un jour = une histoire

"M'enfin...bon...voila quoi"...

Plus de sept mille messages...

Cela fait quelques pages!

Restent en ma mémoire

Tes projets, tes espoirs!

Le lieu de ton enfance,

Une ville, Valence

Ton chien, Lassydon,

Pff...une illusion...

Une école de surdoués!

Pas le succés escompté...

De cet homme égaré,

Hélàs, je connais,

A travers ses écrits,

Si peu de sa vie...

J'ai la seule impression,

Il y en a qui riront,

De perdre un ami!

J'ai tant aimé ses écrits,

Parfois déroutants

Ou bien émouvants...

Je t'imagine une bière à la main,

Invoquant ton destin,

Cherchant toujours

Le regard de l'Amour...

Chat_ooo de sable ou de carton

Qui s'effondre à l'horizon...

Oh ! cosette ! c'est un si bel hommage a chat_ooo :)

Mais, pourquoi est il parti ?

Edit : Autan pour moi j'ai appris qu'il était revenu sous le pseudo morphée !

Et bien, je te salut Morphee :)

Modifié le 7 août 2011 par Stéph_ou

La journée avait commencée

Dans un matin ensoleillé.

J'étais serein et moins morose qu'à mes habitudes

Tous semblais si calme...sans inquiétude.

L'après-midi, je suis sorti au cinéma

Visionner deux films pour sortir d'un moment d'ennui

A la fin, j'étais las

Je retournais à la maison de suite.

Rentrée, le téléphone sonna

C'étais à propos de ma tante

Depuis 3 mois, un bébé était en attente

Un enfant qui pour nous l’existence n'était pas

Voici ce dont-ils nous cachaient.

On ne pouvait plus douter.

Quand même, 10 ans qu'ils étaient mariés.

On ne pouvait qu’espérer !

Mais ce fut pour une mauvaise nouvelle que l'on nous téléphona

On nous apprend finalement que l'enfant ne naîtra pas.

Je ne sais alors plus quoi penser.

Ils voulaient nous faire la surprise, la surprise de donner un nouveaux petit fils à leurs mères et à leurs pères.

Celle de donner un neveux à leurs nombreux frères et soeurs.

Celle de donner un jeune cousin ou une jeunes cousines et surtout celle de tout simplement donner la Vie et d’embellir cette petite vie en tant que parents.

Je n’arrive pourtant pas à imaginer le sourire effacé de ce couple si joyeux, si mordant de vie et de passions. Je n'arrive pas à imaginer les larmes sur leurs visages rayonnants. Je n'arrive pas même à voir leur souffrance...

Moi qui écrit sans même pleurer, pas même le coeur serré.

Je me sens insensible alors que je devrais compatir.

Quel salaud ! Je m'en veux d'être dans l'état où je suis.

Parfois on a tellement subi d'émotions fortes qu'on en devient insensible devant un événement choquant. C'est une façon de préserver sa santé mentale. Profite de ton autocontrôle pour les soutenir, pleurer n'a jamais ramené un défunt de l'autre côté. Amitié.

Bizar, ne culpabilse pas!

L'émotion ne peut pas être aussi forte lorsque l'on perd un enfant qui n'est pas né et dont on ignore tout et un enfant qu'on connaît! C'est certainement ça qui t'a fait voir les choses autrement! et puis, même si c'est un drame, c'est tellement courant dans notre vie que, même si la maman éprouve beaucoup de peine, elle a toujours l'espoir d'une prochaine fois!

Il ne faut vraiment pas te prendre pour un "salaud"! tu n'en as vraiment pas le profil!

Reviens nous vite avec des pensées plus joyeuses! :)

Que de moments lourds à vivre , courage !

l'amour

une date n'est pas apparue

boule de cristal n'a rien révélé

sortilège n'a pas fonctionné

beauté du paysage n'a pas disparue !

magie de l'attente n'a pas blêmie

amour pour mademoiselle évasive n'a pas failli

amitié n'aurait de toute façon pas flanchée

le bonheur des jours ne s'est pas dissipé

la candeur des nuits ne s'est pas évaporée

Espoir n'a pas jailli

Songes de bonheur n'ont jamais défailli......

- ...

- ...

- ...

- ...

- ...

tristesse...

Un jour sans fin

Tel un jour sans pain

Pour ce mendiant

Qui espère un moment

En la charité des passants...

Tu reflètes sur mon visage

Une bien sombre image,

Les restes d'un sourire,

L'ombre d'un souvenir,

Le bonheur de jours

Disparus pour toujours...

J'ai beau vouloir te chasser

Tu reviens sans arrêt...

Eternelles pensées

Qui ne peuvent s'effacer...

tranquillité

Auprès d'un sapin de Noël....

Aux épines magiques.....

Hiver en été saisons elfiques

Bien que je ne sache pour elle

Petite fille des étoiles allégorique

Dans ma tête embaume mon âme

De douceur fragile quelques larmes

Montent des profondeurs de mon être

Laminant ce que je voudrais une banquise

Briser l'avenir et être heureux malgré tout

Avec la marquise des saisons je glisse

Sous le vent sans regarder les nuages doux

Forgeant les paysages du Paradis !

(désolé pour cet intermède en vers libres, je reviendrai dans "un jour une histoire" lorsque j'aurai une histoire à raconter, justement :))

Modifié le 8 août 2011 par morphee_

l'amour

une date n'est pas apparue

boule de cristal n'a rien révélé

sortilège n'a pas fonctionné

beauté du paysage n'a pas disparue !

magie de l'attente n'a pas blêmie

amour pour mademoiselle évasive n'a pas failli

amitié n'aurait de toute façon pas flanchée

le bonheur des jours ne s'est pas dissipé

la candeur des nuits ne s'est pas évaporée

Espoir n'a pas jailli

Songes de bonheur n'ont jamais défailli......

- ...

- ...

- ...

- ...

- ...

Que dire ....

Que dire en ces moments, rien...

Que faire en cet instant, rien...

Que vouloir à présent, rien...

Que savoir maintenant , rien...

Que pouvoir subitement, rien...

Que regarder au néant, rien...

Que sentir en vent, rien...

Amour des mots, Amitié partagée, des mots, toujours des mots....

tristesse...

Un jour sans fin

Tel un jour sans pain

Pour ce mendiant

Qui espère un moment

En la charité des passants...

Tu reflètes sur mon visage

Une bien sombre image,

Les restes d'un sourire,

L'ombre d'un souvenir,

Le bonheur de jours

Disparus pour toujours...

J'ai beau vouloir te chasser

Tu reviens sans arrêt...

Eternelles pensées

Qui ne peuvent s'effacer...

Rien ne s'efface...

Tout est là pour nous rappeler,

qu'un matin , comme les autres, nous nous sommes levés,

matin ordinaire qui a oublié de nous combler,

de son soleil doux sur notre peau fatiguée...

Vivre cette journée parmi tant d'autres,

à attendre un signe, quelque chose,

midi passe, rien en vue , que quelques proses,

après midi viendra, sait on jamais, y déposer une rose....

Le soir arrive à grands pas,

OH NON ! pas encore celui là !

Qui nous rappelle , qu'encore une fois,

Seuls dans nos pensées , il nous laissera...

Douce nuit , nous espèrons,

chant mélancolique, nous nous en rappellerons,

encore en ce moyen nous nous évadons,

encore ce refrain d'abandon....

que des objets...

Seuls, ces objets délaissés,

Rappellent le passé!

Des tasses sans leur thé,

Canapé aux formes effacées,

Gardant le souvenir

D'enlacements, de plaisir...

Pouvoir avancer encore,

Trouver d'autres aurores,

Partir, essayer d'oublier,

Et tout recommencer...

:gurp:

Mais où est donc or ni car ?

Ce n'est qu'un personnage !

Mots simples mots d'enfants

Mais une fois adultes en âge

D'en avoir, même le "car"

N'est point un substantif !

Il faut réfléchir, raisonner,

Pas simple, comme le nombre de tifs

Autrement dit de cheveux, sur mes

Oreilles, il y a toujours des "mais"

Comme des mémés se payant un apéritif

Bon la parenthèse de ce songe d'après-midi fermée, maintenant je me demande : mais pourquoi se justifier avec des "que dire ?" ; "que faire ?" -je n'ai fait que le "pot pourri" très rapide et grossièrement résumé je le reconnais, de ce que j'ai "aimé" lire, qui m'a marqué, que j'ai donc classé dans un petit poème intitulé subjectivement "l'amour"; où est donc le problème ? où est l'amour le vrai sans les guillemets ? Est-ce une passion que je voue aux mots, DONC pas du tout aux plumes qui les ont tracés...... Ni Or dans mon portefeuille pour pouvoir prendre l'avion vers mademoiselle évasive..... Ni un car non plus qui me conduirait vers une inconnue destination lointaine et magique.....

Une partie de moi trouve cela triste, une autre y a trouvé matière à poster ce message, un peu sans queue ni tête, pas taper, pas taper je m'en retourne faire la sieste en mon pays à moi, je vous souhaite une bonne continuation de votre après-midi ainsi que de votre soirée..... bons messages à vous, le plus objectivement possible :)

ben du coup, j'en reste sans voix...., je ne continuerai plus , je ne reprendrai plus....

Allons, les amis, vous êtes si gentils...

Une parole qui dévie...

Sens des mots incompris...

Il n'y a pas de soucis!

Vous serez, dès demain

Les meilleurs des copains!

Comment pourrions-nous

Se passer de vous?

Vous êtes des poètes,

Nous mettez coeur en fête...

Attendons vos écrits

Dès demain, ICI...

Mais que se passe-t-il donc ici?

Le but n'est-il pas de s'écouter mutuellement, d'apprendre des autres, et de leur apprendre à notre tour?

Le but ne réside-t-il donc pas dans l'échange parfois plus douloureux de maux par les mots, ou de notre joie par ces mêmes mots?

Ne trouvez-vous pas étonnant cette force de la langue de pouvoir donner un tout autre sens à un même mot selon d'autres mots qui eux mêmes peuvent prendre un tout autre sens selon les mots avec qui on l'associe?

C'est de la folie

Mais littéralement

Même sur la tête

De Aristote, dément

Je ne peux sur l'entête

D'une quelconque pierre

Graver vive l'absolutisme

Ou vive le relativisme

Autant tresser avec du lierre

Une couronne de mots en hommage

A nos ancêtres du Paradis de la Bible.....

(réflexions nocturnes un peu décousues juste avant d'aller dormir, ne vous étonnez si vous ne me comprenez, je ne sais si j'y parviens moi-même, je souhaite que mademoiselle évasive revienne bien sûr, à priori je ne suis point fâché avec elle, mais enfin d'après les règles de l'Amitié virtuelle (ou camaraderie plutôt dans mon cas), je ne peux lui forcer la main.....)

Le père, l'enfant et l'âne

Un jour, un enfant pose une question à son père :

- Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?

Ne sachant que répondre à cette interrogation, le père propose à son fils de le suivre.

Ils sortent de la maison, le père sur le vieil âne et le fils suivant à pied.

Les gens du village accusent :

- Son père est un père indigne ! Il monte son âne quand son fils le suit à pied !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Le lendemain ils sortent de nouveau, mais cette fois le père installe son fils sur l'âne et l'accompagne en tenant la bride.

Les voisins disent alors :

- En voilà un fils indigne : il ne respecte pas encore son vieux père et le laisse aller à pied !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison, dit le père.

Le jour suivant ils s'installent tous les deux sur l'âne puis quittent la maison.

Les villageois critiquent à nouveau le père et le fils :

- Ils ne respectent pas leur bête à la surcharger ainsi !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Le jour suivant, ils partirent en portant eux-mêmes leurs affaires, l'âne trottinant derrière eux.

Cette fois les gens du village y trouvèrent encore à redire :

- Voilà qu'ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C'est le monde à l'envers !

- Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison.

Arrivés à la maison, le père dit à son fils :

- Tu me demandais l'autre jour le secret du bonheur. Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu'un pour y trouver à redire.

Fais ce qui tu aimes et tu seras heureux !

Mais que se passe-t-il donc ici?

Le but n'est-il pas de s'écouter mutuellement, d'apprendre des autres, et de leur apprendre à notre tour?

Le but ne réside-t-il donc pas dans l'échange parfois plus douloureux de maux par les mots, ou de notre joie par ces mêmes mots?

Ne trouvez-vous pas étonnant cette force de la langue de pouvoir donner un tout autre sens à un même mot selon d'autres mots qui eux mêmes peuvent prendre un tout autre sens selon les mots avec qui on l'associe?

Si bien sûr , y a pas de soucis.

Merci mes amis d'être toujours présents...

Allez-savoir! quelle magnifique histoire reflétant si bien la réalité du monde qui nous entoure!

Puisque je vois que tu aimes mes contes de sagesse Cosette, en voilà un autre ...

L’histoire des deux cailloux

Il y avait une fois dans un village un fermier sans le sou qui devait rembourser une importante somme d’argent à un vieil homme très laid.

Comme le fermier avait une fort jolie fille qui plaisait beaucoup au vieux prêteur, ce dernier proposa un marché.

Il dit qu’il effacerait la dette du fermier s’il pouvait marier sa fille. *Le fermier et sa fille furent tous deux horrifiés par cette proposition. Alors le vieux prêteur malhonnête suggéra que le hasard détermine l’issue de la proposition.

Il leur dit qu’il mettrait un caillou blanc et un caillou noir dans un sac d’argent vide, et que la fille aurait à piger, à l’aveuglette, un des deux cailloux du sac.

1) si elle pige le caillou noir, elle devient son épouse et la dette de son père est effacée

2) si elle pige le caillou blanc, elle n’a pas à l’épouser et la dette du père est également annulée

3) si elle refuse de piger un caillou, son père est jeté en prison

Cette discussion avait lieu sur le chemin devant la maison du fermier, et le sol était jonché de cailloux.

Tout en continuant de parler, le vieux monsieur laid se pencha pour ramasser les deux cailloux.

Comme il les ramassait, la jeune fille, qui avait l’œil vif, remarqua qu’il avait ramassé deux cailloux noirs et qu’il les avait mis dans le sac. Mais elle ne dit rien.

Puis le vieux prêteur demanda à la jeune fille de piger dans le sac.

Imaginez un instant ce que vous auriez fait si vous aviez été là. Qu’auriez-vous conseillé à la jeune fille de faire?

Si on analyse bien, il y a 3 possibilités :

1) la fille devrait refuser de piger un caillou

2) la fille devrait sortir les deux cailloux noirs du sac, montrant que le vieux a triché

3) la fille devrait piger le caillou noir et se sacrifier en mariant le vieux pour épargner l’emprisonnement à son père

Prenez un moment pour réfléchir à cette situation.

Cette histoire a pour but de vous faire apprécier la différence entre la pensée logique et la pensée dite “latérale”.

Le dilemme de la jeune fille ne peut pas être résolu de façon équitable par la pensée logique traditionnelle.

Pensez aux conséquences de chacune des trois options possibles.

Alors, qu’auriez-vous fait?

Bien voici ce que la jeune fille fit :

Elle pigea dans le sac et en sortit un caillou qu’elle échappa aussitôt par terre, gauchement, sans qu’on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.

Ah! ce que je peux être maladroite, s’exclama la jeune fille. Mais qu’importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j’avais pigé en premier!

Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou pigé ne pouvait qu’être blanc. Et comme le vieux prêteur n’osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.

La morale de cette histoire :

Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes.

C’est juste qu’on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.

Ah savoir aimer.....

Simplement être présent.

Sans se prendre le chou ;

C'est un don.

Savoir ce que l'on veut, ce que l'on souhaite partager, ensuite endosser des "habits" () dont on connaît et maîtrise toutes les apparences, l'essentiel étant invisible pour les yeux.

Savoir aimer sans rien attendre en retour, et s'en aller.......

Ah oui, je les aime tes histoires "allez savoir". Elles sont formidables et d'une grande sagesse...

Quant à Morphée, je lui dirai qu'il est très difficile, voire impossible, d'aimer sans rien attendre en retour...

Autant d'abnégation peut, peut-être exister dans un amour filial, mais l'Amour tout court demande bien le partage et la réciprocité!