une romance moderne 2

C'est le printemps les filles s'effeuillent c'est la vie

Adossé à cet arbre je vous admire, je vous observe

C'est la chaleur, volent les habits, quelle comédie

Les indifférents, dans leur bulle, ils ont fumé quoi ?

Sans doute ivres ils mangent l'herbe, boivent le ruisseau

Se servent de tout ce qui est utile pour remplir leur agenda

Remplir leur vie exister que diable le réel c'est dingue

Je les regarde se nourrir, se servir, c'est affreux

C'est bientôt l'été, les filles vont se dénuder, c'est la vie

Allongé dans l'herbe je mange les nuages j'en reviens pas

Elles m'absorbent, elles me fascinent, elles me captivent

J'entends le clapotis du ruisseau sur les cailloux concrètement

Les structures de la ville me font rêver, c'est là qu'elles vivent

Les filles, elles parlent, elles rigolent, elles se déhabillent

Dans l'intimité des magasins, des bureaux, elles s'offrent

Je me relève, je me secoue, la lucidité me revient :

je suis fier d'être MOI !

é méditer... J'aime bien et je réponds au propos de ce poème par une vidéo :

J'aime bien également Je le relirai demain, pour mieux l'analyser.

éa me fait penser, peut-être que je devrai poster les miens quelque part un jour... :D

C'est le printemps les filles s'effeuillent c'est la vie

Adossé à cet arbre je vous admire, je vous observe

C'est la chaleur, volent les habits, quelle comédie

Les indifférents, dans leur bulle, ils ont fumé quoi ?

Sans doute ivres ils mangent l'herbe, boivent le ruisseau

Se servent de tout ce qui est utile pour remplir leur agenda

Remplir leur vie exister que diable le réel c'est dingue

Je les regarde se nourrir, se servir, c'est affreux

C'est bientôt l'été, les filles vont se dénuder, c'est la vie

Allongé dans l'herbe je mange les nuages j'en reviens pas

Elles m'absorbent, elles me fascinent, elles me captivent

J'entends le clapotis du ruisseau sur les cailloux concrètement

Les structures de la ville me font rêver, c'est là qu'elles vivent

Les filles, elles parlent, elles rigolent, elles se déhabillent

Dans l'intimité des magasins, des bureaux, elles s'offrent

Je me relève, je me secoue, la lucidité me revient :

je suis fier d'être MOI !

Touchant et drôle...

Un rien bizarre les derniers mots... :D

Touchant et drôle...

Un rien bizarre les derniers mots... :D

C'est justement en ça que le poème n'est pas niais ; l'apologie des jeunes filles en fleur, suivi d'un - en substance - "sales putes" un peu digne de Fuzati ; personnellement, je ressens un discours sincère, pas langue de bois, pas provoc' non plus. On ne se situe pas dans le politiquement correct, c'est très bien.

vive l'hiver que j'attends avec febrilité!

l'hiver où couve le feu sous la glace!

hum....

sympa! vraiment sympa..tout naturellement sympa!