Les féministes ont plus de plaisir au lit

un macho efféminé j'aimerai bien voir à quoi ça ressemble..: Freddie MERCURY

Heuuu Fredie Mercury qui étais homosexuel avait peu de chance d'attendre que bobonne lui fasse la bouffe pendant qu'il a les pieds sous la table...

Surtout qu'il n'était pas le dernier à se travestir en gonzesse...

Un homme qui s'eplie j'apelle ça un metrosexuel... pas un macho

Un homme qui s'eplie j'apelle ça un metrosexuel... pas un macho

Mais il y en a qui sont aussi macho.

Non mais tu crois quoi ? Qu'aucun de ceux qui s'épilent ne sont macho ? :blush:

Ben Oui... un macho qui s'épile n'est pas un vrai macho... un vrai macho il dirait "Pfff... s'épiler c'est pour les gonzessesé

Ben Oui... un macho qui s'épile n'est pas un vrai macho...

En gros, tu supposes que toute personne un peu efféminé n'est pas macho, et que donc, il n'existe pas d emacho efféminé.

N'as-tu pas un peu l'impression que ta justification est circulaire ?

Il faut regarder les faits. Dans les faits, est-ce que tous les hommes qui s'épilent pensent que la femme est l'égale de l'homme ?

N'y a-t-il aucun homme effiminé qui ai des idées sexistes ?

Concrètement, on constate du sexisme, du machisme, même chez les efféminés.

Un mec qui s'épile et qui vient parler de la grandeur de l'homme est simplement quelqu'un qui se ment à lui même...

Tous les machistes se entent à eux-mêmes, ce n'est pas nouveau. Il se mentent quand ils se disent supérieur à la femme.

C'est toujours plus rassurant de se dire supérieur par naissance que de devoir le prouver.

Il ne s'agit donc pas d'une spécificité des machistes effeminés, mais une caractéristique partagée par tous les machos.

Faux ! La nature à décidé que l'homme aurait des particularité physiques superieures à la femme ce qui à aboutit à une société méttant en valeur ces superiorités, donc il n'y a pas de mensonge, c'est la nature qui a choisi cela

Aucun gros costaud n'est à l'abri d'un tout petit microbe destructeur.

C'est la nature qui veut ça. :blush:

On a souvent besoin de plus petit que soi.Encore faut-il savoir se regarder dans le miroir

Ouais et le petit a tout le temps besoin d'un plus grand que lui...

Ca dépend, encore faut-il que le petit voit vraiment un plus grand que lui :blush:

Il y a beaucoup de "machos" qui s'épilent, se rasent, et veulent un corps plus "féminin", plus mince.

Aucun homme normalement constitué veut un corps féminin.

Je ne comprends pas très bien ce sujet. Il requiert une définition plus précise du terme féminisme.

S'il s'agit de prendre ce terme dans son acception de femme non soumise à l'homme, tout dépend des fantasmes de chacun. Une adepte de Leopold von Sacher Masoch ne verra guère son plaisir décupler à soumettre son partenaire.

S'il faut retenir le sens du féminisme comme projet politique pour la société, alors là c'est assez étrange. La satisfaction sexuelle est-elle conditionnée par l'opinion partisane ? Nul doute, en ce cas, qu'un ultra partisan du consumérisme capitaliste éprouve une bien plus grande jouissance qu'un adepte de la décroissance. :blush:

Il faut surtout supposer qu'il existe un schéma binaire féministes libérées/non féministes timorées.

Une femme peut n'avoir aucun goût pour le hard power et ne voir que peu de problèmes à ce que la fonction militaire ou l'apparence politique échappent aux femmes sans pour autant être entiérement soumise et dévouée à la gent masculine. Certaines femmes brillantes dans l'Histoire ont préféré recourir, au soft power tout de séduction fait, pour parvenir parfaitement à leurs fins.

Une Ninon de Lenclos n'a jamais développé d'idéologie politique très claire et n'a pourtant guère, si l'on en croit les chroniqueurs mauvaises langues, souffert de frustration.

Il faut surtout supposer qu'il existe un schéma binaire féministes libérées/non féministes timorées.

Il n'y aurait besoin d'un tel schéma binaire que si il y avait un lien systématique, c'est-à-dire que si on disait que TOUTE féministe prend plus son pied que TOUE non-féministe.

Mais il n'y a pas besoin dans le cas présent, puisqu'il s'agit de dire qu'en moyenne, les féministes prennent plus de plaisir au lit.

Pour finir, pour ceux qui auraient été abusés par le terme "binaire", utilisé par simplicius en fin rhéteur, je rappelerais que tout ensemble de choix fini peut être ramené à des choix binaires.

Les bases elles mêmes reposent sur la dualité binaire vrai/faux.

On confond souvent binaire et manichéisme.

Une femme peut

Là, tu prends un cas particulier, ce qui n'a aucun sens quand on fait une règle "en moyenne".

Je te remercie de m'attribuer quelque finesse dans l'art de la rhétorique, mio fratello.

Je ne rentrerai pas dans la discussion entre binaire, manichéen ou primaire même si je reste persuadé qu'un raisonnement binaire n'a pas grand sens dans le domaine des sciences humaines. Mais laissons cela !

De plus, mon emploi du terme "une femme" avait moins pour but de prendre un exemple nominatif particulier que de caractériser un genre. Mais peu importe.

Qu'il s'agisse de totalité (concept que je ne pense pas avoir utilisé) ou de "moyenne", l'assertion selon laquelle le féminisme conduirait à une maximalisation de l'orgasme me laisse tout aussi dubitatif. Et ce pour quelques raisons.

1) Sans disposer de moyenne ou de statistique calculée depuis la Guerre de Troie (cependant le sujet s'en dispense tout aussi aisément), il semble constant que beaucoup de femmes, indépendemment de leurs convictions religieuses, politiques et même maritales, n'ont pas hésité, n'hésitent pas et n'hésiteront pas à prendre des amants. Si l'on récuse tout exemple personnel, il n'est qu'à lire les ouvrages de Maupassant qui, en pleine période puritaine hypocrite de la seconde moitié du XIXe, illustrent assez la... complexité des sentiments et des désirs.

La multiplication des partenaires, attestée aussi bien dans Les Cent nouvelles nouvelles du roi Louis XI (recueil d'une époque de franche gauloiserie) que chez les chroniqueurs langues de pute du XVIIe, prouve l'intemporalité du phénomène.

On peut espérer que la recherche d'aventures galantes répond davantage à une satisfaction des désirs et un assouvissement des plaisirs qu'à un simple réflexe conditionné ou effet de mode auquel on obéit de manière blasée.

2) Comment mesurer de façon assurée et qui permettrait une moyenne quasi scientifique l'intensité du plaisir ? Sauf à pourvoir des couples tests d'un ensemble de cables et de machines. Brrrrr ! On n'ose imaginer la sensation procurée par un tel attirail en un pareil moment.

3) Dans l'hypothèse où la mesure précédemment évoquée serait possible, comment déduire le féminisme (concept politique) comme paramètre entrant en compte ?

La maximalisation du plaisir serait-elle augmentée par le niveau d'adhésion audit mouvement politique ? Y aurait-il un féminisme tiède ne permettant qu'une progression partielle par rapport au vulgum pecus à mettre en parallèle d'un féminisme ultra orthodoxe et sans concessions atteignant au sublime orgasmique ? Les houries d'Allah n'auraient plus qu'à se rhabiller !

Je doute pourtant que la déclamation d'un discours politique, lors de l'acte, soit du meilleur effet sur la performance. :blush:

Mais finalement, cette assertion ne constitue-t-elle pas une réponse un peu ridicule (relevant de la méthode coué) à l'accusation traditionnelle et peu galante de mal b...... qui vise parfois les féministes ?

Je te remercie de m'attribuer quelque finesse dans l'art de la rhétorique, mio fratello.

Je ne rentrerai pas dans la discussion entre binaire, manichéen ou primaire même si je reste persuadé qu'un raisonnement binaire n'a pas grand sens dans le domaine des sciences humaines. Mais laissons cela !

De plus, mon emploi du terme "une femme" avait moins pour but de prendre un exemple nominatif particulier que de caractériser un genre. Mais peu importe.

Qu'il s'agisse de totalité (concept que je ne pense pas avoir utilisé) ou de "moyenne", l'assertion selon laquelle le féminisme conduirait à une maximalisation de l'orgasme me laisse tout aussi dubitatif. Et ce pour quelques raisons.

1) Sans disposer de moyenne ou de statistique calculée depuis la Guerre de Troie (cependant le sujet s'en dispense tout aussi aisément), il semble constant que beaucoup de femmes, indépendemment de leurs convictions religieuses, politiques et même maritales, n'ont pas hésité, n'hésitent pas et n'hésiteront pas à prendre des amants. Si l'on récuse tout exemple personnel, il n'est qu'à lire les ouvrages de Maupassant qui, en pleine période puritaine hypocrite de la seconde moitié du XIXe, illustrent assez la... complexité des sentiments et des désirs.

La multiplication des partenaires, attestée aussi bien dans Les Cent nouvelles nouvelles du roi Louis XI (recueil d'une époque de franche gauloiserie) que chez les chroniqueurs langues de pute du XVIIe, prouve l'intemporalité du phénomène.

On peut espérer que la recherche d'aventures galantes répond davantage à une satisfaction des désirs et un assouvissement des plaisirs qu'à un simple réflexe conditionné ou effet de mode auquel on obéit de manière blasée.

Effectivement, il n'y a pas de preuves que les féministes prennent en moyenne plus de plaisir au lit.

Il s'agit plus d'une intuition, étayée par quelques élément qui pourraient expliquer un biais statistique favorisant le plaisir des féministes.

Cela demanderait une étude plus détaillée pour être confirmé ou infirmé.

3) Dans l'hypothèse où la mesure précédemment évoquée serait possible, comment déduire le féminisme (concept politique) comme paramètre entrant en compte ?

La maximalisation du plaisir serait-elle augmentée par le niveau d'adhésion audit mouvement politique ? Y aurait-il un féminisme tiède ne permettant qu'une progression partielle par rapport au vulgum pecus à mettre en parallèle d'un féminisme ultra orthodoxe et sans concessions atteignant au sublime orgasmique ? Les houries d'Allah n'auraient plus qu'à se rhabiller !

Je doute pourtant que la déclamation d'un discours politique, lors de l'acte, soit du meilleur effet sur la performance. :blush:

Dans la Grèce antique, on associait déjà le bonheur de l'individu à sa philosophie. Selon ses convictions philosophiques, un individu pourrait trouver plus ou moins facilement le bonheur.

Ici, il s'agit d'un principe similaire : le fait d'adhérer à la pensée féministe pourrait avoir des conséquences sur le plaisir.

Mais finalement, cette assertion ne constitue-t-elle pas une réponse un peu ridicule (relevant de la méthode coué) à l'accusation traditionnelle et peu galante de mal b...... qui vise parfois les féministes ?