un jour = une histoire

Bonne vacance.

Pour ma part, les épreuves ont commencé. Et je crois bien que j'ai passé celles que je pourrais réussir. Est-ce un hasard si, le jour précédent la philosophie, j'ai lu ses Pensées? Est-ce un hasard si, le soir d'avant, j'ai parlé de Pascal à quelqu'un? N'est-ce donc pas une étrange coïncidence? Mais le plus surprenant, dans cette brève histoire, c'est qu'elle est vraie.

Bonne journée, aussi

Bonsoir!

Bonne vacance à toi ! Nous ferons en sorte que ce topic ne tombe pas dans l'oublie...jamais.

Je reviens parmi vous pour annoncer, avec un peu (beaucoup) de retard, que je marque peu de messages sur ce fabuleux topic. Pour commencer je dois de me justifier d'un certain handicape qui m'affecte, à savoir, ma lenteur. J'écris, à mon grand déplaisir, lentement. De plus, en cette période d'examens, je me dois de faire preuve d'efforts et de persévérance.

Vous comprendrez donc que pendant un certain temps, je m'abstiendrais de venir poster sans pour autant m'interdire de lire vos messages dégageant une certaine aisance dans leur construction, une aisance que je n'ai pas hérité.

Je vous souhaite bien du bonheur à tous !

Bizar , c'est chaque chose en son temps , ton passage fait cependant plaisir et ta délicatesse de prévenir est honorable :) Bonheur à toi aussi ! :)

Une heure. Je suis à une heure de ma prochaine épreuve. Et pourtant, aucun stress. Aucun signe. C'est peut-être parce que j'attends autre chose, que j'espère autre chose.

Je vous souhaite une bonne journée, je ne sais pas trop quoi dire, encore moins quoi écrire. C'est peut-être là le signe de mon stress, n'est-ce pas? En tout cas, tout va s'accélérer, s'emballer, à mesure qu'on s'en approche. Je n'ai pas le don d'être tout à fait tranquille quand j'arrive vers l'inconnu ou vers l'importance. Importance que je n'accorde pas. Pas encore. Peut-être jamais. Il est difficile de connaitre la suite, l'avenir. On ne peut qu'espérer, chercher à se motiver, à trouver les raisons qui feront qu'on y arrivera. La vie est vraiment un perpétuel combat. Un combat acharné où il faut prévoir le lendemain, plutôt que de pouvoir profiter du soir au matin, celui qui est bien présent, là.

bonne chance Jedino ^^

Merci chateau. Tant d'idées. Tant de temps à tuer. Et pourtant, aucun courage, aucune volonté. J'aurais tellement aimé rattacher ces brides de pensées pour en faire une histoire à lire ou écouter. Je me déteste. Moi et mon impuissance.

Je me sens vide et inutile. Finis et au bout du fil. Suis-je à ce point désespéré? Si je ne peux plus croire en la vie et son berceau vertueux, dois-je nécessairement me diriger vers les terres battues de la mort? A en croire les gens d'ici, c'est un tort. Mais qui des deux est vraiment le plus fort? Rien ne permet de rendre l'existence heureuse. Rien mis à part ces foutues illusions. Ces espoirs dont on s'éprend sans véritables raisons. Fut un jour encore proche, j'aurais souhaité qu'on me vienne en aide, qu'on me tende une main pour me hisser à nouveau à terre. Mais si j'ai pu trébucher plus tôt, je n'ai jamais trouvé de quoi me rattraper durant ma chute. C'est une mort lente et difficile, une noyade dans les excès et la souffrance. J'étouffe. L'air ne me vient plus. L'oxygène semble me fuir. Tout devient flou. Tout devient noir. Je ne reconnais plus rien. Je n'ai jamais rien connu. Est-ce une étoile du soir qui m'emporte ainsi dans la froideur de l'espace? Si je ne sais pas où je vais, si je ne sais d'où je viens, je sais que je vais aller encore un peu plus loin. Ne serait-ce que parce que je n'ai pas le choix : je me dois d'avancer dans l'obscurité d'un avenir pouvant être sans moi. Néanmoins, je vous avouerais que tout ceci me laisse indifférent, que mon cœur semble saignant, saillant, alors qu'on n'y trouve que vide et trépas, pourriture et poussières étoilées.

Fais de ta vie un rêve, un souvenir auquel tu souriras quand viendra le temps où tu ne pourras plus qu'y songer longuement. N'abandonne pas, car tu pourrais regretter de ne pouvoir sourire à tes erreurs et tes bêtises, de ne pas pouvoir vivre ce moment de la vie où qui n'est qu'un lent rappel de notre éphémère passage. Oui, mon ami, si tu me lis, n'oublie pas. Tes combats seront ta fierté, une fierté qui sera égal pour les journées victorieuses et les nécessaires défaites.

Rassure-toi, c'est une période de notre existence qu'il est souvent difficile à affronter, car rien ne fonctionne plus comme on le souhaiterait. Les remords, les regrets, les souffrances. Tous ces détails qu'on croyait enfui pour l'éternité se prenne au jeu de remonter, comme pour taquiner le reste d'un nous-même, un restant de ce qu'on était par le passé. Surtout, ne t'avoue pas vaincu, et prends pleinement par de cette dernière épreuve. Il ne faut pas se laisser abattre alors que tu es si proche de la fin du chemin. Un chemin où tu as mainte fois buté. Un chemin que tu as du apprendre à surmonter. Un chemin pourtant sinueux et déroutant où tout le monde n'arrive pas au bout. N'est-ce pas suffisant pour te convaincre de poursuivre sans chercher inlassablement à t'arrêter? Ne penses-tu pas que concrétiser tous ses efforts serait une concrétisation bien méritée?

Fais de ta vie un de ces voyages, la destination idéale d'un marathon perpétuel. Chaque coureur, aussi bon et doué soit-il, finit par prendre sa retraite, prendre du repos, changer ses activités, pour s'occuper différemment, ne pas sombrer dans l'ennui. Même eux, ces athlètes, se voient contraints de faire des pauses, de prendre le temps de souffler, pour mieux recommencer. Je ne peux pas te promette que tu te remettras à courir à te dépasser, mais je peux essayer de te prouver que la vieillesse n'est qu'une pause, certes imposée. Seulement, il te faut faire à l'idée que, si tu as coursé le bonheur toute ta vie, il te faut bien prendre une heure à profiter du calme et du repos, de l'étrange plénitude et de la sérénité.

Laisse les autres prendre le relais. Tu t'es bien assez fatigué. Et j'admire ton parcours, ta témérité, cette singulière hargne à sans cesse rendre la route fréquentable, pour toi et pour les autres, et surtout pour les autres, ces inconnus dont tu ne connais pas même l'identité, et pour qui tu as tenté, au mieux que tu le pouvais, rendre viable une vie à peine vivable.

C'est plutôt amusant non ?

En fin de compte, je pense que la plupart des gens de ma classe cette année m'ont trouvé discret. C'est a croire qu'ils ne se rendent pas compte de ma timidité ?

A moins que discret soit synonyme de Timide ?

Bon, après je doit biens admettre que y'a des personne plus perspicace que d'autre et qui voient ma timidité... du moins j'imagine que ça se passe comme ça...

D'ailleurs... Peut on être discret sans être quelqu'un de timide ?

Ah ! ma timidité... parlons en ! (puisque j'ai envie d'en parler profitons en :))

Comment expliquer...

En fait j'suis timide a l'exterieure....

Quand j'vais au lycée par exemple... je reste dans ma bulle... en général c'est Musique et lecture... mais, j'suis quand même dans un groupe de potes...

En fait, je ne m'exprime pas ma vrais personnalité... ma timidité me bloque...

En extérieur, j'suis plutôt calme, et discret... reveur... je fait pas de vagues quoi...

Alors que chez moi... dans le cercle familiale, je sors blague plus ou moins stupide sur blague plus ou moins stupides...

je me tape des délire a partir de rien ! et si je devais élargir ce cercle a internet, je dirais que je partages des tas de choses avec mes amis... :)

C'est bizard cette barrière... psychologique ? qu'est la timidité...

Je m'imagine n'étant pas timide a l’extérieur... je serais bien le genre a épuiser mon monde avec mes vannes... et mes taquineries !

D'un autre coté, ca a peut être du bon, d'avoir de la réserve...

Ma fois, j'imagine qu'un jour je ferais tomber cette barriere... qui m’empêche un peut d'être moi même je dois dire...

Le nombre de sourie que je pourrais distribuer a des inconnues croisées dans une garre ou dans un train... ou même un tram...

Peut être me faut il un élément déclencheur ? je ne sais pas... surement que je n'ai pas assez de volonté pour me sortir de ma bulle quand j'suis a l’extérieur...

Mais je suis sur qu'un jours j'étendrais mon changement (qui a débuté il ya bien quelque année de ca pour le coup ! :)) vers ce problème de timidité... et je l'ai déjà bien amélioré je trouve, a ce jour ! :)

Enfin, j'écris tout ceci, mais ça ne ressemble pas vraiment a une histoire ! (remarque, si, c'est l'histoire de ma vie en fait :p)

Sur ce, je vous souhaite une bonne et agréable nuit ! :)

Il est minuit douze, un ami vient de perdre son père d'un infarctus du myocarde. En l'espace d'un instant ce mal laisse une famille seule avec une mère qui ne sait probablement pas comment elle va faire pour joindre les deux bouts, avec deux enfants à charge. Un de dix-huit ans, une autre de seize ans. La tristesse m'envahit lorsque je pense à cette fatalité qui nous guette tous. La Mort, avec un grand "M". Pourtant, je ne ressens rien, je ressens un creux, un trou béant, profond qui n'arrive pas à se remplir des interprétations et des théories qui entourent une notion qui m'est encore bien trop abstraite. La réaction "naturelle" aurait été sans doute de pleurer. Cependant, je ne puis le faire tant cette tristesse ressentie par une famille anéantie doit-être profonde et tortueuse. L'on pourrait considérer ce fait sous un angle scientifique. En effet, il est normal qu'un organisme biologique cesse d'être lorsque celui-ci s'avère fatigué, mais, quand même... quarante-cinq ans, c'est horrible. Parfois, je me dis qu'il n'y a rien après la Mort, elle est vide, dénuée de toute conscience de l'être, toute conscience de l'existence en soi. Le meilleur endroit pour s'en rendre compte reste le cimetière.

Comment peut-on croire que Dieu ou je ne sais quoi nous attend là-haut, dans l'au-delà lorsque l'on se retrouve face à une sépulture? Je ne sais pas... peut-être que cette peur du néant effraie la conscience collective... La Vie, on l'a dénigre, on dit qu'elle est dure, mais nulle épreuve n'est comparable à celle de la Mort. Pourquoi la connaissance? Elle n'est qu'un volute de fumée que le vent peut balayer aisément. J'ai le coeur lourd, j'ai l'âme en peine, je suis colère. Mais pourquoi? Je ne trouverais probablement jamais ma réponse. Je n'ai pas d'avis partial sur le sujet. Mon ami souffre et je souffre de le voir souffrir à ce point. Le Bac me semble être la dernière des préoccupations actuellement, malheureusement la Vie continue et je sais que j'ai sans doute réussi à passer les épreuves qui m'ont été incombé en seize ans d'existence dans ce monde magnifique. Car oui... j'arrive à trouver le monde magnifique malgré toute l'immoralité quant aux traitements de nos simples conditions d'êtres mortels. De simples entités biologiques dont le but est d'assurer la pérennité de leur espèce. Comme le dirait Musset au travers de Lorenzo : "je suis aussi vide et aussi creux qu'une statue de fer blanc".

Je suis désolé, je ne puis continuer plus longtemps tant ma peine est grande pour mon ami et sa famille.

Les fautes (si vous en trouvez) ne sont pas à prendre en compte. J'ai simplement écrit avec mon coeur, avec ma tête, avec mon être.

Nous ne sommes pas immortels.

Modifié le 22 juin 2011 par OhByU

Il existe des douleurs qui ne laissent pas insensibles. Elles ont ceci de particulier qu'aucun mot ne vient pour les consoler. Aussi, parfois, on accompagne notre sypathie d'un simple silence qui porte toute l'amitié qu'on a à offrir.

Je t'offre ce silence. Lui, est immortel.

Modifié le 22 juin 2011 par Mad_World

Merci beaucoup Mad_World.

non, j'aimerais pouvoir faire plus... comme beaucoup de monde je pense. Courage

Ça me fait penser à Faust.

Ah ?

Mon petit rayon de soleil....

C'est comme ça que je t'appelle , mon pti rayon de soleil, âgé déjà , malade depuis un moment, rien ne te démoralise, un comment ça va , tout va toujours avec toi, j'en suis gênée parfois de me plaindre à côté de toi , qui a tant vécu, qui a tant vu, tant ressenti la douleur.... Encore cette fois, le mal ne t'épargne pas, mais je sens bien que tu abandonnes maintenant, encore une petite lueur dans les yeux, mais ils sont tellement fatigué.... J'ai envie de te dire égoïstement " tiens bon" , mais en même temps, ne serait il pas mieux pour toi que tu abandonnes, si c'est pour être dans cet état......

Enchaînés aux mur du Temps.

Nous sommes tous enchaînés au mur du Temps. Ce mur qui avance, il nous tire par ses chaînes auxquelles on se défait avec difficulté. Bien qu'elles soient invisibles, on en distingue quand même quelques une...notre Vie est une chaîne de ce mur, implantée à même la chair. Sans doute la chaîne principale qui, avec le temps, s'use, rouille et fini par se briser...elles finissent toutes par se briser...et pourtant, il existe des chaines qui ne se brisent uniquement que lorsque que nous nous détachons de la chaîne de Vie.

Ces dernières nous distingue...personne n'a les mêmes chaines que les autres...l'avantage est d'en avoir le moins possible.

Vous vous demandez sûrement de quoi je parle. Je parle de l'esclavage. Nous sommes enlacer par les chaines du Temps.

Essayons de comprendre cette image. Je possède des chaines comme tout le monde. Ses chaines ont des tailles et des maillons différents celons ce qu'elles représentes : mes sentiments, mes rêves, mes souvenirs...toutes sont amarrer à ce mur mystérieux qui m'inspire souvent de la peur. Bien que je puisse avoir conscience de ces chaines, une me pèse, me fatigue, m'étrangle au mur....je ne sais comment elle est apparut ni même si j'en fut le forgerons...mais elle est ici et m'empêche de m'épanouir. Elle m'étouffe à tout moment.

J’obéis aux ordres d'une chaîne qui me détruit. Je trouvais cela normal. Ne pas avoir le droit de jouir du bonheur des autres me réconfortais dans la mesure où je ne me laissais pas transporter par n'importe quoi. Être malheureux me donnais une force, l'illusion d'être un homme à plaindre...elle a l'art de maquiller la réalité. J'aurais aimé la détruire mais pour chaque tentative, ses arguments étaient plus forts que les miens...

J'ai fini pas appeler cette chaîne "Solitude", cette chaîne qui m'avait accompagnée, qui m'a privé de tout en me collant le visage sur le mur glacé et effrayant du Temps, un mur qui me fit et qui continue à me faire avancer dans le néant avec la grande angoisse de me dire que je n'ai pas su faire, ni comprendre, ni me défaire de cette chaîne.

J'espère avoir donné clairement ma vision de notre existence par l'enracinement de souvenirs, de souffrances et de rêves qui se perd dans le temps mais que l'on retrouve pas cette connexion entre ce dernier et notre esprit.

Si vous le voulez, j'aimerais connaitre une de vos chaîne...

PS: Veuillez m'excuser pour toutes fautes d'orthographes, de grammaires et de syntaxes telles quelles soient.

Modifié le 23 juin 2011 par bizar

en voila deux des miennes qui commencent à dater, mais je ne trouve de meilleure réponse, veuillez alors excuser la répétition cher ami :)

Arménédia

A l’ouest palpitent les néants. Ceux lA

Rient et, dans le noir – ce cher amI –

Miroite un sourire où s’accroche le NiD

Ephémère d’une bien trop ancienne alchimiE.

Nul ne doute, dans l’ombre, que l’EdeN

Embrume encore les âmes de l’HommE

Dans un frénétique mobile perpetuuM

Irradiant à nous pendre, nous envoleR.

Arménédia, tu vies du triste de ceux lA.

Le Dernier Serment

Il est un fleuve que je connais bien trop. Il glisse

Sans qu’aucun barrage ne le dompte. Rapide Sauvage

Il se déverse en un lac, près duquel fleurissent

Les espoirs lointains qui comblent le paysage.

Arrachant à la roche les sels qui la composent

Il glisse vers ce havre, transformant ainsi

Le Lac en Mer, la Mer en Océan. Il prose

De jour en jour à l’eau claire qui noircit.

Posée sur l’étendue, une barque de Terre

Trône immobile. Sereine habitante comme insensible

Aux assauts du fleuve, l’île ne sait que l’amer

Douceur écorchée des embruns insubmersibles.

Un Copalme Rouge, dans un éternel automne

Est le seul naufragé du radeau. Il nargue d’éclat

Le contraste verdoyant qui l’entoure et donne

Parfois à l’ouvrage un semblant d’apparat.

A l’image de l’Hêtre qui chante son rituel

Ce monde est, de ce qui sera, le berceau

A l’image du Copalme et sa complainte éternelle

Ce monde est, de ce qui fut, le tombeau

En attendant le jour ou la Mer sera Morte

Qu’aucune vie n’y pourra jamais plus germer

Je me tourne vers le Hêtre comme vers une porte

Et je cueille sur ma route les sels des rochers

Naviguant dans l’automne éternel si fragile

J’offre à qui voudra les rivages d’une mémoire

Le Copalme en Sang qui peuple la seule île,

Les embruns, le fleuve, l’automne et cette eau noire

Du cours de ma vie. J’emplie La plume de l'Inachevé

De l’encre du temps

Et sur une feuille de Hêtre j'écris sans finir sans trembler

Ces mots, mon dernier serment.

Nous avions commencé à discuter tous les deux sur ce forum et le feeling est tout de suite passé…de trop même.

Nous parlions de tout et de rien, de nous, nos rêves, nos envies… . Quand je rentrais le soir, la seule chose qui comptait c’était d’allumer mon ordinateur pour voir s’il m’avait envoyé un mail, ou alors regarder s’il était connecté…

Puis un jour nous avons commencé à parler de nos fantasmes, et notre discussion a vite dévié… il a commencé à me dire « imagine si à ce moment précis si j'étais avec toi… ». Nous avons commencé à faire l’amour par écran interposé… je lisais ses mots, ses phrases, qui m’excitaient de plus en plus… je ne le voyais pas, trop timide que j'étais pour mettre la web cam, seulement son avatar mais j’avais l’impression que son regard était posé sur le mien..

Toute ressemblance avec....

A suivre ..

Modifié le 23 juin 2011 par beachboy

Nous avions tous les deux imaginés un scénario, quelque chose de très excitant, je n’avais qu’une envie c'est d’être dans ses bras, avec lui, sous ses baisers, ses caresses. C’était la première fois que j’arrivais à être autant excitée en lisant de simple mots, de simple phrases mais sa sensualité me touchait et il avait l'art de vous faire vibrer.

Nos échanges durèrent 3 heures, à la fin de cette conversation nous échangions nos numéros de téléphone, et on s’appela. Ce fut la première fois que j’entendais sa voix. Une voix chaude, et véritablement irrésistible, je savais que j’allais avoir du mal à m’en passer. Les heures passèrent, et c’est au petit matin que nous nous sommes rendus compte que nous avions passé la nuit tous les deux au téléphone, difficile de se dire au revoir mais il le fallait, je devais aller en cours et lui travailler. A peine raccroché je reçu un texto « merci pour ce doux échange en te souhaitant…une bonne journée ..ta voix me manque déjà…à ce soir si tu le désires »

Je lui répondis aussitôt en acceptant son invitation.

A suivre ...