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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

Messages recommandés

Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

Longtemps que je suis passée, de belles choses encore , des questions, des affirmations, ma sympathie à vous et un bisou :)

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Et voilà notre Evasive de retour sur ces pages où tu as bien manqué!

Bisous à Toi, ma belle...et au plaisir, bien sûr! :yahoo:

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Rencontres, au hasard d'une page

Qui vous interpellent au passage,

Belles comme si elles étaient réelles!

Vous comblent de promesses

Diminuent votre stress...

Miroir aux alouettes

Comme un jour de fête,

Où les fanfares résonnent...

Lendemains sans personne,

En attendant

Que revienne le temps

Des beaux jours enfuis

Faisant aimer la vie...

C'est bientôt, c'est demain...

Viens et prends ma main...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Il y a des choses qui m'énervent intérieurement, m'obligeant à me maîtriser. Et être comparé à quelqu'un est sûrement l'une des pires, d'autant plus quand on ne me le dit pas, et qu'on ne se contente de le faire qu'au constat du "mieux" que l'autre fait. Comme s'il fallait être aussi bon que les autres. Comme s'il fallait être tout le temps excellent. Je le pourrais. Je le sais. Mais pourtant, il y aura toujours quelque chose m'empêchant d'y parvenir : ce dégoût de l'élitisme, de la concurrence, et du marchandage de notre avenir. Sans parler de cet objectif consistant à vouloir étudier pour avoir un boulot. Conséquence logique de la connerie humaine. On rit bien de moi quand j'annonce que non, je ne sais pas quoi faire plus tard, et que oui, la seule chose qui m'intéresse, en allant en cours, c'est apprendre des trucs. Cependant, peu importe, ici. Ce qui m'horripile, et au fond, me chagrine, ce sont ces paroles si indirectes et si tues. Lâche et hypocrite. Voilà notre nature.

Je vais m'arrêter là. L'envie d'écrire me perd à mesure que ma rancœur grandit. L'envie d'entendre aussi. Finalement, je comprends pourquoi les livres sont un univers où certains finissent par se perdre.

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Invité Mad_World
Invités, Posté(e)
Invité Mad_World
Invité Mad_World Invités 0 message
Posté(e)

Le Bouleau et le Corbeau

Il était une fois un jeune Bouleau poussant sur un sentier. Le sentier séparait deux jardins. L’un, florissant et majestueux, changeant de couleur avec les saisons, accueillant nombre d’oiseaux et d’insectes. Au printemps, on pouvait y voir les papillons batifoler inconsciemment et les enfants jouer sur les épaules d’arbres parfois plus vieux que leurs parents. L’autre, n’accueille ni vie, ni couleur.Il reste constamment sombre. Un incendie, parait-il, a jadis brûlé tout ce que les saisons faisaient vivre, hormis un vieux corbeau. Le vieux corbeau trônait sur la branche morte d’un Copalme éteint, seule hauteur de cet enfer noir sur lequel ont pouvait encore deviner les sillons creusés par la sève.

Le jeune Bouleau dont les racines ne dépassait guère les entrée de ces deux jardins grandissait à fière allure. Il était maintenant face au choix que d’autres arbres avaient fait avant lui : dans quel jardin étendre ses racines ? Ses prédécesseurs avaient tous choisi de contribuer à la vie du jardin vert. La terre sur laquelle régnait le vieux corbeau semblait pourtant encore fertile. La vie, après tout, ne connaît pas de frontière, et dans ce Copalme mort, et dans les yeux du vieux corbeau, on pouvait encore sentir, de ce jardin noir, la majesté d’antan. Voyant le jeune bouleau dans le doute, le corbeau déploya ses ailes et vint se poser sur son épaule. Il lui chuchota à l’oreille.

« Jeune Bouleau, vois cette pomme, fruit du pommier, tombée à terre. D’elle, naîtra peut être un autre pommier qui apportera compagnie à son père. Mais avant cela, la pomme pourrira, sera dévorée par les vers et mes frères corbeaux, pour qu’ainsi la graine prenne en terre et que d’elle enfin, puisse naître le nouvel arbre. La vie, que nous trouvons si belle, est fille de pourriture et de meurtre. Vois jeune bouleau, la fierté d’une Terre noire qui ne tolère plus qu’une telle horreur se produise. Vois, et ne la dérange pas... Prends garde, jeune Bouleau»

Le jeune bouleau regarda la pomme tombée à Terre. Et dans un soupir il répondit au corbeau.

« Et toi, vieux corbeau, es tu aussi le fils de la pourriture et du meurtre ? Je vois cette pomme tombée à Terre, fille et mère du pommier. Sa chute et sa simple présence apportent la vie autour d’elle. La vie trouve les chemins qui sont les meilleurs, ne se soucis guère de l’aigreur d’un vieux corbeau et offre à tous une chance égale. Ainsi sans cette pomme ne naîtrait pas l’arbre, et les vers et les corbeaux mourraient de faim. Ce que tu appelles pourriture je l’appelle partage. Je crois vieux corbeau, que sous tes plumes noirs se cachait unjour une colombe. Je vois de ton monde, ce jardin mort, je vois leurs monde, ce jardin plein de bonheur, et j’ai choisi où mesracines iront. Elles iront... »

Un brusque coup de vent emporta la fin de la phrase avec lui dans les nuages. Le corbeau cependant avait perçu la réponse. Il sourit, et s’en retourna sur sa branche morte, observer de loin la vie qui s’épanouit en face. Dans son oeil, brillait une flamme nouvelle dont on ne pourrait dire si c’était de la reconnaissance, de la nostalgie ou l’illusion renaissante qu’il existe de belles choses en ce monde. Le bouleau, quant à lui, regarda le corbeau d’un air triste, et fit pousser ses racines du côté qu’il avait choisi.

La fin de l’histoire vous appartient, lectrices et lecteurs. Seuls vous la connaissez.

Mad_

Modifié par Mad_World
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Membre, Posté(e)
Reath Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Bonjour, Causette 2 ! Bonjour, à tous !

Tu te souviens de moi, chère écrivaine du quotidien ? J'avais eu plaisir à te lire, à vous lire, ici, il y a quelques mois et je viens, aujourd'hui vous inviter sur le site que j'ai créé il y a quelques semaines où je publie tous mes textes, poèmes, nouvelles et autres histoires :

http://mots-et-histoires.free-h.fr

N'hésitez pas à y jeter un oeil et à partager le lien.

Bons mots à tous !

Nora Reath Keo

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Toujours contente de revoir des amis..

J'irai bien sûr visiter ton site Reath, avec un grand plaisir...

Le bouleau et le corbeau m'ont fait m'interroger!

C'est quoi une terre brûlée?

Des cendres, d'où les racines profondes

Ont envie de revenir au monde!

Il en faut des années

Pour voir repousser

Un semblant de vie

Une fleur, un arbre épanouis...

A force de temps

Au bout de tant d'acharnement,

Petit à petit,

Comme l'oiseau fait son nid,

La nature reprendra ses droits

Le bouleau, le corbeau en concert étroit

Uniront leurs efforts

Se battront contre la mort...

Il en est de même

Pour les humains qui s'aiment...

L'alliance contre le malheur

Les conduit un jour au bonheur...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Le ciel s'assombrit. C'est, finalement, son vrai visage : la couleur de l'absence de toutes couleurs. Un vide dont le paysage ne nous est pas inconnu, comme si notre nature tenait plus du rien que de son contraire. Certes, la lumière nous fait grand bien, et nous nous tournons volontiers vers elle dès lors que nous l'apercevons. Mais, sincèrement, avez-vous l'impression de vivre en un monde où tout est naturellement plaisant et beau? Si tel est le cas, ce n'est effectivement qu'une de vos croyances, car vos yeux, vos oreilles, vos mains, ne sont que des moyens de transformer ce qui nous entoure. La mesure que nous côtoyons n'est que le mensonge d'un chaos que nous nous cachons par nécessité. Autrement dit, les plaisirs liés à nos sens sont insignifiants, car faux. Ou plutôt, ils sont vrais si nous considérons notre point de vue comme la réalité. Ce qui n'est pas ma position, bien que cela reste tout à fait envisageable. Je peux en effet comprendre ce besoin de se rassurer, parce que c'est de ça que cela tient, la maîtrise et la compréhension des événements qui animent notre environnement, et qui nous animent. C'était, à vrai dire, l'idée de Descartes, que celle de ne pas faire confiance à ceux qui nous ont déjà une fois trompés, c'est-à-dire nos sens. Donc, ce texte n'a pas la moindre utilité, mis à part, peut-être, de montrer, maladroitement, que le ciel, ou disons plutôt, l'espace, est possiblement un néant. Un véritable néant, la matière noire n'ayant pas une existence prouvée empiriquement jusqu'ici. Quoi que l'absence peut n'être qu'une méconnaissance de la présence. Quoi qu'un autre univers ne pourrait être que lumière. L'imagination ne l'est-elle pas quelque part?

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Membre, Posté(e)
Reath Membre 26 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Très jolie, ta réflexion sur le corbeau et le bouleau, Causette ! Un joli poème...

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Merci Reath, je reviens de lire tes écrits sur ton lien et, en toute sincérité, je peux te dire que j'ai beaucoup aimé!

Ils révèlent ta sensible nature que je n'avais pas oubliée!

Te lire encore sur les pages d'ici sera toujours un plaisir ... :bo:

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Invité Dolce1
Invités, Posté(e)
Invité Dolce1
Invité Dolce1 Invités 0 message
Posté(e)

J'aime toujours autant vos écrits, et je regrette de ne pouvoir aligner que trois lignes de temps en temps :sleep:

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Ode à la vie, ode à la mélancolie.

Si j'avais su m'élever à la hauteur de la poésie, probable que je me serais pris de plaisir à écrire quelques vers biens gentils. Seulement, en plus d'être irréfléchi, je suis... Oui. Les mots manquent. Ou sont trop nombreux, à en étouffer ceux qui jouent avec? Ils rassurent et ils blessent. Pas ces auteurs déjà finis, abattus par la folie qui les animent. Les autres, ce peuple qui évolue sans jamais songer à se mettre au défi d'aligner les phrases à propos d'idées, et de philosophie. Quand un homme manque d'amour, il n'oublie cependant pas de s'exprimer ainsi : "chienne de vie, je n'y puis rien". Mais que peut l'écrivain qui, fort de sa plume, souffre de ne pouvoir se réinventer à l'écrit? La douleur, qu'importe sa nature ou sa provenance, ne mène qu'à la mort de l'individu si celui-ci, malgré sa volonté, accumule sans une once de répit. Que dis-je? Moi-même je ne sais plus où je souhaite parvenir ici. J'en suis fautif, étant indécis.

Ne vous étonnez pas de cette incohérence inhérente, j'ai mal à la tête, suis fatigué, et cherche simplement à toucher du bout du clavier les pensées qui s'affichent dans mon esprit.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Pages qu'on tourne au hasard

Mots qui captent notre regard

Ils ont été écrits pourquoi, par qui?

Les mots sont des outils

Qu'il faut choisir avec minutie

Selon notre humeur du moment

Malheur, amour, sentiments...

C'est ainsi depuis des ans

Depuis des siècles en passant...

Et parfois en les relisant

Nous nous demandons comment

Nous avons pu penser,

Avoir de telles idées...

Elles sont si fluctuantes,

Souvent troublantes,

Des phrases qui s'envolent

Maladroites et folles...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Parfois, t'es emballé, comme ça, sans trop savoir pourquoi. La mélodie, sûrement. Les paroles, peut-être. La musique est une émotion. Elle est devenue business. Elle n'est pas seule : tout est marchandise. On en vient à douter de la direction vers laquelle se tourner. Aucune n'arrive vraiment à séduire. La conséquence de cette époque de l'éphémère et du mensonge? Vous savez, je m'y perds, dans ses codes, ses règles, ses obligations. Non qu'elles soient forcément excessivement nombreuses. Je pourrais m'écrouler sou leur poids, mais non : j'ai appris à les porter dès mes premières années. Là où je rame plutôt, c'est dans la compréhension de ces principes : ne pas tuer, ne pas être méchant, respecter, etc... Bien sûr que c'est "immoral" pour un homme que de massacrer son semblable. Pourtant, ça ne me choque pas. L'acte en lui-même est à proscrire, puisque je suis malgré tout porteur d'une certaine "morale" où le Bien n'est pas une obligation, mais une évidence, le résultat de la connaissance. Seulement, c'est humain. Pas d'exécuter un autre homme, non. Mais de faire le contraire de ce qui nous est dit. Si demain, la loi passait de l'interdiction à la nécessité, que ferions-nous? Il y aurait trois types de réactions, selon moi : ceux qui y verront un moyen d'en profiter, et donc qui empêche toute confiance mutuelle, puisqu'il faut des lois pour les "forcer" à être ce qu'il serait "logique" qu'il soit (quoi que la chose est ici discutable). Ensuite, il y aura la catégorie inverse, convaincu à la simple lecture ou écoute de cette loi qu'il ne faut pas la suivre. Et, enfin, les derniers, qui douteront, trop inquiet de désobéir, et trop inquiet d'agir comme il ne voudrait pas, au fond, agir. Autrement dit, fonder une quelconque éthique sur la raison humaine est un pari risqué, pour ne pas dire absurde : jamais un être à ce point imparfait ne saura être raisonnable. Ainsi, nous ne sommes pas libres, loin de ce que nous pouvons penser. Il y a néanmoins pire, puisque, finalement, au-delà de cette non réalité, nous sommes incapables de la supporter, cette liberté. Ce n'est pas pour rien qu'il y a toujours eu un chef, un roi, ou un groupe quelconque de personnes à la tête. Il faut qu'une minorité, bonne ou mauvaise, modère le reste. Qu'importe, cependant! Le sentiment de pouvoir décider pour soi-même suffit pour que chacun le confonde avec ce qu'est la liberté. Et, désolé, quelqu'un a qui l'on doit dicter des règles pour conduire, ou se comporter, n'a rien de quelqu'un prenant ses propres décisions. Malheureusement, nous sommes, globalement, dans l'incapacité de considérer, oui, ces choses pourtant simples comme des choses qui vont de soi. La faute au besoin paradoxal de vouloir se sentir libre, sans l'être réellement. Je n'y peux rien. Nous n'y pouvons rien. Notre essence de prédateur s'oppose à cette violence innée qui habite chaque chasseur. Imaginez un hyène, un requin, un lion, sans cette agressivité qui accompagne son régime alimentaire. Comment ferait-il pour se nourrir? Alors oui, nous avons, disons, cette "chance" de choisir, quelque part, entre nos instincts, et notre humanité. Si ce n'est que malgré ça, nous sommes sous le coup de notre nature même. Pour moi, la liberté ne consiste pas en cette possibilité de choisir, mais plutôt, et surtout, en ce détachement de ce qui nous détermine au plus profond de notre être. Tu veux être libre? Soit. Dénature-toi. Et excusez cette prose désordonnée et délirante.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Elle est loin d'être désordonnée et délirante ta prose, Jedino, je la trouve, au contraire particulièrement juste et sensée!

S'interroger comme tu le fais sur toutes ces choses existentielles démontre bien un raisonnement lucide et un regard conscient sur l'humanité!

Pauvres humains

Qui pensent que demain

Apportera à chacun

Ce qu'il espère en vain...

Liberté et progrès

Bien-être et succès...

Eternelles questions

Posées à profusion

Depuis le commencement

Jusqu'à la fin des temps...

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Invité ella voyage
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Invité ella voyage
Invité ella voyage Invités 0 message
Posté(e)

Oui Jedino, je suis du même avis que Cosette. Et en tant qu'ex-prof, ça me fait vraiment plaisir que des personnes jeunes comme toi aient cette maturité d'esprit.

Cosette, je t'admire, la facilité que tu as à faire des poèmes avec des rimes, des poèmes sur le commun des mortels que nous sommes chacun et chacune, moi, je ne sais pas, il me faudrait du temps pour les faire, et j'avoue être un peu paresseuse pour prendre ce temps.

Moi, mes poèmes, c'est de la prose en phrases courtes où je vais à la ligne. Je vais essayer aujourd'hui de faire des rimes, mais la longueur des vers ne sera pas pareille. Je vais essayer aujourd'hui d'obéir aux règles académiques de la poésie.

Petit être humain

D'esprit tu es sain.

Puce dans l'univers

Puce sur notre planète

Point minuscule dans ce vert

Microbe sur la comète

Parfois de rage tu es vert

Humain roseau pensant

Humain animal spécial

Finalement très ignorant

Souvent enfant de la balle

Je t'admire

Je t'aime

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Ella, la voyageuse, tu te débrouilles très bien en écriture, ne fais pas de complexe! Pour ma part, j'écris sans aucune recherche, comme ça me vient, et ce n'est vraiment pas des chefs-d'oeuvre! mdr!!!

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Invité morphee_
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Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

ce poème m'en inspire un autre + disons grivois :

enfant de la balle

qu' se fait la belle

petit trou de balle

sorti d' immortelle

fleur de poésie :

ne confuse airelle

avec tes rêves d'elle

fuyant magnanarelle

et tout ce qui fait transpirer

cher enfant de la balle

champs de fleurs vaginales

vise avec tes billes!

---

disons que j'ai appris l'expression "enfant de la balle"

---

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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Il y avait longtemps que notre cher Morphée

N'avait, à sa façon, de vers agrémenté

Les pages de ce livre!

J'aime toujours autant l'aisance de sa plume ivre

Qui semble toujours rire

Et manier l'humour comme le pire...

Enfant de la balle

Qui joue et qui s'emballe...

Reviens aussi souvent

Que te pousse le vent...

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Invité ella voyage
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Invité ella voyage
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Posté(e)

J'ai tant appris de vous - Poeme de Gabriel Garcia Marquez

Montagne_escalade.jpg

J'ai tant appris de vous,

les hommes,

J'ai appris que tout le monde

veut vivre au sommet de la montagne

sans savoir que le vrai bonheur

est dans la manière de l'escalader.

Gabriel Garcia Marquez ( Bolivie et Espagne)

auteur de Cent ans de solitude

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