Sauvons les animaux

Jacques Chirac s'est fait refouler à l'entrée du casino de Deauville ce weekend.

En weekend du côté de la Normandie, l'ancien président de la république a voulu aller faire un tour au prestigieux casino de Deauville. Jacques, accompagné de son inséparable chien, n'a cependant pu assouvir son besoin de gambler puisque l'agent de sécurité lui a tout simplement refusé l'accès au casino. Les animaux ne sont pas autorisés au sein de l'établissement et le père Jacques, qui ne bénéficie plus de traitements de faveur à son égard, a donc du choisir entre la roulette et son toutou. Jacques Chirac a décidé de rester avec son fidèle ami et n'aura pas eu le loisir de se cagouler.

PokerActu

hillspet INFOS SUR LES CHATS

Lien ci-dessus sur les chats que je trouve assez intéressant, infos sur le comportement, santé et bien-être, l'alimentation du chat, le déménagement, conseils pratiques...

FELIWAY

Modifié le 7 juin 2011 par samira123

Star, le chien dont j’avais donné des nouvelles le 30/05/2011 vient de décédé.

Star Est, décédé aujourd'hui à 15h00, cet après-midi après avoir Subi une inflammation aiguë du pancréas qui s'est développé ces derniers jours.

Samedi dernier, le chien a passé quelques heures avec ses nouveaux maîtres, il commençait à s’habituer à eux et à son nouveau environnement. Mais elle est tombée malade et a été ramené chez le vétérinaire.

Les tristes nouvelles après que des centaines de personnes ont participé à la manifestation contre la cruauté envers les animaux - la plus grande manifestation jamais organisé.

Carmel Agius (le 6/06/2011)

CNN IReport STAR MORT

Paroles de chanson écrite par Carmel Agius

Musique écrite et jouée par Yanica et Gabrijel de La OverOuts

Star est une image de l'Amour de Dieu.

Le sang et la souffrance que Star a endurés,

Après avoir reçu dans la tête 40 pastilles de plomb,

Et enterré vivant, ce qui nous rappelle le Christ.

C'est parce que Star ne peux pas parler, ne peux pas jurer.

Impossible de parler de tout, de tout ce qui a augmenté sa douleur.

Histoire tragique, Star a été un message de Dieu,

Pour montrer qu'il est impossible pour un chien de survivre à cette horreur.

C'est parce que Star ne peux pas parler, ne peux pas jurer.

Impossible de nous parler de tout ce qui a augmenté sa douleur.

bonsoir

quand je vois l'horreur de ce que star à subit j'en suis malade ben j'espère que ses derniers jours dans la famille lui ont donné un peu de douceur .

Le calvaire de deux Saint-Bernard.

Le 15 novembre 2006, vers midi, un couple de Mouroux (77) constate la disparition de leurs deux chiens de race Saint-Bernard. M. et Mme B. engagent alors des recherches qui dureront jusqu'à 22 heures et qui malheureusement s'avèreront vaines. Le lendemain, ils décident de téléphoner à la fourrière de Chailly-en-Brie, pour savoir si les deux chiens avaient été aperçus. Ils apprennent alors qu'effectivement «Raoul» et « Voxan », âgés respectivement de 3 et 6 ans, ont été retrouvés, mais par les sapeurs-pompiers, sur la commune de Giremoutiers. C'est alors qu'ils sont confrontés à une réalité terrifiante : leurs deux chiens, pourtant totalement inoffensifs, ont été retrouvés pour l'un mort, et pour l'autre dans un tel état qu'il a fallu l'euthanasier afin d'abréger ses souffrances.

Il apparaît assez rapidement, au fil de l'enquête qui est engagée, que les chiens du couple ont été enlevés pour satisfaire une vengeance entre êtres humains. Quatre jeunes gens, âgés d'une vingtaine d'années, ont enlevé les deux chiens dans la cour du pavillon de M.et Mme B. La compagne de l'un de ces jeunes gens déclarera spontanément au commissariat de Coulommiers que son compagnon lui avait expliqué qu'avec ses trois amis, ils avaient passé la soirée et la nuit à faire la fête et que l'un des amis en question avait déclaré, en guise de proposition : « Venez, on va tuer les chiens ! . « Il m'a indiqué, dit-elle, qu'ils sont alors tous montés dans la voiture de l'un d'entre eux, qu'ils ont pris les chiens, qu'ils les ont attachés à une corde derrière la voiture et qu'ils les ont traînés. »

La jeune femme précisera que son compagnon lui avait encore expliqué que l'un des chiens était encore en vie après le quart d'heure d'horreur qu'ils leur avaient imposé et qu'il avait fallu aller achever l'animal à coups de batte de base-ball. Interpellés et entendus par les services de police judiciaire, les quatre jeunes gens vont commencer par nier tout en bloc. Puis l'un d'eux va parler et indiquer aux enquêteurs qui a précisément fait quoi. Ce garçon qui sera insulté et menacé par ses camarades ne reviendra pourtant pas sur ses déclarations.

C'est un particulier qui a découvert les chiens sur la voie publique dans la matinée. « Le premier chien était déjà mort, le deuxième vivait encore et avait les yeux crevés et le museau abîmé. Le chien qui était mort avait le pelage râpé. Toute une partie du pelage était abrasée. Celui qui vivait encore avait un énorme trou entre les deux yeux juste au-dessus de la truffe. Il était visiblement aveugle et se déplaçait avec beaucoup de difficultés. » Le représentant de la fourrière de Chailly-en-Brie décrira le second animal avec encore plus de précisions atroces : « // présentait de grosses traces de brûlures au niveau des membres mais surtout de la tête. Il n'y avait plus de yeux sur ce chien. Il présentait un énorme trou au-dessus du museau et on voyait la boîte crânienne. . Le docteur-vétérinaire Rirera confirmera pour sa part que ce chien était dans un état critique et présentait une large plaie béante, au niveau du front qui englobait les deux globes oculaires.

Devant l'impossibilité de joindre le propriétaire et face à l'état de souffrance de l'animal, une euthanasie sanitaire a été pratiquée » En termes moins pudiques et professionnels, on a préféré euthanasier ce chien plutôt que de le laisser souffrir. Le tribunal correctionnel de Meaux a examiné cette affaire le 16 août dernier. Les quatre jeunes gens ont été condamnés à la peine d'un an de prison dont huit mois avec sursis – soit quatre mois de prison fermes - et une mise à l'épreuve de 24 mois avec obligation d'indemniser les parties civiles dont la SPA.

Par Eric-Denis Ferré, avocat à la Cour

Lang Leana

Arrêter, vous briser notre famille et effrayer nos enfants à faire circuler les noms de nos compagnons, nos enfants sont rejeter par les autres enfants dont les parents sont au courant, des enfants qui eux non pas demander tout cela non plus.

Si vous continuer à vouloir faire justice vous-même c'est que finalement vous êtes vous aussi pareil. Nos enfants ne peuvent pas avoir d'animaux de compagnie, sont souvent évincés des fêtes d'anniversaires de leurs camarades, mais ils sont tout petits ne comprennent pas pourquoi les autres les mettent de cotés ou pourquoi des enfants plus grands ou même des adultes leurs disent ton père a tué des chiens. Croyez-vous que des enfants ont besoins d'entendre cela sur leurs héros.

Des personnes connaissant l'identités du papa de mon enfant l'a un jour croisés avec notre enfant n'a rien dis mais à su ou nous habitions. Un jour ou mon compagnon étais absent, je fus suivie et menacé avec mon enfant. Trouvez-vous cela normal, menacer une mère et son enfant ? Je vous demande de cesser tout cela, je vous en supplie.

Le calvaire de Raoul & voxan sur facebook lui répond :

Moi j'aurais un compagnon comme cela je l'aurais quitté de suite, d'une part et de l'autre un jugement est public, leurs noms ont été diffusés, presse et assos, donc pas besoin de nous quand à celui qui est toujours pompier, eh bien on fera tout pour qu'il ne le soit plus, en aucun cas ce groupe menace les auteurs des faits, on fait juste connaître cette horreur et cela on en a le droit, si vous vouliez la paix, il ne fallait pas traîner des chiens innocents (car eux l'étaient aussi dans ce conflit débile de voisinage) derrière une voiture, c'est immonde de faire une chose pareille, et effectivement les enfants peuvent être fiers de leur cher papa !

Les sanctions étant faibles contre les horreurs que certains font sur les animaux, cela me fait plutôt plaisir d’entendre que certains tortionnaires sont rejetés par les autres, cela me donne un peu d’espoir quand je vois certains défenseurs d’animaux réagir pour faire connaître les faits, et que cela a des conséquences pour les tortionnaires et leurs proches. Pour moi, ces gens sont irrécupérables et ils méritent que tous leurs proches s’éloignent d’eux.

Modifié le 8 juin 2011 par samira123

Il tranche le cou de son fils et crève l'œil du chien / Deux ans ferme

Publié le mardi 19 janvier 2010

Le 5 décembre 2009, Éric B. amène son fils Kévin (*), âgé de 15 ans, aux urgences de l'hôpital américain de Reims. Père et fils ont le même discours : Kévin a été violé par un de ses camarades également mineur. Il a une plaie profonde au cou « faite par le camarade » en question. Les policiers entendent rapidement Kévin mais ses déclarations paraissent peu concordantes. L'adolescent finit par raconter ce qui vient vraiment de lui arriver.

Il était au domicile de son père ce jour-là, en train de prendre un bain. Son père, ivre, est arrivé dans la salle de bain, lui a mis des claques et a tenté de l'étrangler « en serrant fort des deux côtés ». Il lui reprochait de lui avoir volé de l'argent. Puis le père a dit « tu vas voir, je vais revenir avec autre chose ». Joignant le geste à la parole, le père revient quelques secondes plus tard avec… un couteau à pain. Qu'il place immédiatement à l'arrière du cou de son fils, lui occasionnant une sérieuse entaille. Éric B. dit à son fils qu'il va l'emmener à l'hôpital et qu'il faut accuser son camarade de viol et du coup de couteau.

« J'ai dit non, », raconte Kévin, mais il m'a remis des claques. « Alors j'ai dit oui, si tu veux. »

« Je voulais le punir »

« Je reconnais le coup de couteau » avoue le père à la barre. « Mais je ne voulais pas le blesser. Je voulais le punir, parce qu'il m'avait volé des sous dans mon portefeuille. L'accusation de son copain, c'est parce qu'il m'avait aussi volé des sous… » Mais, ajoute-t-il, « je suis un bon père de famille. Mais aujourd'hui, si on laisse faire les enfants, ils voient beaucoup de choses à la télé. On n'a plus droit de rien… Moi » ajoute-t-il encore, « j'ai toujours fait attention à mon gamin »

Autre petit « détail » sordide de l'affaire, on reproche aussi à Éric B. un acte de cruauté envers un animal domestique. Le prévenu explique tout simplement : « moi, j'ai un chien et ma copine, une femelle, issus de la même portée. J'ai vu le chien qui voulait prendre la chienne. Je n'ai pas aimé. On ne couche pas avec sa sœur ». Ni une ni deux, le yorkshire prend quelques coups de balai sur la tête. Puis son maître « bien aimé » lui crève un œil avec son doigt. « Vous pensez que le chien a la même intelligence qu'un homme, les mêmes règles ? » Interroge la présidente du tribunal, Odile Madrolle. « Pour moi, c'est comme un être humain », rétorque le prévenu. Stupeur dans la salle.

L'homme a déjà été condamné à plusieurs reprises, notamment pour des violences. Me Nicolas est venu réclamer une expertise médicale pour Kévin. « Son père se dit bon père de famille mais tout ce que je constate c'est qu'il a failli tuer son propre fils ! Il se dit honnête et qu'a-t-il fait ? Il a demandé à son fils d'accuser son camarade de lui avoir donné un coup de couteau et de l'avoir violé ! »

« Pas la bonne façon d'aimer »

Pour la substitut du procureur de la République Doriane Trombi, ce dossier « prend aux tripes » Elle relit le témoignage de Kévin. « C'est terrible de voir aujourd'hui l'attitude de celui qui se dit son père. Il ne se rend pas compte de la souffrance physique et psychique occasionnée à son enfant. » Il n'a « pas conscience que sa façon d'aimer son fils n'est pas la bonne » À l'encontre de ce « père tyrannique » qui a fait de son fils un « punching-ball », « car son fils, c'est sa chose », elle requiert cinq ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans, avec obligation de soins. Elle requiert également l'interdiction des droits civiques, civils et de famille du père pendant trois ans, « soit jusqu'à la majorité de Kévin »

Me Pappe, pour la défense du père a demandé au tribunal « de ne pas rompre définitivement le lien entre le père et son fils » Elle reconnaît que « les faits sont graves, mais on en rajoute ! » Elle évoque le contexte familial du père « qui n'a jamais connu ses parents. Il s'est accroché à son fils, qu'il aime vraiment. Mais ce jour-là, il a été débordé, il s'en rend compte et le regrette »

Le tribunal a condamné le père de famille à trois ans de prison dont un an avec sursis et mise à l'épreuve pendant trois ans, avec obligation de soins. Une expertise médicale a été ordonnée pour Kévin.

Patricia BUFFET

(*) Le prénom du fils mineur a été modifié pour protéger son identité.

L'union Presse L'ardennais

Si on était intervenu suite à la maltraitance sur le chien, ce drame ne serait pas arrivé.

http://www.youtube.com/watch?v=4Jz3HopiQS8

Manifestation dimanche 12 juin 2011 à 14h00 à GUISE
Lucky le dalmatien traîné derrière une voiture Modifié le 8 juin 2011 par samira123

Je connais aussi ce film, je le trouve très bien.

Evidemment il y a aussi des choses qui ne sont pas montrées dedans pour ne faire voir que le côté négatif (et ça n'en est pas moins indispensable je souligne).

Personnellement je ne mange aucun animal vu que je suis végétaLienne, je le suis car je suis contre toute forme de maltraitance envers les animaux.

La mentalité de certains usines de dégoûte profondément, il faut toujours aller plus rapidement en dépit de l'état de l'animal, je trouve ça honteux !

Je ne connais pas tout du sort des animaux, mais j'essaie de m'informer le plus possible.

Vous pouvez aller voir sur youtube "Ces animaux que tu mange", il n'y a dedans aucune image choquante, c'est expliqué simplement mais clairement

Bonjour Jenolite, je n'ai pas compris de quel film, tu fais allusion, parles tu de la première documentation que j'ai mis sur le sujet. Sinon, j'ai trouvé les vidéos que tu veux parler en allant dans ces animaux que tu mangent sur youtube. Je les regarde et après je vais les mettre, merci pour l'info. :)

Modifié le 8 juin 2011 par samira123

Modifié le 8 juin 2011 par samira123

http://www.youtube.com/watch?v=bSZUh31QjzY&feature=related

C'est un long appel à l'aide qui saisit dès les premières images. Les veaux de l'industrie laitière, souvent à peine âgés de huit jours, séparés de leur mère, crient leur souffrance, leur douleur, leur faim,leur peur. En fond sonore, ce long râle de détresse souligne la brutalité des hommes qui les manipulent dans une absence totaled'attention. Descendus des camions sans ménagement, ils sont tirés par des ficelles passées autour de leur cou, soulevés par la queue, entassés
dans des chariots pattes et têtes coincées dans les barreaux. Dans ces pleurs de douleur assourdissant, on découvre un veau qui s'est étranglé. en voulant s'allonger. La corde était trop courte, le sol de béton glissant sous ses sabots...

Doux comme un mouton, dit-on. Dans les marchés à « bestiaux », ils sont violentés, battus, tirés par les pattes ou les oreilles, poussés et même étranglés..

Ces porcs étaient infirmes ou boiteux. Le sol du corridor était mouillé, et les porcs montraient des difficultés à marcher sur les surfaces humides.
Les images montrent :

- Un employé d'un abattoir donnant des coups de pied à un cochon pour le faire basculer, afin qu'on puisse lui attacher une chaîne à une patte de derrière. Le porc est alors tiré par la chaîne sur le sol du corridor, sur une distance d'environ 10 mètres, jusqu'à l'enclos d'étourdissement.
- Un porc suspendu dans le vide par une chaîne passée autour d'une patte.
- Un porc traîné au sol par un convoyeur pendant qu'un employé essaie de l'étourdir avec une pince électrique.

Chacun de ces trois cochons hurlait de douleur. Ces animaux ont été traités comme des produits agricoles et non pas comme des êtres sensibles.

Selon Bill Swann, vétérinaire et spécialiste en matière d'abattage, « l'utilisation de dispositifs électriques d'étourdissement dans ce contexte est un signe d'incompétence ». Modifié le 8 juin 2011 par samira123

Il donne un coup de pied au chien: il le mord à l'entrejambe

(08/06/2011)

Ce matin, cinq jeunes majeurs de L’Isle d’Abeau, tous connus défavorablement des services, devraient être déférés devant le parquet de Vienne pour violences, rébellions, outrages et menaces de mort à l’encontre des forces de l’ordre. L’un d’eux également pour “mauvais traitement sur un animal”.

Les faits remontent à lundi en fin d’après-midi. Au pied de l’un des immeubles du Triforium, quartier de L’Isle d’Abeau, une altercation éclate entre jeunes gens. Alors que des coups sont portés, un attroupement se forme rapidement.

Alertés, les gendarmes de la brigade interviennent avec le renfort de leurs homologues du Psig de Villefontaine. Devant cette intervention, l’ensemble des protagonistes se liguent entre eux, affichant clairement leur volonté d’en découdre avec les militaires. Les menaces de morts et les outrages ont alors fusé en direction des gendarmes.

L’un des jeunes protagonistes, particulièrement excité, allant jusqu’à donner un coup de pied au chien de l’équipe cynophile engagée par les forces de l’ordre. L’animal a aussitôt rétorqué en mordant son agresseur à l’entrejambe. Les gendarmes ont dû également faire usage de leur taser afin de maîtriser le plus virulent des jeunes gens.

Dès la soirée de lundi, l’un des protagonistes a été interpellé et placé en garde à vue. Quatre autres interpellations sont intervenues dans la matinée d’hier. Parmi eux, trois frères bien connus de la justice. L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de Bourgoin-Jallieu.

Le Dauphine

Ceux qui sont maltraités par leurs maîtres devraient réagir pareil.

Modifié le 8 juin 2011 par samira123

CHIEN A DONNER URGENT

Mon chien Larry est a la fourrière depuis cette nuit , Les frais pour aller le chercher sont de 100$ .

Je ne paye pas pour ca alors pour celuis ou celle qui le veux appellez moi au 514 513 7988.

Il est castrer , vaccinné, dresser propre et tout . il a 1 ans et demie , Tres gentil avec les enfant autre chat et chiens .

C'est un petit chien , un moyen disont .... tres tres gentil et docile

Contactez moi au plus vite , chaque jour les frais de fourrière augmente !

montreal.kijiji

Lamentable cette annonce !!!!!!

Modifié le 9 juin 2011 par samira123

Maltraitance animale : l'Australie suspend les exportations de bétail vers l'Indonésie

Info rédaction, publiée le 08 juin 2011

Le gouvernement australien a décidé de suspendre ses exportations de bétail vers les abattoirs indonésiens. Une décision prise suite à la diffusion d'images montrant la cruauté avec laquelle ces établissements traitent et tuent les animaux. Il y a quelques semaines, des images insoutenables ont été diffusées sur la chaîne ABC, dénonçant la cruauté exercée sur les animaux de certains abattoirs indonésiens. Choqué par cette découverte, le ministre australien de l’Agriculture Joe Ludwig a demandé une enquête approfondie sur ces établissements. Puis sous la pression de l'opinion publique, soutenue par plusieurs ministres australiens, le gouvernement a décidé de suspendre ses exportations de bétail pour six mois, rapporte Romandie.

Alors que ces exportations d'animaux représentent quelque 318 millions de dollars australiens, le pays assure qu'il ne les relancera pas avant que des mesures ne soient mises en place en Indonésie pour mettre fin à la maltraitance des animaux d'abattoirs. Dans le documentaire diffusé par ABC, les animaux étaient battus, fouettés, et parfois lacérés avant d'être tués sans être endormis. Les autorités indonésiennes, qui ont mis en place en 2009 une législation sur les conditions d'abattage, mais manquent de moyens pour la faire respecter, ont assuré comprendre la décision australienne. "Le bien-être des animaux est un sujet relativement récent en Indonésie et le gouvernement est encore en train d’élaborer des réglementations", a déclaré le ministre indonésien de l’agriculture. Alors qu'elle affirme avoir pris conscience de la nécessité de lutter plus fermement contre la cruauté exercée sur ces animaux, l'Indonésie pourrait désormais faire appel en Nouvelle-Zélande pour s'approvisionner en viande. Contrairement à l’Australie, le pays n'exporte aucun animal vivant, mais seulement de la viande congelée.

Maxisciences

C est trop mignon :coeur: :coeur:

CHIEN A DONNER URGENT

Mon chien Larry est a la fourrière depuis cette nuit , Les frais pour aller le chercher sont de 100$ .

Je ne paye pas pour ca alors pour celuis ou celle qui le veux appellez moi au 514 513 7988.

Il est castrer , vaccinné, dresser propre et tout . il a 1 ans et demie , Tres gentil avec les enfant autre chat et chiens .

C'est un petit chien , un moyen disont .... tres tres gentil et docile

Contactez moi au plus vite , chaque jour les frais de fourrière augmente !

montreal.kijiji

Lamentable cette annonce !!!!!!

Hannnnnnn c est drole que tu dise ca car je lui ai envoyer un courriel pas trop gentil .

Il donne un coup de pied au chien: il le mord à l'entrejambe

(08/06/2011)

Ce matin, cinq jeunes majeurs de L’Isle d’Abeau, tous connus défavorablement des services, devraient être déférés devant le parquet de Vienne pour violences, rébellions, outrages et menaces de mort à l’encontre des forces de l’ordre. L’un d’eux également pour “mauvais traitement sur un animal”.

Les faits remontent à lundi en fin d’après-midi. Au pied de l’un des immeubles du Triforium, quartier de L’Isle d’Abeau, une altercation éclate entre jeunes gens. Alors que des coups sont portés, un attroupement se forme rapidement.

Alertés, les gendarmes de la brigade interviennent avec le renfort de leurs homologues du Psig de Villefontaine. Devant cette intervention, l’ensemble des protagonistes se liguent entre eux, affichant clairement leur volonté d’en découdre avec les militaires. Les menaces de morts et les outrages ont alors fusé en direction des gendarmes.

L’un des jeunes protagonistes, particulièrement excité, allant jusqu’à donner un coup de pied au chien de l’équipe cynophile engagée par les forces de l’ordre. L’animal a aussitôt rétorqué en mordant son agresseur à l’entrejambe. Les gendarmes ont dû également faire usage de leur taser afin de maîtriser le plus virulent des jeunes gens.

Dès la soirée de lundi, l’un des protagonistes a été interpellé et placé en garde à vue. Quatre autres interpellations sont intervenues dans la matinée d’hier. Parmi eux, trois frères bien connus de la justice. L’enquête a été confiée à la brigade de recherches de Bourgoin-Jallieu.

Le Dauphine

Ceux qui sont maltraités par leurs maîtres devraient réagir pareil.

:dev: :dev:

http://www.youtube.com/watch?v=bSZUh31QjzY&feature=related

C'est un long appel à l'aide qui saisit dès les premières images. Les veaux de l'industrie laitière, souvent à peine âgés de huit jours, séparés de leur mère, crient leur souffrance, leur douleur, leur faim,leur peur. En fond sonore, ce long râle de détresse souligne la brutalité des hommes qui les manipulent dans une absence totaled'attention. Descendus des camions sans ménagement, ils sont tirés par des ficelles passées autour de leur cou, soulevés par la queue, entassés

dans des chariots pattes et têtes coincées dans les barreaux. Dans ces pleurs de douleur assourdissant, on découvre un veau qui s'est étranglé. en voulant s'allonger. La corde était trop courte, le sol de béton glissant sous ses sabots...

Doux comme un mouton, dit-on. Dans les marchés à « bestiaux », ils sont violentés, battus, tirés par les pattes ou les oreilles, poussés et même étranglés..

Ces porcs étaient infirmes ou boiteux. Le sol du corridor était mouillé, et les porcs montraient des difficultés à marcher sur les surfaces humides.

Les images montrent :

- Un employé d'un abattoir donnant des coups de pied à un cochon pour le faire basculer, afin qu'on puisse lui attacher une chaîne à une patte de derrière. Le porc est alors tiré par la chaîne sur le sol du corridor, sur une distance d'environ 10 mètres, jusqu'à l'enclos d'étourdissement.

- Un porc suspendu dans le vide par une chaîne passée autour d'une patte.

- Un porc traîné au sol par un convoyeur pendant qu'un employé essaie de l'étourdir avec une pince électrique.

Chacun de ces trois cochons hurlait de douleur. Ces animaux ont été traités comme des produits agricoles et non pas comme des êtres sensibles.

Selon Bill Swann, vétérinaire et spécialiste en matière d'abattage, « l'utilisation de dispositifs électriques d'étourdissement dans ce contexte est un signe d'incompétence ».

bonjour pour moi ces vidéos me sont insupportables j'avais vu une fois une émission j'en ai pleuré ................et malade pendant des jours.

Bonjour Cheyenne, c'est vrai tu as raison, j'ai d'ailleurs failli les enlever, et puis je les ai laissé car les vidéos d'avant bien qu'elles donnaient des informations détaillées importantes, je ne les trouvais pas assez explicites sur ce qui se passe réellement. Et je me suis dit, c'est quand même important d'informer surtout je ne sais pas si tu as lu l'info sur la maltraitance animale en Australie, le gouvernement a décidé de suspendre ses exportations de bétail grâce à la diffusion d'images montrant la cruauté avec laquelle ses établissements traitent et tuent les animaux.

C'est vrai aussi que je ne montre pas non plus toutes les horreurs qu'ils peut y avoir, là ces vidéos ne font voir que la maltraitance sur le transport et l'arrivée des animaux, mais bien sûr je ne montrerais pas des vidéos où ils tuent et massacrent des animaux. Ce qui me donne de l'espoir, c'est quand je vois toutes ces associations, toutes ces personnes qui se battent pour que ces animaux souffrent moins et elles arrivent à obtenir des résultats, fermeture de cirque, fermeture de corrida...Beaucoup de gens savent mieux ce qui se passe et cela fait avancer les choses même si malgré tout, beaucoup encore ne comprennent pas que les animaux sont des êtres sensibles.

Modifié le 9 juin 2011 par samira123

Merci d'avoir mis les vidéos :)

Oui, je parlait du premier document que tu avais mis

Un homme est acquitté d’avoir tué son chat avec un couteau cuisine et avoir mordu sa femme. Par Marie le 5/03/2011

Attaqué par son chat siamois Lucky - il mord sa femme -

Un homme d’Edmonton a été acquitté vendredi de l’accusation d’avoir tué son chat avec un couteau de cuisine, après avoir soutenu qu’il avait agi en légitime défense parce que l’animal l’avait attaqué soudainement.

Anthony Wayne Lechuk, âgé de 37 ans, était accusé en Cour provinciale d’avoir tué un animal sans raison valable et d’avoir été en possession d’une arme dangereuse.En outre, il avait été accusé d'agression aussi pour avoir mordu sa femme en union libre, Lea Johnson, sur le bras quand elle voulait lui enlever le couteau de cuisine qu'il avait utilisé sur le chat, selon le Edmonton Sun

Pendant le procès, Lechuk a raconté

Qu’il était allé dans la cuisine de sa maison après avoir entendu son chat Lucky miauler très fort. Il a voulu faire sortir le chat à l’extérieur en lui offrant une friandise. C’est alors que l’attaque est survenue. Lechuk a réussi à attraper un couteau de cuisine et a poignardé l’animal, un chat siamois nommé Lucky, âgé d’un an. «J’essayais seulement de me défendre», a-t-il affirmé pendant le procès. Le chat était déchaîné, selon lui, et l’a mordu et griffé à un bras, à une jambe et au cou. Les accusations ont été portées parce que les policiers doutaient de sa version de faits. La propre conjointe de Lechuk soutenait que celui-ci n’avait pas de raison de tuer le chat et qu’il avait plutôt perdu la tête. Même s’il avait des réserves au sujet du témoignage de Lechuk, le juge au procès a décidé de l’acquitter en invoquant le doute raisonnable.

Bien sage mais imprévisible

Le juge du tribunal provincial, John Henderson a jugé qu'il était convaincu que le chat siamois âgé d'un an, avait attaqué Lechuk pour une raison quelconque et que Lechuk a ensuite attaqué le chat avec un couteau, mais a dit qu'il restait un doute raisonnable quant à savoir si Lechuk n'a pas eu une excuse légitime.

Henderson a noté Lechuk a été le seul témoin de ce qui s'est passé entre lui et le chat dans la cuisine de sa maison au nord-est d'Edmonton et il a été celui qui a donné la plus grande partie de la «preuve critique" sur le coup de couteau.

Et, tandis que le juge appelé Lechuk "quelque peu évasif" dans son témoignage en contre-interrogatoire et a trouvé sa description de l'attaque de chat à "inhabituel", a t-il dit à ses blessures le chat a été conforme à son témoignage.

Henderson a trouvé qu'il n'y avait «substance» à l'argument du ministère public que Lechuk a utilisé une force excessive et aurait dû faire autre chose, mais a jugé qu'il n'appartient pas à un tribunal de décider "comment une personne doit réagir quand on est attaqué par un chat. »

Le juge a également déclaré qu'il était «important» de noter que Lucky a été décrit comme étant bien sage et bien soigné pendant son séjour à la maison et il n'y avait pas eu d'indications de problèmes de comportement par le chat mâle. Cela dit, Henderson a également noté les animaux peuvent être imprévisibles.

Hebdoweb

Comment peut-on dire autant de conneries, cela frise le ridicule, c’est les gens qui maltraitent les animaux et là, on croit cet individu qu’il s’est défendu car le chat l’a attaqué, un chat n’attaque pas à part pour se défendre. D’autant plus, qu’ils reconnaissent qu’il n’avait aucun comportement agressif avant ce drame. Mais d’après le juge, les animaux sont imprévisibles, ce qui laisse entendre qu’ils peuvent attaquer à tous moments. Je plains les innocents qui ont affaire à ce juge, apparemment, il est plus du côté des coupables. J’ai entendu une fois, une personne me dire que son chat lui avait sauté dessus en la griffant au visage après l’avoir balancé contre le mur, et tant mieux pour ce chat qu’il se soit défendu. Par contre, je n’ai jamais entendu dire qu’un chat pouvait nous sauter dessus après avoir chercher à lui donner une friandise. Ce chat a certainement voulu se défendre mais malheureusement il s’est fait tuer.

Modifié le 9 juin 2011 par samira123

Modifié le 9 juin 2011 par samira123