un jour = une histoire

Allez-savoir, tes deux derniers textes sont intéressants.

Le premier, parce que la morale qui en découle doit être que trop vraie.

Le second, parce que le point de vue est intéressant.

Pas grand chose à dire, si ce n'est que j'ai pris note, à propos de la référence

oui, "allez-savoir", j'ai pris note aussi...mais, tout de même, je me pose une question : est-ce que tu laisses une place à la rebellion? parce que tout ce que l'on nous impose n'a pas toujours le même effet sur chaque indidvidu!

Si je prends l'exemple de la religion, je m'en suis débarrassée!

et bien d'autres choses encore qui ne me convenaient pas!

Nous ne sommes donc pas toujours des moutons...et même si, dans notre for intérieur, il en reste sûrement quelque chose, il est bon de se faire sa propre personnalité! du moins, je trouve...:)

Les égouts du temps perdu : Partie 1

Nous étions un jeudi. Il devait être dix-huit heure moins le quart. J'avais un jours de congé, et pendant que ma femme gardait les enfants revenue de l'école, je décidais de rendre visite à un ami auquel j'ai perdu de vue : Christophe.

Il n'avait donné plus aucun signe de vie depuis un ans. C'était un homme assez souriant, musicien à ses heures perdu et dévoreur de bouquin la plupart du temps. Grand, brun, les cheveux court , un grand nez ,de fines lèvres et un large menton. Voilà tous ce que je me souvenais de lui. C'était trop peu pour une amitié de 10 ans.

Je me suis retrouvé devant la porte de son appartement. Après avoir appuyé sur la sonnette, j'entendis des pas lourds de derrière la porte. Elle s'ouvre...merde, était-ce vraiment lui ? Cet homme n'avait plus grand chose avec la personne que j'ai perdu de vue il y a un ans. Ses cheveux étaient un peu touffus et bourrés de pellicules. Ils ornaient une tête joufflu. Le visage légèrement barbu, il possédait des yeux rouges, fatigués et cernés, le tout triomphé par des lèvres qui semble ne plus avoir exprimés la moindre bonne humeur depuis des mois.

-Je t'ai reconnu Stéphane, dit Christophe d'une voix un peu épuisé. Entre si tu le veux.

Je ne l'ai pas entendu la première fois. J'essayais encore de calquer mes souvenirs à l'hommes que j'avais en face de moi. J'entrais. Qu'il fessait sombre là-dedans. J'ai remarqué que les volets n'étaient pas ouverts. Il me répondit que la lumière blanche lui "file la migraine". Nous nous sommes assis, lui dans sont fauteuil moi sur le canapé en face de lui. Un silence à retentis. Vous savez, ce silence insistant où personne ne se dévoue à parler.

-Tu a quelque chose à me dire, Stéphane ? Je n'ais plus eu de visite depuis longtemps.

Je renfermais un peu de colère contre lui. Je m'attendais à ce que nous nous retrouvions avec grand enthousiasme. Il se permettais juste de prendre cela comme si nous nous étions déjà vue hier. En faites, il ne semblas pas être heureux de me voir. Nous n'avons pas même échangé cette chaleureuse petite tape dans notre dos qu'on se faisait avant en signe d'amitié.

A suivre...

oui, "allez-savoir", j'ai pris note aussi...mais, tout de même, je me pose une question : est-ce que tu laisses une place à la rebellion? parce que tout ce que l'on nous impose n'a pas toujours le même effet sur chaque indidvidu!

Si je prends l'exemple de la religion, je m'en suis débarrassée!

et bien d'autres choses encore qui ne me convenaient pas!

Nous ne sommes donc pas toujours des moutons...et même si, dans notre for intérieur, il en reste sûrement quelque chose, il est bon de se faire sa propre personnalité! du moins, je trouve...:)

Bonjour Cosette,

Ah mais chez moi la rebellion a toute sa place justement ... Je revendique haut et fort le fait de ne pas être un mouton .. même pas un mouton noir, ce n'est pas assez ! :)

J'ai constaté que depuis la naissance nous passons d'une cellule à l'autre (la première cellule étant la famille d'ailleurs) nous sommes donc dans une grande prison sans barreaux ... certains passent leur vie à essayer de secouer les barreaux simplement, et d'autres restent derrière les barreaux bien sagement.. quelques uns eux prennent de la hauteur et voient les choses sous un autre angle ..

C'est nous mêmes qui créons, par notre pensée, notre réalité et agissons de manière à l'obtenir, sans se détourner de notre but.. et alors le rêve devient réalité...

et REVER à l'envers reste REVER !!!!

la clé de nos rêves est à l'intérieur de nous, car l'esprit est supérieur à tout, la pensée offre déjà tous les potentiels...

Tiens ca me fait penser à d'autres histoires du coup ... l'effet boomerang ! :)

En te lisant Bizar, il m'est revenu une rencontre qui est un peu similaire à la tienne!

Je n'avais pas revu ma meilleure amie depuis au moins dix ans, également!

Nous avions fait notre vie chacune de notre côté!

Un jour, je la rencontre dans un magasin!

J'ai eu du mal à reconnaître l'adorable fille que j'avais pour amie, une fille simple, sans manières, toujours gaie, bref, elle était tout ce qui me convenait!

Or, là, je trouvais face à moi, une dame, en toilette haute couture, perchée sur ses talons, dédaigneuse au possible, me toisant d'un regard compatissant!

C'est vrai que je n'étais pas au même niveau dans ma petite robe bon marché, ma gamine à la main et je me suis sentie complexée à un point inimaginable!

Elle m'a glissé sa carte en partant, sans doute pour me faire savoir qu'elle était cadre dans une grande entreprise!

Inoubliable rencontre qui m'avait fait comprendre combien les gens peuvent devenir différents!

Cette rencontre avec cette femme à été pour moi plus que satisfaisant , je pense que pour elle aussi , mais ce w-k à été plus que raté , et de ma faute en plus , je ne lui est jamais menti sur quoi que se sois , je lui est cacher des problèmes que j'avais hue cette semaine , et sa elle la ressentie , parce que mon comportement était inhabituelle à ce que je montre d'habitude ; Elle à raison sur tout les plan tellement elle me connait , nous avons échangé des baisers , dormi dans le même lit , mais est pas pus lui donné plus , tellement j'étais hors du temps , mes fugues sont tellement conscient que je m'en rend pas compte , n'allez pas croire que je la trompe , car cela n'est point le cas , je me suis renfermer dans cocon , une voie sans issue , ou je ne trouve pas de sortie et je ne veux pas qu'elle en paye le moindre prix ; Je sais pas pourquoi je vous écrits tout sa ce soir , peut être à me vider l'esprit de ce qui n'a pas été accompli tout au long de ses journées , de mon désarroi tout en la protégeant sans la blesser , je ne sais plus , la seule chose que je sait c'est que je l'aime et que j'ai besoin d'elle et que tout doit revenir comme avant , je me le promet pour moi et pour elle .

Toucher...

Toucher tout et n'importe quoi, frôler pour ne pas se brûler, pouvoir aller au delà de la limite, tâter pour mieux comprendre , doigts perdus à l'inconnu, malaxer pour s'imprégner, attendre une odeur pour accompagner, masser pour se rassurer, mains timides en attente d'aventures....

Regarder..

Regarder ici et au lointain, Voir qui verra en la même direction que soi, fixer jusqu'à en perdre la vue, juste pour s'abreuver, juste pour garder en mémoire, apercevoir, croire en une ombre si lointaine déjà, mater, de cet oeil vicelard ce qui pourrait s'exhiber , zieuter , l'air de rien....

Entendre

Entendre bruits et sons , brouhaha sans raisons, écouter des heures la même mélodie et s'enliser d'un passé, ouïr comme jamais fait, discerner un moindre son, jamais entendu jusqu'ici, seulement pour pouvoir y trouver une nouvelle émotion....

Parler

Parler de tout et de rien, discuter avec Belle Amie jusqu'au petit matin, converser sujets et brimades à n'en plus finir , promettant peut-être bel avenir, chuchoter quelques secrets qui le sait on un jour seront trahis, raconter une histoire face aux yeux ébahis....

Respirer

Respirer l'air, la vie du moins ce qu'on attend d'elle, humer le destin à plein nez sans jamais se retourner, renifler odeurs nauséabondes ou enchanteresses , pouvoir discerner le reste, sentir saveurs d'enfances qui mènent à présent nos préférences.....

bonjour les amis,

Tu vois, Catapulte, quand tu veux, tu sais bien trouver les mots pour nous dire, avec beaucoup de pudeur et de tendresse ce que tu ressens! bravo, continue!

Evasive, tu analyses bien tous ces sens que nous avons la chance de posséder! l'interprétation n'en reste pas moins propre à chacun, à chacune! des interrogations souvent, pas toujours résolues, hélàs!

C'est l'histoire d'un gamin qui est devenu un homme , ou pendant sa jeunesse à perdu tout ses repères , à cause d'un évènement troublant , qui lui à manqué 6 jours de sa vie d'adolescent et hélas , ne pourra jamais récupérer , alors il c'est battu , cogné à certaines portes de sa vie , pour devenir aujourd'hui cette être de compassion , et de tendresse ou le bien et le mal , se bouscule dans sa tête .

Il aimerait comme tout le monde , posséder plus de courage à partager plus de sentiment , mais cela le bloque . Pas qu'il ne serait pas capable d'ouvrir sont coeur , car il le fait déjà pour d'autres personne , qui sont dans la peine et les souffrances , mais pour lui il ne sait pas faire et ce demande s'il pourrait y arrivé .

Cette histoire rocambolesque , la suivi tout au long de sa vie et le poursuit encore de nos jours .

Cinq sens...

Seules nos pensées

Sont libres de s'envoler!

Il faut savoir entendre

Afin de tout comprendre...

Savoir écouter

N'est pas toujours le fait

De ce qui est dit

Et nous cause soucis!

Savoir dire "je t"aime"

N'est pas un problème!

Encore faut-il le penser

Au long de la journée!

Voir avec les mêmes yeux

Une belle vie à deux!

Sentir le même envirant

Parfum de l'encens!

De nos mains savoir

Faire venir l'espoir

De caresses, de promesses,

D'un plaisir sans cesse

Renouvelé à l'infini,

Jusquà la fin de notre vie...

Nous avons bien cinq sens

Dont souvent l'importance

Dépend de l'interprétation

De notre compagnon...

Le problème que j'ai , c'est que je ne suis pas assez confiant pour dévoilé certaines pensées et c'est là que tout chavire , alors je me renferme dans mon monde , sans penser aux conséquence , je sais que je cause du tort , à ceux qui me font confiance , mais en je vraiment le droit de leur imposer sa . Je ne sais pas , je ne sais plus , tout est remue ménage dans cette tête , j'avais des loisirs que j'aimais faire avant , j'y arrive plus maintenant à en concrétisé à long terme , j'ai perdu cette concentration des gestes , des choses , à me focaliser sur ce qui est de plus précieux dans cette vie future , celle de mon amie .

Est ce que je suis devenu lâche à ce point , pour pas regarder devant , ce que l'avenir me réserve , ou est je peur de la réalité vers cette inconnue vie .

Tu t'y feras, petit. Tu t'y feras parce que c'est ça la vie. Tu t'y feras parce que j'en ai rien à foutre que tu y crois ou non. Ne réfléchis pas ou je te flinguerai. N'y cherche aucun sens, aucune raison. Tu t'y perdras, et je t'aurai bien avant. Tu me détestes, et pourtant, tu te dois de m'aimer. Car je suis toi. Je suis le pourquoi, le comment. Je suis tes échecs et tes victoires. En mon absence, tu es heureux. Ma présence te fait un tout autre fait. Cesse de te plaindre. Tu es le seul fautif. Personne ne peut t'aider. Et tu sais que tu n'aimes pas en parler. Je suis ton cauchemar, celui que tu ne peux pas partager. L'assassin de tes rêves niais. L'assassin de ta vie inutile. Ne cours donc pas comme ça. Ne cours pas après les autres. Tu sais bien que je te ferai souffrir. Que tu les feras souffrir. Ne cours pas en sachant que tu ne peux me fuir. Garde tes quelques forces pour me supporter encore. Tu aimes ça. Avoue-le. Tu aimes que je sois ton excuse, que je sois le maître, que je décide pour toi. Et oui. Au fond, toi et moi, nous ne pouvons nous quitter : je suis ta folie, tu es le pantin.

Il n'y a rien à comprendre.

Hello tout le monde,

Voilà ma petite histoire du jour, juste pour vous prouver que l'homme descend bien .. du singe :)

L’histoire des 5 singes !

Des scientifiques décident de faire une étude de comportement, en plaçant 5 singes dans une cage … Peu de temps après, ils suspendent quelques bananes dans le haut de la cage …

Un premier singe voit les bananes et monte dans le haut de la cage pour en attraper une … Pendant ce temps, les spécialistes arrosent d’eau glacée les 4 singes qui sont restés en bas de la cage …

Un deuxième singe monte chercher une banane, les spécialistes arrosent les 4 autres …

Un troisième… Pareil, même chose

Lorsque le 4e singe veut monter, les singes restants en bas commencent à lui taper dessus et l’empêchent de monter pour ne pas être arrosés d’eau glacée …

Finalement, aucun singe n’ose plus monter par peur d’être frappé par les autres singes…

Alors les scientifiques sortent 1 singe de la cage et en mettent un nouveau (qui n’est pas au courant des pratiques)

Forcément le nouveau singe voyant les bananes dans le haut de la cage s’empresse d’essayer de monter, mais les 4 anciens singes se jettent sur lui et l’en empêchent …

Les spécialistes décident de retirer encore un ancien singe et de le remplacer par un nouveau (il y a donc maintenant 2 nouveaux singes, et 3 anciens)

Il se passe à nouveau la même chose …

Les spécialistes continuent ainsi … jusqu’à sortir les 5 vieux singes et les remplacer par 5 nouveaux singes (qui n’étaient donc pas là au début de l’expérience, mais qui ont tous été empêchés de monter chercher des bananes par les 4 autres singes)

Finalement, dans la cage, il y a 5 nouveaux singes dont aucun n’a connu l’expérience de l’eau glacée, mais pourtant aucun de ces singes n’essayera jamais de monter chercher une banane parce que les autres l’en empêcheront…

Si ces singes pouvaient parler et qu’on leur demandait pourquoi ils frappent le singe qui essaye de monter chercher une banane, ils ne le sauraient même pas …

Ils diraient : « c’est la tradition, nous avons hérité cela de nos ancêtres, mais on en ignore la raison, c'est comme ca et puis c'est tout ! »

Intéressante cette expérience, non ?

Très intéressante même. Merci allez-savoir

La banane et le champignon.

Il était une fois une jeune fille qui aimait déguster les champignons. Un jour Juliette était sortie dans les bois, à la ceuillette de champignons à son habitude, et elle gambadait gaiment le panier à la main. Aussi, avait-elle dans le fond de son panier de quoi manger jusqu'à arriver dans son coin secret...

Juliette aimait l'odeur des sapins, et la brise légère qui la faisait toujours remonter dans sa petite enfance. Mais ce jour-là, Juliette ignorait qu'elle allait faire une expérience nouvelle qui allait bouleverser sa vie à jamais...

l'optimisme...

Chacun, chacune a son histoire! Il faut essayer de décrypter tout ce qui, jusqu'à ce jour, a fait de notre vie ce qu'elle est aujourd'hui! Toutes nos erreurs ont servi, tout notre bonheur aussi! Il faudrait pouvoir ne garder que le meilleur, mais, nous nous complaisons souvent à ressasser les plus mauvais côtés!

L'optimisme à tout prix, c'est ce que j'implore à grands cris! Parfois, il me répond! D'autres fois, il m'ignore...

Il est présent aujourd'hui! alors, profitons-en et ne le laissons pas s'enfuir! Enchaînons-nous à lui! Ne faisons plus qu'un et, restons ainsi...pour la vie!

Chrysalis est un film qui n'a sans aucun doute fait pas grand bruit. Et pourtant, une idée du film m'a paru intéressante.

Tout commence avec cette fameuse machine expérimentale de l'armée : Chrysalis. Son but est simple : frapper l’hippocampe de la personne à l'aide de décharges électriques dans le but de court-circuiter la mémoire. En soit, de les effacer. Ce qui n'empêche pas d'en créer de nouveaux par la suite.

La chercheuse, dont la fille a eu un accident avec elle, n'a eu de cesse de torturer sa "fille" (qui dans les faits est une autre file ayant la mémoire de sa véritable fille dans le coma) pour tenter d'enlever le souvenir d'un cauchemar toujours plus fréquent. Un traumatisme, sans aucun doute.

Malgré ça, rien n'y a fait. Cette partie là de la mémoire ne souhaitait pas s'en aller.

Et si nos seuls souvenirs, nos vrais souvenirs, n'étaient que ceux qui nous font souffrir? Ne sont-ils pas une partie de nous-même qu'il est impossible de s'en séparer?

Le film en conclut que c'est le noyau dur de la mémoire.

Ne renoncez jamais, c'est une si merveilleuse vie

Il y a quelques années de ça je n'aurais jamais pensée dire cela, en me levant tout les matins..

Forte de beaucoup de problèmes s'enrichissant chaques jours, je suis là, je suis debout, il m'arrive parfois de baisser les bras, mais c'est pour ensuite mieux les relever.

Je me veux forte, pour ma famille, pour mes amis, pour lui. J'espère ne jamais avoir à jeter cette bouteille à la mer, j'espère rester celle que vous avez toujours connue ici ou ailleurs.

" J'ai perdu bien assez de temps, il ne tiens qu'a moi à ne plus en perdre".

Je me souvient du positif, je vis avec le négatif, tête haute pour ne pas me faire abattre par surprise...

J'aime la vie, j'aime les joies du quotidien, j'aime voir vos sourires, j'aime vivre.

étrange comme je t'aime

Mes nuits commencent à s'adoucir, tu es là, dans mes pensées, tu m'accompagne dans mes sommeils, tu me donnes le sourire. Parfois tu fais concurrence à Morphée, qui aimerais m'emmener loin, mais mon coeur se résigne à battre si fort en pensant à toi que mes yeux ne peuvent se fermer... Ce sentiment, n'est pas désagréable, et j'aimerais qu'il m'accompagne encore longtemps... Et avec toi si possible...

bonjour les amis,

Tu vois, Catapulte, quand tu veux, tu sais bien trouver les mots pour nous dire, avec beaucoup de pudeur et de tendresse ce que tu ressens! bravo, continue!

Evasive, tu analyses bien tous ces sens que nous avons la chance de posséder! l'interprétation n'en reste pas moins propre à chacun, à chacune! des interrogations souvent, pas toujours résolues, hélàs!

Je ne voyais pas ça comme une analyse, mais seulement un fait , mais c'est vrai que cela peut l'être, analysé :)

En te lisant Bizar, il m'est revenu une rencontre qui est un peu similaire à la tienne!

Je n'avais pas revu ma meilleure amie depuis au moins dix ans, également!

Nous avions fait notre vie chacune de notre côté!

Un jour, je la rencontre dans un magasin!

J'ai eu du mal à reconnaître l'adorable fille que j'avais pour amie, une fille simple, sans manières, toujours gaie, bref, elle était tout ce qui me convenait!

Or, là, je trouvais face à moi, une dame, en toilette haute couture, perchée sur ses talons, dédaigneuse au possible, me toisant d'un regard compatissant!

C'est vrai que je n'étais pas au même niveau dans ma petite robe bon marché, ma gamine à la main et je me suis sentie complexée à un point inimaginable!

Elle m'a glissé sa carte en partant, sans doute pour me faire savoir qu'elle était cadre dans une grande entreprise!

Inoubliable rencontre qui m'avait fait comprendre combien les gens peuvent devenir différents!

La situation a dû te laisser un goût amer.

Moi aussi je pense à des amis auquel je n'ai plus de nouvelle. Je me demande si les re-rencontrer ne vont pas me perturber, ou plutôt que les derniers souvenirs que j'avais d'eux n'aient plus aucunes significations face à ceux qu'ils sont devenue.

Néanmoins, je préfèrerais voir une connaissances qui est réussi sa vie, plutôt que de la retrouver comme je l'ai décrit dans mon histoire (que je n'ai pas encore fini).

Je précise aussi que c'est une fiction, j'ai pas envi qu'on m'appelle Stéphane. :D

Tu t'y feras, petit. Tu t'y feras parce que c'est ça la vie. Tu t'y feras parce que j'en ai rien à foutre que tu y crois ou non. Ne réfléchis pas ou je te flinguerai. N'y cherche aucun sens, aucune raison. Tu t'y perdras, et je t'aurai bien avant. Tu me détestes, et pourtant, tu te dois de m'aimer. Car je suis toi. Je suis le pourquoi, le comment. Je suis tes échecs et tes victoires. En mon absence, tu es heureux. Ma présence te fait un tout autre fait. Cesse de te plaindre. Tu es le seul fautif. Personne ne peut t'aider. Et tu sais que tu n'aimes pas en parler. Je suis ton cauchemar, celui que tu ne peux pas partager. L'assassin de tes rêves niais. L'assassin de ta vie inutile. Ne cours donc pas comme ça. Ne cours pas après les autres. Tu sais bien que je te ferai souffrir. Que tu les feras souffrir. Ne cours pas en sachant que tu ne peux me fuir. Garde tes quelques forces pour me supporter encore. Tu aimes ça. Avoue-le. Tu aimes que je sois ton excuse, que je sois le maître, que je décide pour toi. Et oui. Au fond, toi et moi, nous ne pouvons nous quitter : je suis ta folie, tu es le pantin.

Il n'y a rien à comprendre.

Pendant un moment, j'ai entendu la voix de De Niro en lisant ton texte :smile2:.

Chrysalis est un film qui n'a sans aucun doute fait pas grand bruit. Et pourtant, une idée du film m'a paru intéressante.

Tout commence avec cette fameuse machine expérimentale de l'armée : Chrysalis. Son but est simple : frapper l’hippocampe de la personne à l'aide de décharges électriques dans le but de court-circuiter la mémoire. En soit, de les effacer. Ce qui n'empêche pas d'en créer de nouveaux par la suite.

La chercheuse, dont la fille a eu un accident avec elle, n'a eu de cesse de torturer sa "fille" (qui dans les faits est une autre file ayant la mémoire de sa véritable fille dans le coma) pour tenter d'enlever le souvenir d'un cauchemar toujours plus fréquent. Un traumatisme, sans aucun doute.

Malgré ça, rien n'y a fait. Cette partie là de la mémoire ne souhaitait pas s'en aller.

Et si nos seuls souvenirs, nos vrais souvenirs, n'étaient que ceux qui nous font souffrir? Ne sont-ils pas une partie de nous-même qu'il est impossible de s'en séparer?

Le film en conclut que c'est le noyau dur de la mémoire.

Tu viens de programmer ma soirée :)

Ne renoncez jamais, c'est une si merveilleuse vie

Il y a quelques années de ça je n'aurais jamais pensée dire cela, en me levant tout les matins..

Forte de beaucoup de problèmes s'enrichissant chaques jours, je suis là, je suis debout, il m'arrive parfois de baisser les bras, mais c'est pour ensuite mieux les relever.

Je me veux forte, pour ma famille, pour mes amis, pour lui. J'espère ne jamais avoir à jeter cette bouteille à la mer, j'espère rester celle que vous avez toujours connue ici ou ailleurs.

" J'ai perdu bien assez de temps, il ne tiens qu'a moi à ne plus en perdre".

Je me souvient du positif, je vis avec le négatif, tête haute pour ne pas me faire abattre par surprise...

J'aime la vie, j'aime les joies du quotidien, j'aime voir vos sourires, j'aime vivre.

étrange comme je t'aime

Mes nuits commencent à s'adoucir, tu es là, dans mes pensées, tu m'accompagne dans mes sommeils, tu me donnes le sourire. Parfois tu fais concurrence à Morphée, qui aimerais m'emmener loin, mais mon coeur se résigne à battre si fort en pensant à toi que mes yeux ne peuvent se fermer... Ce sentiment, n'est pas désagréable, et j'aimerais qu'il m'accompagne encore longtemps... Et avec toi si possible...

De l'encre sortie de la plume de ma chère ninouille, enfin réparti sur une page de notre livre ! C'est un plaisir de se laisser bercer par ces quelque mots

Je repasserais plus tard pour terminer mon histoire.