Deux mots d'humour

Je suis résolument contre la femme-objet, je ne sais jamais où la poser.

Les accusations sans preuve sont des pièges à conviction.

Quand je pense que le Phénix est capable de renaître de ses cendres alors que j'ai déjà du mal à allumer le barbecue ...

J'ai fait un rêve prémonitoire, j'ai rêvé que je me réveillais.

Libraire opportuniste vend livres d’occasions.

Dentiste pratiquant la boxe en amateur vend collection de prothèses-dents.

Faits divers : le marginal mythomane qui se faisait passer pour Jean-Paul Belmondo est bien le voleur auteur du casse.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Bonjour,

À cause de vous, je ne peux pas m’empêcher de rire. L’humour est ancré en vous, si je puis dire. Il faut bien l’avouer, ce sont de superbes réflexions. De plus, je suis ravie de constater qu’il y en a des nouvelles tous les jours. J’aimerais tant savoir ce qui vous inspire. Au plaisir de pouvoir en lire d’autres.

Quand on muselle la presse, la liberté est aux abois.

Il y aura toujours un tordu pour nous demander de faire le dos rond en attendant le redressement.

Il est plus facile de s'asseoir en tailleur que de se tailler des Assises.

Le meilleur dévot est celui élevé sous la mère supérieure.

Publicitaire éclairé vend lot de spots.

Berger des Pyrénées recherche mordus de la montagne pour balade au Mont Canigou.

Faits divers : un dermatologue mal dans sa peau depuis que ça femme lui donne des boutons est décédé à Pau des suites d’une écorchure infectée. C’est vraiment pas de pot.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Quels beaux jeux de mots

On ne devrait jamais reprocher à quelqu'un de rêvasser, on ne rêve jamais assez.

Il y a des gens qui se contentent de peu mais peu s'en contentent.

Prenez l'air mais sans le pomper, on pourrait dire que vous n'en manquez pas et vous seriez obligés d'en changer.

On trouve souvent à redire à ceux qui se répètent sans cesse.

Ophtalmo vend peintures sur verre en trompe-l’œil.

Faits divers : le biologiste qui avait fait courir la rumeur d’un virus a été mis en cellule.

Faits divers : A Malte, un vieillard appréhendé après avoir dérobé une bouteille de whisky hors d’âge.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Il est plus facile de larguer les amarres quand la mer est belle que de larguer sa belle-mère quand y en a marre.

Les m'as-tu-vu qui ne pensent qu'à se montrer, on a qu'une envie, les envoyer se faire voir.

Le cerveau humain démontre chaque jour qu'il ne suffit pas d'être composé de deux hémisphères pour tourner rond.

L'imparfait du subjonctif est tombé en désuétude mais le subjectif reste imparfait.

J'ai toujours trouvé contraire aux lois de la géométrie que du poisson en cube n'ait pas d'arêtes.

Comme chaque année au premier jour d’avril, le poisson revient en force. C’est un peu comme si en avril on découvrait un fil de pêche à tous les coins de rus à défaut de ne pas se découvrir d’un fil.

Vous allumez la radio au petit matin et le thon est déjà donné avec un poisson sur toutes les ondes. Et ce n’est surtout pas le jour à arriver avec la gueule enfarinée au boulot si vous ne voulez pas passer pour une tanche. J’ai même vu un chef de brochet passer pour un congre alors qu’il discutait au bar avec un barbu.

Impossible de vous faufiler comme une anguille, il y aura toujours un pécheur devant l’Eternel pour mettre le turbot et tenter de vous placer le poisson haddock. C’est vraiment le jour à vous faire préférer le steak, caché !

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

L'évasion fiscale est un concept qui consiste à s'évader avant d'être mis en prison.

Lorsque la parole est en voix d'extinction, le silence est en voie d'expansion.

Le silence est d'or mais je préfère quand on dort en silence.

Etre raciste c'est chercher sans cesse des différends avec ses semblables sous prétexte qu'ils sont différents, c'est invraisemblable.

Quand on a des antécédents sans précédents, l'avenir est bouché.

Depuis la nuit des temps, des hommes, les homo insomniacus, passent leurs nuits debout à rêver d’un jour où les nuits seront meilleures. Mais voilà que maintenant d’autres hommes consacrent leurs nuits debout à rêver d’un jour où le monde sera meilleur.

Quand on y songe, est-ce de l’utopie, un nouvel espoir ou juste une histoire à dormir debout ?

Surfant sur une loi faisant le lit de la contestation, leur mouvement a clairement pour objectif de faire lever les foules pour réveiller leur conscience et les conduire dans le silence de la nuit vers de nouvelles voies s’éloignant de ces sentiers battus qui laissent beaucoup d’abattus au bord du chemin.

Et si en les suivant on trouvait la route d’un autre monde comme dans Minuit à Paris de Woody Allen ?

Je vous laisse, il est 5h et Paris s’éveille …

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Excellent excellent !!!!

Il faut absolument que je me réserve un bout de soirée pour lire ce topic plus attentivement et m'en délecter !!! :bo: :bo:

L'évasion fiscale est un concept qui consiste à s'évader avant d'être mis en prison.

Lorsque la parole est en voix d'extinction, le silence est en voie d'expansion.

Le silence est d'or mais je préfère quand on dort en silence.

Etre raciste c'est chercher sans cesse des différends avec ses semblables sous prétexte qu'ils sont différents, c'est invraisemblable.

Quand on a des antécédents sans précédents, l'avenir est bouché.

La nuit debout

Depuis la nuit des temps, des hommes, les homo insomniacus, passent leurs nuits debout à rêver d’un jour où les nuits seront meilleures. Mais voilà que maintenant d’autres hommes consacrent leurs nuits debout à rêver d’un jour où le monde sera meilleur.

Quand on y songe, est-ce de l’utopie, un nouvel espoir ou juste une histoire à dormir debout ?

Surfant sur une loi faisant le lit de la contestation, leur mouvement a clairement pour objectif de faire lever les foules pour réveiller leur conscience et les conduire dans le silence de la nuit vers de nouvelles voies s’éloignant de ces sentiers battus qui laissent beaucoup d’abattus au bord du chemin.

Et si en les suivant on trouvait la route d’un autre monde comme dans Minuit à Paris de Woody Allen ?

Je vous laisse, il est 5h et Paris s’éveille …

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Idem ! :)

Il faut d'autant plus se méfier des idées reçues qu'on n'en connaît pas l'expéditeur.

Beaucoup noient leur chagrin dans l'alcool, c'est ridicule, c'est beaucoup moins cher dans l'eau.

Que l'esprit soit le siège de la pensée peut expliquer que certains soi-disant penseurs s’assoient dessus.

Les raisonnements logiques sont manifestement construits en dépit du non-sens.

Silence on tourne

On vient de célébrer la journée de la Terre dans l’espoir de ne pas ajourner un monde meilleur et que le film du monde ne tourne pas en tragi-comédie de série B.

Pourtant à y regarder de plus près, on tourne un peu en rond dès qu’on aborde le sujet de l’avenir de la planète et elle risque fort à terme de devenir aussi fragile qu’une boule de cristal. Le problème serait sans aucun doute plus simple à résoudre si la Terre n’était pas peuplée de gens qui ne tournent pas rond.

Il est vrai que d’avoir placé exprès Lorient à l'Ouest alors que l’Orient Express se dirige vers l’Est est de nature à déboussoler tout individu n’ayant pas déjà perdu le Nord.

Et ce ne sont pas les politiciens de gauche qui penchent à droite ni les élus de droite qui pensent à gauche qui vont recentrer le débat.

En attendant un désastre annoncé en cas de relâchement, la Terre reste un des astres continuant de tourner sans jour de relâche, ne comptant que sur l’éclairage du soleil et sur quelques illuminés pour entrevoir la lumière.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

On commence par promettre la lune et on finit par ne plus voir le jour.

J'ai écrit une chanson sur le Tiercé en pariant sur le couplet gagnant.

Expédier les affaires courantes c'est bien mais conserver une affaire qui marche c'est mieux.

C'est certainement son côté théâtral qui fait qu'on a toujours droit à une pièce montée lors d'un mariage.

1^er mai

Nous y sommes, le 1^er mai est ce jour où une tradition séculaire nous conduit à payer des clochettes à des prix à nous faire passer un brin pour des cloches. C’est à nous donner envie de défiler pour protester contre cette manifestation d’un capitalisme floral qui attige à tous les coins de rue.

Avec le recul il faut bien reconnaître que d’avoir choisi une fleur parmi les plus éphémères comme emblème de la fête du travail avait un caractère prémonitoire sur la pérennité des contrats à durée indéterminée.

Ce n’est pas la seule incongruité de ce jour où l’on décide de célébrer le travail et les travailleurs en ne travaillant pas, un peu comme si on fêtait les pizzaiolos en allant manger un couscous.

Comme chaque année on n’échappera pas aux cortèges de lieux communs sur le patronat et les syndicats dont le principal se situera entre Bastille et Nation, cortèges où des ouvriers refusant de se laisser piétiner par leurs patrons profitent de l’occasion pour se faire marcher sur les pieds par le prolétariat.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Le problème n'est pas de prendre de l'âge mais de ne jamais le rendre.

Au regard de l'immensité de l'univers, que tous les cons soient concentrés sur Terre est un défi à la science.

Même à pas feutrés on peut s'emmêler les crayons.

Quitte à se payer la tête des gens autant aller chez les Jivaros, ils font des réductions.

Vous descendez à la prochaine ?

Après l’Ascension, la Pentecôte, on a vraiment l’impression chaque année d’assister en avant-première à une étape de montagne du Tour de France, un peu comme si Jésus-Christ avait pris le maillot à pois du meilleur grimpeur dans le col de la Croix-Haute.

Alexandre Dumas, un jour où il était un peu éméché car il était de notoriété publique qu’il avait une bonne descente, avait décidé de lui rendre hommage en écrivant le conte de Montez Christ haut avant de se raviser car il était quelqu’un de bien élevé.

Il faut reconnaître que ces histoires d’élévation vers les cieux ne réussissent qu’à faire lever les yeux au ciel de gens que les nuits d’autel n’ont jamais fait grimper au rideau.

Et la Poste qui, malgré l’avènement du transport du courrier par avion n’a jamais pris au pied de la lettre les directives du ciel, refuse toujours obstinément d’effectuer des levées en ces jours d’élévation spirituelle sans dérogation pour Pont-l’Abbé ou Lucenay-l’Evêque, avec une absence de foi qui n’aurait pas fait un pli en d’autres temps.

Tout juste concéderais-je par charité chrétienne un avantage à ces ascensions, celui de pouvoir me lever plus tard.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

La différence entre la déclaration d'amour et la déclaration d'impôt tient dans le délai sous lequel on cède à l'abattement.

On gagnerait du temps si les gens qui parlent pour ne rien dire le disaient avant de parler.

Accuser le coup sur un coup du sort revient à accuser le sort, du coup.

On commence à se sentir vieux quand nos dents se déchaussent plus facilement que nos pieds.

Censeurs, mes frères !

Si censurer c’est imposer des limites à la liberté, jusqu’où peut aller la liberté de censurer ? Car sans parler des motions de censure, la censure a toujours provoqué l’émotion. L’homme sensé n’est pas censé censurer mais force est de constater qu’il ne peut s’empêcher d’interdire. Et on a beau s’en défendre, on en reste toujours interdit.

L’escalade dans la censure peut même l’amener jusqu’à s’autocensurer ce qui, à défaut de s’interdire de conduire, revient à faire sauter son permis de mal se conduire.

Pourquoi l’homme censure comme ce n’est pas permis ? D’après des avis autorisés, depuis que le Paradis a été interdit à Adam et Eve, c’est l’enfer. On ne peut plus parler de fesse dans une église ni de messe dans un lupanar. Tout juste observe-t-on quelques cas isolés de personnes qui ne se refusent rien sous prétexte qu’elles ont tous les droits.

En fin de compte on se demande si ce n’est pas la peur de se retrouver un jour seul contre tous qui l’incite à rester contraint.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

On ne peut pas plaire à tout le monde, n'en déplaise à certains.

L'abat-jour obscurcit nos soirées, le rabat-joie assombrit nos journées.

Certains individus sont tellement superficiels qu'il suffit de gratter un peu pour toucher le fond.

Quand on commence à prendre du poids, les balances deviennent vite un fléau.

Il n'existe aucun passe-droit qui évite de passer l'arme à gauche.

Des patrons modèles ?

On parle beaucoup des patrons ces temps-ci. Et en particulier de leurs augmentations. La question qui se pose de plus en plus crûment est un patron peut-il s’augmenter en restant un modèle ? Tout est évidemment une question de mesure. Si le salaire passe de L à XXL il y a fort à parier que ses employés lui tailleront un costard surtout si dans un passé récent ledit patron avait eu recours à des coupes sombres dans les effectifs.

Prendre une veste ne fait à l’évidence pas peur à des individus habitués au pardessus et risquant souvent d’y laisser leur chemise. Néanmoins la parution de certaines bonnes feuilles ne manquant pas de consistance laisse place à une nouvelle transparence dans la communication sur les variations salariales qui est de nature à donner d’eux l’image de personnages ne pensant qu’à toucher et retoucher. Il paraît même qu’on aurait observé des cas de patrons piqués au vif de s’être fait épingler, voire mais c’est peu plausible de chefs d’entreprise qui auraient honte d’avoir voulu s’en mettre plein les poches.

Au risque de ne pas passer pour des patrons modèles aux yeux des patrons.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Si on n'a plus de courant, plus de super, il nous reste l'extraordinaire.

J'ai eu un funambule au bout du fil, il m'a dit qu'il raccrochait.

Certains arborent en permanence un air convenu, même en repartant.

De toute façon je ne crois pas aux revenants, on a déjà du mal à faire revenir des oignons.

Le coup de la panne

Les évènements de cette semaine ont une nouvelle fois démontré qu’un automobiliste sans carburant est comme André dans son magasin, à côté de ses pompes. Comme dirait mon copain Marius, mieux vaut carburer au 51 qu’au 95, quand on cuve on est toujours plein.

A voir l’œil si terne de ces naufragés lançant des Esso S après avoir fait tintin au pays de l’or noir, on se dit qu’ils seraient à deux doigts de faire une bêtise si les pistolets ne délivraient pas que du sans plomb.

Il est vrai que de stationner pendant des heures devant une station-service loin de rendre service donne autant d’entrain qu’un épisode de l’inspecteur Derrick.

Paradoxalement certains conducteurs sont quand même montés dans les tours et se sont mis à incendier les pompistes dans un langage très peu raffiné, au point de passer pour des siphonnés mais sans toutefois réussir à les faire sortir de leur réserve.

Et manque dépôts, la traversée du désert risque d’être encore longue. Pourvu qu’il y ait des puits … .

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Toujours aussi juste !! un vrai plaisir de te lire chaque semaine

Tu as raison, c'est la totale !

Depuis que je sais qu'on peut se noyer dans un verre d'eau, par précaution je me suis mis à l'alcool.

Que le mariage requiert la présence de témoins au même titre qu'un crime ou un accident aurait dû nous mettre la puce à l'oreille.

Ceux qui ne l'entendent pas de cette oreille l'entendent rarement de l'autre.

Nous vivons une période où l'on a plus tendance à prêter attention aux débordements qu'à déborder d'attentions.

Eau courante à tous les étiages

Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. Après les sources de mécontentement loin d’être taries qui grossissent le flot des manifs, voilà que les fleuves se mettent à surenchérir dans le débordement.

Ces histoires d’eau sont un peu comme les romans fleuves qui inondent les librairies, si on n’y prend garde on se laisse vite déborder.

En langage boursier courant, on dirait que l’apport massif de liquide fait rapidement monter les cours.

D’accord, l’eau c’est la vie mais l’expérience montre que trop d’eau peut nuire à la santé et à la qualité du pastis. On ne compte plus ses effets déplorables sur les rhumatismes et les saucisses sèches. Reconnaissons que les grandes eaux ce n’est pas tous les jours Versailles.

Même un grand cru ne résiste pas aux grandes crues, car s’il est bien connu qu’il est inconcevable pour un connaisseur de couper le vin avec de l’eau, espérer couper l’eau est tout aussi vain.

Et quand on pense que certains cavaliers persistent à monter à cru dans ces conditions, je m’autorise à penser que ça ne manque pas de sel.

Heureusement qu’il nous reste la saucisse de Morteau pour nous faire oublier les soucis de l’eau vive.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !

Pour vivre heureux, ne pas hésiter à regarder la réalité en farce.

Contrairement au peuplier, le charme ne plie pas, il se rompt.

Heureusement qu'on ne l'emporte pas tous au paradis, ça serait vite l'enfer là-haut.

Le problème avec nos pairs est qu’avec eux l'impair n'est jamais loin.

Balles populaires

Le football est devenu une drogue contre laquelle les salles de shoot sont clairement inefficaces. Au pays de l’invention du ballon dirigeable et du ballon de rouge, une explication pourrait être que cet engouement puise sa source dans l’attachement viscéral que les Français vouent à leurs traditions.

Une autre hypothèse moins répandue je vous l’accorde mais tout aussi stupide serait qu’il trouve son origine dans une réaction aux travers du monde politique.

Les débordements sur l’aile gauche ou droite et le centre en retrait sont des armes beaucoup plus efficaces sur un terrain de football que dans le paysage électoral. Les ouvertures y sont notoirement plus courantes et débouchent sur des résultats plus probants. Les coups francs y sont aussi nombreux que les coups pas francs et les tacles par derrière des politiciens de tous bords. Sur un terrain, lorsqu’un joueur marque contre son camp ce n’est jamais volontaire.

Et si les boulets de canons sont monnaie courante en cours de match, en politique les boulets s’avèrent nettement plus nombreux que les canons.

A suivre, pour que l’humour réponde encore et toujours à l’horreur !