Aller au contenu

Guerre d' Algérie . La dette Karmique de la france


BM7

Messages recommandés

MembreR, 60ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

alg%C3%A9rie+tortures.bmp " />

Des camps de concentrations en Algérie pendant la periode française .

Voilà trois liens qui presentent sous forme de témoignages , certaines des atrocités commises par l' armée française pendant la guerre d' Algérie . En agissant ainsi les militaires français ont contractés une dette Karmique dont il faudra s' épurer . Censuré les évènements tragiques d' Algérie tout en médiatisant ceux de la deuxième guerre mondiale ne résoudra pas les choses . Car comme je le disais dans un précédent sujet , pendant son expansionnisme territoriale , l' europe avait su caché les atrocités qu' elle avait commises pendant sa politique coloniale . Cela n' a pas empêcher le Nazisme de prendre le pouvoir en écrasant l' europe sous les bombes et les crimes . C' était le remboursement de la dette Karmique contracté pendant la periode colonialiste de l' Europe .

Le karma

Et de son côté , l ' Algérie devait accueillir des âmes endettés Karmiquement parlant . L' occupation française et sa politique coloniale tragique allait servir de terrain d' expiation pour des millions d' algériens qui n' en connaissaient pas la nature . Car la religion islamique ne fait pas mention du dogme de la réincarnation .

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61h4...ditionalInfos=0

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61jb...ditionalInfos=0

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61hp...ditionalInfos=0

La torture pendant la guerre d'Algérie a été pratiquée sur les populations algérienne et française par les forces coloniales (l'armée française, ses supplétifs harkis, l'OAS, les barbouzes, les forces de police et des colons eux-mêmes) dans des proportions qui, selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, concerneraient des centaines de milliers d'Algériens. Estimation confirmée depuis par la thèse de doctorat de l'historienne Raphaëlle Branche.

<A href="http://www.dailymotion.com/Free-truth-Algeria">

Les précédents coloniaux de l'usage de la torture

Depuis la conquête coloniale la torture est un procédé courant des forces de l'ordre en Algérie qui l'utilisent pour terroriser les populations autochtones. Cette pratique qui a été utilisée tout au long de la présence coloniale en Algérie, d'abord pour obtenir des informations sur les emplacements de silos à grains lors de la conquête coloniale, puis pour briser les grèves, meurtrir des suspects, instruire les affaires pénales les plus ordinaires et terroriser les indigènes s'inscrivait avant tout dans une démarche de haine et de déshumanisation.

La mise en place de la torture comme arme systématique

Dès 1949, le gouverneur général Naegelen rédige une circulaire interdisant l'usage de la torture et des sévices par les services de police, mais ne parvient pas à se faire obéir. Jusqu'en 1955, l'armée est indemne de ces accusations. Utilisée en Indochine, la torture devient progressivement une arme de guerre à part entière, théorisée et légitimée dans le cadre d'une doctrine de la « guerre contre-révolutionnaire », en particulier par le colonel Trinquier, le capitaine Paul-Alain Léger, le colonel Marcel Bigeard et le général Jacques Massu en tant que moyen de poursuivre une guerre non conventionnelle, où l'adversaire se dérobe aux catégories classiques du droit de la guerre (combattant, civil), se dissimulant dans la population. Celui-ci est assimilé à un « terroriste », « cas » encore plus « grave » que celui du « franc-tireur » ou du « guérillero ».

L'usage du renseignement et de la « guerre psychologique » sera promu au rang d'une arme de guerre comme les autres. Ainsi, la création des 5es bureaux, en août 1957, entérine « l'inclusion de l'arme psychologique dans la structure organique des armées ».

De fait, avec la ténacité du colonel Lacheroy, « l'arme psychologique tend à se muer en un outil politique entièrement dédié à la cause de l'Algérie française, entraînant de fait la politisation d'une partie des cadres militaires ». La plupart des officiers travaillant dans l'action psychologique participeront au putsch des généraux, ou le soutiendront fortement, avant de rejoindre l'OAS, dont ils inspireront les méthodes. L'autonomie accordée par le pouvoir politique aux militaires se retourne ainsi, de fait, contre l'Etat lui-même.

L'officialisation de la « guerre contre-révolutionnaire »

Le 1er juillet 1955 - soit un mois et demi avant l'insurrection du Constantinois du 20 août, considérée par de nombreux historiens comme le vrai début de la guerre d'Algérie - le Ministre de l'Intérieur Maurice Bourgès-Maunoury, fervent adepte de la théorie de la « guerre contre-révolutionnaire » du colonel Lacheroy et le Ministre de la Défense, le général Koenig, contresignent l'« instruction n° 11 », qui a recueilli « la pleine adhésion du gouvernement » et qui est diffusée dans tous les régiments français d'Algérie. Celle-ci stipule que « la lutte doit être plus policière que militaire (¿) Le feu doit être ouvert sur tout suspect qui tente de s'enfuir (¿) Les moyens les plus brutaux doivent être employés sans délai (¿) Il faut rechercher le succès par tous les moyens. »

Aveux du général Massu

La torture en Algérie fut évoquée, entre autres, par le chef militaire d'Alger, le général Jacques Massu dans son ouvrage La vraie bataille d'Alger publié en 1972. En 2000, lors d'un entretien donné au quotidien Le Monde du 21 juin 2000, il déclara que « le principe de la torture était accepté ; cette action, assurément répréhensible, était couverte, voire ordonnée, par les autorités civiles, qui étaient parfaitement au courant ». Il ajoute : « J'ai dit et reconnu que la torture avait été généralisée en Algérie (...) On aurait dû faire autrement, c'est surtout à cela que je pense. Mais quoi, comment? Je ne sais pas. Il aurait fallu chercher; tenter de trouver. On n'a malheureusement pas réussi, ni Salan, ni Allard, ni moi, ni personne. ». Cette déclaration fait écho à l'accusation de Lila Ighilahriz, militante algérienne torturée en 1957 à Alger, devenue psychologue.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant
Membre, 62ans Posté(e)
soi Membre 396 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

He bé...et le dette karmique des autres pays?

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, Posté(e)
le merle Membre 21 605 messages
Maitre des forums‚
Posté(e)
alg%C3%A9rie+tortures.bmp " />

Des camps de concentrations en Algérie pendant la periode française .

Voilà trois liens qui presentent sous forme de témoignages , certaines des atrocités commises par l' armée française pendant la guerre d' Algérie . En agissant ainsi les militaires français ont contractés une dette Karmique dont il faudra s' épurer . Censuré les évènements tragiques d' Algérie tout en médiatisant ceux de la deuxième guerre mondiale ne résoudra pas les choses . Car comme je le disais dans un précédent sujet , pendant son expansionnisme territoriale , l' europe avait su caché les atrocités qu' elle avait commises pendant sa politique coloniale . Cela n' a pas empêcher le Nazisme de prendre le pouvoir en écrasant l' europe sous les bombes et les crimes . C' était le remboursement de la dette Karmique contracté pendant la periode colonialiste de l' Europe .

Le karma

Et de son côté , l ' Algérie devait accueillir des âmes endettés Karmiquement parlant . L' occupation française et sa politique coloniale tragique allait servir de terrain d' expiation pour des millions d' algériens qui n' en connaissaient pas la nature . Car la religion islamique ne fait pas mention du dogme de la réincarnation .

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61h4...ditionalInfos=0

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61jb...ditionalInfos=0

http://www.dailymotion.com/swf/video/x61hp...ditionalInfos=0

La torture pendant la guerre d'Algérie a été pratiquée sur les populations algérienne et française par les forces coloniales (l'armée française, ses supplétifs harkis, l'OAS, les barbouzes, les forces de police et des colons eux-mêmes) dans des proportions qui, selon l'historien Pierre Vidal-Naquet, concerneraient des centaines de milliers d'Algériens. Estimation confirmée depuis par la thèse de doctorat de l'historienne Raphaëlle Branche.

<A href="http://www.dailymotion.com/Free-truth-Algeria">

Les précédents coloniaux de l'usage de la torture

Depuis la conquête coloniale la torture est un procédé courant des forces de l'ordre en Algérie qui l'utilisent pour terroriser les populations autochtones. Cette pratique qui a été utilisée tout au long de la présence coloniale en Algérie, d'abord pour obtenir des informations sur les emplacements de silos à grains lors de la conquête coloniale, puis pour briser les grèves, meurtrir des suspects, instruire les affaires pénales les plus ordinaires et terroriser les indigènes s'inscrivait avant tout dans une démarche de haine et de déshumanisation.

La mise en place de la torture comme arme systématique

Dès 1949, le gouverneur général Naegelen rédige une circulaire interdisant l'usage de la torture et des sévices par les services de police, mais ne parvient pas à se faire obéir. Jusqu'en 1955, l'armée est indemne de ces accusations. Utilisée en Indochine, la torture devient progressivement une arme de guerre à part entière, théorisée et légitimée dans le cadre d'une doctrine de la « guerre contre-révolutionnaire », en particulier par le colonel Trinquier, le capitaine Paul-Alain Léger, le colonel Marcel Bigeard et le général Jacques Massu en tant que moyen de poursuivre une guerre non conventionnelle, où l'adversaire se dérobe aux catégories classiques du droit de la guerre (combattant, civil), se dissimulant dans la population. Celui-ci est assimilé à un « terroriste », « cas » encore plus « grave » que celui du « franc-tireur » ou du « guérillero ».

L'usage du renseignement et de la « guerre psychologique » sera promu au rang d'une arme de guerre comme les autres. Ainsi, la création des 5es bureaux, en août 1957, entérine « l'inclusion de l'arme psychologique dans la structure organique des armées ».

De fait, avec la ténacité du colonel Lacheroy, « l'arme psychologique tend à se muer en un outil politique entièrement dédié à la cause de l'Algérie française, entraînant de fait la politisation d'une partie des cadres militaires ». La plupart des officiers travaillant dans l'action psychologique participeront au putsch des généraux, ou le soutiendront fortement, avant de rejoindre l'OAS, dont ils inspireront les méthodes. L'autonomie accordée par le pouvoir politique aux militaires se retourne ainsi, de fait, contre l'Etat lui-même.

L'officialisation de la « guerre contre-révolutionnaire »

Le 1er juillet 1955 - soit un mois et demi avant l'insurrection du Constantinois du 20 août, considérée par de nombreux historiens comme le vrai début de la guerre d'Algérie - le Ministre de l'Intérieur Maurice Bourgès-Maunoury, fervent adepte de la théorie de la « guerre contre-révolutionnaire » du colonel Lacheroy et le Ministre de la Défense, le général Koenig, contresignent l'« instruction n° 11 », qui a recueilli « la pleine adhésion du gouvernement » et qui est diffusée dans tous les régiments français d'Algérie. Celle-ci stipule que « la lutte doit être plus policière que militaire (¿) Le feu doit être ouvert sur tout suspect qui tente de s'enfuir (¿) Les moyens les plus brutaux doivent être employés sans délai (¿) Il faut rechercher le succès par tous les moyens. »

Aveux du général Massu

La torture en Algérie fut évoquée, entre autres, par le chef militaire d'Alger, le général Jacques Massu dans son ouvrage La vraie bataille d'Alger publié en 1972. En 2000, lors d'un entretien donné au quotidien Le Monde du 21 juin 2000, il déclara que « le principe de la torture était accepté ; cette action, assurément répréhensible, était couverte, voire ordonnée, par les autorités civiles, qui étaient parfaitement au courant ». Il ajoute : « J'ai dit et reconnu que la torture avait été généralisée en Algérie (...) On aurait dû faire autrement, c'est surtout à cela que je pense. Mais quoi, comment? Je ne sais pas. Il aurait fallu chercher; tenter de trouver. On n'a malheureusement pas réussi, ni Salan, ni Allard, ni moi, ni personne. ». Cette déclaration fait écho à l'accusation de Lila Ighilahriz, militante algérienne torturée en 1957 à Alger, devenue psychologue.

bonjour . je suis d accord avec toi , mais , j ai fais la guerre d algèrie , le f .n. l a fait de mème , ègorgeant des villages entier , hommes , femmes , enfants , jusqu aux animaux , pourquoi ? parcequ ils avaient eut des rapports d amitièes avec les français . dans une guerre , tout le monde a du sang sur les mains . beaucoup d innocents , algèriens , europèens ont payès de leurs souffrances et parfois de leurs vies , de c ètres trouvès a un certain endroit et a un mauvais moment . j ai ècrit un livre sur ma guerre d ' algèrie ,mais , il ne serra pas èditès car la plaie de cette guerre n ai pas encore refermèe . les fantomes et les àmes de ceux qui ont pèrit labas ,algèriens comme europèens , hantent encore les djèbels . bonne soirèe .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
soi Membre 396 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Je maintiens ...et la dette "karmique" des autres pays?

C'est quoi cette histoire que ceux qui subissent des génocides payeraient une dette "karmique"? C'est un encouragement à la continuation des massacres?

C'est très rare que j"aille dans la dénonciation mais là je trouve que cette théorie est plus que scandaleuse!

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

MembreR, 60ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

la guerre d' espagne . Dette karmique . Reponse du massacre des indiens d amerique

la guerre de secession . Dette karmique . Reponse du massacre des indiens et de l' esclavage

Guerre IRAN - IRAK . Une vieille dette karmique entre deux groupes d' âmes .

L' empire romain avait contracté des dettes karmiques .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
soi Membre 396 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Je réitère ma dénonciation de cette théorie comme scandaleuse.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

MembreR, 60ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 60ans‚
Posté(e)

Et pourtant . L' âme évolue dans l' autre monde en s' épurant de toute les imperfections qu' elle aurait contracté lors d' une vie Antérieur . Et la réincarnation nous y aide .

Prenez le cas , de l' âme qui s' incarne dans le corps d' un nouveau née qui deviendra par la suite handycapé à vie . Une tel âme le fera avec connaissance de cause .

Dans une vie anterieur, cette âme aurait très pu habiter le corps d' un romain qui s' attaquait avec animosité aux premiers chrétiens .

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 62ans Posté(e)
soi Membre 396 messages
Baby Forumeur‚ 62ans‚
Posté(e)

Bien sûr! :yahoo:

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Membre, 51ans Posté(e)
JM Membre 640 messages
Baby Forumeur‚ 51ans‚
Posté(e)
Je réitère ma dénonciation de cette théorie comme scandaleuse.

:yahoo:

Entièrement d'accord! é mon sens, il n'existe pas de peuple ou de pays (ou alors si peu qu'on peut parler d'exception qui confirme la règle) qui ne traîne pas ce genre de dette dans un passé plus ou moins lointain.

Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Annonces
Maintenant

Archivé

Ce sujet est désormais archivé et ne peut plus recevoir de nouvelles réponses.

×