zone musulmane de prières, zone de non droit ?

Comme chaque vendredi jour de prière, les islamistes ont bloqué la rue Myrha avec des barrières. Au fur et à mesure, les musulmans repoussent les barrières, et confisquent de plus en plus d'espace public. En l'absence de toute réaction du maire de Paris et des autorités de la police municipale, les musulmans prosélytes font reculer peu à peu les limites de la zone confisquée pour la prière. Ceci se passe à Paris, dans le 18e arrondissement, et non au Yemen ou en Afghanistan. Au début de la rue Léon, les miliciens islamistes ont placé une barrière pour la bloquer jusqu'à la rue Myrha et Palonceau. Ce sont eux qui assurent l'ordre islamique et interdisent l'accès aux voitures, aux chiens et aux non-musulmans. Ainsi, la rue Léon est devenue elle aussi une zone musulmane exclusive, interdite aux chrétiens et autres mécréants. Depuis quelques années, plusieurs centaines de musulmans viennent y prier chaque vendredi. La rue est alors fermée par des barrières, empêchant la circulation des voitures et des piétons. Selon Daniel Vaillant, la situation est due à l'absence temporaire de lieux de culte suffisamment grands pour accueillir tous les fidèles. Le maire du 18e arrondissement déclare qu'il tolèrera cette situation jusqu'à ce que de nouveaux locaux soient construits. Plusieurs associations et des mouvements politiques contestent cette version, (car les musulmans peuvent très bien prier chez eux) et affirment qu'accepter ces prières revient à bafouer le principe de laïcité et à permettre l'islamisation du quartier. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ?

De plus en plus de responsables et de dirigeants de pays musulmans modérés s'inquiètent de voir à quel niveau de complaisance, voire de veulerie, la capitale du fier pays que fut la France en est arrivée. Conséquence pour eux : de plus en plus de difficultés à juguler dans leur propre pays l'extrémisme religieux dont certains de nos dirigeants sont devenus objectivement les complices, par aveuglement, lâcheté, simple inconscience, ou pire encore : parce qu'ils croient y trouver un avantage électoral...

Comme chaque vendredi jour de prière, les islamistes ont bloqué la rue Myrha avec des barrières. Au fur et à mesure, les musulmans repoussent les barrières, et confisquent de plus en plus d'espace public. En l'absence de toute réaction du maire de Paris et des autorités de la police municipale, les musulmans prosélytes font reculer peu à peu les limites de la zone confisquée pour la prière. Ceci se passe à Paris, dans le 18e arrondissement, et non au Yemen ou en Afghanistan. Au début de la rue Léon, les miliciens islamistes ont placé une barrière pour la bloquer jusqu'à la rue Myrha et Palonceau. Ce sont eux qui assurent l'ordre islamique et interdisent l'accès aux voitures, aux chiens et aux non-musulmans. Ainsi, la rue Léon est devenue elle aussi une zone musulmane exclusive, interdite aux chrétiens et autres mécréants. Depuis quelques années, plusieurs centaines de musulmans viennent y prier chaque vendredi. La rue est alors fermée par des barrières, empêchant la circulation des voitures et des piétons. Selon Daniel Vaillant, la situation est due à l'absence temporaire de lieux de culte suffisamment grands pour accueillir tous les fidèles. Le maire du 18e arrondissement déclare qu'il tolèrera cette situation jusqu'à ce que de nouveaux locaux soient construits. Plusieurs associations et des mouvements politiques contestent cette version, (car les musulmans peuvent très bien prier chez eux) et affirment qu'accepter ces prières revient à bafouer le principe de laïcité et à permettre l'islamisation du quartier. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ?

De plus en plus de responsables et de dirigeants de pays musulmans modérés s'inquiètent de voir à quel niveau de complaisance, voire de veulerie, la capitale du fier pays que fut la France en est arrivée. Conséquence pour eux : de plus en plus de difficultés à juguler dans leur propre pays l'extrémisme religieux dont certains de nos dirigeants sont devenus objectivement les complices, par aveuglement, lâcheté, simple inconscience, ou pire encore : parce qu'ils croient y trouver un avantage électoral...

La prière du Vendredi ,il me semble que c'est comme le Dimanche pour les chrétiens ou le Samedi pour les juifs,elle n'est pas individuelle,certes il faudrait la célébrer dans un lieu de culte à défaut de la pratiquer en pleine rue effectivement ça pourrait engendrer certaines difficultés de circulation.

Donc est ce que les musulmans ont droit à davantage de lieues de cultes où bien leur interdire simplement la célébration sur la voie publique et leur priver d'exercer pleinement leur rites?

Comme chaque vendredi jour de prière, les islamistes ont bloqué la rue Myrha avec des barrières. Au fur et à mesure, les musulmans repoussent les barrières, et confisquent de plus en plus d'espace public. En l'absence de toute réaction du maire de Paris et des autorités de la police municipale, les musulmans prosélytes font reculer peu à peu les limites de la zone confisquée pour la prière. Ceci se passe à Paris, dans le 18e arrondissement, et non au Yemen ou en Afghanistan. Au début de la rue Léon, les miliciens islamistes ont placé une barrière pour la bloquer jusqu'à la rue Myrha et Palonceau. Ce sont eux qui assurent l'ordre islamique et interdisent l'accès aux voitures, aux chiens et aux non-musulmans. Ainsi, la rue Léon est devenue elle aussi une zone musulmane exclusive, interdite aux chrétiens et autres mécréants. Depuis quelques années, plusieurs centaines de musulmans viennent y prier chaque vendredi. La rue est alors fermée par des barrières, empêchant la circulation des voitures et des piétons. Selon Daniel Vaillant, la situation est due à l'absence temporaire de lieux de culte suffisamment grands pour accueillir tous les fidèles. Le maire du 18e arrondissement déclare qu'il tolèrera cette situation jusqu'à ce que de nouveaux locaux soient construits. Plusieurs associations et des mouvements politiques contestent cette version, (car les musulmans peuvent très bien prier chez eux) et affirment qu'accepter ces prières revient à bafouer le principe de laïcité et à permettre l'islamisation du quartier. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ?

De plus en plus de responsables et de dirigeants de pays musulmans modérés s'inquiètent de voir à quel niveau de complaisance, voire de veulerie, la capitale du fier pays que fut la France en est arrivée. Conséquence pour eux : de plus en plus de difficultés à juguler dans leur propre pays l'extrémisme religieux dont certains de nos dirigeants sont devenus objectivement les complices, par aveuglement, lâcheté, simple inconscience, ou pire encore : parce qu'ils croient y trouver un avantage électoral...

On ne peut pas mieux dire.

Les associations cultuelles et culturelles ( ) musulmanes brassent des sommes considérables.

Il y a (une fois de plus !) une sorte de pression sur l'Etat français, c'est là ou on peut considerer qu'un Islam modéré est une pure utopie.

D'une part, l'Etat laisse les fonds privés s'occuper des lieux de culte musulman (comme la trèssssss humanisteee..hum hum...ONU a laissé des furieux entrer en force au Kosovo...), et c'est la porte ouverte à des financements venus de l'étranger pas toujours clean, sur le plan spirituel et économique d'ailleurs, avec l'entrée en force d'un Islam des plus radicaux.(aujourd'jhui une quarantaine de mosquées en IDF -officiel, combien officieusement ?- sont des mosquées salafistes !

D'autre part, la France, pour éviter que ce genre de zouaves récupèrent "les paumés de la République" sous leur coupe, doit raquer, raquer et encore raquer sous le prête-nom "association culturelle", même au risque d'irriter les non-musulmans.

Pire encore, d'entrainer des chrétiens dans leur folie, des Lionel Dumont, des Christophe Caze et bien d'autres.

Les musulmans sont incapables de se gerer seul, c'est pourtant l'un des principes fondamentaux de cette Nation, principes qu'ont tout à fait respecté les autres minorités religieuses, mais pas eux...

La religion, la bouffe, le respect des lois, le voile, la burqa...

bonjour . je pense que la libertèe s ètend jusqu à la limite ou commence c' elle des autres . respecter les musulmants et leurs foi est une chose et est naturelle , bafouer les lois de la rèpublique avec l accord de responsables èlus par les citoyens en est une autre .les lois françaises stipules la libertèe de circuler en toute libertèe dans notre tèrritoire . qu ' un lieu en soit interdit par des religieux , des politiques ou autres . n est pas admissible . bonne journèe .

La prière du Vendredi ,il me semble que c'est comme le Dimanche pour les chrétiens ou le Samedi pour les juifs,elle n'est pas individuelle,certes il faudrait la célébrer dans un lieu de culte à défaut de la pratiquer en pleine rue effectivement ça pourrait engendrer certaines difficultés de circulation.

Donc est ce que les musulmans ont droit à davantage de lieues de cultes où bien leur interdire simplement la célébration sur la voie publique et leur priver d'exercer pleinement leur rites?

Pour moi , inconcevable qu'on prie dans la rue !Dans des lieux de cultes ou personnels et en aucun cas dans des lieux publics!

Je ne savais même pas que c'était permit !

Dès 2012, dans le quartier de Barbès, deux nouvelles salles de prière vont ouvrir leurs portes aux fidèles parisiens. Elles contiendront plus de 1000 places chacune, dans un arrondissement où bien souvent les musulmans sont obligés de prier à même la rue, faute de place.

Ces nouvelles mosquées, qui se situeront rue Polonceau, ne se limiteront pas à la prière : elles accueilleront également des expositions, des films, des concerts, des cours de langue¿

Financées par la Ville de Paris à hauteur de 20 millions d'euros, et de 6 millions par des investisseurs privés, elles remplaceront les mosquées El Fath et de la rue Myrha devenues trop petites pour accueillir les fidèles toujours plus nombreux.

pas la peine de palabrer sur des pages sur ces horribles musulmans qui poussent l'indécence jusqu'à prier dans la rue faute de place, la solution est déjà sur les rails

Comme chaque vendredi jour de prière, les islamistes ont bloqué la rue Myrha avec des barrières. Au fur et à mesure, les musulmans repoussent les barrières, et confisquent de plus en plus d'espace public. En l'absence de toute réaction du maire de Paris et des autorités de la police municipale, les musulmans prosélytes font reculer peu à peu les limites de la zone confisquée pour la prière. Ceci se passe à Paris, dans le 18e arrondissement, et non au Yemen ou en Afghanistan. Au début de la rue Léon, les miliciens islamistes ont placé une barrière pour la bloquer jusqu'à la rue Myrha et Palonceau. Ce sont eux qui assurent l'ordre islamique et interdisent l'accès aux voitures, aux chiens et aux non-musulmans. Ainsi, la rue Léon est devenue elle aussi une zone musulmane exclusive, interdite aux chrétiens et autres mécréants. Depuis quelques années, plusieurs centaines de musulmans viennent y prier chaque vendredi. La rue est alors fermée par des barrières, empêchant la circulation des voitures et des piétons. Selon Daniel Vaillant, la situation est due à l'absence temporaire de lieux de culte suffisamment grands pour accueillir tous les fidèles. Le maire du 18e arrondissement déclare qu'il tolèrera cette situation jusqu'à ce que de nouveaux locaux soient construits. Plusieurs associations et des mouvements politiques contestent cette version, (car les musulmans peuvent très bien prier chez eux) et affirment qu'accepter ces prières revient à bafouer le principe de laïcité et à permettre l'islamisation du quartier. Jusqu'où ? Jusqu'à quand ?

De plus en plus de responsables et de dirigeants de pays musulmans modérés s'inquiètent de voir à quel niveau de complaisance, voire de veulerie, la capitale du fier pays que fut la France en est arrivée. Conséquence pour eux : de plus en plus de difficultés à juguler dans leur propre pays l'extrémisme religieux dont certains de nos dirigeants sont devenus objectivement les complices, par aveuglement, lâcheté, simple inconscience, ou pire encore : parce qu'ils croient y trouver un avantage électoral...

n'empêche que cela dure depuis des années et qu'il est plus que grand temps que cela cesse !

bon il prie à l'extérieur parce qu'à l'intérieur y a pas assez de place, faut construire des mosquées plus grandes.Pourquoi en faire toute une histoire c'est seulement le vendredi.

Attention la France va devenir un pays musulman

bon il prie à l'extérieur parce qu'à l'intérieur y a pas assez de place, faut construire des mosquées plus grandes.Pourquoi en faire toute une histoire c'est seulement le vendredi.

Attention la France va devenir un pays musulman

C'est une interrogation , une affirmation ?

C'est surtout le coup des barrières qui me surprend. Que les mecs se mettent sur les trottoirs, encore ça serait folklo, mais la.