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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

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Membre, 31ans Posté(e)
OhByU Membre 80 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

A qui tire avantage de ce qui est relatif,

La subordination de l'échine au regard du précepte.

Veille à ce qui t'es précieux et soit attentif,

A ces milliers de voix qui raisonnent dans ta tête.

Certes, tu es doué de raison, tu fais la différence,

Mais dans cette illusion qu'est le monde, tu perds toute espérance.

La Mort résonne dans ton coeur, tu as peur,

Serait-elle plus forte que Dieu, ton sauveur?

- Non, je n'ai pas peur de ce qui n'est plus,

L'existence que je mène pour atteindre la béatitude n'est rien.

Moi, je cherche l'essence mais je trime comme un chien,

La structure de ma pensée ne me ressemble pas,

Je cherche sans cesse une raison de mon parcours vers l'être qui juge.

Lui saura faire la différence pour moi-même entre le Bien et le Mal.

Lorsque l'on tue et il n'est pas de pire gestes que ceux-là,

Le souverain, lui, nous rappelle "tu ne tueras point".

Ici bas, je perds conscience et raison et inflige le coup fatal,

Quand même quel respect pour celui qui demanda jadis à Abraham,

De sacrifier son propre fils, cela lui plut,

Quelle cruauté quand même que celle du créateur.

Moi je vogue dans l'espérance d'une vie éclairée,

Je veux être illuminé par la sagesse.

Mais la trouverais-je? Ou suis-je dans la mauvaise direction?

Bien, maintenant plus un seul geste;

Je m'en remets aux lettres, à leur animalité, à leur frénétique rage,

Philosopher, au fond, pour survivre à l'orage.

Modifié par OhByU
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Invité belalex
Invités, Posté(e)
Invité belalex
Invité belalex Invités 0 message
Posté(e)

Très beau Ohbyu ...

Eclat de rire ...

Ils roulent en direction du parc animalier, lui au volant, elle copilote

leur enfants un peu agités à l'arrière. L'humeur est bonne enfant,

égale à elle même, elle va passer son temps à plaisanter avec ses louveteaux.

Elle baille, doucement la voiture la berce, ses yeux se ferment et se rouvrent

*vous parlez d'une copilote* lol.

Sa petite derrière va la sortir de sa léthargie.

- Maman je pourrai avoir une peu d'eau, z'ai soif ?!!

- oui bien-sur !

Elle se penche en avant, ramasse le sac qui traine à ses pieds, et oui c'est une maman

elle est prévoyante siffle, l'ouvre, prend la bouteille, la débouche.

- mon ti bout de cul, je vais en boire avant car elle est trop remplit tu risques

d'en mettre partout, lui dit-elle !!

Elle porte la bouteille à sa bouche, prend une grande rasade d'eau, là pourquoi comment

tout se bloque dans sa gorge, elle ne peut pas avaler, sa lui fait mal, elle arrive à reboucher

la bouteille, elle tourne la tête vers la fenêtre espérant qu'elle soit suffisamment baissée

pour pouvoir cracher ce qui stagne dans sa bouche, NON la vitre est trop haute.

Ses yeux se révulsent, elle tâtonne cherchant le bouton pour baisser la vitre, non de non c'est

pas sa voiture donc pas au même endroit, mais ou est-il se fichu bouton, elle le trouve entre les

sièges, appuie dessus tourne la tête vers la fenêtre celle-ci monte, elle en peut plus c'est l'horreur,

elle appuie de nouveau sur le bouton, la vitre se baisse, sans attendre elle se penche légèrement et crache le tout

seulement à 130 kmh sur l'autoroute c'est retour à l'envoyeur, tout lui revient en pleine face ainsi

que dans l ' habitacle lol, se retourne vers le pilote, qui part dans un fou rire monumental, les enfants après avoir été témoin de l'agitation de leur mère éclatent à leur tour, elle ne peut refouler

le rire malgré la douleur de sa gorge, c'est l'hilarité général, voilà elle a encore signé un moment de solitude ...

lui, la regarde et lui dit ...

- tu en rates pas une, décidément nos déplacements finissent toujours par des moments inoubliables ..

- pfff elle lui sourit, la vie de clown n'est pas de tout repos, lui rétorque t'elle .. !!

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Invité Viola
Invités, Posté(e)
Invité Viola
Invité Viola Invités 0 message
Posté(e)

Il la regarde en souriant. Comme il regarderait un spécimen rare de félin exotique. Danseuse. Chacun de ses gestes le laisse deviner.

Ses jambes exercent sur lui une fascination particulière. Fines et gracieuses, revêtues de bottes noires à talons hauts dont le cuir semble aussi fin qu’une seconde peau, et ornées à chaque cheville de breloques argentées qui tintent à chacun de ses pas.

Elle ouvre la portière et se penche dans l’habitacle pour se saisir d’un objet. Sa silhouette sombre se détache sur le cuir champagne des sièges, comme une ombre sur un mur, en plein soleil. Elle se redresse, son téléphone à la main. Debout à côté de la portière ouverte, elle fait courir ses doigts sur l’écran. Son sourire creuse une petite fossette à sa joue gauche.

Il aimerait être l’auteur du message qui la fait sourire ainsi.

Il veut se souvenir de chacun de ses gestes, il sait que cet instant est aussi éphémère que l’éclat que jette parfois l’ imposante opale qu’elle porte à la main gauche.

Seul compte le moment présent, un instant de grâce et de pure séduction, dont il emportera le souvenir avec lui, pour le ressortir et s’en draper, les jours de grisaille.

Elle est comme une bulle de savon, douce, légère et fragile, et s’il la laisse s’envoler, elle disparaîtra pour toujours.

Il n’a pas envie qu’elle disparaisse.

« Vous devriez essayer le Thaï jasmin, c’est une jolie expérience gustative. »

Il se tient juste derrière elle, dans le rayon .

Il lui sourit, et ce sourire transfigure totalement son visage. Il sourit avec les yeux.

La discussion s’engage, légère et sans conséquence, première approche prudente à laquelle elle répond sans hésiter.

« Je ne peux pas vous laisser partir comme ça, je sais que j’en aurais d’infinis regrets. Allons prendre un verre, vous avez bien un petit quart d’heure »

Il est si simple d’échanger sur ce qui n’est rien, et de taire ce qui est tout. Elle a appris à se taire. Les mots, comme les coups de feu, partent parfois tout seuls. Et ils savent de nous des choses que nous ignorons d’eux.

Quand ils se séparent, il insiste pour lui laisser son numéro.

Il la regarde de ses yeux rieurs à l’étonnante couleur ultramarine.

« Vous êtes une drôle de fille, un vrai mystère. »

C’est étrange à entendre, cette petite phrase, qui revient si souvent.

Elle n’a pourtant pas conscience d’en être un, mais force est de constater que c’est l’image qu’elle renvoie.

Un mystère…A ses yeux, tout est pourtant si clair, si transparent. L’éternelle solitude de son coeur, sous le masque de la légèreté qui lui va si bien.

Les apparences sont souvent trompeuses, elle est bien placée pour le savoir. On l’aime pour son apparence, comme on aime un livre pour sa reliure, sans prendre la peine d’en tourner les pages.

L’amour véritable n’est pas aveugle : il est visionnaire. Il reconnaît la divine perfection de l’être aimé au-delà des apparences auxquelles le regard des autres s’arrête. Jamais on ne l’a regardée ainsi. Elle finit par penser que finalement, les apparences doivent être vraies. Que le vrai mystère du monde, c’est le visible.

« J’ai le sentiment que vous ne m’appellerez pas. Mais j’attendrai quand même que vous le fassiez. J’aimerais vraiment que vous le fassiez. Il y a dans l’existence des rencontres imprévues, en apparence anodines, et qui sont le don du Destin. Tout au moins faut il tenter sa chance. Entre un chagrin et des regrets, je choisis les larmes, parce qu’elles finissent par sécher. Et parce que quoi qu’il arrive, on y gagne toujours.»

Elle se demande ce que peuvent bien devenir les larmes qu’on ne verse pas. Tombent-elles derrière les yeux, derrière le masque du visage, jusque dans le cœur ?

Elle met quelques minutes avant de se décider à mettre le contact. En croisant son propre regard dans le miroir de courtoisie, elle se dit qu’en amour, on prend peut-être les yeux de l’autre comme on prend un miroir, pour s’y admirer à loisir. Peut-être pas. Personne, pas même les poètes, ne sait cela. Personne ne sait ce qu’un cœur peut contenir.

Elle laisse courir ses doigts aux ongles bleu piscine sur l’écran du smartphone. En supprimant son numéro, elle se dit qu’elle ne lui a même pas offert son prénom.

Modifié par Viola
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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
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Posté(e)

Elle a mis de côté son mal-être, sa rancoeur,

Elle a décidé de croire encore, à l'amitié, au bonheur!

Elle sait que, même si rien n'est plus pareil,

Il y aura encore, à vivre, des merveilles...

Des moments où le téléphone sonnera,

Où un message arrivera...

Pour lui faire savoir qu'elle n'est pas seule au monde,

Qu'autour d'elle s'est formée une ronde,

La ronde de l'amitié,

La ronde de la solidarité...

Et dans les grands yeux étonnés,

De la petite fille demeurée,

Le soleil a brillé

Pour la réconforter...

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Invité Viola
Invités, Posté(e)
Invité Viola
Invité Viola Invités 0 message
Posté(e)

Le soleil brillera.

Des messages, il en arrivera.

Il en arrive toujours.

Mais jamais celui qu'elle attend.

Alors d'un doigt, elle les efface.

Tout autour de son cœur, elle a construit une muraille.

Pierre après pierre.

Un joli mur, bien lisse et sans aspérités.

Au dessus, elle a scellé un grillage.

Electrifié.

Avec des tessons de verre, pour être bien sûre…

Il ne faut pas lui vouloir, elle ne veut blesser personne, c’est juste une protection.

Elle est tentante vue de l’extérieur cette muraille, un vrai défi.

Mais aujourd’hui, elle la veut infranchissable.

Elle est son garde-fou, sa rambarde.

Elle est sur le fil.

Elle ne veut plus tomber.

Elle a peur de ne plus se relever.

Et pourtant, elle espère.

Elle espère qu’un jour, quelqu’un entendra tout ce qu'elle ne dit pas.

Modifié par Viola
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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort:

Et dans les grands yeux étonnés,

De la petite fille demeurée,

:D

(non même moi je "touche" pas aux petites filles ;

les épouses peuvent être qualifiées de "demeurées" -elles seules)

enfin c'est comme ça que je "vois" les choses -dans mes propres textes

:|

:dort:

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Invité Viola
Invités, Posté(e)
Invité Viola
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Posté(e)

Une petite fille...

C’est l’histoire de deux cœurs qui ne doivent plus s’aimer. L’un parce qu’il est trop vieux, qu’il n’en a pas le droit. L’autre parce qu’il est trop jeune et qu’il n’a pas le choix.

Comment c’est arrivé ?

Par hasard. Non, bien sûr que non.

Le hasard, ça n’existe pas.

Les chances sur un million se réalisent neuf fois sur dix.

Elle se trouve là, exactement là, et il ne voit qu’elle.

Depuis des mois, il n’y a plus qu’elle.

Elle est née pour la littérature, il le sait dès la première fois. Ses écrits le transpercent, il entre en résonance. Il pose son stylo rouge, celui du maître, du guide. Il lit tout, jusqu’au bout. Les mots s’envolent, bulles irisées et légères, ils montent dans l’air du soir, traversent le plafond. Montent encore, droit au ciel. Rien ne les arrête. Il est là, tout là-haut, avec eux.

Elle est discrète et intervient rarement, passagère silencieuse mais attentive de ses cours.

Si discrète, mais il n’entend plus qu’elle.

Elle attend son bus, sous la pluie. Il s’arrête, c’est sur sa route lui dit-il.

L’évidence les traverse, violente, inévitable.

Interdite.

Il lutte, il résiste, il lui ment, il se ment. J’ai le double de ton âge, je n’ai rien à t’apporter, ma Petite Fleur. Va, tu es faite pour vivre au soleil, et moi je suis déjà entré dans l’ombre. Ce n’est pas raisonnable, il faut cesser.

Mais pour elle, il n’y a que lui.

Regarde nous. Je m’en veux. File, vole, vis. Ta vie est devant toi.

Elle ne l’écoute plus, de sa bouche elle referme la sienne, il abdique.

Sa femme ne sait rien mais elle l’aime, alors elle sait tout. Elle l’aime tant qu’elle s’enfuit, un matin. Elle sait qu’il n’a jamais été sien, alors l’idée même de le retenir est futile. Elle s’enfuit.

Ils se retrouvent dans la montagne, loin des regards, loin de la ville, loin du monde.

Elle fait des bouquets de jonquilles, tout ronds, des bouquets de mariée dit-elle.

Puis elle s’agenouille à ses côtés et fait pleuvoir les fleurs sur son visage, il rit.

Il sourit. Il vit. Il est aimé. Il aime. Il ne veut plus penser.

Ils s’aiment comme le font les enfants, librement, sans calcul, sans projets.

Les projets, c’est pour ceux qui ne savent pas saisir l'instant dit-elle, ce qui importe, c’est le présent.

N’attendons pas.

Elle sait bien que ça ne durera pas.

Alors elle l’aime, encore plus fort, elle fait des provisions.

Elle voudrait qu’étreinte soit l’anagramme d’éternité.

Quand la rumeur enfle, elle veut le protéger.

Alors elle lui ment, avec toute la conviction de ses quinze ans.

Tu as raison. Même tes mots sentent le vieux. Lâche ma main, j’en trouverai une autre, plus ferme et plus solide, une main que j’étreindrai, je ne veux pas ralentir ma course, je ne veux plus t’attendre. J’ai la vie devant moi.

Quand elle lit dans ses yeux qu’il la croit, elle entend distinctement son cœur éclater.

En face, l’autre cœur saigne.

C’est l’histoire de deux cœurs qui ne doivent plus s’aimer.

L’un parce qu’il est trop vieux, et qu’il n’a plus le droit.

L’autre parce qu’il est trop jeune, et qu’il n’a plus le choix.

Modifié par Viola
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Invité Cosette 2
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Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Magnifique Viola...comme toujours! :coeur:

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Invité belalex
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Invité belalex
Invité belalex Invités 0 message
Posté(e)

Rencontre ....

Fraichement débarquée à Paris elle gravissait les marches du Sacré Coeur, magnifique bâtisse

que jamais elle n'avait encore visité. Arrivée sur le parvis de la majestueuse basilique

elle la contempla, quand elle sentit un regard se poser sur elle, elle tourna légèrement la tête de coté,

elle fût surprise par le regard de cet homme, il était là se tenant à quelques mètre d'elle,

la dévorant des yeux, gênée, son visage s'empourpra, elle baissa la tête, ne savant plus ou poser ses yeux.

Quand elle la releva, il avait disparu, avait-elle rêvé ? non pas possible, elle gravit

les dernières marches qui la séparaient de l'entrée de la bâtisse puis entra dans l'église, son regard s'illumina, elle était splendide,

elle remonta l'allée centrale jusqu'à l'autel, se tourna sur sa gauche pour en admirer les vitraux quand

son regard fût attiré par une forme qui se dressait devant elle,

un orgue, un sourire s'afficha sur son visage, comme elle aimerait en entendre la sonorité

puis elle entendit une voix lui disant,

- quand il se met à vibrer, tout votre corps en frissonne !

construit par Aristide Cavaillé-Coll en 1898 .. et installé en 1916 à la basilique

Elle ferma les yeux à ces mots, comme si il avait lu en elle, le souffle de l'homme caressa sa nuque, son corps tressaillit, elle n'osait se retourner, la main de l'inconnu vînt effleurer le lobe de son oreille

elle voulut lui faire volte face mais il l'en empêcha ...

- ne vous retourner pas, continuons à admirer cet orgue ensemble !

Elle sentit son autre main se glisser sous mon pull, elle lâcha un petit gémissement, il lui saisit le poignet et l' emmena avec lui derrière un pilier au fond de la basilique, leur corps pressés l'un contre l'autre, l'émotion était présente enfin elle pouvait voir ses yeux, ils ravagèrent son visage, sans attendre elle approcha ses lèvres des siennes, il les accueilla avec fougue, leur langues se mêlèrent ... leur mains se cherchèrent,

se caressant sans relâche. leur désir était palpable et leur envie inévitable. elle arpentait de ses mains

le dos de cet amant de passage, tendit que les siennes vinrent se délecter de la peau douce et enivrante de cette belle inconnue ..

Une voix roque les sortit de cette audacieuse fusion..

- vous n'avez pas honte, dans la maison de Dieu ?

Elle éclata de rire, leur corps se séparèrent, elle rajusta son pull et essaya de reprendre contenance, il se pencha vers son oreille droite, et lui susurra.

- je m'appelle Alberto ! et vous ?

- moi c'est Alexia ! enchantée .

Ils sortirent du Sacré Coeur main dans la main, sur les marches de l'église, ils se lâchèrent,

elle se mit à courir, arrivée en bas des marches, elle lança, si tu veux me revoir, rendez vous

demain devant notre Dame à 15h, elle descendit les marches du parvis, puis se retourna, l'homme

n'avait pas bougé, je lui rendis son sourire, porta son indexe droit à ses lèvres déposa un baiser dessus et fit mine de lui envoyer, d'un geste elle l'attrapa et porte sa main sur son visage ..

Encore sous l'émotion du moment, elle avait du mal à penser à autre chose, à peine arrivée sur Paris

qu'elle se retrouvait dans une situation peu banale, ça lui ressemblait pas, s'abandonner ainsi au premier venu,

mais cet instant fut si agréable qu'elle n'avais qu'une hâte qu'il se reproduise, vivement demain, se dit-elle !.

Modifié par belalex
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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

:dort:

anecdote

Elle vivait dans un pensionnat ; nourriture variée rythmant des semaines remplies des activités proposées par ses aînés, des professeurs enseignant des matières variées au contenu, ma foi, pas uniquement honorifique.

Estelle a treize ans. Et très envie de faire l'amour, comme les grandes. A savoir : debout au milieu de la cour du pensionnat, regarder le garçon dans les yeux, et le seconder pour respirer en lui faisant du bouche à bouche. Elle entretient une haute idée de la chose : il s'agit de sauver une vie.

Elle eut la sensation que celui qui avait récité le poème sur l'amitié devant la professeure de français cherchait ses mots comme si a contrario d'elle ses parents ne lui avaient pas acheté les manuels appropriés. La jeune élève du pensionnat des mimosas approcha alors du jeune homme, quand sonna la récréation, et lui proposa d'étudier avec lui, le soir venu.

Le lendemain matin, il lui révèlera son prénom au détour des conversations du réfectoire situé au rez de chaussée du bâtiment faisant pensionnat alors qu'ils feront retentir les couverts sur les plateaux. Morphée.

Du moins elle a compris ainsi.

C'est ce qu'elle m'a raconté des années plus tard. A travers une page de cahier d'écolière virevoltant sur le bitume du trottoir sous le vent d'automne...... Une fée...

Et ceci n'est qu'une fiction.....

:dort:

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

Vous êtes déchaîné(e)s , merci de toutes ces belles choses...:give_rose:

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

ah l'amour...

L'amour est déchaîné...

L'amour ne doit jamais

Se raisonner...

Il faut savoir aimer

Savoir enfreindre les lois

Dire qu'il n'y aura plus que toi et moi...

Qu'importe les avis

De celui-là, de celle-ci?

Ils sont sans doute jaloux

De ne pouvoir être fous,

De ne pouvoir connaître

Le rêve de deux êtres

Qui vivent sans tabous

Qui s'aiment jusqu'au bout...

Tout au bout de leurs rêves

Avec tellement de fièvre...

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Invité belalex
Invités, Posté(e)
Invité belalex
Invité belalex Invités 0 message
Posté(e)

Sensation ....

Les rencontres qu'elles soient

houleuses, orageuses, audacieuses,

en elles raisonnent la passion de l'émotion.

Moment d'extase vécu à l'unisson,

vertigineuse fusion emplit

de succulentes sensations.

Etreinte charnelle exhalée

par de délicieux gémissement,

rythmée par une danse des corps

suavement enlacés, s'abandonnant

qu'a une seule doctrine

celle du plaisir et du désir ...

:smile2:

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Membre, Posté(e)
beachboy Membre 5 328 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Une autre belle rencontre que celle qui suit celle de Belalex...

Celle des forumeurs du Sud qui prépare cette super fête. Ils se sont rencontrés ce lundi dans une ambiance fort sympathique avec des idées qui ne demandent qu'à éclore...

J'étais accompagné de mon fiston d'amour qui leur fait à tous deux de très gros bisous...:coeur:

ah l'amour...

L'amour est déchaîné...

L'amour ne doit jamais

Se raisonner...

Il faut savoir aimer

Savoir enfreindre les lois

Dire qu'il n'y aura plus que toi et moi...

Qu'importe les avis

De celui-là, de celle-ci?

Ils sont sans doute jaloux

De ne pouvoir être fous,

De ne pouvoir connaître

Le rêve de deux êtres

Qui vivent sans tabous

Qui s'aiment jusqu'au bout...

Tout au bout de leurs rêves

Avec tellement de fièvre...

;) J'adore ce poème

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Invité belalex
Invités, Posté(e)
Invité belalex
Invité belalex Invités 0 message
Posté(e)

S'émouvoir, s'émerveiller

d'un petit rien .

S'attendrir, s'adoucir

devant un sourire.

S'affronter, se toiser

pour un mot grossier.

S'estimer, se respecter

question d'affinité.

S'égarer, s'abandonner

à quelques péchés.

La pensée est notre essence

nous en priver, c'est nous tuer,

laissons là s'exprimer.

La liberté c'est de ne pas faire

ce que les autres aimeraient

que l'on fasse ...

Modifié par belalex
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Invité morphee_
Invités, Posté(e)
Invité morphee_
Invité morphee_ Invités 0 message
Posté(e)

quand le courant passe.....

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

indomptable, incolore

j'effleure la nature

frémissement de vos corps..

qui suis-je ?

VENT....

-------

De bois ou de braise

quelquefois sacré ou de Dieu

je suis également aux armes..

..........

le vent on ne peut l'attraper

il nous échappe, il peut être

chaud, froid, indiscipliné,

il a l'art de nous agacer .

...........

le feu,

pour lui Prométhée a été puni

et le premier Homme désormais est dans l'oubli

--------------------

Jésus a bâti son église sur "elle"

Le muscle cardiaque dans cette matière

fait l'orgueil des poètes

Roule et mousse l'accompagnent dans une expression populaire

-----------------------------

Alchimie particulière,

ivresse à l'unisson

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

entre deux êtres........................... :coeur:

Modifié par morphee_
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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

Plus de nouvelles, apparement , c'est le trou, on est tomber dedans ....

De ma faute bien sûr, foncer droit dans le mur, comment est ce qu'on peut être comme ça, je ne changerai jamais , c'est pas la peine, voir trop loin, trop haut peut -être, peur du déclin, peur de tout perdre.... Y a plus qu'à attendre, ne pas bousculer , ne pas pas essayer, surtout pas.... Espérer , zapper , oublier, on sait pas, le temps jouera comme il veut, patience déterminera le jeu ...

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

des larmes...

Tu m'avais dit un jour, en essuyant mes larmes,

Ne fais pas d'une simple querelle, un drame...

Lorsque, dans tes yeux bleus

Le ciel soudain sombre, peu à peu,

Je crois voir se déchirer le voile

D'une poussière d'étoile...

Dans ces perles qui sur tes joues, roulent,

Je me noie et je coule,

Tel ce bateau ivre,

Je chavire, je m'enivre,

Je n'ai plus qu'une envie,

Celle que tu me souries...

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