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un jour = une histoire

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Invité Cosette 2

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Invite-moi, rien qu'une fois, que je t'emmène plus loin que tout, plus loin que nous. Viens, viens avec moi : je t'apprendrai comment vivre ta vie. Allez, viens, nous partons en voyage, là où les fleurs sont toutes l'année ouvertes, et où le bonheur sourit...

La première étape consiste à prendre la vie comme poésie, et non comme philosophie : comment veux-tu être heureux dans une quête maladive pour la sagesse et la vérité? Il n'y a que la beauté et la justesse de tout, d'un tout, qui te permettra d'obtenir ce que tu cherries.

La seconde consiste à ne plus te contenter d'y croire, mais de le savoir : comment veux-tu t'épanouir d'un fait dont tu doutes et ne crois que maladroitement? Il n'y a que l'assurance et la certitude qui te guideront vers cette précieuse destination.

Si tu arrives à trouver avec ceci une certaine satisfaction, une suffisance, tu peux espérer un jour acquérir cette douce illusion dont tes convictions feront qu'elle existe à tes yeux. Dans le cas échéant, tu ne resteras qu'un homme, un de ces souffrants dont on aime plaindre, mais dont on se moque complètement.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Je n'avais pas goûté aux délices de Morphée depuis un bon petit moment. Je ne me sentais pas rassasié pleinement depuis l'an passé. Comme si le simple fait de dormir pansait mes soucis. Peut-être est-ce le cas? En tout cas, cela fait un certain bien, tout autant que cela inspire. Il y a des histoires qui dorment en nous depuis longtemps, et qui n'attendent qu'une nuit pour se manifester.

Il y avait cette porte. Et puis, ce personnage. Il y avait ce décor qu'on aurait ne voir qu'en mirage. Avez-vous déjà ressenti ce sentiment de déjà-vu au moment où on se remémore un rêve, le matin?

Nos nuits ont pour seul souci de s'inspirer de la réalité. D'utiliser des pièces, des détails de notre journée. Ce qui fait qu'il n'y a qu'un pas pour sombrer dans un cauchemar. Mais qu'est-ce qu'un cauchemar, si ce n'est pas nos peurs les plus profondes? Une mise en garde contre nous-même? Ou contre notre passé? Notre avenir? Un rappel douloureux? Une cruauté qu'on s'inflige par erreur? Ou peut-être pour se motiver à changer?

Bien sûr, tout irait bien mieux dans ma tête si je m'évitais ce besoin incessant de donner un sens à tout. Mais, dans cette optique là, l'existence perd de son intérêt. Apprendre, apprendre toujours, encore. Voilà à quoi rime, ou devrait rimer, une vie. Au moins celle dont les acteurs sont malheureux. Cela pourrait les rassurer, ou les frustrer, s'ils ne sont pas capables de le supporter. Car le savoir a un poids. Tout comme la vie semble porter ceux qui l'embrassent. L'un comme l'autre, il est possible de le perdre. Je n'ose imaginer ce qu'on peut penser lorsqu'on se sent abandonné par ces ailes qui nous aidaient auparavant à avancer. Mais je sais qu'il vaut mieux perdre son savoir que la vie.

Cette parole sonne mal venant de moi, et pourtant. Peut-être que je suis plus en vie que je crois l'être?

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Invité chat_ooo
Invités, Posté(e)
Invité chat_ooo
Invité chat_ooo Invités 0 message
Posté(e)
Bien sûr, tout irait bien mieux dans ma tête si je m'évitais ce besoin incessant de donner un sens à tout. Mais, dans cette optique là, l'existence perd de son intérêt.

ça me parle......

et rien à voir, désolé, mais ça me rappelle un peu lorsque j'étais gamin et tentais de reconstituer les pièces détachées du jouet qu'on trouvait dans nos kinder surprise -les friandises en chocolat- alors déjà trouver des choses en plastique dans une boule de chocolat, c'était mieux que tirer la fève lorsqu'on mangeait la galette, à la saint sylvestre, puisque c'était systématique, mais en contrepartie fallait s'ingénier à trouver un sens, justement, à ces choses : des fois j'y arrivais, des fois je renonçais :)

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
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Le manque...

C'est dingue quand ça nous prend, comment faire pour le combler, quoi faire de plus pour ne plus s'en rappeler, où aller pour se changer les idées.... On ne sait pas , on y va du chacun pour soi , on cherche , on calcule, on se perd, on essaye de se trouver un coin bonheur pour oublier les blessures, peut-être épauler l'autre pour s'apercevoir qu'après tout ça n'était pas si grâve que ça, mais se retrouver quand même seul face à ses pensées une fois que l'autre repart ....

Ce manque,

Affolant quand on ne peut le retrouver, se distraire de plus belles pensées, assouvir l'espace d'un instant un ressentiment, regarder ce manque avec recul, interpréter par d'autres mots qui n'existent pas, pas dans notre monde, peut -être au delà......

Tu me manqueras,

plus rien à dire, plus rien à faire, ça sera long, trop long.....

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Ah! Le manque. Comme si, ces instants, ces souvenirs, ces personnes restaient gravés au plus profond de nous-même, nous torturant chaque seconde où l'absence se fait ressentir. Mais pourquoi est-ce que cela doit se faire ainsi? Je n'ai pas la réponse. Je doute que quelqu'un puisse l'avoir. Et ça n'a pas de réelle importance. Quand on manque de quelqu'un, de sa présence, on souffre, on peut en perdre ses repères, ses habitudes, ses nuits, parfois même sa tête. Il n'y a rien capable de justifier une pareille chose.

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Invité métempsycose
Invités, Posté(e)
Invité métempsycose
Invité métempsycose Invités 0 message
Posté(e)

Après avoir avalé environ mille kilomètres, j'aperçois la mer à l'horizon. Ciel couvert, pas mal de vent. J'ouvre la vitre de la voiture et...

Hummmmmpf, à plein poumon j'hume cet air iodé.

Je me dépêche de trouver une chambre d’hôtel, de poser mes affaires et d'aller sur la plage.

Il y peu de monde à se dorer au soleil inexistant aujourd'hui, la mer est basse et remonte, une seule courageuse ose baigner.

Quel plaisir de sentir, d'entendre le vent, le déferlement continuel des vagues. Quel plaisir de marcher dans l'eau fraîche le long de cette plage.

Quel plaisir de retrouver cette ville, plage des vacances de mon enfance, bouffées nostalgiques, souvenirs des jours heureux.

Déambulation le reste de l'après midi en ville, plateau de fruits de mer dans le port le soir, seul...c'est glauque, pathétique.

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Certains jours sont le fruit d'idées plutôt étranges. Je me suis mis à me demander comment pouvait-on bien se sentir au moment qui précède notre mort. J'imagine que cela doit dépendre de chacun, des circonstances, d'un peu de tout. Et pourtant, c'est de ce type de défis, de recherches personnelles, dont je me nourris, dont j'occupe ma vie. Peut-être qu'y réfléchir va rendre fécond mon imagination?

Parfois, on se sent l'âme d'un guerrier, d'un combattant. Les hommes sont généralement mieux placés pour se prendre pour tel, bien que je ne doute aucunement de la capacité des femmes à y parvenir. Imaginez-vous, au milieu d'un paysage qui pourrait aujourd'hui se faire visiter pour sa beauté. Prenez donc une cascade, mettez-là ici, ou là. Prenez une plaine, une grande et vaste plaine, verdoyante, resplendissante de beauté, avec ses coquelicots, et ses timides arbres fruitiers. Prenez un paysage qui dans votre esprit sonne comme le mot beauté, pureté.

Ajoutez-y des hommes, partout, ajustez de manière à se faire face. Mettez-les en rang, avec une certaine géométrie, comme si tout ceci n'était que spectacle. Faites-les hurlants, courageux, armés jusqu'aux dents. Un bouclier, une épée, une hache, une lance, un casque, une armure, à cheval, à pied? Qu'importe, tant que vous les faites assez vilains pour contraster avec la nature qui les entoure. Sont-ils méchants, poisseux, laids, beaux, l'air angéliques? Il ne tient qu'à vous de les façonner comme vous le souhaitez. Il ne tient qu'à vous de les faire assez parfait pour tenter de les rendre invisible au sein de ce décor.

Bien. Maintenant, imaginez-vous l'un deux. Prenez donc la peau et l'âme d'un de ses hommes, avec ses armes, ses peurs, ses tripes. Vous sentez vous lui dès à présent? Je peux concevoir qu'il est difficile de créer cette sensation, cette situation, assez vraie pour se sentir comme si cela était réel. Mais si vous êtes arrivés jusqu'ici, je ne doute pas un seul instant que vos efforts et votre concentration suffiront à y arriver. Etes-vous ce soldat, alors? Voyez-vous ce qu'il voit, ce qu'il entend? Criez-vous avec lui, criez-vous?

Si tel est le cas, projetez-vous dans le futur, en avant, dans l'acte qui suivra ces chants guerriers, ces armes pour le courage et la motivation.

Mettez-vous dans le chahut, dans le combat même. Vous devriez le pouvoir si vous êtes en condition. Frappez devant et derrière vous, frappez vos ennemis, ceux qui vous veulent du mal, ceux qui veulent du mal à votre peuple, ou à votre roi? Frappez, et ne réfléchissez pas à la raison. Prenez aussi les coups, encaissez, souffrez de la haine que l'autre vous exprime. Commencez-vous à avoir peur? La mort ne se manifeste pourtant pas encore.

Tuez. Un, puis deux, puis trois, puis tant d'autres, puis trop? Tuez, ou laissez-vous tuer. Quel choix ferez-vous? Qu'importe, vous venez de vous faire toucher. Un malheureux vient de vous trancher la cuisse. Ce n'est pas grave. C'est une égratignure. La peur pourtant, elle, augmente. L'adrénaline aussi. Vous ne souffrez pas, ne pensez pas. Seul compte votre épée, votre combat. Non, vous ne pensez pas. Pire, vous oubliez.

Et c'est là que vient le coup qui vous semble fatal. Une lance se perd dans votre poitrine. Vous n'êtes pas mort pour autant. Vous vous y attendez seulement. Vous le savez. Sans trop savoir pourquoi. La peur atteint son paroxysme. L'adrénaline fait toujours effet. Vous souffrez. sans réellement souffrir. Vous souffrez surtout de votre peur, de votre mort prochaine. Vous avez peur. Vous réfléchissez. Vous commencez à regretter, à penser à votre vie, à votre situation. Vous cherchez une solution. Il n'y en a pas. Vous allez mourir ici, comme de nombreux autres, et l'histoire vous oubliera, comme si vous n'aviez jamais existé. Vous n'existez pas. C'est la dernière note de votre vie. Sa musique s'éteint peu à peu dans votre corps. Vous le sentez. Vous en êtes convaincu. Et puis, sans s'y attendre, tout ceci cesse. On meurt. On se sent apaisé. Bien qu'on ne le sache jamais.

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Je reviens vers vous...

Je suis heureuse de poser mes valises et de venir vous retrouver! Merci mes amis d'avoir continué d'écrire sur notre livre...

Bien sûr, j'ai été contente de découvrir d'autres cieux, d'autres paysages, d'autres personnes, mais, comment se fait-il que vous me manquiez tant alors que je ne vous connais pas? Par quel étrange phénomène, faites-vous partie de mon univers? Il ne se passe pas une seule journée sans que je pense à vous, sans que je vous imagine...parfois, même, je me dis "et si celui ou celle-là que je croise en ce moment, c'était un de mes amis virtuels"? Nous sommes destinés à ne jamais nous rencontrer et, pourtant...nous échangeons parfois des idées que nous n'oserions même pas évoquer de vive voix...Elle est bizarre cette sensation de rêve et de réalité mêlés...

En lisant vos derniers écrits, je découvre un peu trop la mort dans vos propos! Je sais bien qu'elle fait partie de notre vie, qu'elle frappe cruellement, sans avoir prévenu de son arrivée...mais, de grâce, essayez donc de l'ignorer quand elle daigne vous tourner le dos! Laissez-là de côté, ne l'appelez pas trop tôt...il faut vivre avec l'espoir de moments merveilleux à découvrir encore...encore...toujours...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Peut-être que ce qu'on exprime ici est le véritable reflet de notre état? Peut-être que le voile hypocrite de la réalité tombe une fois venue dans ce monde virtuel? Peut-être est-ce cela qui rend ce monde si attrayant?

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

savoir dire "je t'aime"...

Je crois bien, à la réflexion, que je ne peux pas dire "je t'aime", tout du moins à ma proche famille! Question de pudeur sans doute! et puis, il me semble tellement évident de démontrer mes sentimernts par les actes de chaque jour! Etre toujours là quand on a besoin de moi, n'est-ce pas le plus important? Que sont donc ces petits mots quand on les dit à tout bout de champ? Dire "je t'aime" a-t-il tant d'importance? Ne le sent-on pas dans chacun de nos gestes? Souvent, je le sais bien, il m'a été reproché de ne pas être très démonstrative, de ne pas "sauter au cou" de ceux que j'aime...Pourtant, tout au fond de moi, mes sentiments débordent! Peut-être, d'ailleurs que j'ai peur qu'ils ne débordent trop...et que, c'est pour cela que je les emprisonne!

Ici, c'est vrai, il est bien plus facile de dire ce que l'on pense, sans crainte du ridicule, puisque nous ne nous connaissons pas! Il y en a bien, sans doute qui préfèrent dissimuler leur propre personnalité, mais, à quoi cela leur sert-il? Jouer les méchants ou les bons personnages, est-ce si attrayant? Après tout, si cela peut leur procurer du plaisir, pourquoi pas?...Il faut de tout pour faire un monde, n'est-ce pas...et encore plus, un monde de forumeurs...

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Comment lui dire? Est-il trop tôt? Ou trop tard? Comment ne pas douter? Ne pas avoir peur de sa réaction? Peur de la perdre? Comment savoir si je fais ou non le bon choix? Il y a des "jours étranges", des jours où on aimerait le dire, mais où on n'ose pas le faire, parce qu'on ne sait pas si on s'y prend de la bonne manière, si le moment est assez propice et idéal pour ça. Comment ne pas craindre le regret, ce regret qui risque de nous tirailler longtemps parce que la personne ne pense pas ce que l'on pense, ne ressent pas ce que l'on ressent?

La peur est assassin. Et bonne conseillère en même temps. Elle nous évite des erreurs, et nous en fait faire au moins autant. Que faire, le savez-vous? Moi, je ne sais plus. Je ne sais pas. J'aurais aimé. Etre fort, être quelqu'un d'autre, vivre de ce que m'offre la vie au présent. Mais il faut croire que je ne sais pas même m'exprimer sur ce que je sais, ou croit savoir. Que faire : jouer aux dés et regarder ce que le hasard va me donner, ou faire patienter encore un peu cette partie que je ne cesse d'éviter?

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Invité Mad_World
Invités, Posté(e)
Invité Mad_World
Invité Mad_World Invités 0 message
Posté(e)

Toute chose n'existe que par son contraire. S'il est un regret à craindre, celui de le dire trop tôt, il en est un bien plus terrible... Celui de ne plus avoir le temps de le dire.

Ca fait du temps, maintenant. Pourtant, je ne peux toujours pas écrire la suite. Ce regret là est une enclume qui vous noie dans l'océan d'une nostalgie dont on se passerait bien. Et doucement on se consume, en silence, seul, et dans la pénombre d'une nuit sans lune, on trouve parfois un raccourcit à cette route belle, mais trop longue. C'est dommage. Alors, peut être ne faut il pas garder à soi ce qui se partage. Sinon, on se retrouve à porter ses mots comme une croix sans jamais plus pouvoir les offrir. Ils luiront toujours de la teinte d'un passé noir... et rouge.

La peur est assasine. Elle tue sans prévenir, et sans souffrance. Le regret est n bourreau, qui s'approche doucement, tenant en sa main votre sort certain, qui à chacun de ses pas fait craquer le plancher. Le sifflement de la lame qui fend l'air a alors le gout de la peur, de la délivrance de la lumière qu'on éteind en s'endormant.

Modifié par Mad_World
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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
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Il n'est donc pas possible de savoir?

Peut-être que tout regret trouve de quoi être pansé par la suite. Que toutes les erreurs se paient. Que chaque douleur permet un petit moment de bonheur. Que tout induit sur l'avenir, notre avenir?

Regrets et peurs forment un duo très sombre, mais censés nous apprendre à combattre la vie et ses difficultés, censés nous apprendre à se remettre à marcher lorsqu'on trébuche ou se fait pousser à terre.

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Invité Mad_World
Invités, Posté(e)
Invité Mad_World
Invité Mad_World Invités 0 message
Posté(e)

L'optimisme est l'arme de celui qui combat pour son avenir, le pessisme est le pretexte de celui qui abandonne. ;)

Et il vaut mieux être armé pour affronter la vie. Alors, je vais en ton sens, même si à ce combat, je compte au rang des prisoniers qui ont hissé le drapeau blanc :sleep: .

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Membre, Jedi pas oui, jedi pas no, 32ans Posté(e)
Jedino Membre 47 992 messages
32ans‚ Jedi pas oui, jedi pas no,
Posté(e)

Rassure-toi, je ne suis pas partisan de cette armée qu'est l'optimisme. Je préfère me battre aux côtés des pessimistes. Je préfère abandonner que combattre.

Et mon drapeau blanc n'est pas levé. Pas encore. Pas pour l'instant. Peut-être cela ne saurait-il tarder?

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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

Le bon moment...

Il y a toujours un moment propice au rêve, au bonheur, à une fusion entre deux êtres! reste à savoir si symbiose il y aura! Parfois, pour ne pas dire souvent, il suffit d'une hésitation, d'un geste un peu trop...ou pas assez...pour rompre l'enchantement! Et oui, elle attendait de lui, ce baiser qu'il n'a pas osé lui donner...ou bien, il a voulu l'enlacer un peu trop vite à son gré....C'est très difficile de savoir quel est le bon moment, difficile de se mettre dans la tête de l'autre, et trop facile aussi, de laisser passer cet instant qui aurait pu être si merveilleux! Lorsque nos coeurs battent ensemble au même rythme, c'est une sensation qui ne peut pas tromper...regarde-là dans le fond de ses yeux, vois comme son regard se trouble, son pouls s'accélère, elle n'attend que tes lèvres, que tes bras autour d'elle...Ne laisse donc pas les regrets s'installer, laisse de côté tes interrogations...fonce, comme ce combattant , mais fais-lui l'amour plutôt que la guerre...

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

C'est le moment...

c'est plus fort que soi, plus fort que tout, il ne le savait pas mais l'aimait, elle ne le voyait pas mais le ressentait, elle est allée vers lui sans grandes convictions, il s'est laissé approcher timidement, téméraire , elle lui a parlé, se sentant agressé, il s'en est détourné, pour ne plus ensuite que l'apercevoir.

Le temps passa, très peu de temps, pas totalement vaincue, elle lui reparla, doucement cette fois, elle savait qu'il devait être spectateur avant de pouvoir s'affirmer auprès d'elle.

Les regards ont changés , les mots se sont croisés, les mains se sont frôlées, sensations de gorge serrée, noeud au ventre, coeur en chamade, agréable apesanteur que plus rien existe autour d'eux, l'émotion est enclenchée, clash .....

Modifié par Evasive
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Membre, 49ans Posté(e)
Frelser Membre 5 507 messages
Forumeur inspiré‚ 49ans‚
Posté(e)

Soudain, l'horloge s'arrêta de fonctionner. Le chat s'immobilisa comme une statue de diable, et elle aussi, était figée toute nue, assise sur le bord du lit avec son livre sur les genoux. Je me levai regarder par la fenêtre ; dehors, c'était pareil, les véhicules étaient à l'arrêt, pas un mouvement d'air. Pas un moustique pour rompre ce merveilleux silence. J'en profitai donc pour l'embrasser tendrement, pour la réveiller. Elle semblait avoir dérobé toute sa splendeur au soleil, et elle était aussi froide qu'une glace à la vanille.

Modifié par Frelser
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Invité Cosette 2
Invités, Posté(e)
Invité Cosette 2
Invité Cosette 2 Invités 0 message
Posté(e)

une glace...

Je viens d'en savourer de si belles, de si bonnes pendant mon court séjour à la montagne que j'en sens encore le goût sur ma langue gourmande...il est de ces parfums, de ces odeurs qui, rien qu'en les évoquant, nous replongent aussitôt dans un monde délicieux...c'était hier, c'est loin déjà, mais que c'était bon...même en allant en prendre une dans mon congélateur, elle n'aura pas ce goût de farniente, de soleil lumineux, de ce paysage merveilleux qui décuplait ce plaisir intense! La vie est ainsi faite de tout petits bonheurs qui laissent derrière eux un goût de glace à la vanille-noisettes...

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Membre, Dingotte à plein temps !, 95ans Posté(e)
Evasive Membre 19 608 messages
95ans‚ Dingotte à plein temps !,
Posté(e)

C'est malin hein, j'en ai cruellement envie maintenant et j'en ai pas :sleep::snif:

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