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Sauvons les animaux

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Invité Mitsakie
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Invité Mitsakie
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Ohhhhhhhhh un chien d appart , pas possible :o°

:D

yorkshire-terrier.jpgLoyal et fidèle, le yorkshire terrier est un chien d'appartement qui va se contenter de se tenir sur les genoux de son maître toute la journée. Certains membres de cette race de chien peuvent aussi être quelque peu indépendants, mais en général, ils sont d'agréable compagnie et possèdent une nature lumineuse et enjouée.

Fait à noter, le yorkshire peut parfois verser dans la territorialité tenir à ce que son espace soit respecté. Ils sont tolérants avec les enfants plus âgés pour peu que ceux-ci les traitent avec soin. Ils s'entendent bien avec les autres animaux.

En ce qui a trait au dressage du yorkshire, il est relativement aisé puisque ce chien comprend tout très rapidement. Il faut cependant être cohérant et ferme avec eux. Et comme ils n'aiment pas être ignorés, ils auront besoin de plus d'éloges et de caresses pour faire ressortir le meilleur de leur dressage.

Ils ont besoin d'un minimum d'exercice et se contenteront de courtes promenades. Il s'agit du chien idéal pour la vie en appartement, mais il sera tout aussi ravi de vivre dans une maison avec une petite cour.

La socialisation précoce est recommandée dans le cas du yorkshire afin de promouvoir la stabilité et la confiance. Bien qu'il ne soit pas trop exigeant en termes d'exercice, le yorkshire possède beaucoup d'énergie et appréciera un endroit pour s'ébattre et s'amuser. Toutefois, cela il doit s'agir d'un endroit sécuritaire car il est curieux, agile et se fera un devoir de donner la chasse à tout ce qui bouge. Si on ne le tient pas à l'œil, il peut se mettre dans des situations où il risque de se blesser comme par exemple en allant saluer le chien du voisin sans invitation.

à ce sujet, il faut savoir que malgré sa petite taille, le yorkshire terrier essaie parfois de dominer les chiens plus grands. Ils sont donc à surveiller. Reste qu'en bout de ligne, cette race de chien est une des plus versatiles et faciles à dresser. Elle s'avère un très bon choix pour le maître qui a le temps de s'en occuper et de la dorloter

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Invité Mitsakie
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Invité Mitsakie
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chihuahua-adult.jpg

Ce chien d appart est un chien sociable et a un seul maitre .

Modifié par Mitsakie
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Invité Mitsakie
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Invité Mitsakie
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:| Hannnnn un autre chien d appartement . L étonnement :D Race de chien : Chihuahua Chihuahuadetail_chihuahua-chiot.jpg

Historique : Il doit son nom à la région de Chihuahua dans le nord du Mexique qui serait le berceau de cette ancienne race dont l'origine est incertaine. Il a pu être introduit par les Chinois ou plus sûrement, on lui prête différents ancêtres aztèques tels que le Téchichi. Animal sacré, ce chien, favori des Aztèques, était consommé comme nourriture sacrée ou immolé sur l'autel du sacrifice en hommage aux dieux. Il apportait, par ailleurs, le bonheur dans la maison. Quelques spécimens auraient été amenés en Espagne lors de la conquête espagnole. Son élevage, entrepris aux Etats-Unis au XIXème siècle, où il fut reconnu par le Kennel Club américain en 1904, en fit un chien côté. Il arriva en Europe après la Seconde Guerre Mondiale et en France vers 1960, où il est encore peu connu mais sa population est en progression. La F. C. I. a reconnu en 1995 un nouveau standard dans lequel le poids est abaissé, allant de 0, 5 à 3 kg, mais la préférence reste aux sujets pesant entre 1 et 2 kg.

Standard : (1959)

Tête :

Ronde comme une pomme. Fontanelle pariétale persistante. Stop accentué. Nez assez court et un peu pointu. Joues fines. Un léger prognathisme peut être admis. Truffe très noire ou plus claire selon la robe.

Oreilles :

Grandes , très écartées. Tenues droites en alerte, inclinées à 45° au repos.

Yeux :

Bien écartés, pas trop proéminents. Ils peuvent être noirs, marrons, bleus, rubis ou lumineux.

Poil :

- Long, ondulé variété rare. - Court, serré, luisant. Un petit collier au cou est recherché.

Corps :

Cylindrique, compact, plus long que haut. Cou rond, bien proportionné. Epaules fines.

Queue :

Modérément longue. Portée retournée sur le dos ou légèrement sur le côté. Bien fournie mais la queue sans poils est admise.

Robe :

Toutes les couleurs et tous les mélanges sont permis. Les couleurs les plus répandues et les plus appréciées sont fauve ou marron, chocolat, fauve ou marron bringé, blanc, crème, fauve argent, gris argent, noir et feu, noir.

Taille :

De 16 à 20 cm.

Poids :

De 0, 9 à 3, 5 kg.

Caractères - Aptitudes - Education : Robuste, d'une grande résistance, hardi, très vif, ce chien, assez indépendant, courageux, a un tempérament fier et volontaire. Très attaché à son maître, il est possessif. Il supporte assez mal les enfants. Plutôt aboyeur, pouvant être agressif envers les étrangers, c'est un bon gardien avertisseur. Son éducation devra être ferme.

Conseils : C'est un chien d'appartement pour qui les sorties quotidiennes sont nécesssaires. Il est sensible au froid. Surveiller l'état de ses yeux et l'entartrage de ses dents. Brossage régulier.

Utilisations : Chien de compagnie.

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Invité Grenadine33
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Invité Grenadine33
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Mais une chose est sûre. Ces animaux utilisés en boucherie, pour la confection, le divertissement, dans des expériences scientifiques et qui subissent toutes les oppressions inimaginables finissent par mourir dans la douleur. Tous sans exception.

ça devient spécial... thumbdown.gif

C'est exact, des vaches ont été utilisé pour tester l'hormone de croissance afin de voir si elles produisaient plus de lait.

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Invité s
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:good: vos articles les filles !! ( j'ai mis 2 jours à tout lire ) .

Merci pour toutes ces infos et j'attends avec impatience la suite .....:air_kiss:

Comme quoi , on peut toujours se cultiver .......

Merci à toi de lire mes articles et effectivement, on en apprend tous les jours. :)

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Invité Marinelou
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Invité Marinelou
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L'éthique de l'expériementation animale selon le CNRS :

"Malgré le développement de méthodes alternatives en expérimentation animale, l’utilisation des animaux à des fins scientifiques reste à l’heure actuelle incontournable. L’utilisation des modèles animaux est encadrée, en Europe et en France, par une réglementation rigoureuse que ce soit par exemple au niveau des expérimentateurs, des locaux ou de la provenance des animaux utilisés dans les protocoles scientifiques. Ces bases réglementaires doivent bien évidemment être connues et appliquées par chacun dans tous les établissements de recherche.

Au-delà de la réglementation et des bonnes pratiques, la communauté scientifique a progressivement mise en place une réflexion éthique cruciale et les comités d’éthique se sont développés."

Vous trouverez sur ce site des informations utiles relatives à l’expérimentation animale : Ethique au CNRS

dont une page qui recense les avancées de la recherche médicale nobélisées grâce à l'expérimentation animale : Lien

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Chiens > Choisir son chien > Comment bien choisir son chien d’appartement ?

Comment bien choisir son chien d’appartement ?

choisir-chien-appartement_-biglama.jpg

Avant de choisir son chien

Bien choisir un chien d'appartement n'est pas évident. Il faudrait pouvoir tester chaque race dans une situation normale pendant quelques jours ou quelques semaines, et pouvoir dialoguer avec différents propriétaires de chacune de ces races pour leur demander un avis éclairé. Tout cela n’est évidemment pas possible. Alors, comment choisir son chien ?

Faire un bon choix est très important, car on n’achète pas un chien comme on acquiert un objet.

L’achat d’un animal représente un engagement et une responsabilité pour environ une quinzaine d’années, durée de vie moyenne d’un chien.

Il est toujours très important de profiter de votre visite de l’élevage pour parler avec l’éleveur, pour lui exposer vos préoccupations, et pour observer les chiens adultes présents dans l’élevage. Il saura vous conseiller et, suivant votre type de vie, saura vous orienter vers telle ou telle race, ou vers telle ou telle portée.

On peut définir un certain nombre de critères assez simples pour choisir son chien d’appartement :

La taille et le poids

Les races de chiens dites d'appartement sont en général petites. Le plus lourd pourrait être le Bouledogue français dont le poids peut atteindre, pour les sujets les plus lourds, 14 kilos. Les plus légers sont le Chihuahua et le Yorkshire, dont le poids peut descendre aux environs d’un kilo.

Ce premier critère est très important à prendre en considération. En effet, si vous habitez un appartement au cinquième étage et que vous devez porter votre chien dans l’escalier ou dans l’ascenseur plusieurs fois par jour, il faudra choisir un chien de très petit format. La taille de votre chien est également importante suivant le modèle de voiture que vous conduisez.

Le caractère

Suivant votre propre personnalité, il faudra choisir un chien plutôt calme ou plutôt débordant d’énergie, un chien plus ou moins facile à éduquer, un chien bruyant ou silencieux...

Il est toujours extrêmement intéressant de voir les parents du chiot que vous souhaitez acheter ; en effet, ils sont souvent une indication précieuse sur la vraie personnalité de leur descendance ; sont-ils agressifs ou dociles, sont-ils calmes et silencieux, ou joueurs et pleins de vie ?

Les rapports avec les enfants

Les enfants aiment beaucoup jouer avec les chiens. Certaines races adorent les jeux et les bruits des enfants, tandis que d’autres ne supportent pas la brusquerie enfantine. Encore une fois, il faut en parler avec l’éleveur chez lequel vous allez acheter votre chien.

Il est même conseillé d’emmener vos enfants au moment du choix, afin de pouvoir observer comment les chiens adultes présents dans l’élevage se comportent avec eux. Dans tous les cas, même si vous avez déniché le chien qui sera le compagnon idéal de vos enfants, il faudra tout à la fois que les enfants et le chien acceptent les règles du jeu dès le départ. Chacun doit respecter l’autre et chacun doit pouvoir se retirer au calme dans son coin à lui, lorsqu’il souhaite se reposer ou bien s’isoler.

Les rapports avec les autres animaux

Si vous êtes déjà l’heureux propriétaire d’un autre chien, d’un chat, d’un hamster, d’un oiseau ou de poissons d’aquarium, il faut choisir un chien qui acceptera tout ce petit monde et qui saura se faire accepter par lui. Les Terriers sont issus de nombreuses générations de chiens de chasse, et on peut penser que votre chinchilla préféré risquera sa vie en présence d’une machine à chasser les rongeurs comme un Scottish Terrier, par exemple.

Un chien pour le sport

Vous souhaitez avoir un petit chien, mais il devra vous accompagner dans vos longues promenades quotidiennes ou hebdomadaires, ou mieux, vous suivre pour un petit footing. Savez-vous qu’il existe des concours d’agility pour toutes les races de chiens ? Suivant leur catégorie, ils vont se mesurer avec leurs congénères sur des épreuves de vitesse, de sauts, d’obéissance. Il ne faut pas se fier à leur taille.

En général, sauf peut-être pour les races minuscules, les chiens de compagnie qui suivent un entraînement régulier peuvent être de bons chiens de sport. Bien entendu, les efforts doivent être adaptés à leur taille et à leur endurance. Mais si vous êtes modeste dans vos ambitions sportives et que le chien vous suit depuis qu’il est assez grand pour le faire, il sera un très bon compagnon de jeu et un grand sportif. N’oubliez jamais que chaque effort doit être progressif, et qu’il ne faut pas pousser un chien au-delà de ses possibilités.

Un chien de garde

Si votre chien d’appartement est le meilleur des chiens de compagnie, il peut également être un bon chien de garde en vous avertissant par ses aboiements de la présence d’un étranger indésirable. On pourrait classer nos chiens d’appartement en plusieurs catégories : les chiens qui n’ont aucun rôle de protection ou de garde - où l’on pourrait, par exemple, inscrire les Lévriers - et les avertisseurs, c’est-à-dire les chiens qui par leurs aboiements vont vous prévenir de la présence anormale d’un intrus. Ce sont les plus nombreux dans ce groupe.

La plupart des chiens de cette liste sont capables d’être de bons avertisseurs : leur ouïe est très développée, et ils ne dorment que d’un seul œil. Il existe également de petits chiens qui vont passer à l’action et mordre, parfois très dangereusement, l’intrus. Dans cette dernière catégorie on pourrait inscrire toute la liste des Terriers.

Bien entendu, il existe de fortes variations individuelles. En général, les chiots vont adopter le même comportement que leurs parents. Il existe des lignées de bons gardiens ou de bons aboyeurs, et des lignées de chiens qui ne montrent aucun intérêt pour la garde ou la défense. Encore une fois, il faut demander conseil à l’éleveur et observer le comportement des parents de la portée où vous allez choisir votre chiot.

La place disponible

Votre choix de race doit tenir compte de la place que vous pouvez consacrer à votre chien dans l’appartement. Le plus petits des chiens ne dépasse pas 1 kilo et les plus grands atteignent plus de 10 kilos.

Le chien doit disposer d’un coin bien à lui où il pourra se reposer au calme, sans que personne ne le dérange. Il faut prévoir un endroit dans votre appartement qui lui sera réservé. Suivant sa taille, cet endroit sera plus ou moins grand.

Le temps réservé à votre chien

Un chien, il faut s’en occuper. Il faut le nourrir, le promener, le toiletter. Le temps que vous passez à vous occuper de votre chien n’est peut-être pas toujours une corvée, mais il y aura des jours où cela ne sera pas forcément très agréable. Vous devez savoir quel temps de votre journée, ou de votre semaine, vous êtes prêt à consacrer à votre chien.

Il existe sans doute près de chez vous un parc où vous pourrez l’emmener en promenade. Cela vous sera bénéfique autant qu’à votre animal, mais lorsqu’il pleut ou lorsque la température est basse, il faudra quand même sortir votre chien pour sa promenade quotidienne. Si vous êtes absent toute la journée, le chien supportera assez mal la solitude.

Le toilettage

Certaines races dont la fourrure est très abondante demandent un toilettage suivi, fréquent et très long. Là encore il faut savoir décider quel temps vous êtes prêt à consacrer à votre chien pour son toilettage. Un Yorkshire ou un Lhassa Apso demandent plus de brossage, peignage et bains qu’un Chihuahua, dont le poil est très court.

Les vacances

Pour les vacances, vous avez le choix entre différentes possibilités. La plupart des propriétaires de chiens préfèrent évidemment que leur animal les accompagne en vacances. Les petites races posent moins de problèmes que leurs cousins géants, tant pour le transport que pour l’hébergement. Mais renseignez-vous bien à l’avance, car tous les hôtels ou campings n’acceptent pas forcément les animaux de compagnie.

Vous pouvez aussi choisir de laisser votre chien en pension, pendant la période de vos vacances, ou demander à un ami de s’en occuper en votre absence. Mille solutions existent toujours, mais il faut y penser suffisamment tôt.

Le budget

Les chiens de petite taille ne coûtent pas cher en alimentation, mais ils occasionnent des frais de toilettage, de soins vétérinaires, d’assurance, de produits d’entretien, d’accessoires, de pension, etc. Ces frais atteignent assez vite plusieurs dizaines d’euros par mois.

Cela représente un budget qu’il faut gérer correctement. Bien entendu, même si vous êtes dépensier, le coût d’un chien reste toujours très modeste, et bien inférieur à d’autres dépenses du ménage. Mais il faut prévoir ces dépenses,

Très bonne idée Mitasakie d’avoir mis ses infos sur les chiens, beaucoup de gens ne connaissent pas les animaux et après un certain temps, finissent par les abandonner.

Victimes de froid, de faim ou d'accidents, la plupart ne survivent pas très longtemps. D'autres se retrouvent derrière les barreaux de la fourrière, et l'euthanasie reste l'issue la plus plausible. Les plus chanceux d'entre eux seront recueillis par un refuge, et finiront peut-être par être adoptés, s'ils ont de la chance.

Modifié par samira123
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Chien d'une fidélité incroyable... jusqu'à la mort... Adieu l'ami Canelo...
Canelo avait un maître, un bon maître qui se foutait que son chien soit bâtard ou de race, il l'aimait tout simplement...
partout où il allait, le chien était sur ses pas, n'importe où, à n'importe quel moment, y compris à l'hôpital où le monsieur devait suivre une dialyse régulièrement, chaque semaine.
Canelo avait l'habitude d'attendre à la porte de l'hôpital que son maître ressorte pour retourner bien au chaud ou bien au frais dans sa maison...
Et puis il y eut ce jour...
ce jour où le maître entrera à l'hôpital pour, cette fois y mourir...
Canelo restera avec l'espoir de voir son maître sortir par la grande porte comme d'habitude et de ce jour restera 12 ans à l'entrée des urgences attendant ce qui ne pouvait qu'être l'évidence pour lui :
Revoir son maître et retourner à la maison avec lui...
Sous la pluie, le froid, la neige, le soleil... 12 ans.. Canelo attendra 12 ans......
La faim, la soif, rien ne l'éloignera dans sa foi de voir son maître franchir la porte. Une foi qui attendrira certains habitants qui, dès lors, s'occuperont de lui et lui éviteront la perrera. Jamais il ne s'est éloigné de cette porte et ce même avec la faim et la soif qui le tenaillaient.
il attendra 12 ans, jusqu'à ce jour du 9 décembre 2002 où il sera écrasé par un véhicule devant l'hôpital
@ Canelo est très connu dans la ville de Cadiz, tellement connu qu'il a donné son nom à une ruelle de Cadiz et qu'une plaque a été apposée pour raconter son histoire...

2054483989_small_1.jpg

http://www.youtube.com/watch?v=o42NGXMQVsY&feature=fvsr

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alsacienne Membre 31 messages
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:):) Mitsakie ; Pour répondre à ta question , NON , je n'ai pas d'animaux domestiques (car je n'ai "plus " assez de temps pour m'en occuper = que deviendraient t-ils si je venais à disparaître ?) .

Mais longtemps , nous avons habité à la campagne et là nous étions très entourés (chevaux, vaches , chats ,chiens , chèvres , hermines , écureuils ,cerfs ,renards , lapins , hérissons .....et j'en oublie ...)

Tous ce petit monde se retrouvait chez nous (16 ha de terrain) , parce que nous les laissions en paix , et surtout libre d'aller et de venir à leur guise !!! (je prècise , que ce n'étaient pas nos propres animaux , ils venaient se reposer sur notre propriété )

Je continue de vous lire , merci pour ces recherches :air_kiss:

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Un chien qui ne veut pas quitté son maître assassiné dans la rue.


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Invité Mitsakie
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Invité Mitsakie
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L'éthique de l'expériementation animale selon le CNRS :

"Malgré le développement de méthodes alternatives en expérimentation animale, l’utilisation des animaux à des fins scientifiques reste à l’heure actuelle incontournable. L’utilisation des modèles animaux est encadrée, en Europe et en France, par une réglementation rigoureuse que ce soit par exemple au niveau des expérimentateurs, des locaux ou de la provenance des animaux utilisés dans les protocoles scientifiques. Ces bases réglementaires doivent bien évidemment être connues et appliquées par chacun dans tous les établissements de recherche.

Au-delà de la réglementation et des bonnes pratiques, la communauté scientifique a progressivement mise en place une réflexion éthique cruciale et les comités d’éthique se sont développés."

Vous trouverez sur ce site des informations utiles relatives à l’expérimentation animale : Ethique au CNRS

dont une page qui recense les avancées de la recherche médicale nobélisées grâce à l'expérimentation animale : Lien

Il est bien ce lien . Les informations sont de qualités.

Un chien qui ne veut pas quitté son maître assassiné dans la rue.

:cray:

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Je diffuse ce témoignage d’avril 2009, très complet et décrivant très bien la réalité des élevages et des abattoirs...

Madame, Monsieur,

Je vous écris pour vous faire-part d’un témoignage.

J’ai effectué deux années d’étude en BTSA Productions animales, ne sachant absolument pas ce qui se cachait derrière cette formation (si on peut appeler ça une formation) Mon rêve était de devenir vétérinaire, mais n’ayant pas fait un BAC Scientifique, il ne me restait plus que cette voix là pour y arriver.

Les horreurs que j’ai vues durant ces deux longues années me poursuivront jusqu’à la fin de mes jours. J’étais dans l’incapacité d’arrêter cette formation pour des raisons personnelles.

Il faut savoir que d’après les gens du milieu agricole « les animaux ne souffrent pas ! » (Mais c’est bien sûr…) il est donc très facile pour eux, de faire subir toutes sortes de cruauté aux animaux…

Voici donc la liste des atrocités que j’ai pu voir… (je décris seulement ce que j'ai vu, que ce soit à mon école ou dans les innombrables exploitations que l'on a visitées)

LES MOUTONS

La première année d'étude nous devions nous occuper de la bergerie de l'école. Chaque semaine nous nous rendions, mes camarades de classe et moi, dans la bergerie pour y effectuer les TP (Travaux Pratiques) sous la surveillance de notre professeur. C'était un endroit très glauque, très sale, très sombre, le genre de lieu où on n'ose pas lever la tête tellement qu'il y a des toiles d'araignées au « plafond » Les brebis étaient parquées dans des « enclos » sans paille (au départ il y en avait mais le lendemain elles avaient tout mangé ou tout piétiné et personne ne remettait de paille), remplis d'excréments, les barrières dataient d'on ne sait pas quand, le sol était plein de trous, les mangeoires trouées, les abreuvoirs recouverts d'une épaisse couche d'on ne sait quoi.

Lors des TP il nous a donc était enseigné que pour éviter que les brebis ne mangent la queue de leurs agneaux (à cause d’un manque de minéraux ou autre provoqué par les hommes), il fallait que l'on coupe la queue de ces derniers à la pince (ou à l'élastique) à la naissance à vif. Sans désinfecter, bien évidemment, ni la pince qui sert à couper, ni le moignon qui leur reste. Ensuite, afin de pouvoir les reconnaître au sein du troupeau, les agriculteurs leurs percent les oreilles (les 2 car une seule ne suffisait pas!) avec un appareil pour leur mettre les fameuses boucles, sans se soucier de savoir si cela transperce une veine. Au début se sont des petites boucles, puis quand les agneaux sont assez grands, on leur perce une 2ème fois les oreilles en faisant un plus gros trou pour leur en mettre des plus grandes.

Lors des TP, Les agneaux avaient les oreilles en sang. Si je faisais une réflexion ou que j’insistais pour mettre du désinfectant on me répondait en rigolant « oulala mais c’est bon, c’est qu’un mouton, il n'est pas mourut le mouton »…

Les séances se déroulaient toujours de la même façon, j'étais lynchée à chaque fois, mes réflexions dérangeaient...

Les agneaux sont ensuite triés lorsqu’ils ont 8 mois. Les mâles sont envoyés à l’abattoir (sauf les « chanceux » qui seront gardés comme mâles reproducteurs avant d’être envoyé à leur tour à l’abattoir au bout de 3-4 ans de « service ») et les femelles sont sélectionnées suivant des points bien précis, ainsi les « meilleures » seront gardées pour renouveler le troupeau, et les « moins bonnes » suivront leurs frères à l’abattoir.

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LES BREBIS

Quant à elles sont des usines à agneaux. Elles sont prises par les béliers ou inséminées 2 à 3 fois par an. Leurs chaleurs sont synchronisées afin que toutes les brebis aient leurs petits au même moment. Lorsque la fertilité de ces brebis, baisse ou qu’elles ont atteint un âge avancé (8 ans !), ou qu’elles sont malades, elles sont envoyés à l’abattoir où elles seront lâchement tuées puis emmenées à l’équarrissage (car leur viande n’est pas consommable)

Bien sûr, à cause de la sélection sur la fertilité, il arrivait que les brebis fassent 3 agneaux. N’étant dotées que de 2 mamelles, il fallait leur enlever un des agneaux et le mettre « à la louve » (système de tétines en plastique qui sortent d'un grand récipient rempli de lait en poudre et d'eau) si on voulait qu’il survive. Les cris de la brebis qui appelle son petit disparu retentissent encore.

Il ne faut pas oublier la souffrance quotidienne de ces animaux qui vivent dans une bergerie souillée. Lorsqu’il faut attraper une brebis, c’est la panique totale. Elles se blessent donc en essayant de fuir leur bourreau. Une fois attrapées, elles sont attachées très (trop) serré avec des licols qui leur marque à vie la peau. Pour les tondre, elles sont maintenues dans des positions bien inconfortables, idem lorsqu’il faut leur parer les sabots. Les coups de pieds volent sans arrêt dans leur jarret si elles refusent d’avancer, sans parler des coups de bâtons.

Un agneau était tombé malade durant ma formation. Bien sûr il était inutile d’espérer qu’il pourra être euthanasié (bien trop cher et « sans intérêt ») J’allais donc le voir tous les jours pour le faire boire car il était dans un état comateux et dans l’incapacité totale de se lever.

Mais il y avait de l’espoir. Cependant un matin, il a été retrouvé mort dans une mare de sang : un élève l’avait tabassé avec une pelle pendant la nuit… Le « professeur » n’en avait même pas fait allusion, comme si c’était tout à fait normal et sans aucune importance.

En résumé, les Travaux Pratiques de ce cours consistaient à faire des vaccins aux animaux, à synchroniser les chaleurs des brebis en leur introduisant des éponges (pleines d’hormones) dans le vagin, à appuyer (bien trop fort) sur le dos des agneaux pour juger si oui ou non ils étaient bien conformés (et prêt à être mangé), à reconnaître sur l’animal vivant les différentes parties du corps que l’on mange, à couper les queues des agneaux, à leur percer les oreilles pour leur mettre des boucles, à tondre les brebis, à parer leurs sabots, à faire des prises de sang sur les agneaux pour savoir lesquels seront gardés et lesquels seront tués.

Un programme passionnant pour une fille comme moi...

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LES VACHES

La 2ème année, nous devions nous occuper des vaches de l'exploitation.

On ne croirait jamais, en voyant les belles vaches paître dans les prés, qu'elles ont subi des atrocités sans noms. Je suis tout simplement tombée des nues ! Je pensais avoir vu suffisamment d'horreurs avec les agneaux, mais je n'avais vu qu'une infime partie de toute l'horreur qui existe dans ce milieu sordide.

Il s'agissait d'une exploitation de Vaches Laitières... Ce qui est, selon mon expérience, bien pire qu'une exploitation de Vaches à Viande.

Tout d'abord, les vaches sont inséminées (donc par conséquent violées) tous les ans. L'agriculteur choisi son taureau dans un catalogue comme s'il s'agissait d'un objet.

Il prend en compte tous les « index » et tous les résultats de reproduction du fameux taureau en question. Il choisi le « meilleur » Pour l'insémination, les vaches sont maintenues dans les « cornadis », cette chose métallique qui leur coince le cou de manière à ce qu'elles ne puissent plus reculer. L'inséminateur enfonce alors sa main dans le rectum de la pauvre vache qui se tord dans tous les sens sans pouvoir se dégager (imaginez la sensation...) afin de pouvoir trouver les trompes de la vache. Ensuite il enfonce la sonde dans le vagin de la vache et il verse la semence du taureau. 9 mois plus tard naît un petit veau.

Les vaches laitières font donc veaux sur veaux, comme si leur corps pouvaient le supporter, tout ça pour que les hommes leur volent leur lait et le boivent (seul être vivant à ne pas être sevrés ?).

Il fallait pendant l'année que je fasse un stage d'une semaine à la ferme pour assister à la traite du matin... mon dieu, au secours...

Toutes les vaches sont piquées aux hormones avec la même seringue posée sur un plateau jamais nettoyé et rempli de crottes de mouches. La seringue n'a jamais été changée pendant toute la semaine où j'ai fait la traite. Le fermier les pique directement dans le trayon (le trou du pis) pour que le lait vienne plus vite. On leur pompe tout leur lait avec les trayeuses automatiques de maintenant, les vaches sont rangées à la queue leu leu, 4 par 4. J'imagine à quel point cela doit être agréable pour elle.

Chaque trayeuse possède un mécanisme qui identifie les vaches et qui détecte la quantité et la qualité du lait de ces dernières. Les vaches sont ensuite classées dans un tableau, les meilleures restent, les moins bonnes sont virées ! (On dira pas où !)

Comme si elles étaient responsables du taux de cellule dans leur lait ou du fait qu'elles avaient attrapé une mammite !

Sans parler de leurs blessures aux pieds qui les font boiter comme jamais. Car la plupart des vaches laitières ne voient jamais la lumière du jour, ni la bonne herbe verte. Elles sont parquées dans un bâtiment sombre, sur du béton qui leur bousille les sabots et les articulations, de la me*** jusqu'aux genoux, entassées dans des « couchettes » bien trop petites pour elles (Les stabulations libres à aire paillée se font rare...) Et leurs journées se résument à stabulation, salle de traite, stabulation, salle de traite...

Avec leurs gros problèmes de sabots, certaines n'arrivent même plus à marcher et se traînent, certaines sont même déformées (bassin plus haut que les épaules, pattes retournées, mamelle tellement imposante à cause de la sélection qu'elle les empêche de bouger les postérieurs...)

La sélection permet donc aux hommes de faire d'énormes rentrées d'argent sans se soucier de ce que peuvent bien ressentir les animaux. Des mamelles plus imposantes avec plus de lait ! Des vaches piquées aux hormones pour qu'il en sorte plus de lait ! Des vies plus courtes mais plus productives, et des crétins encore plus crétins pour inventer encore d'autres trucs plus crétins encore.

J'ai vu pendant une des visites, une exploitation de 100 VL tenue par un seul homme. Pas de salle de traite, une seule grande stabulation en béton, avec... un robot de traite. Les vaches rentraient dans le robot, un système totalement électronique trouve les trayons des vaches à l'aide d'un laser, trait les vaches et calcule la quantité de lait produite par vache.

Une machine, parmi les machines... car l'homme prend bien les vaches pour des usines à lait. Et vous regarderez dans les prés, les rares vaches qui broutent, si elles ont des cornes...

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LE VEAU

Le malheureux ne sait pas ce qui l'attend. On le laisse 12h avec sa mère, le temps qu'il boive le fameux « colostrum » (le liquide qui vient avant le lait, et qui permet aux nouveau-nés d'avoir tous les anticorps nécessaires pour se défendre contre les agressions extérieures) puis ensuite il est séparé, et emmené dans une « niche à veau » Les pleurs de la mère appelant son petit disparu sont très prenants. Les veaux sont bouclés comme les agneaux. Si le veau est un mâle, et que la mère est une très bonne vache, il se peut qu'il ait la « chance » de devenir Taureau reproducteur pendant quelques années. Sinon, et c'est ce qui arrive dans la majorité des cas, il est enfermé dans la « niche à veau » pendant 2 mois, afin d'être complètement anémié (impossible pour lui de bouger, il peut seulement se lever et se coucher) puis un jour un camion viendra le chercher, et on le forcera à avancer ! Alors qu'il n'a aucun muscle et qu'il n'a jamais marché (imaginez la douleur), et tout ça pour le bon plaisir des hommes : pour que la viande soit blanche.

Si le veau est une femelle, elle sera gardée comme femelle reproductrice qui servira à renouveler le troupeau. Dans ce cas son calvaire commence. Dès son plus jeune âge, on va l'écorner (Sujet d'un TP) en lui appuyant sur la tête à l'endroit présumé où les cornes pousseront, un tube métallique chauffé à 400°C. Cet appareil de torture leur brûle littéralement la peau (et le peu de cartilage qui allait un jour devenir une corne) Il faut voir ces pauvres petits bébés meugler de douleur, voir leurs yeux sortir de leurs orbites tellement la douleur est importante, et les voir se tordre de douleur dans la cage munie de cornadis dans laquelle on les a enfermée. Sans parler des commentaires débiles des abrutis finis de ma classe « mais non t'as pas mal » ou encore « plus tu gueules plus c'est long! »

Et pour finir « ahaha t'as vu ses yeux » et de l'odeur nauséabonde qui s'échappe. Bien sûr le professeur laisse les élèves faire le travail histoire que la bête souffre bien. J'étais la seule, sur une classe de 31 élèves, à avoir refuser de faire souffrir inutilement un animal. Tout le monde est « passé » en disant non au départ puis finalement en acceptant (pas étonnant qu'Hitler est réussi son coup avec le nombre de sans cervelles qui peuplent l'humanité)

Les veaux se font ensuite pincer, tordre, frapper la queue pour qu'ils avancent. Comme un gouvernail. Les pauvres ne sont pas assez traumatisés de leur « expérience dans la boîte » il faut en plus qu'on les frappe pour les refaire entrer dans les enclos. Le premier de la série ne sait pas ce qui va lui arriver mais tous ceux qui passent après lui, l'ont entendu hurler et sont complètement stressés avant même d'être enfermés dans la cage. Ce passage m'a particulièrement choqué.

Une fois écornés, on leur met un petit coup de B***e violette sur la tête et hop retour à l'enclos.

Les veaux sont nourris avec du lait en poudre, normal pour une exploitation qui vend des milliers de litres de vrai lait, provenant en plus de leur maman, à eux.

Lorsque les petites génisses (veaux femelles n'ayant pas encore vêlé) on atteint l'âge de 1 an, elles sont inséminées (comme expliqué plus haut) et mettront bas de leur premier veau à l'âge de 2 ans. A peine le veau est né qu'elles sont résinséminées afin de remettre bas l'année d'après et ainsi de suite pendant environ 6-7 ans. Passé cet âge, elles sont envoyées à l'abattoir, si encore elles n'ont pas eu de problèmes de santé avant.

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LES COCHONS

Le pire arrive !

Après les vaches et les moutons, je pensais être blindée... Mais non, l'horreur continue !

Je devais réaliser un stage de 15 jours dans une porcherie...

Pas la peine de rêver, les porcs ne vivent pas à l'extérieur !

L'exploitation comptait 650 truies reproductrices et 5 verrats (enfermés dans des enclos de 5m2)

Les 650 truies faisaient entre 5 à 19 porcelets par portée et cela tous les 6 mois. 3 mois en salle d'insémination, bloquées entre 2 barres en fer, ne pouvant ni reculer, ni avancer, ni se tourner, seulement s'asseoir, se coucher et se lever. La mangeoire devant, la fosse à purin derrière. Le sol ? Des grilles ! Si les excréments ne passent pas au travers, tant pis, la truie se couche dessus. Il faut attendre que les truies viennent en chaleur puis elles sont inséminées trois fois, pendant 3 jours de suite, puis attendent 1 mois avant de se faire échographier. Si elles sont pleines, elles vont en salle de gestation, sinon elles se refont inséminées. Seulement 2 chances pour elles de tomber enceinte, ensuite c'est direction l'abattoir car on n’a pas de temps à perdre avec des truies improductives. Pour les faire venir en chaleur, les porchers font passer un verrat devant elles, dans des couloirs si étroits que les verrats ont du mal à se retourner. Bien sûr ils se prennent des coups de barres en fer lorsqu’ils refusent d'avancer ou de reculer dans ce couloir.

Pour l'insémination, c'est bien simple, le porcher fait monter le verrat sur un bout de plastique, puis le masturbe (si si !) et récolte la semence dans un thermos qui maintient le liquide au chaud. Ensuite la semence est diluée puis séparée en 30 doses (donc 10 truies) Le sperme est mis ensuite dans des sondes spéciales qui seront par la suite enfoncées dans le vagin des truies. Les sondes restent dans leur vagin jusqu'à faire fondre l'embout de cire qui fermait les sondes. Le sperme est alors libéré de la sonde et peut s'écouler dans leur vagin. Cela peut durer une demi-heure, une demi-heure avec un tube plastique dans le vagin... certaines se couchent et le cassent, d'autres se l'enfoncent très profondément, d'autres la font tomber dans la fosse à purin (et donc une sonde de foutue, une « chance » en moins pour elles de tomber enceinte...)

Une fois pleine, si cela arrive, elles sont envoyées en salle de gestation (par un système de couloirs) pour 3 mois 3 semaines et 3 jours ! Elles sont parquées à 6 ou 8 dans des boxes où elles ont la place de se tourner, de faire quelques pas, mais les boxes sont quand même trop étroits car elles se battent et se font des blessures très profondes. Le sol est une grille qui leur fait aussi des blessures aux pattes. J'ai assisté à une matinée « prise de sang »... Le porcher leur prend le groin à l'aide d'une corde (système soi-disant fait pour immobiliser l'animal) Plus les truies tirent, plus la corde se serre autour de leur groin, elles se mettent à hurler (bouchez-vous les oreilles), le vétérinaire se place alors sous elle, et fait la prise de sang sous le cou, dans la grosse veine (combien de loupés ????)

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LES COCHONS (suite)

Une fois leur gestation à terme, elles sont envoyées (toujours par le même système de couloirs) dans les salles de mises bas ou maternité. Elles sont une par une dans des sortes de cages en fer, même genre de système qu'en salle d'insémination, sauf que là, il y a un petit espace pour les porcelets.

Là il faut déclencher les mises bas, à l'aide de piqûres d'hormones. Les truies hurlent dès qu'elles voient les seringues, il faut donc faire très vite sinon il est impossible de rester dans la salle tellement le bruit des hurlements est insoutenable.

Ensuite elles sont piquées régulièrement avec différents produits, anti ceci, anti cela.

Lorsque les petits naissent... (passage le plus choquant), ils sont triés, les petits avec les petits, les moyens avec les moyens, les gros avec les gros. Au final les truies allaitent des petits qui ne sont pas les leurs, sauf celles qui s'y refusent et qui tuent et déchiquètent les porcelets étrangers (sympa comme vision, des bouts de bébés cochons) Inutile de dire que ces truies là ne sont pas gardées !

Une fois une portée était née, j'étais en extase devant ces petites choses, le porcher m'avait demandé de veiller à ce que tous les porcelets arrivent à boire... Voilà deux heures que je tenais dans mes mains le plus petit de la portée, tellement petit qu'il n'atteignait pas les tétines, si petit, si mignon, plein de vitalité et la force de vivre, il s'était presque endormi dans mes mains lorsque le porcher a débarqué pour voir la portée. Je me suis enlevée de l'enclos, il s'est approché, il a dit « ça c'est trop petit », puis il a pris le petit porcelet par les pattes de derrière, et la frapper d'un coup contre le sol. Le bruit du « PAF » résonne encore dans mes oreilles. Lorsqu’il a vu mes larmes couler, il s'est tout de même excusé et m'a dit que la prochaine fois il me préviendrait avant, de manière à ce que je puisse avoir le temps de me retourner...

Le corps sans vie du petit bébé est resté là, par terre devant l'enclos...

Au fil des jours, les corps se sont multipliés devant les enclos car chaque matin, on avait pour mission de ramasser les porcelets qui avaient été écrasés par les truies pendant la nuit. Si les pauvres avaient le malheur de passer sous les truies pendant qu'elles mangeaient et de s'endormir sous leurs pattes... ils étaient étouffés par la truie lorsqu'elles se recouchaient d'un coup d'un seul. Les cris des porcelets ne faisaient pas relever les truies, aussi bizarre que cela puisse paraître. Il est arrivé qu'on arrive à en « sauver » en arrivant à temps en entendant les hurlements, mais bien souvent, on retrouvait des porcelets bien bleus, avec les marques des grilles sur le corps.

Vient ensuite la journée des fameux « soins aux porcelets » ! Quelle jolie façon d'appeler ce pur moment de souffrance...

Un petit chariot, 4 côtés, 4 soins ! Un côté tatouage, un côté vaccin, un côté meulage des dents et un côté coupe des queues ! Au milieu un panier en plastique dans lequel on mettait les porcelets de 3 jours. Inutile de dire que je n'ai pratiqué que les vaccins...

L'appareil servant à tatouer ? Deux plaques métalliques qui se superposent, une sans rien, une avec des pointes représentant des chiffres, une pédale, qui quand on l'actionne serre les deux plaques l'une contre l'autre. On place le porcelet la tête vers le bas, une oreille entre les deux plaques, on met de l'encre sur les piques, on appuie sur la pédale et là « craque » le bruit de la chair qui se craquèle, les piques qui restent coincés dans l'oreille des porcelets, il faut tirer pour que ça se décoince. Et c'est pas fini, on fait la 2ème oreille.

Modifié par samira123
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LES COCHONS (suite)

Pour les dents, un bruit de roulette chez le dentiste « dzzzzzzzzzzzzzzzzzz », il faut limer les canines des porcelets car la nature les a fait comme ça mais l'homme veut révolutionner ça ! « Ils blessent les mamelles des truies et après elles ne se laissent plus téter » (…) comme si les truies étaient faites pour avoir 19 porcelets alors qu'elles ne sont dotées que de 14 mamelles, et comme si dans la nature cela importait que la truie laisse mourir les plus faibles...

Je vous laisse imaginez... vous faire limer les dents... et encore quand elles ne sont pas coupées à la pince ! Auquel cas, elles sont cassées 1 fois sur 2, ce qui provoque d'énormes infections...

Pour ce qui est de la queue : il y a un petit embout métallique représentant une sorte de C chauffé à 400°C (le fer devient rouge) On place la queue du petit porcelet sur le fer chauffé, jusqu'à ce que la queue soit coupée... Des cris de douleurs, des petits corps qui se tordent et qui hurlent pour s'échapper de leur bourreau, imaginez vous faire couper un membre de cette manière, brûler à vif jusqu'à ce que les os fondent et se détachent. J'ai encore une fois refusé de faire ET de voir le massacre... « ça ne dure pas longtemps » était l'argument premier... seulement je peux vous dire que cela devait durer bien 6-7 secondes, et que 6-7 secondes comme ça, c'est très long. Je me suis brûlée par accident avec l'embout, la peau de mon bras est restée même pas la moitié d'une demi seconde sur le fer bouillant, une douleur pire que de l'huile bouillante, j'ai eu la marque en forme de C pendant 1 an sur la peau (cloque énorme, peau qui s'en va, peau rose, peau marron) Je ne veux même pas imaginer la douleur de ces bébés.

Sans parler du fait qu'une fois leur queue coupée, ils ne prennent même pas soin de les poser délicatement sur leurs 4 pattes mais les balancent, ce qui signifie qu'ils se retrouvent sur les fesses, à l'endroit où ils viennent de se faire brûler vifs... Si on nous coupait un doigt de cette manière je ne pense pas que l'on apprécierait que quelqu'un nous appui le moignon qui nous reste très fort sur la table... Les queues des porcelets sont donc coupées, pourquoi me direz vous ? Parce qu'ils sont parqués dans des cages bien trop petites par rapport au nombre qu'ils sont, qu'ils en deviennent fous et se bouffent entre eux. Sans parler des carences qu'ils accumulent et qui les rend cannibales. Donc pour régler ce « petit problème » l'homme a trouvé la solution simple, rapide, efficace et pas coûteuse de leur couper des membres à vifs !

Les porcelets blessés (toujours les pattes à cause des grilles), sont marqués à l'aide d'un appareil qui leur trou littéralement l'oreille. Ils ont donc des trous en forme de triangle ou de carré dans les oreilles. Sympa !

Ensuite arrive le 5ème jour des porcelets... Sûrement le pire si le porcelet est un mâle... Je n'ai fait que « trier » les petits, étant bien incapable de faire ce qui va suivre. Nous étions munis d'un casque à mettre sur les oreilles, ceux que les ouvriers utilisent lorsqu'ils se servent d'un marteau-piqueur... car les cris d'un porcelet qui se fait littéralement castrer sans anesthésie pourraient facilement faire péter un verre en cristal. Ils prennent le porcelet par les pattes de derrière, le bloque entre leurs jambes, prennent une lame de rasoir, font une incision dans les testicules du porcelet, appuient bien fort pour les faire sortir, arrachent le tout, mettent un peu de poudre sur les deux plaies et reposent le porcelet comme si de rien n'était... Chose très facile à faire, quand on s'est persuadé que « les animaux ne souffrent pas »... Sauf qu'ils souffrent sinon ils ne hurleraient pas de la sorte.

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LES COCHONS (suite)

Il y a des porcelets mâles qui échappent à ce genre de pratique car ils ont des hernies (cas où les testicules sont dans la même poche que les intestins) On ne peut pas inciser sinon les intestins sortiraient avec... Il faut être un professionnel pour le voir. Sauf qu'il y avait avec moi une personne en stage qui avait accepté tel un mouton de faire les castrations, et qui par mégarde avait ouvert un porcelet qui avait une hernie. On ne s'en était pas rendu compte tout de suite, seulement après quelques heures... Et là vision d'horreur... Un petit porcelet, bien vivant, assis sur ses intestins tout sanguinolents... Ni une, ni deux, le porcher la pris et la taper par terre. Pas le temps de me retourner. J'ai vu cette petite chose par terre avec le crâne explosé... mais pas mort... réaction « Il n'est pas mort !!!!! » Réaction du porcher : un énorme coup de pied sur le crâne « Maintenant il l'est ! » J'ai cru que je m'évanouissais.

Les porcelets sont séparés de leur mère à 28 jours en moyenne (certains seulement 21) puis sont envoyés dans des camions chez des engraisseurs.

Les truies retournent inlassablement en salle d'insémination à peine les porcelets partis.

Et le cycle recommence !

Les causes de réformes des truies (réforme = abattoir) sont les suivantes : pas assez productives (moins de 8 porcelets), pas assez maternelle (mange, écrase ses petits), problèmes de pieds (pas étonnant vu qu'elles sont sur des grilles), trop vieille (= 4 ans ) (merci pour les loyaux services), « méchante » (certaines mordent, foncent dans les gens, défoncent les cages), pas assez fertiles.

Une chose qui m'a profondément marqué aussi : les animaux n'ont pas d'eau à leur disposition. Un système distribue automatiquement la nourriture sous forme de soupe à heure précise. Un coup la soupe, un coup l'eau, sauf que les mangeoires ne sont pas nettoyées, ce qui fait que lorsque l'eau arrive, elle est mélangée au reste de soupe, donc ce n'est pas de l'eau pure, celle qui désaltère quand on a soif. De plus, si les truies ont soif à 13h, elles doivent attendre par exemple jusqu'à 17h avant que la ration ne soit distribuée. Il n'y a rien de pire que de ne pas pouvoir boire lorsqu'on a soif.

Pendant 15 jours j'ai donc assisté à ces mutilations et à ces aberrations, J'ai passé mon temps à faire des piqûres pour soulager les animaux qui avaient des problèmes de pieds (dieu seul sait qu'il y en avait) à surveiller les nouveau-nés, à parler aux truies, en les regardant dans les yeux et en pleurant, parce qu'il n'y a rien de plus expressif qu'un regard de cochon...

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