Un action ou vérité qui tourne mal

Si certaines gonzesses m'ayant sucé étaient passées à l'éducation nationale peut-être aurais-je pris mon pieds Heureusement pas toute.

Evidemment que c'est inadmissible, de là à le cueillir par les keufs...

Et moi je m'en fou de la fille, elle vit sa vie. Je ne trouve pas dégradant son acte, si ce n'est l'imposé aux autres, mais que veux tu... Je ne peux même pas retenir l'alcool, vu que je viens d'apprendre qu'elle avait emporter du punch. Donc ce n'est pas un modèle de vertu ignominieusement détournée du droit chemin.

Cela aurait été le cas, ma réaction serait autre.

Là, nous avons un jeune débile qui succombe aux charme d'une demoiselle peu farouche, ou l'inverse. Le seul problème, c'est que ça se passe dans un car scolaire. La chance, c'est que se son des lycéens, et qu'ils s'y connaissent quand même un minimum pour ne pas être traumatisé à vie. La malchance, c'est qu'ils sont dans un lycée très prisé de la ville, et qu'entre gens de bonne société, ça ne se fait pas. Je ne suis pas certain que si cette aventure romanesque avait eu lieu dans un établissement de Beauval, nous aurions eu les mêmes rebondissements. J'entends par là une réaction policière et l'intervention d'un ministre.

Le type a tord, la fille n'est pas exempte de reproche, ça vaut pas coup de faire monter la mayonnaise.

J'aurais renvoyé le mec et la fille, point final. Et pour Justine et sa vertu malheureuse, une séance chez le psy. Les autres auront plein de trucs à raconter à l'interclasse.

même si c'est condamnable, je m'attendais à pire

c'est pas dramaturgique quoi

du genre: "action" "fais le mort devant une voiture" et bim qqun crève

ouais, là ça aurait été dramatique

Concept très li-li.

Maquiller ce que c'est en réalité (de la pédophilie : jouir de sa position dominante sur une mineure), c'est un concept pas nouveau cependant.

Les profs se tapant leurs élèves, se frottant les mains après guerre de l'arrivée de jeunes filles crédules dans les universités françaises. Et le comble, nous faire passer ça pour du progressisme, de l'émancipation ou je ne sais quelle autre manière de se dédouaner.

Travestir cet acte immonde en jeu qui aurait dérapé, cet enculé avait pourtant une mission éducative au départ.

Tous les ingrédients du libertinage li-li, champagne et pipe par la mineure... triste.

En Espagne, la majorité sexuelle est plus basse encore

Ce qui reflète bien le concept aberrant de l'immondice dont le degré diffère suivant les nations.

Oui, et Polanski ce qu'il a donné au cinéma mondial, et puis il a connu l'Holaucauste, vous savez (nous disait Jean-Baptiste Botul et ses amis) il avait bien le droit de se taper une petite de 13 ans, de la fourrer par le cul après l'avoir drogué.

A 13 ans, vous savez, maintenant, elles en paraissent au moins...14.

Très li-li : je suis, donc je jouis, MA petite personne jouit, au détriment d'une autre, qu'à cela ne tienne...

Sauf que là, les deux consentent et jouissent mutuellement.

Concept très li-li.

Maquiller ce que c'est en réalité (de la pédophilie : jouir de sa position dominante sur une mineure), c'est un concept pas nouveau cependant.

Les profs se tapant leurs élèves, se frottant les mains après guerre de l'arrivée de jeunes filles crédules dans les universités françaises. Et le comble, nous faire passer ça pour du progressisme, de l'émancipation ou je ne sais quelle autre manière de se dédouaner.

Travestir cet acte immonde en jeu qui aurait dérapé, cet enculé avait pourtant une mission éducative au départ.

Tous les ingrédients du libertinage li-li, champagne et pipe par la mineure... triste.

Et le fait que la fille se pointe avec du punch ? Qu'elle reconnaisse les faits ?

C'est pas de la pédophilie, faut pas tout confondre. Avoir des relations sexuelles à 16 ans, c'est pas être progressiste, c'est être dans la normale. Après on n'est pas obligé de faire dans un bus devant ses potes...

Sauf que le type a une position qui n'est pas celle de la mineure, à savoir une mission éducative qui lui incombe.

ben oui, c'est à ça que doit s'attendre un père de famille, de nos jours, et j'en suis conscient.

j'aurais du mal à le supporter pour d'autres raisons qui me sont personnelles, mais la réalité est bien là, à moins de se parquer au fin fond de l'Ihioa avec les amish.

Mais premièrement comme tu le dis Pasdeparanoïa, en public et dans un bus.

Mais surtout, avec quelqu'un qui est censé faire en sorte que ces choses là n'arrivent pas, et qui plus est avec lui-même.

On ne parle pas de 2 élèves, on parle d'une gamine élève et d'un conseiller d'éducation.

"je suis, donc je jouis de ma position".

C'est une faute très grave pour moi.

Il n'a pas de mission éducative, il n'est pas enseignant, il est surveillant.

Pour moi, ces deux là avaient décidé de faire un score pendant la sortie. D'une façon ou d'une autre. Pour se retrouver chacun avec de la picole...

Et n'oubliez pas les trois profs présents sur les lieux.

http://www.bossons-fute.fr/index.php?view=...ion=com_content

Bien sûr qu'il a un rôle éducatif.

Imagine le père d'une jeune ado qui envoie sa fille en colo' et qui te lit.

Mais aucun père n'a envie de savoir que sa fille suce des bites !

C'est pas pour ça qu'elle le fera pas si elle est décidé. Et si c'est pas un éducateur, ça sera un pote, ce qui ne change pas grand chose au problème.

Pour moi si, un accident (ou pas selon le degré que vous voulez bien accorder à cet acte ce n'est pas le problème) entre deux élèves qui ont amené de la picole, ce n'est pas un acte entre quelqu'un qui a responsabilité sur cette fille, et cette fille elle-même.

La bouteille, il aurait du lui confisquer, sa bouteille à lui, c'est encore plus grave, et ce qui s'en suit, c'est tout bonnement une faute très grave !

Sans parler de ce que doit subir la fille maintenant, virée de son lycée, la honte devant sa famille, et le traumatisme.

J'aime autant que ce soit un jeune de 22 ans qui apprenne ce genre de chose à une ado de 16 ans plutôt que le père.

oui je comprends ton point de vue Layache, mais je pense que tu dramatises l'écart d'âge

quand j'étais au lycée, je luttais pour séduire les filles de mon âge parce qu'elles préféraient les mecs de 25ans qui avaient des mégane coupé cabriolet ^^

sinon, cette histoire me fait un peu penser à celle de l'infirmière qui aurait abusé d'un patient

c'est une histoire de déontologie du corps professoral maybe

Pour moi si, un accident (ou pas selon le degré que vous voulez bien accorder à cet acte ce n'est pas le problème) entre deux élèves qui ont amené de la picole, ce n'est pas un acte entre quelqu'un qui a responsabilité sur cette fille, et cette fille elle-même.

La bouteille, il aurait du lui confisquer, sa bouteille à lui, c'est encore plus grave, et ce qui s'en suit, c'est tout bonnement une faute très grave !

Sans parler de ce que doit subir la fille maintenant, virée de son lycée, la honte devant sa famille, et le traumatisme.

Merci du fond du coeur pour tes interventions

Il reste un espoir : tous les mecs ne sont pas de gros bourrins

Mais qu'est-ce qu'il peut y avoir comme prudes !

Merci du fond du coeur pour tes interventions

Il reste un espoir : tous les mecs ne sont pas de gros bourrins

Internationalement, la notion la plus employée est celle « d'âge de consentement » (age of consent). On définit l'âge de consentement comme l'âge minimum que doit avoir une personne pour avoir des relations sexuelles de son plein gré. De fait, la majorité sexuelle n'est pas exactement un âge de consentement ; les adultes peuvent être condamnés pour avoir des relations sexuelles avec des personnes n'ayant pas la majorité sexuelle, même si par ailleurs on considère que ces mineurs peuvent consentir à des relations sexuelles : d'une part, parce que les relations entre mineurs sont licites, d'autre part parce que l'atteinte sexuelle sur un mineur non consentant est un acte plus sévèrement puni que s'il est consentant.

Par exemple, en France, la majorité sexuelle est fixée à 15 ans (16 ans en Suisse, 13 ans en Espagne) sauf cas de vulnérabilité particulière du mineur. La relation sexuelle consentie avec un mineur de 15 ans^[1] est prévue par le code pénal sous le nom d'atteinte sexuelle et punie de cinq ans d'emprisonnement maximum (sauf circonstances aggravantes) alors que la relation non consentie entre dans le champ de l'agression sexuelle et est punie de sept ans d'emprisonnement maximum (sauf circonstances aggravantes) pour une victime mineure de 15 ans.

Dans la pratique, toutefois, en dessous de 12 ou 14 ans, le consentement ¿ même lorsqu'il est apparent ¿ n'est pas reconnu par les tribunaux français, qui invoquent la notion d'« absence de consentement éclairé » et utilisent l'argument de la « surprise » contenu dans le code pénal (une agression sexuelle est une relation sexuelle imposée par la contrainte, la menace ou la surprise) afin de pouvoir qualifier l'agression.

L'âge n'est en revanche pas un critère de libre choix suffisant quand il y a une relation de subordination ; ainsi, un professeur qui aurait des relations sexuelles avec un de ses élèves âgé de moins de 18 ans (en France) peut être condamné.