Sauvons les animaux

Bonsoir Mitsakie, j'ai vu que tu n'arrivais pas à écrire pourtant tu as pu retransmettre mes commentaires.

Pour moi, cela marche.

il y a cette bande bleue J écris par dessus :D Hé hé rien ne m empeche

Ouahhhhhhhh la bande est partie :)

Bon je disais que la pratique du lasso est débile

Surtout que c est inutile . Quoi les gens font ca pour leur égo ?

Oui tu as raison pour le lasso, je dirais aussi les champs de foire, le rodéo et la corrida, toutes ses activités où l’animal est blessé ou tué.

Si je comprend bien la corrida . Si le taureau gagne , on le tue ?

Vu ce qu’ils font subir aux taureaux, avant qu’il rentre dans l’arène, c’est très rare qu’un taureau gagne, et si c’est le cas, il le tue s’il est trop blessé, sinon il le soigne pour la reproduction.

il faudrait que ce soit les gens qui maltraitent les animaux qui lisent ce genre de sujet.. mais comme ils n'aiment pas les animaux (ils les maltraitent), ils ne viendront pas le lire puisqu'ils considèrent les animaux comme des choses et non comme des êtres vivants.. ils ne se rendent pas compte de ce qu'ils font..

c'est très vrai, néanmoins on ne se rend pas toujours compte de l'impact d'un comportement qui peut sembler banal:

ce qu'on met dans son assiette

ce qu'on porte: fourrure, cuir, etc

les cosmétiques

enfin des tas d'actes qui encouragent finalement ces tortures

donc pour certains c'est utiles

pour ceux qui n'aiment pas les animaux ou s'en foutent, il n'y a pas grand chose pour changer cet état d' "esprit", comme tu dis, hélas

il faudrait que ce soit les gens qui maltraitent les animaux qui lisent ce genre de sujet.. mais comme ils n'aiment pas les animaux (ils les maltraitent), ils ne viendront pas le lire puisqu'ils considèrent les animaux comme des choses et non comme des êtres vivants.. ils ne se rendent pas compte de ce qu'ils font..

Tu as raison malheureusement, mais tu sais, j'ai mis aussi ses documentaires car en regardant une vidéo, je ne savais pas par exemple qu'on maltraitait les animaux aux cirques, et je pense que même si on aime les animaux, on est pas au courant de tout ce qui se passe.

c'est très vrai, néanmoins on ne se rend pas toujours compte de l'impact d'un comportement qui peut sembler banal:

ce qu'on met dans son assiette

ce qu'on porte: fourrure, cuir, etc

les cosmétiques

enfin des tas d'actes qui encouragent finalement ces tortures

donc pour certains c'est utiles

pour ceux qui n'aiment pas les animaux ou s'en foutent, il n'y a pas grand chose pour changer cet état d' "esprit", comme tu dis, hélas

Je me nourris bio , mais c est vrai que ca coute plus cher .

J ai fait une liste sur les marques de cosmétiques tester ou non tester sur les animaux .

On peut préferer le latex au cuir . Et ne pas porter de fourure .

Sinon je vois pas trop .

c'est très vrai, néanmoins on ne se rend pas toujours compte de l'impact d'un comportement qui peut sembler banal:

ce qu'on met dans son assiette

ce qu'on porte: fourrure, cuir, etc

les cosmétiques

enfin des tas d'actes qui encouragent finalement ces tortures

donc pour certains c'est utiles

pour ceux qui n'aiment pas les animaux ou s'en foutent, il n'y a pas grand chose pour changer cet état d' "esprit", comme tu dis, hélas

vous avez raison tous les 2, l'information ne fait pas de mal : on est bien loin de penser souvent à tout ce qui se passe !! (malheureusement !)

c'est tout à fait ça:

de nombreuses personnes aimant les animaux n'achèteraient certains produits si elles savaient ce que ça coûte en fait :)

Il est bien ce topic . On peut parler des animaux sans se faire agresser :)

Lolllllllllll ma chatte tite tite viens de manger du pain de seigle :D

il faudrait que ce soit les gens qui maltraitent les animaux qui lisent ce genre de sujet.. mais comme ils n'aiment pas les animaux (ils les maltraitent), ils ne viendront pas le lire puisqu'ils considèrent les animaux comme des choses et non comme des êtres vivants.. ils ne se rendent pas compte de ce qu'ils font..

Ben ceux et celles qui ont émis des réserves sur ces indignations systématiques dès qu'une bestiole se fait occire, on leur dit d'aller voir ailleurs... Faudrait savoir...

Cinquième partie : la science

La vivisection : Le terme de vivisection se réfère à toute forme d’expérience sur des animaux vivants. Elle est considérée comme une science médicale. La pratique des expériences de ce type sert prétendument à découvrir des remèdes aux maladies humaines. Mais ceux qui pensent guérir les hommes en infligeant délibérément des souffrances aux animaux, commettent deux erreurs fondamentales : La première, c’est de présumer que les résultats obtenus sur des animaux s’appliqueront à l’homme. La deuxième, c’est le sophisme de la science expérimentale dans le domaine de physiologie.

En effet, les animaux ne réagissent pas comme les humains, tous les produits testés sur les animaux sont ensuite essayés sur des personnes lors de tests cliniques avant d’être considérés comme sûrs. Cette règle est sans exception. Les tests sur les animaux sont dangereux, car non seulement ils peuvent mener à une conclusion erronée, mais ils retardent en outre les tests cliniques, qui sont les seuls valides. N’oubliez pas qu’une maladie délibérément provoqué n’a aucun rapport avec une maladie qui se déclare spontanément.

Les expériences médicales : malheureusement, ces méthodes sont aujourd’hui en pratique, sous le couvert de la science, et sont une insulte à la véritable science et à l’intelligence humaine. Ainsi, la vivisection est pratiquée lors d’expériences médicales, en infligeant l’injection de substances nocives, des chocs électriques ou autres traumatismes, des opérations sans anesthésies, des brûlures, de longues privations de nourritures et d’eau, en les torturant physiquement et psychologiquement. Cela conduit à des déséquilibres mentaux, des infections et ainsi de suite. Les recherches sur les traumatismes du cerveau sont conduites en ligotant des babouins plus ou moins conscients, et en enfermant leurs têtes dans des casques en ciment, qui seront relevés à un angle de 60 degrés avec une force de plus de 1 000 g. L’expérience a pour but de simuler des accidents automobiles, de football, de boxe, et autres traumatismes crâniens. Ce procédé est souvent répété plusieurs fois sur le même animal.

La recherche militaire : Cela consiste à envoyer des singes dans l’espace, à tester les explosions atomiques sur des chiens sans défense ou à exposer des primates aux radiations nucléaires.

Il y a 20 ans, le nombre d’animaux tués par la vivisection était astronomique. On l’estimait à plus de 400 000 par jour dans le monde et il croissait à un rythme de 5% chaque année. Mais aujourd’hui, le nombre dépasse l’entendement, 19 000 par minute. 10 milliards par an.

Certaines personnes sans éducation prétendent que les animaux ne ressentent pas la douleur autant que nous. En fait, nous ne savons pas du tout ce que les animaux « ressentent », mais on sait qu’ils sont aussi soumis à la loi universelle, qui fait que chaque organisme mourant de causes artificielles souffre énormément avant de s’éteindre. Il est ridicule de dire que les animaux ne souffrent pas parce qu’ils ont un degré d’intelligence inférieure aux nôtres. La douleur est la douleur, transmise au cerveau par les nerfs.

Nous possédons d’autres impulsions nerveuses transmises à l’intelligence. Par exemple, la vue, l’odorat, le toucher et l’ouie. Chez certains animaux, ces nerfs sont encore plus développés que chez l’homme. Nous savons que jamais, nous n’avons fait de découverte sur la physiologie de l’homme en torturant les animaux. Nous en avons simplement appris plus sur les animaux. S’ils peuvent nous en apprendre plus au niveau psychologique, nous ne l’obtiendrons pas avec de l’acier ou de l’électricité, encore moins en nous servant de violences psychiques. La torture systématique d’être doués de sensation, quels qu’en soit le prétexte ou la forme, ne mènera qu’à découvrir ce que l’on sait déjà : Elle nous démontre jusqu’où l’homme peut s’abaisser. Faire souffrir des animaux, si c’est cela qu’on cherche à savoir.

Tant qu’il y aura des abattoirs, il y aura des champs de bataille (Léon Tolstoï) L’ignorance est la plus fréquente justification des spécistes. Mais avec du temps et de la détermination, n’importe qui peut facilement découvrir la vérité. L’ignorance l’emporte depuis longtemps, parce que les gens ne désirent pas connaître la vérité. « Ne me dis pas, ça va me couper l’appétit », voilà ce que vous entendez si vous essayez d’expliquer comment est produite la nourriture que l’on mange. Même si les gens savent que la ferme traditionnelle a été remplacée par de grandes usines, que leurs vêtements viennent de vaches abattues, que certains sports entraînent la souffrance et la mort d’animaux et que certaines expériences douteuses ont lieu en laboratoire, ils continuent à espérer que ce n’est pas aussi terrible qu’on le dit, sinon l’Etat ou les sociétés protectrices des animaux agiraient. Ce n’est pas vraiment notre inaptitude à découvrir ce qui se passe, mais plutôt notre désir d’ignorer les faits qui pèsent sur notre conscience, qui nous empêche d’agir. Après tout, les victimes de tout ce qui se passe, dans ces endroits horribles, ne sont pas les membres de notre propre groupe.

Tout se ramène à la douleur et la souffrance, et non à l’intelligence ou la force, la classe sociale ou les droits civiques. La douleur et la souffrance sont inacceptables et devraient être évitées ou réduites, quels que soient la race, le sexe ou l’espèce de l’être qui souffre. Nous sommes tous des animaux de cette planète. Nous sommes tous des créatures. Tous les animaux ressentent des sensations, comme nous. Comme nous, ils sont forts, intelligents, travailleurs, agiles et adaptables. Eux aussi, sont capables de croître et de s’adapter. Comme nous, avant tout, ce sont des terriens. Et comme nous, ils survivent. Comme nous, ils recherchent le confort, non la gêne. Comme nous, ils ressentent plusieurs degrés d’émotions. En un mot, comme nous, ils sont vivants. La plupart d’entre eux, comme nous, sont des vertébrés.

Si l’on examine leur rôle essentiel à la survie de l’homme, on se rend compte qu’on dépend entièrement d’eux, pour nous tenir compagnie, pour manger, pour s’habiller, pour se divertir, pour conduire des recherches médicales scientifiques. Malheureusement, on ne voit que l’irrévérence de l’homme envers ses pourvoyeurs. Cela ne fait aucun doute : Nous en sommes arrivés à mordre la main de celui qui nous nourrit. Nous l’avons même piétiné et nous avons craché dessus.

Maintenant, nous devons en subir les conséquences. Tous les rapports de santé font état des effets de notre surconsommation d’animaux. Cancer, maladies du cœur, ostéoporose, crises cardiaques, calculs rénaux, anémie, diabète, et autres. Même notre nourriture est touchée à la source. On utilise des antibiotiques pour tenter d’engraisser les animaux, qui sont trop stressés par leurs conditions de vie dans les fermes industrielles. On utilise à l’excès des pesticides, des insecticides, des hormones artificielles pour augmenter la production du lait, la taille et la fréquence des portées. Avec ces colorants artificiels, herbicides, larvicides, engrais de synthèse, tranquillisants, stimulants de croissance et d’appétit, inutile de se demander d’où viennent la maladie de la vache folle, la fièvre aphteuse, la Pfiesteria et bien d’autres anomalies animalières qui affectent les êtres humains.

La nature n’est pas responsable de ces actes. C’est nous qui le sommes. Un changement est inévitable. Si nous ne le faisons pas nous-mêmes, la nature le fera pour nous. Il est temps de changer nos habitudes alimentaires, nos traditions, nos styles, nos modes et avant tout, nos mentalités. S’il existe une part de vérité dans cet adage : « on n’a que ce qu’on mérite » Qu’ont-ils fait pour mériter ces souffrances ? Est-ce que nous y avons pensé ? Qu’ont-ils fait pour mériter ces souffrances ? Ce sont des terriens. Ils ont autant le droit d’être ici que nous. Rappelons-nous cet adage, tout aussi vrai : On récolte ce qu’on a semé. Bien sur, les animaux ont des sentiments, et bien sûr, ils ressentent de la douleur. Après tout, si la nature a doté ces merveilleux animaux d’une source intarissable de sentiments, pourquoi ne les utiliseraient-ils pas ? Les animaux ont-ils des nerfs pour rester insensibles ? La raison exige une meilleure réponse.

Mais une chose est sûre. Ces animaux utilisés en boucherie, pour la confection, le divertissement, dans des expériences scientifiques et qui subissent toutes les oppressions inimaginables finissent par mourir dans la douleur. Tous sans exception. Il est déjà suffisamment déplorable que dans le monde entier, les animaux doivent sans cesse reculer devant le progrès et le développement humain. De nombreuses espèces n’ont nulle part où aller. On dirait que le destin des animaux est d’être maudits par l’homme ou alors trop recherchés.

Nous sommes les seigneurs de la terre, nous détenons le pouvoir de terroriser mais aussi de compatir. Les êtres humains devraient aimer les animaux, comme on aime un être innocent, comme on protège un être vulnérable. Si la souffrance des animaux nous retourne l’estomac, cela montre que nous n’y sommes pas indifférents, même si nous ne voulons pas l’admettre. Ceux qui rejettent l’amour pour les animaux, comme n’étant que de la sensiblerie, renient une part importante de leur humanité. Quand on respecte un animal, on en n'est pas moins plus humain. Ils nous appartient de les laisser vivre dans le bonheur, aussi longtemps que possible. Dans la Lande, le Roi Lear demanda à Gloucester : « Comment vois-tu le monde ? » Et Gloucester, l’aveugle répondit : « Je le vois avec mes sens » Trois forces primaires coexistent sur cette planète : La nature, les animaux et l’humanité. Nous sommes tous terriens. Faisons le rapprochement.

Donc personne ne dénonce la castration des animaux domestiques ?

Ou les gens qui réduisent en esclavage des chiens dans leurs appartements ?

Quand à l'empoisonnement au pain de seigle des chats domestiques : c'est dommage que la modération ai supprimé mon message.

Les chats sont des carnivores stricts : ça doit avoir échappé aux fervents défenseurs des animaux...

Mais une chose est sûre. Ces animaux utilisés en boucherie, pour la confection, le divertissement, dans des expériences scientifiques et qui subissent toutes les oppressions inimaginables finissent par mourir dans la douleur. Tous sans exception.

ça devient spécial...

Il ne me semble pas avoir interdit quoi que ce soit, mais de suggérer à ceux qui n’avaient pas l’air intéressées par ce topic d’aller dans d’autres sujets. Ce topic parle de la maltraitance sur les animaux, si tu as des choses à dire, on peut en discuter, je t’écoute.

J'ai dit ce que je devais plus haut, aucune réponse, ça ne doit pas être dans l'esprit du topic de réfléchir... au passage, pour continuer dans le répertoire des misères faites à nos pôvres amies les bêtes : quid des oiseaux en cage, des chats, chiens, veaux, vaches, cochons entassés à je ne sais combien dans un appartement, parce qu'ils sont tellement mignons, tu comprends, pas pu résister, de cette notion d'appartenance entre l'animal et son "maître", des élevages dans un appartement ou dans le fond d'une cours, de l'abomination des zoos et de ceux qui "montrent" ces magnifiques animaux sauvages à leur progéniture, de l'anthropomorphisme qui galope, du désir de posséder un être vivant (déjà là, j'ai un problème) à la condition qu'il soit beau, bien "dressé", pas chiant... ???

@PtitePao, Du fait, que tu trouves que je ne t’ai pas répondu à ton premier post, j’ai repris tes phrases séparément et en essayant de mieux développer ce que j’avais dit plus haut.

Il serait donc interdit (sur ce topic uniquement ou irl aussi, je l'ignore) de mettre en relation deux problèmes ayant au moins un point en commun ? Interdit aussi de s'indigner du sort de tous plutôt que d'une seule catégorie d'êtres vivants ?

Non, je ne pense pas avoir interdit quoi que ce soit, d’ailleurs, ce sont juste les modérateurs qui ont ce pouvoir.

Sinon, il est tout à fait possible de mettre en relation deux problèmes ayant au moins un point en commun. Cela est même plutôt bien de s’indigner du sort de tous que d’une seule catégorie d’êtres vivants.

Pas bien non plus de donner son avis s'il ne convient pas à l'auteur d'un topic, quand bien même il va dans son sens, tout compte fait, en élargissant simplement le sujet... géniale, cette nouvelle manière de débattre, très ouverte et pleine d'enseignements, finalement.

Au contraire, sur ce sujet, tous avis peuvent être donné.

Comme je t’ai répondu la première fois, j’ai seulement suggéré à ceux qui n’avaient pas l’air intéresser, de voir d’autres sujets mais leurs avis négatifs ne me dérangent aucunement.

Il eût peut-être été intéressant, justement, de mettre en relation les actes de cruauté commis envers les animaux avec ceux subits par les êtres humains, histoire de comprendre un peu mieux les choses et de les remettre en perspective... mais si vous préférez un simple catalogue de faits, sans aucune réflexion ni débat, ça me semble dommage...

Je ne pense pas avoir dit le contraire, si tu veux mettre en relation les actes de cruauté commis envers les animaux avec ceux subits par les êtres humains, tu es tout à fait libre d’en parler, c’est d’ailleurs ce que je t’ai proposé de faire en te disant que j’étais prête à discuter avec toi, mais tu ne m’as pas répondu également.

Refuser et condamner certains actes, pourquoi pas ? Mais comprendre me semble encore la meilleure manière de combattre, (j'ai bien dit comprendre, pas excuser.).

Tout à fait d’accord avec toi.

Mais une chose est sûre. Ces animaux utilisés en boucherie, pour la confection, le divertissement, dans des expériences scientifiques et qui subissent toutes les oppressions inimaginables finissent par mourir dans la douleur. Tous sans exception.

ça devient spécial...

Ces animaux utilisés : en boucherie, pour la confection, pour le divertissement, dans des expériences scientifiques et qui subissent toutes les oppressions inimaginables finissent par mourir dans la douleur. Tous sans exception.