Virage à 180° de la France sur la Tunisie

la france ne lâche pas la tunisie, elle lâche ben ali c'est différent !

et c'est bien !

pas besoin de dictateur chez nous !

lol...ouvre tes yeux on en a un...devine qui!!

Le fait même que tu ais la possibilité de tenir ce propos te donne tort.

T'as pas l'air de comprendre ce que c'est qu'une dictature en tout cas.

lol...ouvre tes yeux on en a un...devine qui!!

t'es un comique toi !

avec tout ce qui se dit ici, sur sarko, si c'était un dictateur, il y a long time que tout serait muré !!!

là je rejoins Aaltar

Mais MAM qui a proposé d'envoyer des CRS pour l'aider à rester au pouvoir est authentiquement répugnante.

Certain etat n'ont pas d'ame mais ils le devraient , a quoi bon la notion d'humanité alors?

Donc la vache qui rapporte a mon pays a plus de valeur que qu'un autre etranger humain.

Et dire pourquoi il y a des guerres?Donc des qu'un etat a assez de puissance il peut tout se permettre meme sur les autres civiles qui ne font pas parti de son sein, puisqu'il n a pas de contrainte ethique.

Certain etat n'ont pas d'ame mais ils le devraient , a quoi bon la notion d'humanité alors?

Un "état" n'a pas d'existence hors des gens qui le composent.

C'est à vous d'exiger que la France ne soutiennent pas certains dictateurs.

Alain juppé l'a reconnu :

"Sous la pression des événements en Tunisie, la France a opéré un revirement diplomatique tardif, qui témoigne de la difficulté de la diplomatie française à comprendre la révolte. Le ministre de la défense, Alain Juppé, a reconnu, lundi 17 janvier, que la France "a sous-estimé l'exaspération du peuple tunisien face à un régime policier et à une répression sévère". Mais, comme plusieurs responsables de la majorité, il a martelé que "la position de la France, qui consiste à dire aujourd'hui : 'il appartient aux Tunisiens de choisir leur avenir, un un avenir démocratique, dans le cadre d'élections libres', me paraît pertinente". (Lire l'article : Le virage de la France, contrainte par les événements.) "

Fait notable, le communiqué de l'Elysée énonce une doctrine : "La politique de la France est fondée sur deux principes constants : la non-ingérence dans les affaires intérieures d'un Etat souverain, et le soutien à la démocratie et la liberté." Cette notion de "non-ingérence" ¿ mentionnée à quatre reprises, dimanche, par la ministre des affaires étrangères, Michèle Alliot-Marie, dans un entretien au Journal du dimanche ¿ fait son apparition dans le vocabulaire officiel français."

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2011...#ens_id=1245377

La non ingérence consiste à proposer une aide policière j'imagine avant d'annoncer récemment trouver inacceptable les milices qui tentent de rétablir l'ancien régime, parmi lesquelles se trouveraient peut-être les forces françaises si l'offre de service avait été acceptée