Rêve du Mont Bugarach

Je suis quelqu'un qui rêve énormément, de tous types de choses d'ailleurs, mon imagination est toujours débordante et des fois je me surprends à propos de ce dont j'ai rêvé...

Mais s'il y a un rêve que je ne comprendrais jamais, c'est celui que je vais vous raconter. J'en ai rêvé il y a longtemps, mais je m'en souviens parfaitement. Il me fait toujours peur d'ailleurs.

Je ne sais pas où en parler en réalité, parce qu'il s'agit d'un rêve bien sûr, mais lié au Mont Bugarach, et pour ceux et celles qui en ont entendu parler, c'est une petite montagne où règnent bien des mystères...

Je suis avec mon père, mon frère et l'un de mes cousins et son père, et nous gravissons une montagne, à travers les sentiers, rien de bien extraordinaire, ça ressemble à une randonnée classique. J'avais vaguement lu des choses sur cette montagne, et le paysage s'y prête bien. Mon oncle marche soudainement plus rapidement, nous dépasse et franchi un gros rocher si bien que nous ne le voyons plus. Arrivé à la hauteur de cette masse, le terrain s'aplanit et il y a une grotte. Plus qu'une grotte, on dirait une entrée taillée à même la roche.

Je décide d'y pénétrer pour y rejoindre mon oncle. Et c'est là que ce rêve devient extrêmement oppressant. L''intérieur est très noir mais les murs sont couverts d'un minerai sombre parsemé de milliers de cristaux. On dirait vraiment une pièce avec une sorte de tapisserie qui s'effrite au contact de la main. Il y a un coude, mais je ne peux aller plus loin et m'écroule, comme si un poids immense pesait sur mon corps mais surtout sur mon crâne, dans mon esprit. J'arrive tant bien que mal à me tirer de là, et sort de la grotte. Là, mon oncle a disparu.

Tous les quatre, nous courrons et franchissons bientôt le col du sommet pour redescendre de l'autre côté. Il faisait beau, là la brume s'est levée. D'un coup, dans notre descente, la roche cesse et laisse place à une étendue herbeuse, une sorte de jardin, où nous attendent les voitures. L'une d'elle ne fonctionne pas jusqu'à ce que l'on se rende compte que mon père a démarré la seconde. Au moment de rentrer dedans, mon oncle surgit de nulle part, la tête entre les mains, comme les fous on peut dire, en courant et en criant, puis s'écroule d'un coup net. Et là, j'ai une vue surplombante sur d'immenses champs de maïs labourés (un peu glauque, il ne reste que les tiges et racines sortant de terre dans la brume), avec en fond le Mont Bugarach dans la brume, sans soleil, sous un ciel gris.

Nous montons dans la voiture tous les quatre, donc sans mon oncle. Là, je n'ai plus une vision par moi-même, c'est à dire que je me vois. J'ai une vue sur la fenêtre arrière de la voiture en train de rouler. Je me vois assis en train de regarder par la vitre, et dessus se reflète ce fameux Mont Bugarach sous le brouillard, moi pensif, totalement effrayé.

C'est à ce moment que je me suis réveillé, totalement apeuré. Et je peux vous dire que c'est le seul rêve qui m'a réveillé dans cet état, et Dieu sait si j'ai fait des cauchemars. Ce que je ne comprends pas ici, c'est le "pouvoir" qu'a eu ce rêve sur moi. Bien sûr, des choses dont j'ai peur mon souvent réveillé et quelque peu dérangé, mais jamais à ce niveau là. C'est comme si il y avait une véritable signification derrière ce rêve. Il me semble empli de choses que je ne comprends pas!!

Un rêve décidement riche en symbolisme! Mes nuits se caractérisent aussi par une activité onorique très intense. Elle varie en fonction des périodes, de mon état d' âme et du stress, mais elle est toujours plus ou moins présente. Il est assez rare que je ne me rappelle pas d' avoir rêvé quelque chose, lorsque je me réveille le matin.

Nous avons aussi un autre point commun: l' élément naturel omniprésent dans ton rêve. J' ai un rêve récurrent dans lequel le prè qui est juste en face de chez moi est une forêt équatoriale immense, riche en faune, végétation et eau (lacs, fleuves...). Puis, soudain, des oiseaux commencent à envahir mon balcon!

Tout ça pour dire que je ne sais pas comment interpréter ton rêve ! Il y a bien des symboles qui peuvent être reconduits à des archétypes plus ou moins connus: la montagne, la grotte, la folie de ton oncle. J' y vois presque un sens métaphysique. La montagne représente une élévation spirituelle ou, tout simplement, la volonté de s' améliorer. La grotte, par contre, évoque un "descente" dans ton inconscient qui semble être un passage nécessaire pour franchir la montagne; enfin, la folie renvoie à un conflit intérieur, à un élément présent dans la grotte qui te trouble et que tu as difficulté à accepter.

Bon, ce n' est qu' une première interprétation très subjective, mais j' espère qu' elle pourra constituer un début de réflection.

Pour ma part, je crois que les symboles représentés dans les rêves sont très personnels. Ils sont liés au passé et aux expériences de chacun. C' est pour ça que j' ai développer une méthode assez personnelle pour les interpréter: je résume mes rêves juste après mon réveil, en écrivant d' un coup, sans penser à la forme du discours. En les relisant, juste après, ils me tansmettent toujours une sensation ou une émotion précise parmi les autres: angoisse, rage, crainte, doute, mélancolie, excitation, besoin de quelque chose... Ensuite, je prête attention aux sensations semblables que j' éprouve dans mon quotidien. Il arrive assez souvent qu' un évènement, un fait ou une pensée me trasmette les mêmes sensations que m' a transmis un rêve. Je n' arrive pas forcément à une interprétation, mais il s' agit d' un indice important. Les différents symboles commencent à prendre un sens ou, du moins, une direction!

bonjour . je ne connais pas le mont bugarach , mais les rèves ètranges et parfois , très ètranges . j ai la ( facultèe ) de me rappeler la plupart de mes rèves , voiçi l un deux que je fis il y a de nombreuses annèes et qui me marqua beaucoup , alors que la trame ètait assèe simple . j ètais un indien apache dans les annèes 1870 , prisonnier dans une ferme au nouveau mexique ? il y avait un autre apache prisonnier avec moi que je ne connaissais pas . les propriètaires de la ferme ètait très agès et très gentis avec nous , mais pour moi apache, c ètait des ennemis . je dormais dans uns pièce dont le sol ètait en terre battue , il y avait un petit lit en fer , mais je prèfèrais dormire sur le sol ??? alors que moi , dans la rèalitèe , j aime un certain confort ? j avais cachè un couteau sur moi , et lorsque je vis les fermiers dans la cour , nous souriant , je les poignardais ??? et m en fuyais dans les collines environnantes avec l autre indiens , nous rencontrames deux cavaliers blancs qui nous arrètèrrent et nous demandèrent d' ou nous venions , nous nous enfuyament aussitot , le premier cavalier abattut l autre apache , et le deuxième me poursuivit , je sentis un choque dans le dos et ... je me rèveillais en sueur le coeur battent ??? ce rève m a beaucoup marquè , il semblais que c ètait moi , mais avec , (une autre personnalitèe et un autre caractère ) tout en ètant bien moi ??? bonne journèe .

Il y a ¿ dans le rêve d'Eowann ¿ un symbole très fort qui couvre en quelque sorte de son ombre de non-dit le rêve en entier : c'est celui de la grotte. Grotte dans laquelle disparaît l'oncle, dans laquelle personne ne sait ni ne saura jamais ce qu'il a pu y entrevoir ou lui arriver, chose nécessairement terrible ; le tout dans un lieu chargé d'histoire et de magie : le pic de Bugarach ¿ une recherche google vous apprendra de multiples histoires étranges s'y étant déroulé ; aujourd'hui, les villageois le décrivent comme un haut-lieu touristique pour fous et illuminés, tant cela a retenti. ¿ Et ensuite, comme un déplacement de sujet : celui qui a peur, c'est toi.

La grotte, comme les eaux profondes, c'est très souvent une plongée à l'intérieur de soi-même, là où c'est le plus noir, le plus chaud, le plus oppressant ; le lieu que la lumière du jour n'atteint pas. Cet endroit f¿tal où cacher tout ce que l'on considère devoir ou avoir à cacher ; cet endroit que seul chacun est en mesure d'atteindre en lui-même ¿ peut-être est-ce pour cela que seul l'oncle a vu. Tout se passe comme si, terriblement effrayé parce que toi, tu pourrais y (re)trouver, ton inconscient aurait préféré voir en rêve un autre accomplir cette action ¿ ce qui te permet de ne pas voir ni te confronter aux tréfonds de ta propre âme ¿ mais tout en te laissant un indice, cette peur intense et ce gros-plan sur ton visage à la fin du rêve. Comme pour t'indiquer la direction.

Souvent le héros sort de la caverne (Robinson Crusoé), ou de son équivalent (souvent un monstre, du ventre duquel sort victorieux et regénéré le héros ; cf. Jason par exemple). N'aie donc pas peur. ¿ Peut-être est-ce présomptueux de vouloir interpréter le rêve d'autrui, mais je le vois très clairement comme une injonction pour enfin te confronter avec quelque chose que tu as voulu nier ou laisser de côté bien trop longtemps, et qui te ronge progressivement. Quelque chose qui te fait suffisamment peur pour que tu n'acceptes pas de le voir en face même en rêve : quelque chose donc qui probablement doit susciter en toi une réaction d'aversion ou de dégoût de toi-même, d'un comportement, présent ou passé. Ou d'un vieux trauma. ¿ L'on ne peut que te redire les mots du temple de Delphes : Γνῶθι σεαυτόν. Connais toi toi-même.

Il y a ¿ dans le rêve d'Eowann ¿ un symbole très fort qui couvre en quelque sorte de son ombre de non-dit le rêve en entier : c'est celui de la grotte. Grotte dans laquelle disparaît l'oncle, dans laquelle personne ne sait ni ne saura jamais ce qu'il a pu y entrevoir ou lui arriver, chose nécessairement terrible ; le tout dans un lieu chargé d'histoire et de magie : le pic de Bugarach ¿ une recherche google vous apprendra de multiples histoires étranges s'y étant déroulé ; aujourd'hui, les villageois le décrivent comme un haut-lieu touristique pour fous et illuminés, tant cela a retenti. ¿ Et ensuite, comme un déplacement de sujet : celui qui a peur, c'est toi.

La grotte, comme les eaux profondes, c'est très souvent une plongée à l'intérieur de soi-même, là où c'est le plus noir, le plus chaud, le plus oppressant ; le lieu que la lumière du jour n'atteint pas. Cet endroit f¿tal où cacher tout ce que l'on considère devoir ou avoir à cacher ; cet endroit que seul chacun est en mesure d'atteindre en lui-même ¿ peut-être est-ce pour cela que seul l'oncle a vu. Tout se passe comme si, terriblement effrayé parce que toi, tu pourrais y (re)trouver, ton inconscient aurait préféré voir en rêve un autre accomplir cette action ¿ ce qui te permet de ne pas voir ni te confronter aux tréfonds de ta propre âme ¿ mais tout en te laissant un indice, cette peur intense et ce gros-plan sur ton visage à la fin du rêve. Comme pour t'indiquer la direction.

Souvent le héros sort de la caverne (Robinson Crusoé), ou de son équivalent (souvent un monstre, du ventre duquel sort victorieux et regénéré le héros ; cf. Jason par exemple). N'aie donc pas peur. ¿ Peut-être est-ce présomptueux de vouloir interpréter le rêve d'autrui, mais je le vois très clairement comme une injonction pour enfin te confronter avec quelque chose que tu as voulu nier ou laisser de côté bien trop longtemps, et qui te ronge progressivement. Quelque chose qui te fait suffisamment peur pour que tu n'acceptes pas de le voir en face même en rêve : quelque chose donc qui probablement doit susciter en toi une réaction d'aversion ou de dégoût de toi-même, d'un comportement, présent ou passé. Ou d'un vieux trauma. ¿ L'on ne peut que te redire les mots du temple de Delphes : Γνῶθι σεαυτόν. Connais toi toi-même.

bonjour . j ai ècrit un conte de fèe ou il est question d un grotte . deux enfants jouent a cache cache dans un sous bois aux pieds des pyrennèes , la petite fille se cache dans une grotte , ce geste annodin va l aspirer dans une discontinuitèe de l espace temps et l emportèe dans un voyage fantastique a passant du conte de fèe a la science fiction et les mondes parallèles de la physique quantique en passant par le monde de la relativitèe d eintein . naturellement , mes romans sont corrigès par des littèraires pour ètres publiès . si je parle de ce roman , c est qu il s apparente a un rève ètrange et impossible . si il est acceptè par le commitè de lecture de ma maison d èditions , il sera èditè l annèe prochaine . bonne soirèe .

Ce rêve est assez familiale.

Est ce qu'il n'y aurait pas un secret de famille ou une nouvelle qui aurait pu toucher ton oncle (une maladie ?)

La montagne est synonyme d'obstacle en général. Je pense peut être à une vérité qui vous touches tous. L'inconscient ne choisit pas au hasard les personnes qui sont dans nos rêves.

Je ne "vois" pas plus de choses pour l'instant.