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La lecture de la lettre de GUY MOQUET obligatoire .


BM7

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MembreR, 59ans Posté(e)
BM7 MembreR 5 389 messages
Baby Forumeur‚ 59ans‚
Posté(e)

http://www.youtube.com/watch?v=kdVmEoOTjko

la lettre de GUY MOQUET , restera obligatoire .

Mr SARKOZY se permet cet nouvelle provocation , en sachant fort bien que le COMMUNISTE

GUY MOQUET verra son parti se faire dissoudre par une loi réclamer par DALADIER .

C' était bien le gouvernement français de VICHY qui avait commencer à réprimer les

militants communistes dés 1939 .

Mr SARKOZY voudrait nous faire lire cette lettre en vantant les merites du patriotisme de se

jeune militant communiste " GUY MOQUET ", tout en occultant complètement la répression policière Française

dont fut l' objet se même parti dés 1939 .

En décrétant obligatoire la lecture de cette lettre , SARKOZY essait de s' accaparer l' émotion

susciter par cet épisode tragique de la seconde guerre mondiale .

De son vivant , je ne pense pas que GUY MOQUET aurait accepter une tel mise en scène

orchestré par un gouvernement de droite dont les sympathies communistes ne sont plus

à prouver ( ironie bien entendu ) .

La lecture de la lettre de Guy Môquet reste "obligatoire" selon le ...

GUY MOQUET par WIKIPEDIA .

b]Guy Môquet[/b], né le 26 avril 1924 à Paris, mort le 22 octobre 1941 (à 17 ans) à Châteaubriant (Loire-Inférieure[1]), est un militant communiste, célèbre pour avoir été le plus jeune des quarante-huit otages fusillés le 22 octobre 1941 à Châteaubriant, Nantes et Paris en représailles après la mort de Karl Hotz[2].

Son nom, plus particulièrement associé à celui des vingt-sept fusillés du camp de Châteaubriant, est passé dans l'histoire comme un des symboles de la Résistance française. Le qualificatif de résistant, souvent utilisé à son propos, notamment dans les médias, est cependant l'objet d'un débat récent parmi quelques auteurs.

La repression Anti - Communiste commença avec le gouvernement français dans un premier temps .

Guy Môquet était le fils de Prosper Môquet, cheminot, syndicaliste, député communiste du 17e arrondissement de Paris. Le Parti communiste ayant été dissous par édouard Daladier en septembre 1939 en raison de son soutien au Pacte germano-soviétique, Prosper Môquet est arrêté le 10 octobre 1939, déchu de son mandat de député en février 1940 et déporté dans un camp de concentration français en Algérie. Le frère de Prosper, Henri, concierge au siège du parti communiste, est intégré au dispositif clandestin du parti à la fin de l'été 1940[3]. La sœur de Prosper Môquet, Rosalie, est une militante proche de la direction du parti. é partir de 1941, elle est la compagne de Robert Dubois qui succédera à Arthur Dallidet à la tête de la commission des cadres à partir du printemps 1942. Elle assure la liaison entre Robert Dubois et la direction du parti[4].

Le PCF au début de la guerre [modifier]

L'URSS ayant signé avec l'Allemagne hitlérienne un pacte de non-agression, la direction du PCF adopte une ligne d'opposition à la guerre, considérée comme une guerre impérialiste allant à l'encontre les intérêts de la classe ouvrière. De nombreux militants communistes, dont le père de Guy Môquet, sont arrêtés sur l'ordre du gouvernement français sous l'accusation de sabotage, démoralisation de l'armée, en un mot affaiblissement des arrières.

Après la défaite de la France en juin 1940, l'occupant maintient en détention les communistes incarcérés. Selon Denis Peschanski, à l'automne 1940, le PCF subit une vague de répression menée par la police française et facilitée par la politique de légalisation qui a prévalu pendant l'été 1940. Jusqu'en mars-avril 1941, la revendication nationale, anti-allemande, n'est pas prioritaire pour le PCF par rapport à la revendication sociale[7] (pour plus de détails, voir Histoire du Parti communiste français, Les premiers mois de l'occupation).

la repression dont fait l' objet le parti communiste renforce les ardeurs et l' activisme de GUY MOQUET .

Activité militante de Guy Môquet [modifier]

En ce qui concerne Guy Môquet, l'arrestation de son père en octobre 1939 est un événement marquant qui renforce son ardeur militante. D'abord réfugié avec sa mère et son frère Serge dans la Manche, il revient ensuite seul à Paris et milite clandestinement au sein des Jeunesses communistes[8]. En novembre, il écrit une lettre à édouard Herriot, président de la Chambre des députés demandant la libération de son père[9],[10] (voir « Ses écrits »).

é partir de l'occupation de Paris par les Allemands et de l'instauration du gouvernement de Vichy, Guy Môquet déploie une grande ardeur militante pour coller des « papillons » et distribuer des tracts qui reflètent la ligne politique du PCF durant l'été 1940. Dans ces tracts, c'est avant tout la misère qui est épinglée : « Des magnats d'industrie (Schneider, De Wendel, Michelin, Mercier [...]), tous, qu'ils soient Juifs, catholiques, protestants ou francs-maçons, par esprit de lucre, par haine de la classe ouvrière, ont trahi notre pays et l'ont contraint à subir l'occupation étrangère [...] De l'ouvrier de la zone, avenue de Saint-Ouen, à l'employé du quartier de l'étoile, en passant par le fonctionnaire des Batignolles [...] les jeunes, les vieux, les veuves sont tous d'accord pour lutter contre la misère...[11] ». Ils réclament également la libération des prisonniers communistes incarcérés depuis l'automne 1939[8].

Son camarade Georges Abbachi décrit les deux modes opératoires les plus utilisés : le collage de papillons sur les réverbères ou les becs de gaz et le lancer de tracts depuis les balcons des salles de cinéma[12].

Arrestation et incarcération [modifier]

Guy Môquet est arrêté le 13 octobre 1940 (il a 16 ans)[13] au métro Gare de l'Est par trois policiers français dans le cadre d'un décret-loi d'Edouard Daladier du 26 septembre 1939[14] interdisant le Parti communiste. Il est incarcéré à la prison de Fresnes[15]. Le Tribunal pour enfants et adolescents de la Seine ordonne le 23 janvier 1941[14], qu'il soit « remis à sa mère, en liberté surveillée » et donc acquitté[16], une mention indique que : « rien ne s'oppose [...] à l'exécution immédiate de cette décision[16] ».

Mais il fait immédiatement l'objet d'un arrêté préfectoral d'internement administratif[17] en application de décrets pris à l'encontre des communistes[18]. Le 10 février 1941, il est transféré à la prison de la Santé[19]. Il passe ensuite à la prison de Clairvaux.

Enfin, le 16 mai 1941[20],[18] il est transféré au camp de Choisel, à Châteaubriant, où étaient détenus d'autres militants communistes généralement arrêtés entre septembre 1939 et octobre 1940. Il est placé dans la baraque 10, celle des jeunes, où il se lie d'amitié avec Roger Sémat et Rino Scolari. Ce dernier, un peu plus âgé que lui, deviendra un des responsables FFI au moment de la Libération de Paris[21].

Execution de GUY MOQUET .

Octobre 1941 [modifier]

L'attentat de Nantes et ses conséquences [modifier]

Le 20 octobre 1941, Karl Hotz, commandant des troupes d'occupation en Loire-Inférieure, est abattu à Nantes par un commando formé de trois jeunes communistes des bataillons de la jeunesse Spartaco Guisco, Gilbert Brustlein et Marcel Bourdarias. Suite à cet acte, qualifié de « terroriste » par les autorités allemandes d’occupation, compte tenu du grade élevé de l’officier abattu, un Avis (Bekanntmachung) du général von Stülpnagel, chef des forces d'occupation en France, annonce que cinquante otages seront exécutés immédiatement en représailles.

Les services du ministre de l'Intérieur du gouvernement de collaboration de Pétain, Pierre Pucheu, proposent une liste de 61 noms, des otages essentiellement communistes[22] « pour éviter de laisser fusiller cinquante bons Français »[23]. Sur les 27 fusillés de Châteaubriant, les listes de Pucheu en contiennent 17. Guy Môquet n'était pas dans les listes de Pucheu, ce sont les Allemands qui l'ont rajouté en fonction de leur propre politique des otages[24].

Quarante-huit otages sont fusillés : seize à Nantes, cinq au fort du Mont-Valérien et vingt-sept à Châteaubriant, dont Guy Môquet. La majorité d’entre eux sont des militants communistes et/ou syndicaux.

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Membre, Posté(e)
saint thomas Membre 17 547 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Ils peuvent toujours la rendre obligatoire , l'école fait de la résistance , on peut pas faire mieux pour honorer cette lettre !!!!!

Cette lettre Sarko l'a mise sur le tapis pour faire du racolage au patriotisme cher au FN et par conséquent à l'UMP , c'est une vaste fumisterie téléguidée.

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Membre, 47ans Posté(e)
Anksunamun Membre 1 572 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

Pourquoi pas revenir à l'école de la 3° République tant qu'on y est...

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Invité Danaos
Invités, Posté(e)
Invité Danaos
Invité Danaos Invités 0 message
Posté(e)

Liminairement une précision : ce n'est pas Daladier qui a interdit le PCF mais le PCF qui s'est sabordé lui-même.

Ensuite une seule raison pour laquelle je n'ai pas lu la lettre de MOCQUET : il n'est pas résistant mais otage..au mieux il est ce que AZEMA a appelé un "refusant"...

Enfin, faire dans le sensationnel est d'une rare ânerie...tout comme le projet de SARKOZY ou plutôt de son père Joseph GUEANT de donner un enfant juif mort comme petit compagnon à un écolier!!!! :coeur::bo::coeur::snif:

Il est hors de question que je la lise! :blush: Que je l'intègre dans une démarche pédagogique oui mais ce sera tout et encore je choisis les docs que je veux!

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