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Crise: Comment sont gérés nos impôts?


mibel

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VOILA OU VA L'ARGENT DES FRANCAIS

Auj. à 22:38 FOOTBALL - Institut Diambars : La France respectera sa promesse de verser 1,5 millions d'euros

L'Institut Diambars recevra le million et demi d'euros promis par le président français Nicolas Sarkozy. L'assurance a été faite, hier à Saly, au président de la structure de formation de jeunes footballeurs par le ministre français de l'Emigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement Solidaire, M. Eric Besson qui, lui, a remis une subvention de 200 000 euros pour la formation en audiovisuel de ses partenaires.

Avec sa double vocation de formateur en sport et en études, l'Institut Diambars de Saly (près de Mbour) a reçu hier un important appui financier français qui doit lui permettre de mener à bien le volet de la formation de ses pensionnaires en audiovisuel. Un appui de la part du ministre français de l'Emigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement Solidaire, M. Eric Besson, et qui entre en droite ligne de la promesse faite par le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy qui avait promis de doter cette structure d'une enveloppe de 1,5 millions d'euros. Une partie de cette somme, c'est-à-dire 200.000 euros, a donc été remise au président Saër Seck, en présence du premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye et des ministres de la Jeunesse, des Sports et des Loisirs, Mamadou Lamine Keïta, et de la Formation professionnelle.

Une journée mémorable, comme l'a souligné Saër Seck, selon qui, lui et ses partenaires ont travaillé pendant 12 ans sur la construction de ce projet. L'Institut Diambars qui a vu le jour en mai 2003, regroupe actuellement trois catégories de jeunes, les minimes, les cadets et les juniors en plus des espoirs qui jouent actuellement le championnat de Ligue 2. Saër Seck a choisi cette belle opportunité pour remercier ses partenaires pour leur adhésion, leur générosité et leur engagement à la réalisation de ce projet. « Notre projet a été réalisé à moitié car les besoins en infrastructures ne sont pas encore tous satisfaits. Il nous reste du chemin à parcourir et il faudra aussi élargir la base de notre recrutement, mais j'ai espoir que la seconde moitié sera réalisée avec succès », a-t-il dit.

En tout cas, c'est tout heureux que le ministre français Eric Besson a sacrifié à la tradition de la remise du chèque de 200.000 euros qui constituent une partie du financement promis par le chef de l'Etat français Nicolas Sarkozy. Et Eric Besson qui effectuait sa seconde visite à l'Institut, a souligné que deux dimensions ont attiré son attention au sein de cette structure : le caractère social et le volet sportif. « Le talent ne suffit pas, il faut aussi une grosse préparation et cela demande un vrai professionnalisme. C'est donc un projet qui mérite d'être soutenu pour son esprit social car c'est avec beaucoup de satisfaction que j'ai appris que le projet social que vous avez mis en place, n'exige aucun critère de recrutement », a indiqué le ministre français.

Aussi il a déclaré que la seule façon de prévenir ce volet social c'est de doter les jeunes d'un projet professionnel. « Cela est aussi tout à l'honneur de l'Institut Diambars qui a su allier le sport et les études et c'est pourquoi la France respectera les engagements pris vis-à-vis de ce centre d'excellence », a-t-il dit.

Le premier Ministre Souleymane Ndéné Ndiaye qui s'est félicité de cet apport du gouvernement français à l'endroit d'une structure sportive africaine, a souligné que le Sénégal a ici un excellent cadre pour la formation de brillants footballeurs. « Les pensionnaires ont non seulement le cadre, mais ils ont aussi l'encadrement qu'il faut. Le Sénégal s'en félicite et encourage les dirigeants de cet institut ». A son avis, le gouvernement français donne ainsi l'occasion à certains jeunes de trouver une profession. « Pour faire une bonne carrière, il faut d'abord le talent et ce talent il faut le cultiver, l'entretenir et le promouvoir. Et avec ce financement, Diambars offre la possibilité aux jeunes d'avoir une autre formation en audiovisuel. Cela a une dimension internationale qu'il faut entretenir », a déclaré Souleymane Ndéné Ndiaye.

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