Aller au contenu

un jour = une histoire

Noter ce sujet


Invité Cosette 2

Messages recommandés

Membre, Dingotte à plein temps !, 94ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
94ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

Autant en emporte le vent...

Le vent a soufflé fort!

Il a eu raison de mon sort...

Ma plume s'est envolée

Si loin, trop loin pour se poser...

Elle s'est cassée

Et mon coeur s'est brisé!

Il fallait bien qu'un jour

Elle me joue ce tour...

Trop lasse pour courir après elle,

Je l'ai regardée s'enfuir à tire d'aile!

Les larmes aux yeux

Je l'ai vue partir vers d'autres cieux!

Adieu tous mes amis,

Avec elle, je m'enfuis...

Oulà, trop de gens partent....

Cette plume t'attendra , aussi longtemps qu'il le faudra, à bientôt dame des mots.... maux....

element_13-1.png

  • Like 1
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

L'homme est un secret. Il est, se meut, se divertit. Il s'aliène, cherche à ne plus connaître ce "je suis". Il se cache la vérité, par crainte ou par envie, préférant l'ignorance à l'insomnie. Jamais il ne trouve ce petit truc qui fait qu'il est celui-ci. Et pour cause : comment dénicher quelque chose qui se situe en nous? Il faudrait s'arracher le coeur, risquer d'y perdre la vie. Mais un coeur vaut mieux qu'un lucide "oui". Oui, je sais quel homme je suis. Oui, je l'accepte et l'assume, malgré ma folie. Paradoxalement, l'homme s'attarde des années sur un "qui suis-je" dont il refuse la réponse, comme si l'errance inutile de cette quête était plus belle que la connaissance qui s'en suit. Vraiment, l'homme est un secret parce qu'il refuse de dévoiler sa personnalité. Quoi que c'est bien inutile en un monde qui s'attarde sur ce qui est, et non sur ce que nous sommes.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Écrire, c'est s'inventer. Mais s'inventer, ce n'est pas se raconter...

Nous avons tant à faire dans une vie, tant de choses qu'il nous faut accomplir en vue de je ne sais quel bonheur. Un immondice de nécessités que l'on s'empresse de connaître, comme si une vie bien remplie faisait une belle vie. Il est vrai que nous craignons l'ennui, ou plutôt, la souffrance qui la suit. A y réfléchir, je crois que nous évoluons essentiellement entre un essaim de tensions. D'où nos doutes et nos peurs. Conséquence d'un manque flagrant de confiance, qu'elle soit personnelle, ou universelle? Peut-être.

Quoi qu'il en soit, il existe toujours une solution, tout comme il existe un choix différent. La véritable question n'est pas de savoir "que faire", mais surtout, de savoir si "je veux le faire". En discuter ma montrer à quel point je ne crois pas à la force de l'espoir dont on cherche si souvent le secours. Ce n'est qu'un vain moyen d'attendre la chance, ou de se persuader quand tout semble impossible, terminé. Il n'y a bien que la volonté qui nous pousse à agir, à réagir. Vous en doutez? Regardez-moi, alors : j'espère voir le monde changer, prendre un visage autre qui saurait être meilleur. Pourtant, il ne change en rien, ou peu. Si j'en avais réellement le désir, j'en ferais un mot d'ordre, et je m'attèlerais à des tâches qui tendraient à cet objectif. Je passerais de l'espoir au vouloir, de l'inaction à l'action. Néanmoins, je comprends ce refus face à cette conception de l'espoir. Il est, quelque part, la seule chose qu'il nous reste une fois nos cartes abattues.

Écrire, c'est s'exprimer. Mais s'exprimer, ce n'est pas être écouté...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Je passe toujours lire, mais tu as l'air un peu seul :o°

Je ne peux pas t'accompagner, je suis bien trop nulle, et puis, je ne sais pas quoi je pourrais raconter :gurp:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Oh, j'occupe, oui, jusqu'à, je l'espère, des revenues!

Mais tu n'es pas trop nulle, j'en suis persuadé, donc laisse-toi aller ;)

Et, raconter ce qui te passe par la tête, voyons!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Bien gentil!

Et, j'essaie au mieux, oui, de ne pas tomber dans l'aveuglement pessimiste. Tout n'est pas blanc, mais tout n'est pas noir non plus. Trouver un juste milieu entre l'espoir vain et le désespoir, finalement. Des tensions, toujours, encore.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir, tout n'est pas rose.

Les draps de mon lit sont blancs,

Mon ciel est des fois noir, des fois bleu,

La vie n'est pas toujours rose :hu:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, N'est stupide que la stupidité..., 57ans Posté(e)
chamaniak Membre 18 121 messages
57ans‚ N'est stupide que la stupidité...,
Posté(e)

Je passe toujours lire, mais tu as l'air un peu seul :o°

Je ne peux pas t'accompagner, je suis bien trop nulle, et puis, je ne sais pas quoi je pourrais raconter :gurp:

:plus::sleep:

Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir, tout n'est pas rose.

Les draps de mon lit sont blancs,

Mon ciel est des fois noir, des fois bleu,

La vie n'est pas toujours rose :hu:

Peut-être un jour trouverai-je les mots comme tu as su le faire Dolce :bo:

En attendant j'ai toujours plaisir à vous lire ;)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

L'empire des songes.

Il existe de ces lieux qui ne nous laissent pas indifférents. Peut-être s'accordent-ils parfaitement avec notre âme? Je l'ignore. Parfois, nos raisons culminent si hauts qu'elles nous restent inconnues, offrant le mystère dont nous voulons tous, et qui se situent... Juste au-dessus de nous. Insaisissable. C'est cela qui en fait l'essence, et la beauté. Je ne rêve pas pour connaître, mais pour m'évader, et, littéralement, ne rien y comprendre. Un caractère qui n'est pas propre à nos songes. Pas exclusivement. En général, tout ce qu'y nous échappe nous fascine, ou nous inspire une crainte somme toute légitime. L'inconnu fait peur, et il est, à la fois, d'un grand intérêt. Peu importe que j'en saisisse complètement le sens : l'essentiel consiste en un flirt particulier avec, sans que jamais je ne puisse le toucher... Au fond, un monde nouveau est un monde dont je peux fouler la terre sans que je ne sache à quoi m'attendre! Et, nous sommes tous de ces promeneurs discrets s'épuisant chaque nuit dans mille paysages, et ceci, en ne quittant pas l'once d'un instant... Nos lits.

Personnellement, je n'aime pas rêver. Il ne m'inspire jamais plus que des images emplies de haine et de violence. J'ai déjà entendu comme quoi le sommeil était un exutoire, un moyen de se délivrer de la fatigue de nos journées! Non pas que physique, mais aussi émotionnelle. Pis, notre équilibre en dépend entièrement! Et pourtant, toutes ces choses... Faut-il de ces détails morbides pour effacer? Rassurez-vous, cela ne m'arrive que rarement. La plupart du temps, je ne les connais pas vraiment. Je ne sais pas pourquoi. J'ai lu que c'était parce qu'on avait bien dormi, une fois, ou suffisamment. Je ne sais plus. Mais, j'en doute. Ce qui est sûr, c'est que cet univers est complexe, et qu'il m'interpelle énormément. Autour du thème existe de si nombreuses hypothèses : fruit de l'inconscient, de l'imagination, du simple fonctionnement de nos cellules... Sans pour autant qu'aucune ne s'avère concluante. C'est bien cela, qui est attrayant : le rêve est, en lui-même, un rêve : à la fois réel, parce que vécu, d'une certaine manière, et incompréhensible, parce que dépassant complètement notre science... Jusque maintenant. Je ne crois pas qu'il soit bon, d'ailleurs, d'en décortiquer le mécanisme. Laissons cela à nos nuits. Il y a assez à faire pour ne pas aller défaire la petite part de mystère qui réside encore en nous. Remarquez ce paradoxe : le cerveau, qu'il soit "nous", ou non, se montre incapable de se comprendre lui-même! Ne reconnaissez-vous rien? Ne voyez-vous pas ce "Je" qui nous hante tant sans pour autant se laisser appréhender par lui-même? Cela voudrait dire qu'en plus des infinis, c'est-à-dire de ce qui nous est impossible d'imaginer rationnellement, que ce soit le grand, ou le petit, il en existerait un troisième, à la fois proche et lointain, quelque part terré au fond de nous. Sincèrement, je pense que nous sommes un infini. A notre façon.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Reath Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Causette,

Je ne sais pas ce qui t'es arrivé mais lorsque j'ai découvert ton sujet sur ce forum, j'avais eu plaisir à lire et à écrire, ici

J'ignore où tu es allée et quel chemin tu as pris, qui t'a éloignée d'ici mais je te souhaite bon vent

Les mots ne sont pas la vie, ils ressemblent plus à un miroir qui enlève une dimension à la réalité

Qui nous empêchent parfois de croquer la pomme et de serrer très fort dans nos bras les êtres de chair et de sang

Alors, mon voeu pour toi n'est ni le bonheur ni la peine mais de bien croquer la vie à pleine dent, de la prendre à bras le corps, avec tous tes sens, avec tout ce que tu es, que tu as toujours été et que tu seras toujours !

Merci, Causette...

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Je passe toujours vous lire, même si je n'écris rien. :bo:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Heureux celui qui a tort. Qui a raison n'apprend rien, et finira par penser qu'il n'y a plus rien qu'on puisse lui apprendre. Mieux vaut se tromper. Mieux vaut ne jamais savoir pour toujours pouvoir chercher, et découvrir. La connaissance rend trop souvent mauvais. Il est préférable d'être ignorant, et de chaque jour recommencer. Sauf si vous êtes de ceux-là, de cette trempe de personnes songeant à amasser le plus immense des tas, plutôt que de profiter de toutes les brindilles longuement quêtées. Tout bien en excès n'amène que rarement quelque chose de bien, que ce soit l'argent, l'amour, le savoir, ou ce que vous souhaitez. Nous ne sommes pas faits pour porter, ou, disons surtout, supporter, le poids de ce que nous pouvons, ou pourrions, posséder. Notre seul rôle est de prendre pour utiliser. L'action suppose l'action. Dès lors que le règne de l'inaction et de l'inutile se met en route, nous nous détournons de notre nature. Évidemment, il y a cette idée fausse consistant à croire que nous sommes ici pour comprendre le monde qui nous entoure. Pure foutaise. Notre état animal ne nous le permet pas sans que cela tienne de la dénature, et donc, de la dépravation. Pour nous retrouver, il faudrait nous défaire de cette pensée qui s'incruste profondément, et davantage tous les jours. Celle qui nous transforme en des biens de consommation. Le système est fou. Et sa folie est débridée : il fait de nous ce dont il a besoin, alors qu'il devrait être ce dont nous avons besoins. Tous, nous le savons, et pourtant, nous nous appliquons divinement à l'oublier. Le bien-être, le confort, la facilité : trop d'arguments qui font fronts à ce changement, le seul qui soit légitime. Comment peut-on craindre pour la chute de cet univers abstrait qu'est la Bourse et l'économie? Qu'en avons-nous à foutre, vraiment, de la crise? Délaissons-donc cette ignominie! Oui, on s'appliquera à me dire que ce n'est pas si "facile" dans un monde qui cherche à l'être toujours plus. Regardons-nous deux minutes : vous avez sincèrement l'impression d'être complexe, à désirer les mêmes choses, à attendre les mêmes conneries qu'on nous vend? Non, je n'ai rien d'un rebelle, et rien d'un pseudo-révolutionnaire. La révolution n'a rien d'une solution dans notre situation. Ce qu'il faut, c'est un retour du mystique au sein de notre société. Dieu ne nous viendra pas en aide. Il me paraît malgré tout nécessaire que nous le rappelions. Ne vous méprenez pas, je ne suis aucunement croyant : j'ai simplement le sentiment qu'il est l'unique voie de guérison. Plus en raison de notre incapacité à nous prendre en main qu'autre chose. Cela m'attriste que de savoir qu'il nous faudra souffrir pour nous en rendre compte. Il n'y a bien que la mort pour nous rendre fort. Le reste n'est que superficiel. Néanmoins, une question se pose : et si la science ne parvenait pas à solutionner à temps nos excès? Que ferons-nous, si ce n'est nous massacrer? Oui, que ferons-nous?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

Je vous dis au mois prochain et j'espère avoir beaucoup de textes à lire. Bonnes vacances à tous. :)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 478 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)

Heureux celui qui a tort. Qui a raison n'apprend rien, et finira par penser qu'il n'y a plus rien qu'on puisse lui apprendre. Mieux vaut se tromper. Mieux vaut ne jamais savoir pour toujours pouvoir chercher, et découvrir. La connaissance rend trop souvent mauvais. Il est préférable d'être ignorant, et de chaque jour recommencer. Sauf si vous êtes de ceux-là, de cette trempe de personnes songeant à amasser le plus immense des tas, plutôt que de profiter de toutes les brindilles longuement quêtées. Tout bien en excès n'amène que rarement quelque chose de bien, que ce soit l'argent, l'amour, le savoir, ou ce que vous souhaitez. Nous ne sommes pas faits pour porter, ou, disons surtout, supporter, le poids de ce que nous pouvons, ou pourrions, posséder. Notre seul rôle est de prendre pour utiliser. L'action suppose l'action. Dès lors que le règne de l'inaction et de l'inutile se met en route, nous nous détournons de notre nature. Évidemment, il y a cette idée fausse consistant à croire que nous sommes ici pour comprendre le monde qui nous entoure. Pure foutaise. Notre état animal ne nous le permet pas sans que cela tienne de la dénature, et donc, de la dépravation. Pour nous retrouver, il faudrait nous défaire de cette pensée qui s'incruste profondément, et davantage tous les jours. Celle qui nous transforme en des biens de consommation. Le système est fou. Et sa folie est débridée : il fait de nous ce dont il a besoin, alors qu'il devrait être ce dont nous avons besoins. Tous, nous le savons, et pourtant, nous nous appliquons divinement à l'oublier. Le bien-être, le confort, la facilité : trop d'arguments qui font fronts à ce changement, le seul qui soit légitime. Comment peut-on craindre pour la chute de cet univers abstrait qu'est la Bourse et l'économie? Qu'en avons-nous à foutre, vraiment, de la crise? Délaissons-donc cette ignominie! Oui, on s'appliquera à me dire que ce n'est pas si "facile" dans un monde qui cherche à l'être toujours plus. Regardons-nous deux minutes : vous avez sincèrement l'impression d'être complexe, à désirer les mêmes choses, à attendre les mêmes conneries qu'on nous vend? Non, je n'ai rien d'un rebelle, et rien d'un pseudo-révolutionnaire. La révolution n'a rien d'une solution dans notre situation. Ce qu'il faut, c'est un retour du mystique au sein de notre société. Dieu ne nous viendra pas en aide. Il me paraît malgré tout nécessaire que nous le rappelions. Ne vous méprenez pas, je ne suis aucunement croyant : j'ai simplement le sentiment qu'il est l'unique voie de guérison. Plus en raison de notre incapacité à nous prendre en main qu'autre chose. Cela m'attriste que de savoir qu'il nous faudra souffrir pour nous en rendre compte. Il n'y a bien que la mort pour nous rendre fort. Le reste n'est que superficiel. Néanmoins, une question se pose : et si la science ne parvenait pas à solutionner à temps nos excès? Que ferons-nous, si ce n'est nous massacrer? Oui, que ferons-nous?

bonjour jedino

le monde se fait et se défait constament au grés des vagues du temps et de la vie .

que sera demain ? à quoi bon s'en inquiéter ? tirer le signal d'alarme oui mais , ou sont les pompiers ,les secours , les infirmiers ?

la nature n'à pas d'état d'àme ,mais retient les leçons de son passé et , de cause à effet elle voudra se venger des excés ... peut-ètre ?

bien sur , aujourd'hui , nous n'avons plus de bàton mais des moyens redoutable que nous utilisons sans trop de diçernement et , à forçe , quand le destin nous présentera la facture ,la note risque d'ètre trop salée .

enfin , haut les coeurs ,rien n'est perdut ,les affairistes vieillent sur nous mais ,ils nous dirigent vers une impasse et ... qui vivra verra .

mais , dans une forèt ravagée par le feu , tot ou tard , au milieu de la cendre,un bourgeon sort la tète , timidement, puis , comme tout est si calme , il s'enhardi ,il pousse pousse , grandis et dresse la tète fièrement pour défier les éléments.

puis ,des bourgeons émergent de partout et rejoignent les cimes à leurs tour .

bientot , la cendre à disparue ,tout est couvert de verdure qui se disputent le moindre espaçe de foret.

que reste-il de l'incendie , rien ou presque , qui se souvient de çe passé si lointain ?

peut-étre çe vieux chène qui en à vu d'autres , mais il ne faut pas lui en racconter,il s'ait lui , que tout recommençera un jour .ainsi est et va la vie .

bonne journée

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
Néanmoins, une question se pose : et si la science ne parvenait pas à solutionner à temps nos excès? Que ferons-nous, si ce n'est nous massacrer? Oui, que ferons-nous?

La science crée la bombe atomique , Hiroshima

la religion crée l'hypocrisie , le dogmatisme et finalement le conformisme

Et si la solution était ailleurs?

Je n'est pas un autre , que c'est difficile d'être je tout en ayant besoin du groupe pour vivre

Comment être je quand je désire être conforme aux désirs du groupe afin de ne pas en être exclu et me sentir exister?

Pourtant la solution pourrait bien être là, comment être suffisamment soi dans le collectif pour arriver à penser par soi même et se sentir toujours responsable de ses actes tout en se confondant suffisamment avec le groupe pour y trouver sa place et s'y fondre ?

C'est peut-être ça le grand probléme de l'homme , celui qui le mène aux excés

L'homme veut tellement être aimé du plus grand nombre qu'il se cherche constamment dans le regard de l'autre

Enfin bon, j'en sais rien

Modifié par saint thomas
Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Globalement, je remarque que l'issue n'est pas des plus optimistes... Et merci à vous d'avoir pris le temps de lire et répondre ;)

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Reath Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je suis l'homme. Dieu est une partie de moi. La science est une partie de moi. L'art est une partie de moi. L'intelligence et la pensée sont aussi une partie de moi et je ne crois pas, aussi puissantes puissent être celles-ci, qu'elles peuvent prendre la mesure de ce que je suis. Je suis la vie. La mort ne m'éteindra pas complètement car une partie de ma conscience survivra à travers mes enfants et mes congénères. Je suis la vie, sans éternité, imbriquée dans toutes les autres vies, composantes de l'humanité ; l'humanité, composante de notre âme, de mon âme.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 31ans Posté(e)
Jedino Membre 47 968 messages
31ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Et si la noirceur de cette histoire était la noirceur de mon esprit? Pourquoi, au passage du noir au blanc, mes idées commencent à manquer? Y a-t-il un conditionnement des situations dans lesquelles on peut s'immiscer? Oui, sommes-nous le personnage de notre propre personne, incapable de vivre réellement autre chose lorsque ceci ne nous correspond pas? Sommes-nous ce que nous imaginons ou rêvons? Sommes-nous ce que nous désirons? Des question, des questions... Des questions! Il faudra bien s'en passer, s'en débarrasser. Un jour.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
Reath Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Une phrase, trente ans après, un texte, aujourd'hui, un poème

L'homme a inventé dieu pour l'aider à se battre dans la vie.

Quand un homme a donné son cœur et son âme à un être sacré et qu'il se trouve subitement abandonné, qu'il perde la foi, il ne peut en vouloir à celui qui n'est plus et tourne sa haine vers l'humanité, dans son ensemble et dans chaque être en particulier, et n'a de cesse de chercher l'absolu avec l'espoir fou de trouver son salut. Il se détourne ainsi de la vie animale et cache le soleil à son âme et son corps, pour ne devenir qu'un fantôme insatiable, flottant entre les paradis et les enfers. Parfois, il voudrait faire disparaître le monde, d'autres fois, il voudrait le sauver. Parfois, il est en colère et voudrait infliger la souffrance, d'autres fois, il ressent cette souffrance et a beaucoup de peine.

Je n'ai rien perdu

Juste un peu de temps

Je n'ai rien trouvé

Juste un peu de temps

Je ne possède rien

Juste un peu de temps

Je serai toujours moi

Pour juste un peu de temps

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

Chargement

×