mouvement contenu", non ? C'est con, parce que j'aurais bien voulu savoir ce que c'est... Aparemment, c'est pas du mouvement tout bete (sinon y aurait pas 2 cas), mais tu appelles quand même ça du mouvement... Pourquoi ? Quel est le point commun entre les deux ?

Doit y en avoir un, forcément.. parce que sinon, si le "mouvement contenu" n'est pas du mouvement, en fait ce que tu as dit c'est que l'energie était du mouvement.. ou pas du mouvement. Et évident, ça serait juste une grosse Lapalissade sans le moindre interet...

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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
Invité Nejah Baazouzi Invités 0 message
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j'aimerais avoir un lien proche et évident de cette idée avec la théorie des cordes, biensur si cette dernière envisage qque chose de réel smile.gif

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Bonjour Nejah,

Tout le problème dans la théorie des cordes est dans les oscillateurs, c'est à dire que dans la théorie M les cordes oscillent en formant différentes formes dans l'espace (coulibali yodepoelle) et dans différentes dimensions (quand ça les arrangent...) Ces oscillations ne sont pas alimentées (pas forcées en physique), ça suppose qu'il ne doit exister aucune perte spontanée d'énergie sous peine de voir disparaitre la particule sans émission d'énergie (puisqu'il n'y a pas d'éther dans cette théorie).

Moi, je pense que:

1- ces oscillateurs ont des grosses pertes d'énergie puisque ces cordes passent leur temps à interagir avec leur environnement

2- ces oscillateurs sont entretenus par l'énergie des photons environnants (comme les toupies dont on entretient le mouvement par un poussoir dans les jouets pour enfant)

Ca veut dire que si on atteignait le 0° K les particules disparaitraient avec une perte pur et simple de leur énergie ou l'émission d'une énergie minimum d'énergie (ce seuil pourrait être le fond lumineux cosmique).

Gloubigoulmachin va nous expliquer en quoi consistent les espaces de coulibali yode poelle qui respectent la symétrie (l'oscillation est équilibrée) et qui est une fonction sur 3 espaces mathématiques,C, espace algébrique, espace topologique)

Quand une dimension s'ouvre une corde peut devenir volumique alors qu'elle était infiniment fine ( ce que je trouve absurde)( quand on joue avec C c'est pour utiliser les fonctions ondulatoires, ne soyez pas impressionnés)

Je n'ai jamais aimé qu'on joue sur les dimensions mathématiques.

Ca fait assez mathématicien qui n'a rien compris à la physique...

Dans la théorie à particule unique, la conservation de l'énergie dans un système clos n'est valable que macroscopiquement jusqu'à l'échelle de l'atome, en dessous l'énergie est apportée au hasard par des Us de vitesse variable et qui alimentent les cordes.

L'énergie est dans tous les cas infinie car il y a une infinité d'espaces intriqué dans la théorie à particule unique qui un espace fractal.

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  • 2 semaines après...
Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Je pense qu'à l'avenir nous serons capable d'utiliser la poussée propre à toute masse qu'est la gravitation et l'antigravitation.

Cette antigravitation a été démontrée et prouvée grâce à l'observation de la fuite accélérée des galaxies.

Cette énergie utilisable et infinie est à portée de main...

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Invité Nejah Baazouzi
Invités, Posté(e)
Invité Nejah Baazouzi
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Posté(e)

oh! très bien AlexandreW; mais comment " à la portée de main "?, j'arrive pas à saisir..

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

oh! très bien AlexandreW; mais comment " à la portée de main "?, j'arrive pas à saisir..

Voila la réponse:

La théorie des cordes modifiée à particule unique explique le fonctionnement des masses. En supposant que la terre sans tenir compte de la croute peut être considérée comme une masse homogène.

L’hypothèse de base est que la seule particule élémentaire est la particule U, elle constitue l’élément de base des quarks, des électrons et des champs gravitationnels et anti-gravitationnels de toute masse. Cette théorie suppose que nous vivons dans un univers U qui est une partie d’un quark, d’un électron ou d’une autre particule porteuse de masse de la dimension du dessus. L’espace est fait d’espaces infiniment intriqués vers l’infiniment petit et vers l’infiniment grand.

L’hypothèse de base a été basée sur l’intuition et sur la nécessité de trouver une théorie qui tienne debout sans invention de particules « béquilles » ou autres hypothèses émises pour pallier à une insuffisance d’une théorie trop abstraite.

Dans cette théorie, les quarks et les électrons ne sont qu’un trajet en boucle d’une particule unique que nous appellerons U.

Cet U est voyageur, il passe d’un NEUTRON ou d’un PROTON à un autre en suivant un trajet localement rectiligne entre les boucles visitées de la périphérie de la masse vers le centre de gravité.Les U se suivent et visitent très régulièrement les boucles. S’il venait à manquer un U plus d’un temps Tmax le trajet de la boucle serait perdu et l’espace libéré entraînerait une libération d’énergie lumineuse (phénomène Forbac …). Les Us voyagent à des vitesses très supérieures à celle de la lumière (sa vitesse est à évaluer). Plus la masse d’une planète est importante plus le flux (comme une douche) de U est important et entraîne toute chose qui se trouve sur son passage, ce phénomène est appelé GRAVITATION.

Les U rapides entraînent les boucles des U plus lents, ce mécanisme explique le phénomène de gravitation universelle.

Dans l’espace, nous sommes en état d’apesanteur, c’est à dire que nous flottons en l’air, il y a trop peu de U rapides pour déplacer nos boucles de U plus lents.

Le nombre de arrivant à la surface d’une planète par unité de surface est la même quel que soit la masse à masse volumique égale, mais plus la masse est importante plus les U sont rapides.

Il n’existe qu’une seule particule : l’univers U de la dimension du dessous

Le quark n’est qu’une boucle dans le trajet Des U.

120° entre chaque plan

Les cordes à U se groupent par 3 soit en un proton soit un neutron

Les protons et les neutrons vont ensemble.

Ceci est un montage stable

PROTON+ANTIPROTON = DISPARITION DES BOUCLES

Les boucles formées par les U sont comme des ressorts qui en disparaissant créent une onde de choc.

Les cordes à U (ou lignes gravitationnelles) reprennent un trajet rectiligne mais comme ils doivent respecter une certaine distance entre eux ils sont soumis à une vibration brutale qui est transmise à la corde adjacente et ainsi de suite...Ceci est appelé onde lumineuse.

La matière ( ou ensemble de boucles ) a disparu en se transformant en onde lumineuse ( aussi appelé énergie lumineuse.

Seules les boucles peuvent faire obstacle et interagir avec des les ondes lumineuses

Les boucles à U sont extrêmement énergétiques puisqu’il s’agit d’une petite boule lancée à des milliards d’années lumière à la seconde et que cette petite boucle a un tout petit diamètre appelé Db.

La matière n’est qu’un chemin pour les U qui visitent ce trajet très régulièrement.

Les U ainsi recrutés pour visiter une boule de matière sont dans une fourchette de vitesse assez étroite : v-(delta)< v< v+(delta), les autres vont soit trop vite soit trop lentement pour se caler derrière le U qui suit un trajet menant à une boucle. Les U de même vitesse à un DELTA près s’attirent et finissent par se suivre les uns derrière les autres.

Ce U qui est recruté est initialement un « prébigbang » (qui est un trou noir massif de la masse d’un univers qui tiendrait dans la dimension du dessous dans une sphère de l’ordre 10 millions de kilomètres)

.

La distance Datt correspond à la distance limite à laquelle un corps peu attirer un autre corps.

Datt pour une planète comme la TERRE doit être de quelques milliards de kilomètre. La zone de recrutement est un espace où les prébigbang un peu trop lents pour être recrutés vont s’accélérer afin de pouvoir attraper le train des U se dirigeant vers la TERRE par exemple, cette zone de recrutement entraînerait une déviation vers la TERRE d’une éventuelle onde lumineuse voyageant dans l’espace et explique le phénomène de lentille gravitationnelle.

Les U arrivant à la surface de la TERRE vont petit à petit de la périphérie vers le centre s’accélérer en prenant un peu de vitesse Vgain entre chaque boucle visitée .Au centre de la terre toutes les cordes à U se rencontrent en un point appelé centre de gravité, ils repartent alors de manière centrifuge pour au moins 5/6 des U mais cette fois-ci libres , les Us libérés vont petit à petit passer en big crunch , tant que ces Us occupent un volume notable, il peuvent interagir par probabilité d’ impact avec les U centripètes .Ceci est à l’origine de la force centrifuge et de la force antigravitationnelle. Ces Us « antigravitionnels » ont un rayon d’action plus important que les lignes gravitationnelles, les masses à une certaine distance se repoussent, ceci est peut-être en partie responsable de la fuite accélérée des galaxies.

2) Gravitation et antigravitation

Les Us des lignes de champs électrique ont une probabilité d’impact avec les objets, la vitesse des U est proportionnelle à la racine carrée de la masse de la planète ou astre à l’origine de ces lignes, les nombre de lignes gravitationnelles par unité de surface étant la même pour un astre de même masse volumique.

La probabilité d’impact d’une ligne gravitationnelle avec les boucles à quark ou à électron est la même avec un astre de masse élevée que pour un astre de petite masse, la différence est dans la vitesse interne des U dans les lignes gravitationnelles et dans leur nombre de cordes respectives.

Vu=kX√M

Exemple sur terre, pour un objet de masse m : p=mg=6 mg- 5mg (gravitation-antigravitation).

L’énergie cinétique d’un U n’est pas relativiste et n’est pas limitée par la vitesse c

Ec u=1/2 m 〖v_u〗^2

Ecu est proportionnel à la force P agissant sur l’objet

Si on remplace vu par k*√M on retrouve la proportionnalité entre le poids d’un objet et la masse M de l’astre.

Pour expliquer la gravitation il faut comprendre qu’il s’agit d’un équilibre de deux flux qui vont en sens opposés :

Le flux gravitationnel qui va dans le sens centripète et le flux antigravitationnel qui va en sens centrifuge avec un rapport de 6 centripète pour 5 centrifuges( ceci est expliqué dans le paragraphe précédent.)

Les lignes gravitationnelles sont faites de cordes tendues qui vont vers la masse les U dans ces cordes sont en expansion car tractés par devant et par derrière par traction par le grand attracteur du U de devant et par le grand attracteur du U de derrière, cette traction se fait par des lignes gravitationnelles de la dimension du dessous.

Les cordes gravitationnelles ont une fréquence de vibration qui dépend de la masse de l’astre, ces ondes sont du même type que les ondes de pression dans un fluide qui se déplace de manière centrifuge dont la fréquence est en rapport avec les base de boucle à quark quand les U deviennent à 8 quarks, cet accrochage décrochage produit une onde de pression longitudinale qui est proportionnelle à Vu et donc à √M

ν=K_2*√M

Ceci est très important pour les futures applications de cette théorie dans l’imagerie, nous pourrons ainsi détecter une masse précise par la recherche et détection de cordes de fréquences précises (une masse très précise et homogène peut servir de traceur sans limite de distance de détection…)

Sans les U centrifuges libres antigravitationnels cette théorie ne tiendrait pas la route : un objet en mouvement autours d’une masse tomberait encore plus brutalement sur la masse avec la vitesse.

Les U gravitationnels étant dans des cordes et les U antigravitationnels étant libres, leur comportement vont être très différent vis-à-vis d’un objet en mouvement dans ces deux champs opposés.

On comprend que plus l’objet ira vite dans le perpendiculaire à g, plus les interactions avec les U antigravitationnels sera plus probable qu’avec les U des lignes gravitationnels ceci va dans les sens de la logique de la physique classique d’un objet en mouvement circulaire autours d’un astre.

Rappelons les lois classiques d’un objet en mouvement circulaire :

Soit v la vitesse de cet objet, s l’abscisse curviligne a_n l’accélération normale a_n=v^(2 )/r avec r la distance au centre de l’astre

L’objet subit une force normale F_n=(mv^2)/r=mω^2/r avec ω=v/r ce qui correspond à la vitesse angulaire en radian par secondes

Cette force est en équilibre avec la force gravitationnelle Fn=mg (g à la distance r) dans un mouvement en équilibre rotatoire.

Avec cette nouvelle physique ces lois peuvent être perturbées dans certaines circonstances ( par exemple quand les lignes gravitationnelles cassent trop tôt bien avant d’arriver au centre de gravité de l’astre comme dans le cas d’un trou noir très massif avec perte des boucles à électrons, ces astres sans électrons ou très peu, ont un champs anti-gravitationnel presque équivalent à leur champs gravitationnel )

La loi F=M*m G/r² ne s’applique plus. L’effet gravitationnel d’une masse augmente de manière linéaire par rapport à la masse uniquement pour les masses peu importantes de l’ordre de quelques millions de millliards de masses solaires après l’effet se stabilise puis commence à redescendre jusqu’à une valeur proche de 0 pour un prébigbang correspondant à la masse d’un univers dans un trou noir de l’ordre de 10 millions de kilomètres de diamètre (d’après la masse estimée de notre univers par les astronomes à peu près…)

Les prébigbang de cette taille doivent très probablement traverser notre univers sans pour autant entraîner de perturbations gravitationnelles dans nos galaxies.

Ils seront trahis par un phénomène lié à la propriété différente des U centrifuges et centripètes :

Les U centripètes sont recrutés à une certaine distance que nous appellerons distance de recrutement, les U qui la composent sont en expansions.

Les U centrifuges eux sont en contraction progressive qui est un phénomène plus lent que l’expansion, les U antigravitationnels d’un prébigbang vont avoir un effet repoussoir très intense quand ils seront à une certaine distance des masses qu’il a traversé.

3) HYPOTHESES POUR LA REALISATION D’UNE EXPERIENCE POUR METTRE EN EVIDENCE LE CHAMPS ANTI-GRAVITATIONNEL

Pour le moment le but de l’expérience est de montrer l’existence des U antigravitationnels .

Pour tenter de piéger les U antigravitationnels nous allons encombrer un volume de l’espace avec des cordes à U d’électrons bien parallèles et bien rapprochées.

Nous utiliserons une série de plaques supraconductrices à température ambiante mises en parallèle isolées deux à deux.

Il y en aura 10 6 sur 1 mm d’épaisseur.

Ces lignes de champ électriques sont perpendiculaires à la surface des plaques conductrices.

Nous supposerons que le flux antigravitationnel se comporte comme un gaz passant à travers un filtre poreux de coefficient de filtration Kf) comportant Nc canaux de longueur l et de rayonn r (ici 1mm et 3 mm pour le deuxième banc d’essai)µ est le coefficient de viscosité de ce gaz .

Les lignes de champs gravitationnels sont des U appartenant à une corde bien rectiligne et bien tendue, celles-ci auront peu de chance d’interagir avec notre banc d’essai.

φ=Kf*Force

force=φ/Kf

Kf=(Nc*πr^4)/8μl

Le nombre de canaux dans le conducteur dépend de l’intensité I du courant existe une relation linéaire entre le nombre de canaux et l’intensité I .

On peut écrire,l’intensité électrique étant le reflet du nombre de cordes à électrons tendues :

I=aNc

La surface des canaux est inversement proportionnelle au nombre de canaux :

s=πr^2=b/Nc

r=√(b/(π*Nc))

En remplaçant r dans l’expression de Kf on obtient :

Kf=b^2/8πlμNc

La force s’écrit donc :

F=8πlμφNc/b²

En écrivant F en fonction de l’intensité de courant :

F=8πlμφaI/b²

On peut écrire :

Cste=8πa/b^2

F=Cste*l*μ*φ*I

Nous devrions avoir dans cette Hypothèse une force de poussée vers le haut proportionnelle à l’intensité du courant jusqu’à une intensité max où brutalement, le débit va devenir supralaminaire et la force va brutalement augmenter jusqu’à Fmax qui sera fonction du flux φ antigravitationnelle en nombre de U par seconde et par m², de la surface S du banc d’essai, l’énergie cinétique de U et du rendement du banc d’essai.

Si Pu est la pression en U à la distance r du centre de la terre, ρ masse volumique du gaz de U à la distance R du centre de la terre.

Fmax=Pu*S

Pu=1/2 ρv_U^2 * K 3 ou K 3 est un facteur de proportionnalité

Fmax=1/2 ρv_U^2*S * K3

F=Fmax*rendement du banc d'essai

F=1/2 ρv_U^2*S*rendement

La masse volumique du gaz ρx de U dépend de la distance par rapport au centre de la terre.

La relation de ρx à la distance x de la surface d’une masse peut s’écrire :

ρ_(x=ρ_0 )*(〖R/(R+X))〗^2

La vitesse limite d’un U libre dépend de l’environnement local dans lequel il évolue et ne peut jamais dépasser Vmaxt

4) PROTOCOLE EXPERIMENTAL

Le but est de saturer au maximum le banc d’essai avec des électrons en nombre et tendus, tout en ayant des lignes de champs électriques bien tendus et parallèles.

Ceci peut se faire en basse tension avec montée progressive de l’intensité à un niveau très élevé, mais ceci pose des problèmes importants d’évacuation des calories produites au sein des conducteurs et du banc d’essai.

On peut également utiliser un condensateur très puissant permettant de délivrer 400 V avec une intensité de plusieurs dizaines de milliers d’ampère pendant un temps très court.

Le condensateur délivrera le courant au banc d’essai qui lui le délivrera à la terre.

Ce deuxième schéma expérimental est moins couteux, mais ne permet pas de faire des courbes permettant le calcul de différents paramètres pour l’utilisation ultérieure de ce banc d’essai à des fins de propulsion ou de production d’énergie.

Le supraconducteur utilisé dont la composition nous est inconnue est encapsulée, les contacts sont en platine.

Il fait un mm d’épaisseur et a une surface de 1 cm²

Les contacts amenant courant sont en cuivre(7 , 5 ), les pieds sont isolants en PVC.

L’axe de rotation se situe en 21.

La balance en 12.

Une autre configuration de l’expérience consisterait à placer la balance du côté opposé au banc d’essai à distance de l’axe de rotation de façon à augmenter la sensibilité de la mesure avec un bras qui sera plus long à gauche qu’à droite et un appui sur la balance en plexiglas isolant (la poussée verticale du banc d’essai vers le haut se traduira par une poussée vers le bas sur la balance)

Il existe une conservation du couple de la force avec f1d1=f2d2 si d1=4d2 par exemple alors f2=4f1 ce qui sensibilise la précision de la mesure.

Le générateur permet de modifier la tension de 0.25 V jusqu’à 12 V et de monter de 0 à 3000 ampères même dans cette configuration en cours circuit.

L'énergie gratuite est possible...

gravitation particule unique.zip

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Le problème des particules sans masse ont-elle de l'énergie?

Si on prend la relativité la masse relativiste on écrit:

m=m0/sqr(1-v²/c²) par convention on change d'unité v=1 veut dire v=c

Une particule sans masse va toujours à la vitesse de la lumière.

Donc selon cette formule sa masse est infinie car on a une division par 0 à la vitesse c, donc son énergie est infinie

Je vous rassure, on a décidé que cette formule ne s'appliquait pas pour les particules sans masse(bricolage).

La quantité de mouvement p=v E ( ou E est l'énergie totale de la particule) pour une particule qui va à c, p=E, p est la quantité de mouvement p=E pour un photon et en mécanique quantique p=h mu ( ou mu est la fréquence du photon).

Si on s'éloigne à une vitesse v d'un objet qui émet des photon.

La relativité dit que le photon qui part de l'objet ira toujours à c pour l'observateur en mouvement, ce qui va varier ce n'est que son énergie, autrement dit sa fréquence, c'est ce qu'on appelle l'effet doppler relativiste, c'est comme ça qu'on vous choppe au radar avec les derniers radars, bien plus précis que les anciens (viseurs lasers, effet doppler+++)

Quand vous perdrez 2 points pensez à ça...

Pour ma part, ce bricolage me fait penser que les particules sans masse ne sont pas des particules, mais des aspects oscillatoires de l'éther luminifère (cf Maxwell) l'expérience de Morley n'a fait que mettre en évidence que cet éther était collé aux masses (dans la théorie à particule unique, la production permanente de cet éther fait partie du fonctionnement des masses et va à la vitesse des masses, rentre en ligne de compte également la gravitation et l'antigravitation(d'où la constante cosmologique merdique...)

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Membre, 60ans Posté(e)
alexandreW Membre 314 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
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Je suis tout à fait d'accord avec toi: l'énergie, ce n'est que du mouvement contenu (donc potentiel)ou de l'énergie libéré donc du mouvement.

Commençons par l'énergie libéré:

Manque la partie sur le "mouvement contenu", non ? C'est con, parce que j'aurais bien voulu savoir ce que c'est... Aparemment, c'est pas du mouvement tout bete (sinon y aurait pas 2 cas), mais tu appelles quand même ça du mouvement... Pourquoi ? Quel est le point commun entre les deux ?

Doit y en avoir un, forcément.. parce que sinon, si le "mouvement contenu" n'est pas du mouvement, en fait ce que tu as dit c'est que l'energie était du mouvement.. ou pas du mouvement. Et évident, ça serait juste une grosse Lapalissade sans le moindre interet...

Bonjour Wipe, excuse moi de ne pas t'avoir répondu plus tôt

L'énergie contenue est l'énergie qui peut se libérer si une contre-force statique venait à s'arrêter ou à se libérer, c'est le principe de l'action et de la réaction de Lord Newton...

Exemple: ouvrir les vannes d'un barrage, l'eau en hauteur que la contre-force de la paroi du barrage empêche de tomber, est levée par l'ouverture des vannes.

Ep=mgh (hauteur du barrage), cette eau va se transformer en mouvement en tombantEc=1/2 mv²

Voilà un exemple d'énergie contenue, mais ça marche pour toute la physique, dans le noyau de l'atome, il y a des ressorts tendus (gluons) qui une fois libéré par fission nucléaire donne vous le savez bien, une catastrophe...

Dans la chimie, il y a des liaisons covalente (liées aux électrons) qui une fois libérée fait que vous roulez en voiture, ou moins bien les explosifs...

La gravitation joue un rôle de ressort.

Il existe des tas de ressorts qu'on ne voit pas à l'œil nu...

Une réaction exothermique, est une libération de mouvement moléculaire dont l'expression est l'énergie cinétique moyenne de ces molécules, cet apport d'énergie crée du mouvement donc du désordre, c'est ce qu'on appelle la thermodynamique, pv=nrt tout le monde connait.

La libération d'énergie par rupture des liaison entre atomes (pour simplifier, je sens que je vais me faire allumer par les chimiste du forum) va s'exprimer donc par émission d'énergie calorifique E=C delta T (bien utilisé dans les chambres isothermes pour l'étude des métabolismes animaux ou autres)

L'augmentation de ce désordre s'appelle augmentation de l'entropie (il existe d'autres notions comme l'entarpie... si vous voulez on pourra faire un post sur le fonctionnement des frigos...)

Et enfin pour moi, l'énergie lumineuse est le mouvement non pas d'une particule mais de l'éther luminifère de Maxwell ( génie total ce type, je prie tous les soirs dans sa direction, c'est mon idole...)

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Wipe Membre 4 815 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
en fait ce que tu as dit c'est que l'energie était du mouvement.. ou pas du mouvement. Et évidemment, ça serait juste une grosse Lapalissade sans le moindre interet...

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