Depression?

Bonjour,

J'ai besoin de vos avis. Depuis qq jours j'ai l'impression de sombrer dans une dpression, je n'ai plus envie d'aller travailler, quand j'y suis c'est terrible car je suis attentive à rien, je fais beaucoup d'erreur qui heureusement sont sans conséquence. Je n'arrive plus à m'occuper de me enfants ni même de la maison. J'ai trés souvent envie de pleurer. J'ai vu le medecin il y a 10 jours qui m'a donné des antidepresseurs pour me détendre et me calmer mais lorsque je suis allée les prendre à la pharmacie, la pharmacienne m'a dit de faire attention à ne pas stopper le traitement du jour au lendemain sans quoi j'allais avoir des effets inverses. Je connais qqn qui a pris des antidepresseurs et lorsqu'elle a arreté elle avait envie de se suicider se fut trés dur pour elle et sa famille. Je ne voudrai pas prendre des medicaments qui me soulagent 1 mois puis prendre le risque de créer une dépendance et d'aller encore plus mal par la suite.

Je n'ose pas retourner voir le medecin car quoi lui dire ? "Vous m'avez donné un traitement mais je ne veux pas le prendre !!!!!"

Est-ce que l'un ou l'une d'entre vous à déjà vécu ça ? Est-ce vraiment une dépression ? Peut-on s'en sortir seule ou faut-il obligatoirement un traitement ?

Merci pour vos temoignages

Retourne le voir pour lui en parler.

En effet il ne faut pas arrêter les médocs du jour au lendemain, il faut les arrêter progressivement On n'en est pas dépendants (bon après ça dépend qui et ça dépend du traitement) mais moi je n'ai jamais été dépendante des médocs.

Ce qui serait bien de faire, c'est aussi d'aller voir un thérapeute en même temps ça peut aider et c'est un complément aux médocs.

Bon courage à toi !!!

Retourne le voir pour lui en parler.

En effet il ne faut pas arrêter les médocs du jour au lendemain, il faut les arrêter progressivement On n'en est pas dépendants (bon après ça dépend qui et ça dépend du traitement) mais moi je n'ai jamais été dépendante des médocs.

Ce qui serait bien de faire, c'est aussi d'aller voir un thérapeute en même temps ça peut aider et c'est un complément aux médocs.

Alienor à raison !

Mais plutôt un psychologue qu'un psychothérapeute ou psychanaliste.

Bon courage.

Lorsque mon papa est DCD j'ai réagit comme toi.. une forte baisse de motivation, d'attention, et de la tristesse sur tout les sujets, je suis allé voir mon médecin, il m'a prescrit des médocs lourd (valium temesta ect. j'ai suivit deux mois ce traitement qui m'a anéanti toute ma volonté.. rien d'éfficace a mon avis .. j'ai pris sur moi d'arrêter suite a un malaise (perte de connaissance ) et j'ai pris peur d'endommager ma santé avec ce traitement .. j'ai pris sur moi et retrouvé ma volonté.. en quelques semaines j'ai remonté et sans plus de médocs.. je crois que tout dépends du moment, de ta vision des choses de ton besoin.. mais tu as raison d'hésiter a t'engager dans ce traitement plutot "lourd" si tu penses pouvoir l'éviter .. tes ressources sont en toi.. sauf si vraiment .. tu ne peux pas.. pense y.; tu vas t'en sortir crois moi..

Je prend des antidepresseur depuis le déces de mon frère, cela fait environ 3 ans et demi que j'en prend quotidienement.

Je ne me sens pas encore prete pour l'arreter, je ne sais meme pas si je vais l'arreter un jour.

Si ta dépression est legere, ce traitement pourrais te faire du bien. Il faudrais le prendre au minimum 6 mois.

Puis avec les conseils de ton medecins, tu pourra l'arreter tres progressivement.

En effet l'arreter brutalement a des consequences fatales.

Bon courage

Je ne sais pas si c'est dû au décés de mon père (il y aura 1 an fin aout). Pourtant aprés son décés je n'avais pas de pb. Aujourd'hui j'ai un sentiment d'abandon alors que j'ai du monde autour de moi mais je me sens seule tout le temps. Parfois ça va, j'ai l'impression que j'en suis sortie et la minute d'aprés je suis à nouveau au fond du gouffre, inconsollable. Que m'arrive t-il ? C'est super dur, d'autant plus que j'ai peur de détruire mon couple à cause de cet état. Malgré tout je suis extrêmement reticente à prendre le moindre traitement car les cachets ne vont pas arranger ma condition au mieux ils m'aideront qq temps mais aprés........ Je ne veux pas non plus commencer de thérapie avec un psy car c'est souvent long et des evenements douloureux ressortent alors qu'on avait réussit à les enfermer au fond de nous. Je me suis beaucoup renseigner sur le sujet et les thérapies sont bonnes pour les gens qui sont prêts à affronter leurs vieux démons pour les autres c'est un terrain miné, ça passe ou ça casse !!!!!!!! Dans mon cas je ne suis vraiment pas prête, j'ai pedue ma mère lorsque j'étais jeune et je ne veux en aucun cas faire ressortir c'est moments. Surtout si c'est le décés de mon père qui est à l'origine de mon état actuel.

Je ne veux pas non plus commencer de thérapie avec un psy car c'est souvent long et des evenements douloureux ressortent alors qu'on avait réussit à les enfermer au fond de nous. Je me suis beaucoup renseigner sur le sujet et les thérapies sont bonnes pour les gens qui sont prêts à affronter leurs vieux démons pour les autres c'est un terrain miné, ça passe ou ça casse !!!!!!!! Dans mon cas je ne suis vraiment pas prête, j'ai perdue ma mère lorsque j'étais jeune et je ne veux en aucun cas faire ressortir c'est moments. Surtout si c'est le décés de mon père qui est à l'origine de mon état actuel.

Alors oublie ton envie d'aller mieux !

La voie du bien être ne se fait pas sans douleur, tu sais. Si tu n'es pas prête à faire sortir (parce qu'il sont très loin d'être partis comme tu veux le croire) tes vieux démons, c'est pas la peine espérer aller mieux comme ça en te réveillant un matin.

C'est très simple : tu ne fais rien = tu ne vas pas mieux (et peut-être même tu iras de moins en moins bien). Si ce n'est pas cela que tu veux, alors bouge toi. Et bouger passe par voir un psy/prendre des médicaments/wathever mais pas à venir sur un forum expliquer pourquoi tu ne veux pas aller voir un psy.

Je suis peut être dure mais je sais surtout de quoi je parle.

Bon courage.

La dépression, maladie pénible...

N'attend surtout pas pour te soigner, plus tu laisseras traîner, plus la guérison sera difficile.

Commence par ton antidépresseur et si jamais tu as des effets secondaires, ne l'arrête pas pour autant, c'est normal au début ; De plus, il est clair que tu ne ressentiras son action qu'au bout d'un certain temps. En revanche, si ça te semble vraiment trop long, retourne voir ton médecin (problème de dosage ou pas le bon antidépresseur, ils tatent souvent au début. C'est pourquoi il est important de lui énumérer tout tes symptômes afin qu'il puisse définir ce qui te conviendra le mieux).

Quand au psy, pourquoi ne pas te laisser un temps de réflexion, je sais que la démarche n'est pas évidente mais dans certains cas, elle est précieuse. Les premiers temps sont effectivement violents mais importants: on croit avoir digéré certaines épreuves alors qu'on s'est bien souvent contenté de les enfouir et de les empiler ; Arrive un moment où la boîte est pleine, il faut alors la vider...

Mots clés: dialogue (ne surtout pas se renfermer sur soi-même malgré l'envie irrésistible), courage et patience...

La dépression nerveuse n'est pas une maladie à prendre à la légère. Seulement, elle est encore mal perçue, par bon nombre de gens, considérant que c'est de la faiblesse de caractère, du manque de volonté. éa fait des années que je prends des antidépresseurs, de façon régulière, mais ça ne fait pas très longtemps que j'ose en parler, en dehors de mon entourage intime.

C'est mon médecin généraliste qui m'a convaincu que je ne devais pas en avoir honte, que ce n'était des faiblesses de caractère ou du manque de courage, que c'était tout simplement une maladie chronique, qui se soigne très bien. On ne reprochera jamais à un asthmatique de ne pas faire d'effort pour mieux respirer. Pourquoi reprocher donc, des crises de déprimes, inscrites dans les gènes. En effet, c'est une maladie génétique, au même tire que l'eczéma, le psoriasis ou l'asthme.

Je suis "victime" des dépressions saisonnières, et donc, chaque année, souvent en février, j'étais obligée d'avoir recours aux antidépresseurs, souvent jusqu'au printemps. Dès que je me sentais bien, en accord avec le médecin, je réduisais progressivement le traitement, jusqu'à l'arrêt complet. éa fait partie de mes traitements annuels, comme la pillule. Il ne faut pas avoir du traitement, même s'il n'est pas toujours évident de trouver celui qui vous convient, d'où un suivi régulier avec le médecin. C'est ainsi qu'au fil des années, c'est toujours le même qui m'est prescrit, puisque j'y réponds très bien.

Un traitement préventif contre les dépressions saisonnières est sorti et je le prendrais en janvier. S'il est efficace, je ne subirais plus les baisses de moral aux changements de saison. Normalement, un mois de traitement préventif devrait me prémunir contre tous risques de dépression chronique, pendant une année.

On verra bien.

Toujours est ils que si le médecin prescrit un médicament, prenez le et respectez ses consignes de prises, comme pour tous médicaments. Les traitements sont aussi nombreux que les sortes de dépressions, il ne faut donc pas s'arrêter à l'échec d'un traitement, sachant que fatalement, il existe celui qui vous convient.

L'arrêt spontané de la prise de ces médicaments, je crois que ça vient du fait que le médicament agit sur tes liaisons nerveuses. Du coup, lorsque tu arrêtes d'un coup, il y a une sorte de "manque" qui te rend fragile (comme un fumeur à qui on lui retirerait d'un coup sa cigarette).

Ce n'est pas une drogue, car la dépendance est très faible, mais c'est, je crois, ce qui fait que c'est dangereux d'arrêter d'un coup.

Perso, je conseille vraiment la parole.

C'est quand on commence à parler qu'on commence à pleurer et à décharger toute cette souffrance qu'on a en soi.

En tout cas, c'est la solution qui m'a petit à petit guéri...

Alors oublie ton envie d'aller mieux !

La voie du bien être ne se fait pas sans douleur, tu sais. Si tu n'es pas prête à faire sortir (parce qu'il sont très loin d'être partis comme tu veux le croire) tes vieux démons, c'est pas la peine espérer aller mieux comme ça en te réveillant un matin.

C'est très simple : tu ne fais rien = tu ne vas pas mieux (et peut-être même tu iras de moins en moins bien). Si ce n'est pas cela que tu veux, alors bouge toi. Et bouger passe par voir un psy/prendre des médicaments/wathever mais pas à venir sur un forum expliquer pourquoi tu ne veux pas aller voir un psy.

Je suis peut être dure mais je sais surtout de quoi je parle.

Bon courage.

Je suis passée par là et Mel à tout à fait raison, il ne faut pas te laisser aller mais te bouger pour t'en sortir et il n'y a pas 36 solutions, alors je te souhaite bon courage et surtout oublis le fait de ne rien faire et de te dire que le lendemain ira mieux, c'est faux.

Enfin, je te dis simplement ce que je pense maintenant c'est à toi d'agir.

Courage rien n'est acquis dans la vie et elle n'est pas un long fleuve tranquille malheureusement

Bonjour,

J'ai besoin de vos avis. Depuis qq jours j'ai l'impression de sombrer dans une dpression, je n'ai plus envie d'aller travailler, quand j'y suis c'est terrible car je suis attentive à rien, je fais beaucoup d'erreur qui heureusement sont sans conséquence. Je n'arrive plus à m'occuper de me enfants ni même de la maison. J'ai trés souvent envie de pleurer. J'ai vu le medecin il y a 10 jours qui m'a donné des antidepresseurs pour me détendre et me calmer mais lorsque je suis allée les prendre à la pharmacie, la pharmacienne m'a dit de faire attention à ne pas stopper le traitement du jour au lendemain sans quoi j'allais avoir des effets inverses. Je connais qqn qui a pris des antidepresseurs et lorsqu'elle a arreté elle avait envie de se suicider se fut trés dur pour elle et sa famille. Je ne voudrai pas prendre des medicaments qui me soulagent 1 mois puis prendre le risque de créer une dépendance et d'aller encore plus mal par la suite.

Je n'ose pas retourner voir le medecin car quoi lui dire ? "Vous m'avez donné un traitement mais je ne veux pas le prendre !!!!!"

Est-ce que l'un ou l'une d'entre vous à déjà vécu ça ? Est-ce vraiment une dépression ? Peut-on s'en sortir seule ou faut-il obligatoirement un traitement ?

Merci pour vos temoignages

J' ai déjà été dans le cas, oui, c'est une forme de dépression,ne traine pas avec ça et retourne chez ton toubib, explique lui ce que le pharmacien t'a dit et dis lui que cela t'intrigue cette forme de traitement, ton médecin est là pour ça , pour tout expliquer, demande lui si il n'y a pas quelque chose de plus léger, à base de plantes par exemple, c'est en général sans conséquences, peut être un peu plus long pour soigner , mais parfois très efficaces.

Instaure toi aussi de ne justement pas te complaire en cette situation, bouge ! Promène avec tes enfants, même si tu n'en as pas envie , souffle un bon coup au taf et tu te dis " allez hop ! en avant !" y a pas d'avance !".

Essaye de te trouver un moment à te relaxer, fermer les yeux , écouter de la musique douce, lire un bouquin exaltant, et éviter de regarder des films trop violent, ou qui pourrait te mettre en état de tristess, préfère toi un bon de funès ou autre

La dépression se soigne sur deux plans. Un physique en prenant un antidépresseur qui aide à remonter le moral vers des zones d'humeur dans la norme. Deux, en faisant une psychotérapie en même temps qui permettra de régler la cause de la dépression.

Ensuite, un antidépresseur ne s'arrête jamais d'un coup. Il faut le baisser par quart de dose et par tranche d'un mois, une mesure que j'ai trouvé et qui va bien pour arrêter sans avoir trop d'effets de sevrage.

croyez vous au médicament Mildac à base de Millepertuis?