Censure autour d' un livre .

Ce n'est pas le réseau de distribution qui s'occupe de la promotion des livres. C'est plutôt l'éditeur et les librairies.

Ici, qu'on soit clair, on parle juste d'une entreprise qui livre les livres aux librairies, et qui a refusé d'effectuer les livraisons demandées pour ce livre.

Déjà, tu confonds diffuseur et distributeur. L'éditeur ne s'occupe pas directement de la publicité pour le livre, il se limite aux dossiers de presse. C'est le diffuseur qui se charge de la promotion du livre, mais pas de sa distribution ; le distributeur ne fait que les livraisons.

La chaine du livre:

Ce n'est pas le réseau de distribution qui s'occupe de la promotion des livres. C'est plutôt l'éditeur et les librairies.

Ici, qu'on soit clair, on parle juste d'une entreprise qui livre les livres aux librairies, et qui a refusé d'effectuer les livraisons demandées pour ce livre.

Un éditeur sous-traite mais il engage la promotion de son livre en même temps qu'il engage la distribution. Cela n'a aucun sens de passer une sortie sous silence. Seuls les réassorts de titres qui se vendent bien (ou mis en lumière par un événement) se passent d'un plan promo. C'est donc une charge conséquente et la question économique est la pression maximum, surtout sur une distribution nationale.

Pour ce que j'ai lu de cette histoire, le motif n'est pas donné sur le refus de distribuer. "Censure" est une interprétation des rédacteurs qui relatent l'histoire et spéculent à partir du livre. Ce genre de refus arrivent tous les jours dans le milieu de l'édition. Si c'était un livre plus anecdotique, le soupçon du complot ne serait pas aussi immédiat (bien que j'ai déjà vu des auteurs anodins crier à la frilosité ou à l'idéologie bien-pensante de l'éditeur qui les refusait, sans que ce soit crédible).

As-tu un élément solide ? Je ne pense pas que ce soit impossible de museler ou au moins d'influencer les distributeurs mais un tel tour de force doit laisser des traces.

Pour ce que j'ai lu de cette histoire, le motif n'est pas donné sur le refus de distribuer. "Censure" est une interprétation des rédacteurs qui relatent l'histoire et spéculent à partir du livre. Ce genre de refus arrivent tous les jours dans le milieu de l'édition. Si c'était un livre plus anecdotique, le soupçon du complot ne serait pas aussi immédiat (bien que j'ai déjà vu des auteurs anodins crier à la frilosité ou à l'idéologie bien-pensante de l'éditeur qui les refusait, sans que ce soit crédible).

J'en doute. Les mêmes distributeurs ayant déjà, par le passé, refusé un best-seller mondial pour des raisons idéologiques (un livre complotiste qui leur a déplu mais qui a eu plus de succès que Da Vinci Code, le livre a contourné la censure et est passé par d'autre réseaux).

J'en doute.

On a bien compris que ton système de pensée suit une logique paranoïaque.

Les mêmes distributeurs ayant déjà, par le passé, refusé un best-seller mondial pour des raisons idéologiques (un livre complotiste qui leur a déplu mais qui a eu plus de succès que Da Vinci Code, le livre a contourné la censure et est passé par d'autre réseaux).

Il ne te vient pas à l'idée qu'une société peut avoir le souci de sa crédibilité et refuser des oeuvres qui se présentent comme scientifiques lorsqu'elles développent une escroquerie. Si un distributeur refuse l'intégrale des oeuvres de Raël, hurleras-tu au complot ?

Le secteur de l'édition a encore le droit de ne retenir que les oeuvres jugées comme sérieuses.

(un livre complotiste qu

On a également saisi que ce genre d'ouvrage figurait en bonne place dans ta bibliothèque.

Si un distributeur refuse l'intégrale des oeuvres de Raël, hurleras-tu au complot ?

De mieux en mieux : on devrait censurer les livres des religions minoritaires maintenant...

Qui parle de censure ? Il y a censure lorsque l'Etat décide d'une interdiction de publication et de diffusion. En revanche, il n'existe aucun service public de l'édition qui obligerait les maisons d'édition à éditer des torchons qui nuiraient à la qualité scientifique de leurs publications.

C'est donc un complot si Plon ou tartempion refuse d'éditer Raël ?

Qui parle de censure ? Il y a censure lorsque l'Etat décide d'une interdiction de publication et de diffusion.

Bien sûr, tous les sites qui parlent de censure font partie d'un vaste complot islamiste, ils mentent tous.

De quels sites parles-tu ? Du Réseau Voltaire ?

On a bien compris à quelle source tu puisais tes infos tu sais. Tu éructais contre la non diffusion d'un livre que tu qualifiais toi même de complotiste.

De quels sites parles-tu ? Du Réseau Voltaire ?

Je constate donc que tu parles sans même avoir consultés les liens sur le sujet.

Non, ce n'était pas les réseau Voltaire.

Bien sûr, tous les sites qui parlent de censure font partie d'un vaste complot islamiste, ils mentent tous.

C'est quoi "tous" les sites qui parlent de censure ?

Ensuite, les erreurs lexicales sont assez courrantes, surtout dans les titres raccoleurs.

Si l'on consulte le dictionnaire de l'Académie française, on conste que le terme censure ne peut être retenu dans son acception juridique :

(1)CENSURE n. f. XIX^e siècle, comme terme de droit canon ; XVII^e siècle, au sens 2. Emprunté du latin censura, « charge, dignité de censeur » puis « jugement » et, en latin chrétien, « jugement sévère ».

1. ANTIQ. ROM. Dignité et fonction du censeur. Durant la censure de Caton. 2. Litt. Action de soumettre une personne, sa conduite, ses actes, ses opinions, etc., à un jugement critique ; correction, blâme, répréhension. Soumettre ses lettres à la censure paternelle, ses écrits à la censure d'un maître. S'opposer à la censure du sentiment public. RELIG. Jugement portant condamnation d'un écrit, d'une opinion. La censure que la Sorbonne fit de telle proposition. 3. Examen de livres, journaux, pièces de théâtre, films, lettres, etc., qu'ordonne un gouvernement, une autorité avant de permettre leur publication, leur représentation ou leur diffusion. établir, abolir, rétablir la censure de la presse. Censure dramatique, cinématographique. Ce film n'a pas encore obtenu le visa de censure. Commission de censure. Censure militaire. En temps de guerre, la correspondance passe par la censure. Dans certains états ou régimes, la censure est permanente. Par méton. Le corps des personnes commises à cet examen. La censure interdit la publication de cet article. Un passage supprimé à la représentation par ordre de la censure. 4. DROIT PUBLIC. Sanction disciplinaire que les corps, les ordres, les communautés et les assemblées délibérantes prononcent contre un de leurs membres. - DROIT CANON. Peine médicinale prononcée par l'église à l'encontre d'un chrétien qui a commis un délit. L'excommunication, l'interdit, la suspense sont des censures ecclésiastiques. Il a encouru la censure. 5. POLIT. Procédure par laquelle une assemblée parlementaire, notamment l'Assemblée nationale en France, met en cause la responsabilité politique du gouvernement par un blâme motivé à son adresse. Motion de censure, proposition contenant ce blâme. Le vote d'une motion de censure entraîne la démission du gouvernement. 6. PSYCHAN. Action défensive du moi qui empêche le retour à la conscience de représentations inacceptables, refoulées.

En revanche, tu vois, toi, des complots partout ! Je t'en donne le sens car tu ne le maîtrises pas.

(1)COMPLOT n. m. XII^e siècle, avec le sens de « foule compacte », puis « accord commun » et « conjuration ». étymologie inconnue.

Entreprise formée secrètement entre deux ou plusieurs personnes contre la sûreté de l'état, contre quelqu'un ou contre une institution. Les auteurs d'un complot. Une atmosphère de complot. Ourdir un complot. Tramer des complots. Tremper dans un complot. étre l'âme du complot. Leur complot a été découvert. Il déjoua tous les complots. Iron. Il y eut un complot pour fêter son départ. (On dit aussi Conspiration.)