un jour = une histoire

encore une histoire vraie...

Ma mère avait une amie qui était adorable! et malgré nos différences d'âges, nous nous sentions très proches l'une de l'autre!

Cette personne avait eu bien des malheurs! à la suite d'un accident, elle avait dû être amputée d'une jambe étant enfant et avait subi des tas d'opérations, au fur et à mesure de sa croissance! Elle avait donc une jambe artificielle, mais cela ne l'empêchait pas de faire plein d'activités et d'être toujours la première à participer!

Quelle leçon de courage elle a pu me donner! Lorsque, parfois, je maugréais contre quelque chose qui ne me convenait pas et que je me sentais malheureuse, il me suffisait de penser à elle, et de me dire "si j'étais à sa place"!

J'admire toutes ces personnes handicapées qui savent tout de même aimer la vie et qui ont tant de courage!

Nous ne savons pas regarder avec suffisamment de reconnaissance tout le bonheur qui est le nôtre...

Très bien dis , chère cosette , car c'est bien vrais

Où es-tu?

Tu es le bruit du vent

Qui me frôle en passant,

Le soleil du matin

Qui caresse mes reins,

Ou ce rayon de lune

Qui luit et m'importune...

Tu es le parfum d'une fleur

Qui respire le bonheur,

Un rêve dans la nuit

Qui se brise et qui fuit...

Je suis ce coeur qui bat

Au rythme de tes pas!

Peu importe le vent,

Le soleil, l'ouragan....

Seuls tes bras sur moi

Me remplissent de joie...

Après un bref instant d'une intense peur, Juliette se resaisit, et empoignant son panier de champignons se mit à s'éloigner dans un silence de mort du lieu d'où provenait le bruit... A chaque pas elle se retournait dans la direction dont était provenu le bruit pour s'assurer que personne ne la poursuivait. Quand elle aperçut subitement derrière un arbre, comme une ombre d'homme dont les yeux semblaient briller à la lumière de la lune...

Modifié le 3 septembre 2011 par Frelser

Pouvoir déferler mes pensées sans aucun sens sans réfléchir à trop les rendre concises et compréhensibles est plutôt rare. Je ne peux, en effet, pas le faire avec tout le monde. Parce que tout le monde ne le veut pas, ne le supporte ou ne s'y intéresse pas. Cela doit être la raison pour laquelle je l'apprécie tant. Parler, sans retenue, sans crainte d'être mal compris. Et si tel est le cas, ce sera dit, et je pourrais développer autrement tout mon petit fourbi. Mais ne vous méprenez pas : ce n'est ni une amie, ni l'amour de ma vie. Nous ne sommes rien, ni l'un pour l'autre, ni pour les autres, et c'est ainsi qu'on survit.

Pourtant, on me contredirait facilement tant je m'enthousiasme à la vue de sa simple venue. Ce doit être ça. Ca quoi? Je ne pourrais vous le dire. Et ceci m'importe peu. J'ai beaucoup appris de son contact. Souffert aussi. Au début. A tort ou non, je l'ignore, je considère lui devoir énormément. Seulement, comment donner à quelqu'un qui ne souhaite rien?

C'est là un mystère de la vie.

Après un bref instant d'une intense peur, Juliette se resaisit, et empoignant son panier de champignons se mit à s'éloigner dans un silence de mort du lieu d'où provenait le bruit... A chaque pas elle se retournait dans la direction dont était provenu le bruit pour s'assurer que personne ne la poursuivait. Quand elle aperçut subitement derrière un arbre, comme une ombre d'homme dont les yeux semblaient briller à la lumière de la lune...

bonjour

qu ' il faisait doux ce jour d ' été

nous étions assis dans un champ de pàquerettes pour nous conter fleurette

mon amie fredonnait une petite chansonnette à la mode de cette époque

l ' air embaumais de parfum délicat

nous avions des projet fou et l ' avenir nous souriait

je me laissai aller à des espoirs insenssés

nous nous aimiont d ' un amour sans détour lorsque ...

soudain ...une terrible explosion suivie de rafales rageuses et démentes nous fit sursauter

nous étions le 4 aout 1914 , le début de la grande guerre

les hostillitées venaient de commençer

ce champs serai bientot labouré et abreuvé du sang de nos soldats français .

cette petite histoire est une fiction , bonne journée

Juliette, ou une autre! une fillette qui croyait en l'amour,

qui, pour une raison, un beau jour,

a vu sa vie basculer au tournant!

sans se rendre compte à ce moment,

qu'il suffit d'un tout petit rien

pour que le mal remplace le bien!

parce que, la vie c'est ça!

faite de joies qui ne durent pas...

Des mots et des mots.....

"oh mon gode !" s'écriait une religieuse qui ne se préoccupait guère de l'orthographe de ce qu'elle disait, contrairement au curé qui était obligé de porter des lunettes quand il lisait plutôt que récitait des passages de la bible devant ses ouailles les dimanches matin.

"oh mon gode !" résonnait sous l'alcôve de l'église.... les "ouailles" avant la messe buvaient plus que du café au café des Trois Obus situé sur la place du village quasiment en face.

Les jeunes du village face au café sous les platanes avaient un téléphone portable collé à leur oreille, de loin on eût dit qu'ils utilisaient la technologie afin de communiquer de prés, comme des durs d'oreille incapables de se séparer de leur appareil auditif.

La chaire du curé était fréquentée assidûment par les habitants du village, par les vieux aussi bien que par les jeunes, c'est pourquoi Marguerite, la religieuse chargée d'apprêter les lieux pour l'arrivée de la foule s'écriait : "oh mon gode !" d'une voix aigüe qui résonnait, résonnait......

Secrets d'alcôve, il est des choses comme des prés que même les ânes des fables de La Fontaine ne sauraient confondre avec de l'herbe tendre......

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Ce texte aurait pu figurer sur un document que les générations futures auraient daté approximativement du 3 septembre de l'an de grâce 2011.... vers quatorze heures et quelques pour être précis.....

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encore une histoire vraie...

Ma mère avait une amie qui était adorable! et malgré nos différences d'âges, nous nous sentions très proches l'une de l'autre!

Cette personne avait eu bien des malheurs! à la suite d'un accident, elle avait dû être amputée d'une jambe étant enfant et avait subi des tas d'opérations, au fur et à mesure de sa croissance! Elle avait donc une jambe artificielle, mais cela ne l'empêchait pas de faire plein d'activités et d'être toujours la première à participer!

Quelle leçon de courage elle a pu me donner! Lorsque, parfois, je maugréais contre quelque chose qui ne me convenait pas et que je me sentais malheureuse, il me suffisait de penser à elle, et de me dire "si j'étais à sa place"!

J'admire toutes ces personnes handicapées qui savent tout de même aimer la vie et qui ont tant de courage!

Nous ne savons pas regarder avec suffisamment de reconnaissance tout le bonheur qui est le nôtre...

+1, nous nous plaignons parfois d'aisance, rare sont les moments où nous arrivons à nous raisonner :)

(ce smiley à l'encontre de ceci :)

« Tu feras deux chérubins d'or, tu les feras d'or battu, aux deux extrémités du propitiatoire ; fais un chérubin à l'une des extrémités et un chérubin à l'autre extrémité; vous ferez les chérubins sortant du propitiatoire à ses deux extrémités. Les chérubins étendront les ailes par-dessus, couvrant de leurs ailes le propitiatoire, et se faisant face l'un à l'autre ; les chérubins auront la face tournée vers le propitiatoire. Tu mettras le propitiatoire sur l'arche, et tu mettras dans l'arche le témoignage, que je te donnerai. C'est là que je me rencontrerai avec toi ; du haut du propitiatoire, entre les deux chérubins placés sur l'arche du témoignage, je te donnerai tous mes ordres pour les enfants d'Israël. »

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A9rubin

Chérubin ne possède pas de féminin.....

Mots compliqués ci-dessus chérubin.....

Pourquoi ne possèdes-tu d'extrême opposée (notez le "e") ?

Alors que tout ce dont rêvent les Hommes c'est cela.....

Chérubin à la solitude condamné.....

Pour cette raison les églises t'adorent....

Et les nonnes se rabaissent à des songes inavouables......

La Haine stimule pas seulement la santé des imbéciles.....

Tu ne blasphèmeras pas. Ton coeur devra être poli comme une âme en détresse. Ton prochain, tu l'aimeras comme toi même. Celui qui n'obéira pas à xxx sera eclu de moi. Je suis le vent qui souffle, la puissance du soleil, je suis l'espoir des faibles et la colère des puissants.

enfin bon

euh, c'est pas Pascal qui disait que le "moi" est haïssable ?

ah mais ouais, "comme" toi-même.... je comprends mieux....

le reste se tient bien je trouve, tu es une conscience quoi (science + con = science des cons)

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quel talent, mais toi encore t'as de la chance t'es pas obligé par ton correcteur orthographique d'utiliser l'expression : "muscle cardiaque" pour pas que les mots rougissent ; bon tu me diras : les chirurgiens cardiaques non plus peuvent pas trop....

Bonjour les amis...

Vous divaguez parfois!

Mais c'est votre droit...

Chacun dit ce qu'il croit

Selon sa propre foi...

Ici, à livre ouvert,

Pas besoin de plaire!

Personne à satisfaire,

Chacun son savoir faire...

Alors, continuons, à toute heure,

De faire le plaisir des lecteurs...

S'ils peuvent s'y retrouver,

Ce sera vraiment parfait...

La joie, la bonne humeur,

Les sortiront de leur torpeur...

Sommes-nous maîtres de nos personnages?

Au début, c'est une certitude. Et encore? On l'imagine, dans son monde, on le décrit au mieux. On le voit se balader. On retranscrit comment. Rapidement, il évolue, comme évoluerait une personne réelle face à ses propres expériences. Mais décidons-nous pour lui, ou sommes-nous simplement les conteurs de l'histoire qu'il a vécu, soumis à sa volonté, à ses choix? Et si les personnages qui vivent dans notre tête étaient vivants? Cela ferait de nous les pantins, condamnés à raconter la vie d'un autre. Je ne sais pas pour vous, mais moi, je le ressens un peu comme ça. Je choisis, au départ, qui est le plus intéressant, de mon point de vue, et je le regarde, j'écris son existence, comme un voyeur pervers et perfide. Je le vois partout, tout le temps. J'en aurais presque honte. Il lui arrive même de changer d'avis. Et malgré ce bordel, on est là pour donner du sens, pour faire que tout soit clair pour, pourquoi pas, partager à d'autre ses défauts, son vécu. Là prend tout son sens la phrase affirmant que dans nos têtes, nous sommes des milliers, toute une armée de tout et n'importe quoi, avide de se faire entendre plus que l'autre. Il y a de quoi avoir mal au crâne, vous ne trouvez pas?

bonjour

- la cité perdue- (fiction )

il faisait une chaleur étouffante , nos vètements nous collaient à la peau ,

la sueur sur nos visage traçais des lignes noir dégoulinantes et sales

je tenais ma machette fermement et tranchais d ' un coup sec les lianes enchevétrés tel des serpents qui entravais notre marche lente et laborieuse .

il fallait ètre trés prudent et vigilant , la moindre blessure pouvais s ' infecter rapidement

nous étions épuisé cela faisait 15 jours que nous tentions de tailler une piste dans cette jungle inconnue et hostile à la recherche d ' une citée perdue .

jusqu ' ici , nous n ' avions trouver que des serpents et areignées vénimeuses ,

, des crocodiles et des piranias .

l ' eldorado , la citée en or d ' une légende indienne que les conquistadores espagnols ont cherchés en vains pendant un siècle , et nous , pauvre de nous ,

qu ' espèrions-nous ? pour moi , revenir vivant et entier vers la civilisation .

je savais que beaucoup d ' aventuriers c ' était perduts dans cet enfer vert .

je titubai et marchais comme un automate abrutis de fatigue , mais compagnons ne valaient guère mieux .soudain , je senti une vive douleur au mollet et ...

bonne journée .lol

bonsoir.... la cité retrouvée (science fiction)

il régnait un froid polaire, et pour cause nous étions au Pôle Nord.. La moumoute de celui qui était demeuré à la base ne lui tenait pas trop chaud pour pouvoir nous délivrer les consignes de l'itinéraire. Le vent et l'Enfer blanc nous rappelaient les embruns de la côte d'Azur, dans une autre existence, souvenir qui se faisait plus douloureux qu'autre chose tandis que nous progressions tête baissée. Comme des taureaux dans une arène de Nîmes. La température de l'arctique est plus supportable que celle de l'antarctique... Il paraît. La vue de la base, sous le vent, nous fit courber l'échine, le métal de loin, sous les embruns blancs, ressemblait à du plastique. Une poupée de plastique. Grimaçante. Mais elle nous a fouetté le sang de sorte que sinon je ne pourrais vous narrer cette aventure.....

bonne soirée

Modifié le 4 septembre 2011 par morphee_

Sur une brocante...

C'était il y a un certains temps, dans la rue où mon " pépère" et ma "bobonne" vivaient, c'était une petite fête, une petite ducasse, ils m'invitèrent à passer la journée, en me disant : " à midi ( pile , cela me fait sourire encore maintenant cette façon dont l'heure dirige une vie) , tu mangeras avec nous!". Seul joie dans leur petite vie, je ne dis donc pas non, je les aimais beaucoup mes ptis vieux, je m'attends à l'inlassable Poulet- champignons de Paris- Frites et l'éternel morceau de tarte au riz en dessert....

J'arrive donc le matin vers 10h..., on discute de tout et surtout de rien, genre comérages de quartier, on prend un apéro, le Martini rouge , servit dans des verres à limonade ( genre verre à moutarde ....je pense que je n'ai connu que ceux là), mon grand -père est aux anges, sa femme ne veut pas qu'il boive un petit verre en autre temps, midi sonne, de cette vieille horloge, d'une mocheté inqualifiable( pour moi bien sûr) posée sur une cheminée , cette manie qu'elle a de rappeler tous les quarts d'heure l'heure a le don de m'énerver comme pas possible.

A table , je fais comme quand j'étais petite, que j'allais là en week-end, je pique 2 ou 3 champignons dans l'assiette de mon grand-père, il râle , joue bien la comédie, tout un jeu autour de ces champignons...Ca n'a l'air de rien, mais ça laisse de bons souvenirs...

13H, l'heure de la sieste, j'avais prévu un livre, je savais que je n'y échapperais pas à ce repos imposé. 14h, je fais du bruit, pour quand même les réveiller et n'y tenant plus, je dis : " viens pépère ( ma grand-mère ne sortait jamais) , on va faire un tour sur la brocante, ni une , ni deux, il empoigne sa casquette ( enfin un peu de liberté)et nous voilà en rue, avec tous ces chineurs du dimanche.

Je le prends par le bras, il rencontre des copains, discute un peu , moi je regarde les étales , quand mon regard s'arrête sur un bête bracelet en corail, je l'essaye, il me va ravir ( du moins je le pense), mais bon, je ne l'aurais pas acheté, je ne suis pas une dames aux grands bijoux, nous continuons notre chemin.

Sur le retour à la maison , il me dit " attends, j'ai vu un copain, rejoins bobonne, je reviens". Je me l'imagine déjà aller boire un verre avec son ami, ça plaira pas à ma grand-mère, déjà elle tire la tronche quand elle me voit seule, mais je la rassure, j'irai le rechercher si ça traîne trop.

Je rentre donc, bobonne m'attend avec la tarte, on boit un café et voilà que pépère revient, tout fier, il me donne un petit sachet et me dit '' tiens ma grande, il ne te fera plus envie" . Vous l'avez deviné, il n'avait pas vu un copain , mais était retourné acheter ce bracelet de pacotille, acheté pour 3 sous, qui encore maintenant , m'accompagne quand je vais en belles soirées....

merci Evasive pour ce merveilleux souvenir...des souvenirs comme ceux-là restent à jamais marqués dans nos mémoires!

Et j'en ai des tonnes

j'apprécie également, c'est évident les cités perdues ou retrouvées et la prose toujours aussi savante de Jedino!

Et j'en ai des tonnes

alors, n'hésite pas! je ne m'en lasserai pas!