Et si nous nous laissions guider par l'inspiration!

Voilà ce que je te propose,ô poète anonyme,toi,dont l'ingrate muse parfois se fait distante,un poème en commun,une oeuvre collective,qui ne serait guidée,que par l'élan du coeur.Au quatre premiers vers,que je m'en vais écrire,tu devras sans vergogne,venir coller les tiens,et le suivant,collant aux tiens,les siens,poursuivra l'aventure,jusqu'à l'épuisement.Je me lance.

Les regrets,c'est étrange,ça vous prend par surprise,

Un peu comme une envie,d'aller rendre son dû,

Quand la marée du temps,vous fait l'âme bien grise,

Et qu'il ne reste en rade,qu'un souvenir perdu.

(A toi camarade rimeur,accorde à cet enfant le souffle de tes rimes.)

la nostalgie submergeait votre coeur

cependant qu'au loin surgissait une lueur

l'espoir enfin renaissait dans votre coeur

non il n'était pas fini, le temps du bonheur

le sourire d'un enfant, la promesse d'un meilleur

wahou!

je suis nul dsl :blush:

wahou!

je suis nul dsl :blush:

Personne n'est nul,c'est quoi ce jugement à l'emporte-pièce,allez lances-toi.

et si jamais mes yeux

venaient à s'embraser

mon poing se rétracter

d'une impulsion douteuse

Je te promets, ces amers voeux

n'iraient se traduire

malgré ma peine et mes soupirs

autre que d'un baiser silencieux

[*pas très inspiré non plus, vient passer le temps* ]

Et je hurle au néon,

Cette lune de passe,

Quand la lumière au fond,

N'éclaire,qu'une impasse.

Quand,de la vérité,

Fuyant l'odieuse mire,

Mon oeil,plein d'acreté

S'obstine à te maudire.

Il y a deja un topic, majeur, pour nos amis poetes, ici : http://www.forumfr.com/sujet243619-libere-...e-mes-maux.html

Quand au rang des damnés

Je me rend languissant,

Pour n'avoir pu t'aimer

Que l'espace d'un instant.

Quand des plaisirs de ma chère

Je ne peux plus jouir,

Submergé par l'amer

Qui provoque mon ire.

Le vois-tu,ce sillon,

Soudainement creusé,

Tout en haut de mon front,

Par ton ongle aiguisé.

C'est la ride du temps,

Conjugué au passé.

C'est l'imparfait des ans,

Dans ma chair constéllé.

Je meurs de toi mon ange

De ton sang,de tes lèvres,

De ce triangle étrange,

Géométrie du rève.

:blush:

J'ai rencontré un problème,lors de l'envoi du méssage précédent,ce qui explique,les trois réponses à la suite,désolé.

Je meurs de toi mon ange,

Comme on se meurt en guerre.

Reposant dans la fange

De l'agonie adultère.

Et par ce flanc persé

C'est ma passion qui fuit.

A vivre de l'épée

On finit le coeur meurtri.

et si jamais mes yeux

venaient à s'embraser

mon poing se rétracter

d'une impulsion douteuse

Je te promets, ces amers voeux

n'iraient se traduire

malgré ma peine et mes soupirs

autre que d'un baiser silencieux

[*pas très inspiré non plus, vient passer le temps* ]

:blush:

[ cool ^_^ , en tout cas vous êtes balèses tous les deux pour les mots choisis

*va jeter un coup d'oeil au "topic majeur" *]

_____________

il est temps de la dernière entaille

j'ai laissé mes desseins

se fondre sur le champ de bataille

parmi les corps qui bordent le chemin

Au milieu du rien, j'avais répondu

à l'appel d'une aveugle colère

la tempête envolée, au soleil reparu

je n'étais plus qu'un solitaire

et j'errai, misérable, ne sachant où aller

perdu, l'âme troublée, sillonnant les vallées

à la recherche d'un bonheur oublié

que peut-être jamais

je ne retrouverais

:blush:

é,bonheur,d'exister.

De n'être,qu'un instant,

Le vol de l'épervier,

Le sel de l'océan.

Cette matière brute,

En butte à l'équation.

Cette dernière butte

Où se meurt l'horizon.

Là-bas,trés loin là-bas

Au bout de l'inconnu

Où me mènent tes pas

é ma belle ingénue

Au cours d'une longue nuit

Après un long chemin

Je rencontrai un songe

Qui illumina ma vie

Avec lui aucun chagrin

Et plus de mensonges

Mais songe il n'était pas

Une larme coula

Et je suivi ses pas...

""Inspiration source de vie

je me délecte dans ta fraîcheur,

tu ravives nos sens tants chéris

cadeau de nos créateurs !""

Merci pour ta fluidité

l'inspiration m'a parfumée.

Bien à nous tous !

Angèle L.