étre trop intelligent = malheureux ?

C'est la crise même pour l'imagination ? Moi qui pensais qu'à défaut de pétrole, on avait des idées...

personne ne m'empêchera de corriger mes erreurs de citation si c'est pour la clarté du débat...

Non c'est une erreur de citation au départ que j'ai ensuite rectifiée , il aurait été plus iINTELLIGENT de relire avant de conclure trop vite

:D

S'il fait la gueule c'est que sa compassion pour les autres moins intelligents que lui a du plomb dans l'aile... :D

S'il fait la gueule c'est que sa compassion pour les autres moins intelligents que lui a du plomb dans l'aile... :D

Et pourtant les deux citations restent encore strictement similaires. Encore un qui n'a pas trouvé le bouton "Editer". Et qui en plus s'appuie sur ses conneries pour prouver qu'il est le plus fûté... La mauvaise foi n'a vraiment pas de bornes.

hijo de la luna: Daria t'a saoulé?

"De tous temps, des hommes se sont illustrés, et ont brillé par leurs connaissances dans certains domaines, ou leurs dons artistiques. Selon Stendhal, dans " De l'Amour ", « Le génie est un pouvoir, mais il est encore plus un flambeau pour découvrir le grand art d'être heureux ».

Il s'agit ici de se demander si le génie constitue vraiment un avantage pour découvrir le bonheur, ou plus précisément, comment l'atteindre. L'étude s'appuie sur les ¿uvres de Sénèque " La Vie Heureuse " et " La Brièveté de la Vie ", de Tchekhov avec " Oncle Vania " et de J.-M. G. Le Clézio avec " Le chercheur d'Or ".

Cette étude montre, dans un premier temps, que « Le grand art d'être heureux » paraît accessible, sans être un génie. Dans un second temps, le génie constitue tout de même un avantage pour trouver le « chemin du bonheur ».

Extrait du document:

Selon Sénèque, la vertu s'identifie au souverain bien, et en ce point, on voit que Stendhal est en accord avec Sénèque : « la justice (et la vertu) est le seul chemin du bonheur. » La justice allant bien entendu de pair avec la vertu (une âme bonne ne saurait être injuste avec son prochain), on note cependant que Stendhal lie la vertu à l'esprit, et en ce sens à l'éducation reçue. Mais même une personne n'ayant pas reçu la moindre éducation, peut sentir que la vertu est le seul chemin à suivre pour atteindre le souverain bien."

Et pourtant les deux citations restent encore strictement similaires. Encore un qui n'a pas trouvé le bouton "Editer". Et qui en plus s'appuie sur ses conneries pour prouver qu'il est le plus fûté... La mauvaise foi n'a vraiment pas de bornes.

:D les trous c'est pas ce qui m'intéresse le plus dans le gruyére alors tes remarques je m'en passe...

C'était même nul à chier, excuse moi.

Oui mais moi j'ai beaucoup ris car tu es très facile à chauffer.

Franchement, c' est un discours bien trop vaste et bien trop complexe pour élaborer une conclusion précise et une loi générale.

On devrait, avant-tout, se poser les questions suivantes et suivre un parcours de ce genre.

1) Premièrement, qu' est-ce que l' intelligence? Y a-t-il une seule intelligence ou plusieurs formes d' intelligences? Les tests sur le Qi ont souvent été remis en question par les scientifiques, car ils mesureraient qu' un seul type d' intelligence: celle logico-mathématique.

2) Deuxièmement, y a-t-il une corrélation entre le bonheur et l' intelligence ou à un certain type d' intelligence? Pour répondre à cette question, il faudrait effectuer des statistiques et confronter le pourcentage d' individus ayant d' une intelligence "normale" se considérant heureux à celui d' individus sur-doués se considérant tels.

Au cas où la réponse était positive, il ne s' agirait que d' une statistique et ne constituerait en aucun cas une loi générale.

Personnellement, je pense que le bonheur dépend, surtout, du caractère et des expériences de vie. Il s' agit, par conséquent, d' un discours très relatif qui varie d' invididu à individu. Je ne crois pas du tout à l' histoire des "imbéciles heureux". Ils sont, peut-être, moins conscients que les autres, mais cela ne les rendra pas plus heureux: même le plus con des problèmes peut représenter, pour eux, un très grand souci. Alors, là, c' est comme un serpent qui se mord la queue.

D' autre part, cette expression cache une dimension de jalousie et d' envie envers les gens heureux. C' est comme si l' on voulait un peu justifier notre tristesse, le fait qu' on est incapable de se réaliser dans la vie et, tout simplement, d' être heureux. Pas facile d' assumer cette défaite, surtout quand on est intelligent!

Les préoccupations de ton ami sont peut être autres que celles que tu imagines toi? il n'est pas obligé de penser comme toi même! et peut être que c'est un taciturne tout simplement...si c'est ton ami, tu peux comprendre ca.

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