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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

La foi est, quelque part, une épreuve mise à l'épreuve...

Tout comme le temps est bien qui nous paraît immuable, et dont nous sommes libres, ou non, d'en garder le monopole. J'ai l'impression qu'il est, au fond, très personnel, comme si le temps appartenait à chacun. Un peu comme l'entend la relativité, si ce n'est qu'il a, en plus, quelque chose qui tient de l'émotionnel. Bien sûr, il y a de ça aussi dans la relativité, puisque notre propre perception de l'événement fait notre perception du temps. Généralement, je me contente de dire que le temps n'est rien, si ce n'est une notion pour définir ce qui semble évoluer selon différents stades, tel le passage de la jeunesse vers la vieillesse. Mais peut-être que le temps est plus que cela, pour nous? Le ressenti de cette évolution? Sinon, comment pourrions-nous constater avec amertume à quel point le temps "passe"? En cela, le temps est relatif, oui. Et il l'est d'autant plus qu'il nous est propre. Ce qui n'est absolument pas nouveau.

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Membre, Posté(e)
voilacté Membre 5 896 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Sommes-nous en juillet

Pour qu'il fasse si frisquet?

Il est vrai que pourtant

A se les geler autant,

On pourrait en douter

Et se croire en janvier.

Le soleil va venir

Nous dit-on...

Sans rire,

Je n'y crois plus, non!

Tout cela est futile

Et sans intérêt?

Mais peut-être un mobile

Pour se désespérer...

Une pensée pour Cosette que l'on n'a plus le plaisir de lire ici.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Les mots sont faibles face aux images... Si nous sommes une conscience, c'est que nous renions ce que nous savons. Parce que nous savons! Mais préférons l'ignorer. Oui, je suis comme comme ce monde : je sais, et ne peux rien. Non que je sois sans force, incapable d'agir. Je m'en défais simplement pour m'éviter des complications, de ces problèmes qu'on ne pense pas à l'ordre du jour. Il nous a toujours fallu des événements dramatiques pour nous décider. En cela, nous n'avons absolument rien appris, mis à part à notre propos : nous réagissons dès lors que la situation devient critique, sinon mortelle. Nos repères sont chamboulés. Savoir que nous ne sommes pas éternels, et, pire encore, peut-être que de passage, d'un passage extrêmement bref, dépasse complètement notre science et nos croyances. Longtemps nous avons cru être une finalité, un aboutissement. Et depuis peu, nous apprenons que cette conclusion pourrait être remise en question. Remettons-nous en question. Pour une fois, avant l'échéance. Je ne suis pas un exemple, et suis de loin quelqu'un d'exemplaire, de ce côté-là, ce qui ne m'empêche en rien d'être conscient d'une chose : on se moque de nous. Nos priorités actuelles sont absurdes. Notre égoïsme, incommensurable. Peut-être est-ce déjà fini. Peut-être que je perds mon temps. Le changement. Une belle idée. Loin des nécessités. Vraiment, j'aimerais pouvoir croire que nous avons su apprendre du passé. Sauf que je ne vois rien. Rien, si ce n'est le néant. Celui d'une révolution de la pensée qui tarde à apparaître. Car, il faut se le dire : une fois les ressources presque épuisées, que ferons-nous? Ce que nous avons toujours faits. Comme avant. C'est-à-dire, s'exterminer. Si vous en doutez, posez votre regard sur la ligne au-dessus. L’Histoire aurait à nous enseigner. Mais nous ne savons que retenir, et non pas réfléchir. Une crise s'annonce et s'approche, silencieuse et prête : il ne manque que l'élément déclencheur. Sera-t-il sous le nom du pétrole? Sera-t-il tout autre? Un événement indépendant de notre volonté qui frapperait notre pseudo-équilibre? Je sens qu'on va bien se marrer. Bientôt.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Kurt Cobain. Un mythe rien que pour sa personnalité... Hors-norme. L'image qu'il nous en reste est un dépressif toxicomane talentueux, musicalement. Et pourtant... Tant de bon sens dans ce qu'il a pu dire ou écrire. Certes, il use énormément de la provocation, de ces phrases percutantes qui peuvent faire du tort. Mais, vraiment, je ne l'imagine pas misérable. Il est déroutant. Voilà sûrement le défaut qu'on lui attribue le plus facilement.

Je crois que nous l'avons globalement mal compris, mal cerné. Son mal-être face au poids de la médiatisation me semble en être une conséquence flagrante... Il voulait de tout ça, mais ne voulant pas autant de ça. C'est donner le gâteau à qui demandait simplement une part.

Il n'a pas été le seul. Souvent nous nous reportons à certains hommes, généralement artistes, que nous admirons, apprécions à travers leurs oeuvres, voir envions. C'est la masse des célébrités et des stars. Seulement, de cette population ressort encore quelques individus tenant une place particulière, presque au-dessus du reste, si on peut parler ainsi. Ceci est en lien avec ce qui est en vogue, avec le "show business" se développant de part le monde. Ces personnes-là ne sont plus seulement une icône. Elles deviennent des symboles auxquels nous nous reportons longtemps après leurs disparitions, connus de tous. La question est : pourquoi? Pourquoi donnons-nous ces places particulières à certains d'entre nous? Est-ce la personne en elle-même? Ou son talent? Ou bien même, les circonstances? Je crois qu'il y a un peu de tout. Néanmoins, ont-ils réellement ce quelque chose en plus qui fait qu'ils parviennent à faire ce qu'ils ont faits, ou font?

Ce qui est curieux, c'est cette présence fréquente de la mort. Serait-elle un moyen, malgré eux, d'inscrire leurs noms dans l'Histoire? Artistiquement parlant, je pense que oui. Le club des 27 le montre. De nombreux artistes sont extrêmement connus et reconnus, mais la longévité d'une carrière dévoile forcément des faiblesses. Lorsqu'elle est courte, elle devient, dans ces cas-ci, un presque sans faute... Qui paye. La raison pour laquelle des groupes extrêmement connus ne finiront jamais aux côtés de ces noms "légendaires", c'est ce défaut temporel. Il faut que cela soit bref et puissant. Comme un coup porté sur la conscience d'un homme.

Bien sûr, ici, je fais une généralisation, un grossier trait sur ce qui, selon moi, nous vient d'abord à l'esprit. On peut songer à tout à fait autre chose. Il n'empêche que, j'en suis convaincu, nous axons nos références majeures d'un point de vue artistique selon différentes conditions : l'ancienneté, et donc, la démonstration de sa valeur à travers le temps, et sa brièveté, ne laissant pas au temps le temps de dégrader l'image qu'on s'en fait. Différentes conditions qui tournent autour de cette notion de "temps".

Cela croît notre sentiment d'adulation. Comment? En renforçant l'idée que nous-mêmes, nous ne le pourrons pas. Trop peu exceptionnel. Trop tard. Trop de nombreuses choses. Cela donne à ces êtres particuliers cette impression de perfection. Pas dans les actes, ni dans la pensée. Simplement dans la manière de gérer le temps. N'est-ce pas paradoxal que l'Histoire conserve ceux qui ont eu un bref passage? Je tiens à rappeler ici que ce n'est pas le cas de tous, mais tout de même, d'une partie non négligeable.

Il suffit de regarder les noms que tout le monde connaît. Majoritairement, il y a soit des êtres géniaux et polyvalents, à l'image de Pascal, Léonard de Vinci, Einstein,... et d'autres dont la présence a été plutôt courte, ou dont le travail a été temporellement bref (voir, peut-être, peu conséquent) tels que Rimbaud, Baudelaire, Hendrix,...

Cependant, et après réflexion, il me paraît plus vraisemblable que ce soit la personnalité, forte, parfois marginale, en tous les cas, "différentes", et ce côté à la fois "neuf", génial, bref, extraordinaire. Il y a une part de rêve en ces noms. Une part de nous-mêmes qui aimeraient les égaler. L'autre se contentant de les admirer.

Je remarque à la fin de ce texte, ma foi, chaotique, que je me suis laissé emporter. Grand bien me fasse... J'en suis désolé. Je pensais trouver quelque chose dans cette idée de temporalité, mais j'ai peiné à y dénicher de quoi le généraliser. Peut-être est-ce une erreur de ma part, un de mes délires non souhaités. Il y a que nous vivons malgré tout entre ce paradoxe qu'est celui d'une quête inlassable entre la volonté d'être "éternel", d'entrer dans l'Histoire, et notre finitude. Voilà pourquoi j'ai tenté de soulever raisonnablement ce paradoxe immanent de certains de ces noms. On ne gagne pas à tous les coups, que voulez-vous.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Je me suis parfois demandé ce qui faisait qu'un psy' était "mieux" placé qu'une autre personne pour écouter et comprendre quelqu'un. Il y a ce côté "externe" à la situation problématique, ou dû moins, "externe" au quotidien familial, amical, voir, amoureux. Bref, il n'a pas cette subjectivité pouvant s'affirmer en faveur d'une mauvaise compréhension. En plus de cela, il aurait cette "habitude" et cette connaissance. Il aurait une idée esquissée de ce qu'il faut faire. Bien sûr, il existe des personnes tout à fait aptes à ce genre de choses et n'appartenant pas aux psy's. Je pense, notamment, aux enseignants, ou, en tout cas, à une partie de ces derniers. Mais, au-delà des raisons apparentes permettant à quelqu'un d'en comprendre une autre, ou, au moins, de l'écouter, je me suis demandé ce qui faisait que ces personnes, justement, y parvenaient. Ce sont les souvenirs de mes cours de philosophie qui m'ont mis, peut-être, sur la voie d'une solution. En effet, à l'occasion du thème sur le conscient/l'inconscient/le sujet, nous avons vu la pensée de Husserl à travers un commentaire de Sartre. "Hors de lui, hors de moi". Il y disait que, pour s'approprier par la pensée un objet, il fallait que le sujet se "détache" de lui-même, qu'il soit "hors de moi", sans toutefois s'approprier cet objet, donc en restant "hors de lui". Ce rapport à l'objet, je me suis demandé sérieusement si, au fond, on ne pouvait pas l'appliquer aussi aux rapports entre sujets. Autrement dit, pour que quelqu'un comprenne une autre personne, pour qu'il s'en approprie la pensée et la logique, il doit à la fois se défaire de sa propre pensée. Quitter son fonctionnement pour en saisir un autre dans la façon de fonctionner. Non pas pour remplacer la nôtre, ou pour remplacer la sienne. En tout cas, pas directement. Pas soi-même. Mais, simplement pour en comprendre l'essence et les rouages, afin d'y trouver une éventuelle "anomalie", et ainsi, guider l'autre pour qu'il la corrige de lui-même. Quelqu'un qui comprend l'autre n'est donc pas autre chose qu'une personne capable d'ouverture d'esprit, en ce sens où il ouvre son esprit pour accueillir le reflet d'un esprit autre. Oui, c'est quelqu'un ayant ce talent de s'oublier un temps pour s'ouvrir à l'autre.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

C'est une histoire de papillons. Tout est une histoire de papillons.

Qui vole, qui s'envole.

Qui vont, et s'en vont.

Je suis un assassin. Pas par envie, mais par destin.

Quoi que, j'en sais rien.

Difficile de savoir. Difficile de concevoir.

Mille choses volubiles coassent dans mon esprit.

Je suis une proie facile. Un être insignifiant, si docile.

Les rapaces me pourchassent.

Non pas pour se nourrir. Juste pour rire, me voyant souffrir.

Tout est une histoire de papillons. Et nous sommes des millions.

Nous dormons. Nous patientons.

Notre éveil sera apocalypse.

N'en doutez pas. Ne doutez jamais des faibles.

Un homme habité de quelques démons en vaut mille. Qu'importe sa force.

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Bonsoir à vous qui continuez à écrire sur ce beau livre. Les papillons sont les reflets de nos pensées, Jedino, je les aime, mais j'ai l'impression qu'ils sont de moins en moins nombreux. Est-ce une question de pollution?

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Pollution? Possible. De déforestation? Assurément ;)

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Papillon de mes pensées s'envole vers vous

papillon.jpg

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

En feu. Tout est en feu. Le sommeil lourd. Le doute, permanent. Je ne sais plus vraiment. Je me sens faible. Constamment. Comme si quelque chose m'avait abandonné. Peut-être le courage. Ou l'envie. Ou le désintéressement. Je ne sais plus vraiment. J'avais la foi, il y a longtemps. Oh! Pas tellement! Juste assez pour m'en sortir plus ou moins dignement. C'est terrible, ce sentiment de n'être qu'à moitié vivant. Non pas que je me meurs, ou que je sois impuissant. Simplement, je n'ai plus la force. De rire, de m'amuser, de m'abandonner, de tout. Mais, ce qui est étonnant, c'est que les raisons me manquent. Rien ne m'amène à être ainsi. Rien que je ne sache. Je n'ai jamais vraiment su. Probable qu'au fond, je m'y complais. Que cela n'est que le fruit de ma fausse volonté. Le fruit d'un incapable. Un fruit détestable. Un fruit que je ne veux qu'incendier. Où sont donc les anges? Ceux qui devraient être là pour nous libérer? Comment en suis-je arrivé là? Je ne sais plus vraiment. Plus en cet instant.

Modifié par Jedino
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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Bonjour

Le feu? un purificateur?

lesflammes.jpg

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Le feu est, comme tous les éléments, à la fois un "Bien" et un "Mal" :)

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Membre, claniste, 107ans Posté(e)
cry baby Membre 44 061 messages
107ans‚ claniste,
Posté(e)

le coeur au ventre

je suis bandit pour une nuit

j'ai le coeur plein d'ennuis

je suis voleur pour une heure

j'ai le coeur plein de malheurs

je suis gendarme pour une dame

j'ai le coeur plein d'âmes

je suis lover pour une heure

j'ai le coeur sans honneur

je suis ange pour un été

j'ai le coeur divisé

je suis diable pour un hiver

j'ai le coeur entrouvert

j'ai le coeur qui bat pour une fille

j'ai le coeur qui brille

le coeur qui part en vrille

le coeur imbécile

le coeur au ventre

Modifié par cry baby
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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Cry baby

Bandit au grand coeur

Merci... :)

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Membre, 33ans Posté(e)
blase Membre 18 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Tu me le raconteras plus tard, et pourtant on le sait tousles deux que «plus tard» n’arrivera pas,

et pour cause tu rentres de nouveau chez toi. . .

Sur une terre riche de souvenir, oublié volontaire

je repense à toi, repense à cette ile, vide de toi

Une boucle dis-tu ? C’est drôle que t’en parles j’ypensais aussi,

non pas à tes cheveux, simplement à cette histoire. . .

Tu ne dois surement plus t’en rappeler,

elle résonne juste comme un écho

Tu t’en souviens alors,

c’est celle que tu as effacée

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Très bien dit tout ça Blase et vrai aussi :plus:

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

un petit passage pour laisser mon bonsoir

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Bonjour Dolce en ce début de semaine très peu ensoleillé ;)

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

La hache du destin est puissante, tranchante. Elle frappe nos vies sans demander le moindre préavis. Face à cela, notre attitude est nonchalante, convaincu de ne pouvoir que supporter. On ne change pas son destin comme ça. On ne change pas ce qui est déjà écris, là-bas. Et, pourtant, on nous conseille, parfois, de "prendre notre destin en main", comme si cette ligne inscrite n'était pas, ou qu'il était possible de l'effacer pour la rectifier. Peut-être qu'au fond chaque action n'est qu'un mot déposé par la plume que nous possédons entre nos doigts. Peut-être que, oui, nous avons de quoi inscrire notre trace, mais que nous ne faisons qu'hésiter, sans toujours savoir pourquoi. Il nous suffirait d'écrire. Seulement, que dire? Est-ce le bon terme? Autant de questions qui intriguent. Autant de questions qui paralysent. L'une d'elle persiste malgré tout : que nous sachons écrire est une chose, mais qui donc nous l'a appris?

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Bonsoir Jedino :)

La hache du Destin dis-tu, mais pourquoi? Il peut être beau le Destin :)

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