Un fil en rimes, ça vous dit ?

Il admirait la douceur de ta si belle peau,

Il goûtait au plaisir de ce baiser trop beau

Que tu venais de lui donner , toi veuve noire.

Il t'aimait tellement, mais il était bien fou

De croire que tu pouvais, digne bourreau,

L'aimer de ton c¿ur froid, source aujourd'hui de son désespoir.

Car, tu le savais, tu croquais son âme un peu

Plus chaque jour. Ton poison le rendait fou heureux,

Et il se glissait naïvement dans ta toile,

En ignorant qu'il est victime d'un si odieux

Piège, qui le consume maintenant, malheureux

Qu'il est. L'araignée veuve noir , est tellement belle

Mais cause tellement de désespoirs !

Cet homme naïf et fou

Cet homme en fait c'est moi !

Cet homme t'aime et te pardonne tout

C'est homme tu sais te veux dans ses bras !

Parfois, l'amour altère la raison,

Parfois, on aime avec passion,

Et l'on est déçu et blessé.

La difficulté semble insurmontable,

Nos pensées sont pour le moins instable,

Mais tu t'y feras, peut être avant l'été.

Longtemps je t'aimerai

Bien plus loin que ma vie

Plus loin que ma mort

Pour toujours je promets

De faire vivre au fond de toi

Tes rêves et tes désirs et tes joies

Jamais plus tu ne pleureras

é jamais meilleurs amis

Ensemble on s'en ira

Jusqu'au bout de l'endroit

Où le ciel et la mer font l'amour

Chaque nuit eux aussi

Je donnerai mes yeux pour toi

Si tu n'étais plus là

é quoi me servirait de regarder le ciel

Il ferait nuit en plein soleil

Je ne pourrais plus voir aucunes merveilles

Reste là...

je serai là quand tu voudras

Un amis pour toi

Puisque tel est ton choix

Si tu en as besoin

Pour toi je suis là !

Modifié le 24 mai 2010 par nic07413

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Concours de Poèmes

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Le texte gagnant du concours de poésie est le n° 4 Bravoooo !

4) Pour toi je pourrais

Pour toi, je pourrais être immense

étre poète, ou prosaïque,

Mélancolique ou romantique

Plus défenseur et cinglant

Je pourrais me dresser

Contre les impertinents

Même si je n'ai pas d'épée,

Je n'ai que mes mots

Mais sais encore les acérés

Quand il le faut

Le chevalier ou le cavalier

Pour un combat ou pour une danse

Je pourrais aussi me taire

Me faire discret, me cacher

Ne ressortir qu'à ta demande

Je pourrais être désinvolte et rebelle

Ou sérieux mais pas cruel

Non ca je ne peux pas...

Je pourrais t'emmener au 7ème ciel,

...Mais là, j'outrepasse...

Je pourrais te faire voyager,

Dans des pays ou des continents,

Juste par les histoires que je dirai

Je pourrais aussi t'offrir mes rêves

Et peut être un bout de mon univers...

Le bout blanc ou le bout noir

A toi de voir...

Je ne pourrais pas décrocher la lune

Par contre, car elle est déjà morte

Mais je pourrai accrocher des étoiles

Dans ce ciel laissé libre

Je pourrais te livrer mon c¿ur

Mais en morceau, ou te montrer ces fleurs

Que je n'aime pas cueillir

Je pourrais être tout ou n'être rien

Me blottir ou être magicien,

étre là ou ici, ici ou là

Je pourrais t'expliquer le ciel

Te parler d'éternel,

Te montrer ces endroits

Que tu n'imagines pas...

Je pourrais n'être qu'une ombre,

Un tableau, une parenthèse

Un frère, un ami, un amant

Juste une épaule ou tout un corps

Juste pour toi... A ton aise

Mais là, devant toi

Je ne puis être que moi...

Moi qui écoute en boucle, silencieux

Ces dernières choses que tu as à me dire

Ces derniers mots pour moi, pour tous

Cette triste épitaphe... Adieux.

Maintenant place à la finale !

Vivement l'exposition des textes

venir ici sera bon pretexte...

Je m'excuse de ne pas avoir participé,

Mais je n'avais ni envie ni imagination.

Ces dernières semaines sont vidés

De mes quelques vers sans passion...

Un texte neuf de ce matin. J'ai un doute sur le fait que se soit de la poésie mais, je l'ajoute tout de même, sous l'appui des paroles de Nico'.

Sous le zénith accablant, l'enfant explorait chaque parcelle de la ville. Le vent n'arrivait pas à caresser sa peau brûlante, à adoucir le sentiment d'étouffement qui prisait tous ses sens. Le vent n'arrivait pas à calmer sa curiosité, cette flamme intense qui le poussait à marcher vers l'inconnu, et que tous enfants recèlent au fond de lui.

C'est bien le hasard qui le mena dans cette ruelle parsemé de quelques passants. Tous le croisaient, mais nul ne remarqua la présence du garçon. Ici, les étroits bâtiments offraient une légère sensation de fraicheur. Ici, le vent s'engouffrait comme il le pouvait pour rassurer les têtes étriqués par cet été.

Le jeune aventurier s'arrêta sous l'ombre d'une vieille maison. Cette dernière semblait le protéger, d'un ¿il maternel, des crocs du soleil. Mais elle ne pouvait empêcher son étrange attention pour le brillant objet qui gisait à même le sol. L'enfant se baissa pour ramasser son modique trésor.

Ce moment transforma sa fierté en un sourire empreins de candeur et de satisfaction. Ses yeux croquaient formes et couleurs. La petite gravure interrogeait son esprit. Et sa maigre connaissance du monde lui légua une réponse qui ne le déplaisait aucunement.

A ce moment, l'enfant reprit chemin, auscultant toujours aussi minutieusement les coins et recoins. Il gardait toujours cet engouement pour la recherche, et chaque découverte, aussi modeste soit-elle, emplissait un peu plus son visage usé par la pauvreté et la misère, de joie.

Ouawwww des poèèèèètes hummmmm je fond .

qu'après deux MP refusés,

j' ai l' esprit à demi noué,

et je te parle pas des deux commentaires,

le clavier et la langue comme outils éphémères,

C'est fini

Il est déplorable de constater que toujours

Le meilleur appartient au passé,

Qu'a chaque fois, c'est à la fin du jour

Que l'on savour au mieux sa clarté.

Ces fins qu'impatient j'attendis

Ne furent que le commencement du regret

C'est quand on croit son destin accompli

Qu'il nous rattrape de son train enragé.

C'est au départ qu'on revoit l'arrivée

Ce sont ces points trop finaux

Qu'en orgues l'on transformerait

Si le souvenir ne s'en mêlait de maux

A peine envolé que le rêve revient

Douloureux, bref et soudain

Frappant à la porte de nos esprits

Il jette au feux des âmes son cris

Il nous enlève nos illusions d'un avenir

D'un autre, meilleur, ailleurs

Au néan des abysses, fidèle satyr,

Pâli donc d'ainsi être le veilleur

Fais de ce que tu est ce que nous devenons

Cesse d'encombrer d'absence

Ces lieux qui sentent trop ta présence

Pousse nous donc vers lointain

Au carresses des délices qui déjà

Aux creux de nos tristes lendemains

Ont le gout de cette allusoire joie

Que nous ne ressentirons, encore

Qu'à ces présents qui deviennent souvenirs

Qu'à ces navires qui ne reviennent au port

Qu'à ces mots que je n'oserais relire

Mad, toujours aussi talentueux

Pour faire des réalités une chanson,

Dont la musicalité procure un son

Que chacun écoute, envieux.

Jedino, ne me flatte pas tant,

Tu n'a rien à m'envier, sincèrement.

Je regrette que tu n'ai pas participé

A la battle qui se tient, j'en suis sûr

Tu n'aurais aucunement démérité

Des plaisirs que tu procures

A+

Mad_

Ces dernières semaines, l'envie m'a quitté.

Je ne sais pourquoi, surement compliqué.

Je participerais à la prochaine, et ferais

Ce que je peux pour te concurrencer.

Peu de jouissances, ces derniers temps.

Il faudra bien que je craque, je le sens.

Sensible, je le suis, et je le regrette,

Car mon image se dégrade et se reflète

De mon propre dégout et de mon insolence.

La roue tournera, je perdrais cette chance

A laquelle j'ai toujours craché, par pur égoïsme.

Par peur d'être Meursault et de son altruisme,

Je me bas sans m'être jamais vraiment battu.

J'aurais voulu sortir de cette forêt où je suis perdu,

De cette corde qui m'étouffe, en chaque heure,

Détruisant pour la "vérité" un horrible bonheur.

A l'ombre de ce reverbere, j'ai

les paupieres ruisselantes et fermées

sur la paupérisation élevée

condensée dans une ville sans souhait

brisée dans l'ame mais etincelante de beauté

petit homme au destin décroisé

au chemin sineux aux multiples débouchées

double la mise quand le fric vient a manquer

et noie sa peine dans un écrit d'une triste banalitée

trompe son doigt dans un verre alcoolisé

chaque fois que ses vers lui remémore son passé